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crocotype a écrit:
Ca fait partie des milles et une vérité du Maroc, ca se passe chez nous, les problèmes viennent de chez nous et c'est les victimes qui assument ce manque de justice et que l'état doit se regarde dans un miroire pour reconnaître couragement la gravité de la situation et essayer de trouver des moyens concret afin d’atténuer ces fléau, nul besoin de coller nos malheurs sur le dos des saoudiens ou autres, il purement endogène.
Ce que je trouve amusant c'est qu’on vienne nous parler d'honnêteté déontologique, des subtilités accessoires à coté d'un énorme phénomène de société, on traite de la forme alors que le fond est pourri.
wa bazzzzzzzzz
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venid1 a écrit:Citation
antimakhzen1 a écrit:
Quel honte !!!!!! pour nous....!
Problème soigneusement caché et entretenue par le Makhzen ?
Et c'est makhzen qui t'a lobotomisé ou c'est de naissance?
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xylophene a écrit:
Très malheureuse vraie réalité.
un petit témoignage de voyageur.
Au mois de décembre dernier, Ayant remarqué deux belles 'latines' au regard très invitateur à l'aeroport Trudeau de Montreal, je me suis rapproché et j'ai reconnu un franc accent de marrakech, l'oreille tendue a capté une conversation entre gamines de joie, les deux belles sont reparties une demi heure après avec un illustre inconnu qui a eu le cullot d'y aller droit au but manifestemment.
J'arrive dans mon Hotel ' Crown plaza ' à Dubai tard le soir après 17 heure de vol et 8 h de décallage horaire, n'étant pas fatigué, je décide d'aller prendre un verre dans la disco de l'hotel, on ne parle que casablancais dans la boîte.
A bahrain, il est 23 heures passée; j'attend un collègue qui devait venir me chercher devant le Gulf Hotel, je remarque deux belles filles en jeans qui attendaient également, lors d'un petit moment de silence, je perçois une conversation en patoit marocain, c'était nos belles en jeans, quelques moment plus tard, le voiturier dépose une Toyota Rave 4 devant elles; la plus effréinée empoigne le volant alors que sa copine s'encastre dans le siège passager.
L'hotesse de l'air de Gulf Air que j'ai pris de Manama vers Paris et qui a fait mon lit est une blonde aux yeux claires, à l'atterrissage, mon voisin americain lui demandait d'ou elle était; I'm from Morocco.
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le citoyen a écrit:
En effet, une prostituée n'est pas une marchandise en elle même du moment qu'elle loue plutôt ses marchandises, ses atouts selon les lois de l'offre et de la demande..par ailleurs, on se demande si la prostituée "agit" en pensant accomplir un devoir patriotique ou se considère comme une ambassadrice soucieuse de satisfaire ses visiteurs...
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azbou a écrit:
Prostitution au-delà des frontières : Lourdes condamnations pour le plaisir et... la joie
Mohamed Ahed
19 Février 2007
Ceux qui ont la chance de beaucoup voyager savent que nos filles sont un peu partout dans le monde, même dans les fins fonds du continent mère, l’Afrique. Certaines sont filles de joie, d’autres travaillent pour les services que l’on connaît, à l’instar des autres, avec quelques différences de traitement. L’Arabie Saoudite vient de refouler un lot de prostituées, après leur avoir infligé les fameux coups de fouets : «100 Jelda-s».
Un groupe de jeunes filles, étiquetées prostituées, a été éjecté à l’aéroport Mohammed V de Casablanca. Elles ont été refoulées par l’Arabie Saoudite pour prostitution dans les Terres Saintes de l’Islam. L’histoire n’est pas nouvelle et elle ne nous vient pas de l’extérieur. Il suffit de revenir au procès-verbal, par exemple, de l’hôtel Biblos du boulevard Zerktouni de Casablanca, mis sous scellés après l’arrestation de 47 mineures. Nos filles sont un peu partout sur le continent, à tel point qu’un jour, à l’aéroport de Montréal, quelqu’un courtisait une jeune dame qui lui a dit pour l’éloigner d’elle : «Ecoutez monsieur, je ne suis pas Marocaine». Qui dit mieux ?
L’histoire du réseau démantelé par la police saoudienne a commencé au quartier Kariat Al Jamâa de Casablanca, dans un salon de coiffure. Cela rappelle aussi l’histoire vieille d’une trentaine d’année à Rabat, lorsque la femme d’un grand responsable a été mordue au sein dans un établissement semblable par un Saoudien.
C’est à partir donc de ce salon de coiffure, que le recrutement dans le monde de la prostitutionse faisait. Kaoutar a vite plongé dans ce milieu, après son échec scolaire et l’incapacité du père à continuer dans le trafic d’alcool en tant que «Guerrab».
Le réseau faisait en sorte que des jeunes filles partaient en Arabie Saoudite, sous couverture de contrats de travail. Certaines étaient accompagnées de leur mère. À l’aéroport, selon une source très proche, des agents de police-frontières touchaient de l’argent en espèces voire des bijoux pour cacheter les passeports. Les prostituées étaient repérables de loin. Selon les aveux formulés par les accusées, filles mineures et mères, les agents fermaient les yeux au retour des mères qui laissaient leurs filles en Arabie Saoudite dans des maisons closes.
