Je trouve que je le suis déjà assez et j'ai envie d'aller encore plus loin - Être pur comme la Lumière de Dieu - Tout est Lumière et je suis un être de Lumière ...
Citation Musulman001 a écrit: Tu veux plus atteindre la pureté?
Je suis un des fils de l’éternité de créations où je vis …
Citation Dominique Talib a écrit: Je trouve que je le suis déjà assez et j'ai envie d'aller encore plus loin - Être pur comme la Lumière de Dieu - Tout est Lumière et je suis un être de Lumière ...
Citation Dominique Talib a écrit: Je trouve que je le suis déjà assez et j'ai envie d'aller encore plus loin - Être pur comme la Lumière de Dieu - Tout est Lumière et je suis un être de Lumière ...
Alî (qu'Allah l'agrée) a dit : " Le Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam) nous expédia moi, Abû Marthad et Az-Zubayr Ibn Al-Awwâm, tous trois montés à cheval, en nous disant :
" Partez, et lorsque vous serez arrivés à Rawdat-Khâkh, vous y trouverez une femme des mécréants porteuse d'une lettre adressée par Hâtib Ibn Abî Balta'a aux mécréants ".
Nous rejoignîmes cette femme montée sur un chameau, à l'endroit qu'avait indiqué le Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam).
" Donne-nous la lettre, lui dîmes-nous. - Je n'ai pas de lettre ", répondit-elle.
Nous fîmes agenouiller son chameau et nous cherchâmes la lettre, mais nous ne la trouvâmes pas.
" Il n'est pas possible que le Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam) se soit trompé, lui criâmes-nous, donne-nous la lettre, sinon nous allons t'ôter tes vêtement ".
Quand elle vit que nous étions bien décidés à aller jusqu'au bout, elle porta la main à un noeud du voile dont elle était enveloppée et nous remit la lettre que nous emportâmes et remîmes au Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam).
La lettre lue, Umar s'écria : " Ô Messager d'Allah, Hâtib a trahi Allah, Son Messager et les Croyants, laisse-moi lui trancher la tête ".
S'adressant à Hâtib, le Prophète (Salla Allah 'alayhi wa sallam) lui dit :
" Qui t'a poussé à agir ainsi ? "
" Par Allah, répondit Hâtib, ce n'est nullement parce que je ne crois pas en Allah et en son Messager, mais parce que je voulais avoir une influence, qui grâce à Allah, m'aurait permis de protéger ma famille et mes biens. Il n'est pas un seul de tes Compagnons qui n'ait là-bas quelqu'un de sa famille, pouvant grâce à Allah, protéger sa famille et ses biens ".
" C'est juste, répliqua le Prophète : ne parlez donc plus de lui qu'en bien ".
Puis comme Umar répétait que Hâtib avait trahi Allah, Son Messager et les Croyants, et qu'il demandait qu'on le laissât lui trancher la tête, le Prophète dit :
" N'était-il donc pas de ceux qui ont assisté à la journée de Badr ? "
Il ajouta : " Ils se peut qu'Allah en voyant les gens de Badr dise : " Faites ce que vous voudrez, le Paradis vous est dû - ou bien : Je vous ai pardonné ".
En entendant ces mots, les yeux de Umar se remplirent de larmes, et il s'écria : " Allah et Son Messager sont le mieux instruits de tout ".
(Rapporté par Bukhâri)
Alî (qu'Allah l'agrée) a dit : " Le Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam) m'envoya en compagnie de Az-Zubayr et d'Al-Miqdâd, en nous disant :
" Marchez jusqu'à Rawdat Khâkh. Vous y trouverez une femme en litière qui est porteuse d'une lettre, vous lui prendrez cette lettre ".
Nous partîmes donc au galop de nos chevaux, jusqu'à l'endroit indiqué. Nous y trouvâmes de fait une femme en litière, à laquelle nous dîmes : " Remets-nous la lettre que tu as ! - Je n'ai pas de lettre, répondit-elle. - Tu vas remettre la lettre, reprîmes nous, ou nous allons te fouiller ! "Alors elle retira la lettre du cordon qui retenait ses cheveux.
Là dessus, nous emportâmes la lettre au Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam). Or, c'était un message de Hâtib Ibn Abî Balta'a à certains associants de la Mecque, par lequel il leur donnait des renseignements sur un projet du Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam).
Celui-ci dit à Hâtib : " Qu'est-ce que cela, ô Hâtib ? " Le coupable répondit : " Ne te hâte pas de me juger, Ô Messager d'Allah. Moi, je n'ai eu dans Quraysh que la situation d'un rapporté, n'appartenant pas originairement à la tribu. Les autres Muhâjirs ont à la Mecque, des parents par lesquels ils peuvent assurer la protection de leurs proches. Moi, comme les liens du sang ne me donnaient pas cet avantage, j'ai voulu m'acquérir la reconnaissance de Quraysh des droits qui assurassent la protection de mes proches. Mais je n'ai pas agi par infidélité ou par apostasie. Je n'ai point accepté comme religion l'infidélité après embrassé l'Islam ".
Le Messager d'Allah (Salla Allah 'alayhi wa sallam) répondit :
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