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Censuré au Maroc primé à Carthage
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horchani
29 novembre 2015 18:40
Un résumé à l’attention de ceux qui n’ont pas vu le film

"Marrakech, aujourd'hui. Noha, Randa, Soukaina et Hlima vivent d'amours tarifées. Ce sont des prostituées, des objets de désir. Vivantes et complices, dignes et émancipées, elles surmontent au quotidien la violence d’une société qui les utilise tout en les condamnant".

Et cela se passe ainsi dans tous les pays, y compris la Tunisie, pour ces pauvres femmes exploitées par la gent masculine.

Pourquoi en faire un problème entre nos deux peuples frères.

Militons ensemble, plutôt, pour aider ces pauvres femmes à sortir de leur calvaire.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/11/15 20:15 par horchani.
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zig-zag
29 novembre 2015 18:42
il ne faut grossir le fait pour qu on dit maskina tout ce qu'elle a eu c'est une très petite égratignure.
vas voir sur sa page facebook

en donnant un prix a ce navet vous encouragez la prostitution des tunisiennes. puisque l’économie de la tunisie est mort . au lieux que les occidentaux viennent pour faire le tourisme ils iront pour les tunisiennes .

ce n'est pas en favorisant la prostitution qu ' en est pays démocratique .



Citation
horchani a écrit:
Que pensez-vous du tabassage de Loubna Abidar, l’actrice principale de "Much loved" ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 29/11/15 18:59 par zig-zag.
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Marsellus Wallace
29 novembre 2015 18:59
Pour avoir vu le film, on peut pas dire qu'elles vivent un calvaire..
Citation
horchani a écrit:
Un résumé à l’attention de ceux qui n’ont pas vu le film

"Marrakech, aujourd'hui. Noha, Randa, Soukaina et Hlima vivent d'amours tarifées. Ce sont des prostituées, des objets de désir. Vivantes et complices, dignes et émancipées, elles surmontent au quotidien la violence d’une société qui les utilise tout en les condamnant".

Et cela se passe ainsi dans tous les pays, y compris la Tunisie, pour ces pauvres femmes exploitées par le gente masculine.

Pourquoi en faire un problème entre nos deux peuples frères.

Militons ensemble, plutôt, pour aider ces pauvres femmes à sortir de leur calvaire.
[i]Butch[/i]: My name is Butch. [i]Esmeralda[/i]: What does it mean? [i]Butch[/i]: I'm American, honey. Our names don't mean shit
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horchani
29 novembre 2015 19:07
Citation
zig-zag a écrit:
il ne faut grossir le fait pour qu on dit maskina tout ce qu'elle a eu c'est une très petite égratignure.
vas voir sur sa page facebook

en donnant un prix a ce navet vous encouragez la prostitution des tunisiennes. puisque l’économie de la tunisie est mort . au lieux que les occidentaux viennent pour faire le tourisme ils iront pour les tunisiennes .

ce n'est pas en favorisant la prostitution qu ' en est pays démocratique .
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zig-zag
29 novembre 2015 19:17
c'est rien ,il y a des femmes qui ont eu pire que ça on t a pas vu venir les défendre .



en donnant un prix a ce navet vous encouragez la prostitution des tunisiennes. puisque l’économie de la tunisie est mort . au lieux que les occidentaux viennent pour faire le tourisme ils iront pour les tunisiennes .

ce n'est pas en favorisant la prostitution qu ' en est pays démocratique .
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horchani
29 novembre 2015 19:24
"Le réalisateur marocain Nabil Ayouch scrute son pays, ses violences et ses inégalités, comme il l'a toujours fait"

«Quatre putains inséparables, seules contre tous, en butte aux honnêtes gens, aux bigots, à la famille qui prend l'argent "sale" des passes en se pinçant le nez. Sans compter les flics corrompus, et bien sûr les clients, tartuffes, prédateurs et frustrés imprévisibles... Une vie de paria, heurtée, marginale : c'est l'universelle "complainte des filles de joie", comme disait Brassens. Sauf que cette chronique électrisante s'enracine au coeur du monde arabe, dans une société qui réprime la pulsion, condamne le désir. Les prostituées, ces fiancées clandestines qui "se marient vingt fois par jour", doivent, ici plus qu'ailleurs, éponger les manques et payer le prix fort du mépris et de l'hypocrisie (…) Le réalisateur marocain Nabil Ayouch scrute son pays, ses violences et ses inégalités, comme il l'a toujours fait, de Mektoub aux Chevaux de Dieu : avec une acuité quasi documentaire. Il nous immerge dans le quotidien tragi-cocasse de ses héroïnes, interprétées par un inoubliable et volcanique quatuor de comédiennes» :