Le tribunal de première instance de Casablanca, qui a statué et rendu son jugement condamnant les accusées à des peines d’emprisonnement allant de un à trois ans d’emprisonnement pour prostitution, «trafic de stupéfiants et blanchiment d’argent», s’est basé aussi sur les accusations formulées par la police (Annahiï Ani Al Mounkar ) d’Arabie Saoudite.
Pourtant, ce même tribunal a ordonné la relaxation de 47 mineures trouvées dans un état primitif, avec des ressortissants de pays du Golfe, et dans un lieu plein de bouteilles d’alcools sans licence aucune.
Le plaisir n’est vraiment pas partagé, c’est le cas de le dire !
.lagazettedumaroc
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azbou a écrit:
Prostitution au-delà des frontières : Lourdes condamnations pour le plaisir et... la joie
Mohamed Ahed
19 Février 2007
Ceux qui ont la chance de beaucoup voyager savent que nos filles sont un peu partout dans le monde, même dans les fins fonds du continent mère, l’Afrique. Certaines sont filles de joie, d’autres travaillent pour les services que l’on connaît, à l’instar des autres, avec quelques différences de traitement. L’Arabie Saoudite vient de refouler un lot de prostituées, après leur avoir infligé les fameux coups de fouets : «100 Jelda-s».
Un groupe de jeunes filles, étiquetées prostituées, a été éjecté à l’aéroport Mohammed V de Casablanca. Elles ont été refoulées par l’Arabie Saoudite pour prostitution dans les Terres Saintes de l’Islam. L’histoire n’est pas nouvelle et elle ne nous vient pas de l’extérieur. Il suffit de revenir au procès-verbal, par exemple, de l’hôtel Biblos du boulevard Zerktouni de Casablanca, mis sous scellés après l’arrestation de 47 mineures. Nos filles sont un peu partout sur le continent, à tel point qu’un jour, à l’aéroport de Montréal, quelqu’un courtisait une jeune dame qui lui a dit pour l’éloigner d’elle : «Ecoutez monsieur, je ne suis pas Marocaine». Qui dit mieux ?
L’histoire du réseau démantelé par la police saoudienne a commencé au quartier Kariat Al Jamâa de Casablanca, dans un salon de coiffure. Cela rappelle aussi l’histoire vieille d’une trentaine d’année à Rabat, lorsque la femme d’un grand responsable a été mordue au sein dans un établissement semblable par un Saoudien.
C’est à partir donc de ce salon de coiffure, que le recrutement dans le monde de la prostitutionse faisait. Kaoutar a vite plongé dans ce milieu, après son échec scolaire et l’incapacité du père à continuer dans le trafic d’alcool en tant que «Guerrab».
Le réseau faisait en sorte que des jeunes filles partaient en Arabie Saoudite, sous couverture de contrats de travail. Certaines étaient accompagnées de leur mère. À l’aéroport, selon une source très proche, des agents de police-frontières touchaient de l’argent en espèces voire des bijoux pour cacheter les passeports. Les prostituées étaient repérables de loin. Selon les aveux formulés par les accusées, filles mineures et mères, les agents fermaient les yeux au retour des mères qui laissaient leurs filles en Arabie Saoudite dans des maisons closes.
Le tribunal de première instance de Casablanca, qui a statué et rendu son jugement condamnant les accusées à des peines d’emprisonnement allant de un à trois ans d’emprisonnement pour prostitution, «trafic de stupéfiants et blanchiment d’argent», s’est basé aussi sur les accusations formulées par la police (Annahiï Ani Al Mounkar ) d’Arabie Saoudite.
Pourtant, ce même tribunal a ordonné la relaxation de 47 mineures trouvées dans un état primitif, avec des ressortissants de pays du Golfe, et dans un lieu plein de bouteilles d’alcools sans licence aucune.
Le plaisir n’est vraiment pas partagé, c’est le cas de le dire !
.lagazettedumaroc
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le citoyen
..hum...Ce ne serait donc pas humain pour une femme de refuser d'accomplir une telle mission pour le bien être masculin..hum..."Omission de porter secours à personne en danger" ou presque...hum..un homme frustré qui risque de devenir violent indépendemment de sa volonté avec problèmes psychologiques à la vue d'une femme dans un passage étroit aurait donc le droit humanitaire de se servir du corps de la dite femme...[/quote a écrit:
Vous avez le don de détourner ou retourner les phrases comme ça vous arrange...et en plus il ne s'agit pas de la femme mais du métier de prostituée, qui a effectivement son utilité. S'il n'y avait pas de demande, l'offre n'existerai pas.
L'omission de porter secours à personne en danger s'applique plutôt aux prostituées car elles sont systématiquement condamnées voire même fouettées alors que les responsables (les demandeurs) sont impunis.
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le citoyen a écrit:
..pourquoi persister alors à les appeler prostituées puisque ce serait une insulte..?..je propose de remplacer le mot prostituées par receveuses...Ou travailleuses sexuelles pour la "bonne cause"..ou hôtesses d'accueil dans la "pratique"...Mais receveuses c'est mieux ..
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azbou a écrit:Citation
le citoyen a écrit:
..pourquoi persister alors à les appeler prostituées puisque ce serait une insulte..?..je propose de remplacer le mot prostituées par receveuses...Ou travailleuses sexuelles pour la "bonne cause"..ou hôtesses d'accueil dans la "pratique"...Mais receveuses c'est mieux ..
hotesse d'acceuilça semble bien, puisque l'ETAT semble compté sur elles pour attirer les touristes