est-ce qu'on a mis sur le même plan des villes qui sont peuplées de majoritairement de personnes agées (qui risquent pas trop de se battre..) avec des villes qui sont peuplés de jeunes?
est-ce qu'on a mis aussi sur le même plan des coups de points ou la victime porte plainte avec des coups qui remettent en cause le pronostic vital des gens?
si on compare deux villes avoisinantes qui auraient peut-être les mêmes structures, le même climat (qui sait), on n'a pas bcp de difference par rapport aux agressions (207/182), mais une difference nette dans les vols...
est-ce que la population entre ces deux villes sont sensiblement differente?
à partir de quel seuil on peut dire qu'il y a une difference? quel est la pars lié à l'incertitude qui a été fixée?
à quelle question l'etude veut-elle repondre? - il y a plus de violence dans les villes oû la population est jeune? - il y a moins de violence dans les villes oû la population est faite de retraités?
peut-être que là on pourrais au moins trouver matière à critiquer au lieu de discuter dans le vide
il fau lire l'article du figaro. ce que j'en retiens, et ce n'est pas une suprise, c'est que les villes les plus touchées par la montée de la violence, qu'elle soit domestique ou crapuleuse, sont celles qui sont ou ont été les plus touchées par la desindustrialisation, delocalisation, pauperisation... les flics eux memes le disent. on est loin de la culpabilisation des parents et autres discours propagandistes de la clique sarkosy sur le soit disant coté géntique de la delinquance. et bien sur, au dela des causes sociales, on a ce facteur qu'est le deshumanisation qu'induit la vie dans une grande ville. l'anonymat, le sentiment de n'etre qu'un particule parmis la multitude favorise le desinteret pour l'autre. le prix de la vie humaine baisse de maniere inversement proportionelle à l'augmentation de la densité de la population.