[www.telerama.fr]
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a
ainvittel
29 novembre 2015 20:21
elles ont pas besoin de ce film pour être encouragées, et puis même avec cet appel qu'elles font
il faut croire que le tourisme reste en berne
Citation
zig-zag a écrit:
c'est rien ,il y a des femmes qui ont eu pire que ça on t a pas vu venir les défendre .



en donnant un prix a ce navet vous encouragez la prostitution des tunisiennes. puisque l’économie de la tunisie est mort . au lieux que les occidentaux viennent pour faire le tourisme ils iront pour les tunisiennes .

ce n'est pas en favorisant la prostitution qu ' en est pays démocratique .
[center][color=#FF0099][i]" y ya el khak am ou khizoune "[/i][/color][/center]
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i
imtiyaz
29 novembre 2015 21:14
.


Rien
Sur la photo son œil n'est pas bleu.
Elle a certainement bu un verre de trop et elle a rasé le mur de très prés.
Ou un maquillage de cinéma

.



.
Citation
horchani a écrit:
Que pensez-vous du tabassage de Loubna Abidar, l’actrice principale de "Much loved" ?
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derbsultan
29 novembre 2015 21:38
Bonjour.
Je crois que le debat est biaise sur le sujet de ce post.je crois que @horchani veut nous amener a parler des droits de la libre expression dans les pays arabomusulmans or l'interdiction de la projection du film "much loves" au Maroc (dans des salles pour tout le public) et la colere de la foule qui a emmene a une agression N'A ABSOULUMENT RIEN A AVOIR AVEC LES DROITS DE L'HOMME ET DE LA LIBRE EXPRESSION.Le film "marocain" MUCH LOVED que le realisateur Nabil Ayouche a eu meme le culot de demander des aides publiques de la CCM pour le soutenir a ete interdit non a cause de la mise a nu d'une realite malheureusemnt existente au Maroc mais aussi dans d'autres pays mais a cause d'une supercherie du realisateur et des producteurs derriere lui.Le film "MUCH LOVED" est un film purement pornographique.Ce film comporte une scene de 9 minutes et cette scene represente le film en lui meme ou la soi disante "actrice" se donne carrement dans une scene hard et reelle en faisant une pi........pe a un touriste etranger.Monsieur Ayouche a le droit de faire des films pornos et les "actrices"ont aussi le droit de jouer dans des films pornos.La loi au Maroc comme en Tunisie et dans les autres films arabes pour la production des films il faut avoir une autorisation du CCM.Il aa cache le caractere du film.Meme en europe les films pornos sont marques par la marque X et ils ne sont projectes que dans des salles specialisees pour les amateurs des films X.ALORS POURQUOI LES REALISATEURS DES FILMS X N'ONT JAMAIS MANIFESTE CONTRE CETTE INTERDICTION .Pourquoi ils n'ont jamais clame leur droit que leurs fils soient projectes dans toutes les salles de cinema et dans les televisions publiques...Ceci pour enlever et dessiper toute amalgame sur ce film
Si Ayouche est un grand realisateur comme on veut le montrer il a touts les trucs cinematographiques du monde pour ne pas tomber dans le porno.

Citation
horchani a écrit:
Censuré au Maroc, primé aux Journées Cinématographiques de Carthage

Journées Cinématographiques de Carthage 2015 - Prix du jury : " Much Loved "- Nabil Ayouch – Maroc

Film défendant les droits des femmes, censuré dans son pays natal et dont l'actrice principale, Loubna Abidar, a été tabassée (voir la photo et la vidéo* ci-dessous), aussi au Maroc.

*



Voir, aussi :

