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BacillusMeningitidis a écrit:
Les facultés de philosophie et de psychologie sont pleine à craquer, tout le monde fuit les sciences dure, en même temps avec toutes les distractions qu'ont les jeunes aujourd'hui et la volonté des parents de décharger leurs enfants des devoirs à la maison où encore le manque d'implication des profs qui se plaignent de leur salaire comme s'ils avaient fait médecine, il serait difficile de faire mieux, ceux qui ont les moyens et les possibilités optent pour les écoles privé et les cours à la maison. Quand on voit l' uberisation de tout un tas de secteur d'activité, on peut se demander s'il n'y a pas une volonté de créer de la main d'œuvre bon marché en augmentant le nombre de personnes sous qualifié au sein de la société. Une chose est sûre, l'avenir ne s'annonce pas rose pour la génération actuelle.
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citronnette a écrit:
Salam
Ce week-end, on a vu notre nièce qui s'est exilée au Canada avec son fils de 10 ans et on a discuté du coup de ce que son enfant avait comme programme à l'école là bas et elle m'a dit que pour eux, ils apprennent déjà les probabilités, le dénombrement, les racines carrés, fractions ...
Et chez eux, il lui reste une année de "primaire" avant de passer au "collège" ... A part les fractions que j'ai commencé à voir en 5e, tout le reste, j'ai vu ça au lycée. Et encore ... parce que j'avais choisi la section scientifique. Ma nièce qui avait fait un bac B (économie), elle n'a survolé ça qu'à la fac.
Tu m'étonnes que le niveau des élèves en France est bas. Et il l'est dans ce cas, depuis que je suis née déjà.
D'ailleurs, ma mère qui n'avait qu'un certificat d'étude (6e ou 5e je crois, le niveau, je ne sais plus), elle connaissait plus de choses que moi déjà.
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BacillusMeningitidis a écrit:
Les facultés de philosophie et de psychologie sont pleine à craquer, tout le monde fuit les sciences dure, en même temps avec toutes les distractions qu'ont les jeunes aujourd'hui et la volonté des parents de décharger leurs enfants des devoirs à la maison où encore le manque d'implication des profs qui se plaignent de leur salaire comme s'ils avaient fait médecine, il serait difficile de faire mieux, ceux qui ont les moyens et les possibilités optent pour les écoles privé et les cours à la maison. Quand on voit l' uberisation de tout un tas de secteur d'activité, on peut se demander s'il n'y a pas une volonté de créer de la main d'œuvre bon marché en augmentant le nombre de personnes sous qualifié au sein de la société. Une chose est sûre, l'avenir ne s'annonce pas rose pour la génération actuelle.
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Berkshire a écrit:
Bien au contraire, le niveau de qualification ne cesse d’augmenter, le monde n’a jamais formé autant de profils qualifiés, tous pays confondus.
Les générations actuelles et celles du futur proche vivent dans un monde bien meilleur que celui de leurs grands parents (nous
.
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BacillusMeningitidis a écrit:
Ce n'est pas ce que semble dire les spécialistes de la question, reportage d'arte, "sommes-nous de plus en plus bête", bon visionnage.
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Berkshire a écrit:
Attention, on parlait bien de qualification pas d’intelligence individuelle. On connait tous à la fois des personnes analphabètes mais extrêmement intelligentes, et des médecins dont l’intelligence a été perdue pendant leurs années d’études selon leur propres témoignages. Les premiers sont intelligents mais non qualifiés, les seconds sont moins intelligents mais qualifiés .
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zenith182 a écrit:
Salam,
Il y a surement un problème de baisse de niveau en France mais je ne suis pas d'accord du tout avec tes exemples.
A 10 ans, l'essentiel c'est d'apprendre les bases, pas des notions théoriques comme le dénombrement. Le dénombrement je n'ai pas vu ça avant la prépa et franchement je ne vois pas l'intérêt d'essayer de comprendre ça avant (ou alors le dénombrement c'est une manière sophistiqué de dire apprendre à compter).
Pareil pour le reste, d'ailleurs c'est assez lié à la baisse de niveau. Les probabilités (pour être vu correctement) ça demande énormément de notions de base en maths. Maintenant on fait de plus en plus de maths bas de gamme en essayant de voir des notions compliquées de plus en plus jeune mais sans approfondir les choses.
Et puis plus généralement, en maths la France n'a rien à envier au Canada ou aux pays anglo-saxons, où la littérature/ sciences sociales sont très largement privilégiées par rapport aux sciences dures.
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