[tempsreel.nouvelobs.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/11/15 00:25 par derbsultan.
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derbsultan
29 novembre 2015 21:56
Bonjour,
je crois que nabil Ayouche et surtout cette Loubna Abidar se moquent de l'intelligence des marocains et se foutent completement des sentiments des societes conservatrices musulmanes des pays arabomusulmans .
Encore une fois si Monsieur Ayouche est un grand realisateur qui merite une destinction et une prime d'un festival qui milite pour le droit a la creation et a la liberte d'expression.Ayouche a tous les trucs cinematographiques au monde pour mettre une scene virtuelle d'une scene pornographiques plus proches de la realite (j'en ai parle avec un metteur en scene neerlandais qui a fait sa reputation a Hollywood avec des films plus connus au monde.Il suffit de mentionner le film le plus connu au monde avec Sharon Stone et la scene de "croiser les jambes sans slip" pour savoir de quel realisateur je parle.Lui meme a entendu parler d e la polemique autour de ce film.Sa reponse est nette et claire je prends pleinement la responsabilite des ses dires.Il charge le soi disant realisateur qu'il ne connait pas son nom"ayouche"d'imbecile" et de provocateur incompetent)Le film aurait touche la totalite des spectateurs marocains sans passer par des scenes pornos qui n'ont rien de creation artististique.
L'actrice je ne sais vraiment pourquoi on va lui donner cet honneur.Elle confond que le metier d'actrice est un metier honorable et comme tout metier il y'a des lignes rouges qu'il ne faut pas depasser.Elle veut etre a tout prix connue et elle a le culot de se moquer de la cervelle des marocains.Elle veut faire croire que les marocains sont intolerants et agressifs ils sont en colere contre un film qu'ils n'ont pas vu.Elle oublie que grace a internet presque 6 millions de marocains ont vu des sequences de ce film et surtout la scene porno d'elle et un touriste etranger merci



Modifié 2 fois. Dernière modification le 30/11/15 00:39 par derbsultan.
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horchani
29 novembre 2015 23:28
"Much Loved" diffusé pour la première fois dans un pays du Maghreb

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alphavirginis
30 novembre 2015 00:20
Avec toute cette propagande que tu fais autour de ce "film", j'ai aussi l'impression que tu as dû bien saliver. Je vais commencer à croire qu'il y avait du bon sous Ben Ali.

Les Parisiens résistent dans les terrasses de café. Et les Tunisois dans les salles de projection de films pornographiques. Bien triste démocratie.






Citation
horchani a écrit:
"Much Loved" diffusé pour la première fois dans un pays du Maghreb

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h
horchani
30 novembre 2015 13:18
Merci le Maroc !

Je suis convaincu que ce film marquera le cinéma arabe et deviendra l’un des films-culte arabes contre notre hypocrisie et contre notre manque de courage de nous regarder dans le miroir.
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M
Mr 3abess
30 novembre 2015 13:32
Je vois pas pourquoi ce film est interdit au maroc il représente la vérité de ce qui ce passe au maroc pourtant smiling smiley
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horchani
30 novembre 2015 20:22
Beaucoup ont tout faux, sont hors-sujet et disent n’importe quoi !

Car, ils ignorent, ou bien ils ont oublié, que les Journées Cinématographiques de Carthage est un Festival international et donc, ce ne sont pas les tunisiens qui ont primé " Much Loved ", mais un jury international, dont le président est d’ailleurs une grande figure du cinéma marocain, composé comme suit :

Grand Jury des Journées Cinématographiques de Carthage 2015

Président du jury : Nour-Eddine SAIL
Enseignant et Inspecteur Général de philosophie jusqu'en 1984, Nour-Eddine SAIL est le fondateur en 1973 de la Fédération Nationale des Ciné-clubs du Maroc dont il a été le Président jusqu'en 1983.

Membres :

Abel Jafri
Abel Jafri est né en Tunisie, de mère tunisienne et de père algérien.
Anissa Barrak
Native de Kairouan (Tunisie).
Leïla SHAHID
Leïla SHAHID est Ambassadrice de la Palestine auprès de l'Union européenne, de la Belgique et du Luxembourg.
Marcela Said
Née à Santiago, au Chili. Marcela Said poursuit ses études à l'Université Catholique de Santiago et à La Sorbonne.
Newton Aduaka
Né en 1966 à Ogidi (Nigéria). Newton Aduaka étudie à London International Film School en parallèle de ses études d'ingénieur
Oussama Faouzi
Né en 1961 au Caire. Diplômé de l'Institut Supérieur du cinéma.
Il a travaillé comme assistant pour différents réalisateurs égyptiens. Auteur de trois longs métrages : Démons de l'asphalte 1997, Le Paradis des anges déchus 1999 et J'aime le cinéma 2004.


Alors, qu’ils arrêtent de raconter n’importe quoi !



Modifié 4 fois. Dernière modification le 30/11/15 20:27 par horchani.
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Gozen
30 novembre 2015 21:26
C'est bizarre que l'on considère de la fiente de pigeon comme un film d'exception... Surement représentatif du feminisme à deux balles des idiots utiles. Je préfère encore regarder Hunger Games que ce film... C'est dire ce qu'il m'inspire.
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h
horchani
30 novembre 2015 22:05
Je suis sidéré de l’absence totale de compassion et de solidarité envers Loubna Abidar, l'actrice principale du film, pour la sauvage agression qu’elle a subie de la part d’énergumènes qui sont à la solde, certainement, de qui vous savez ! Et cela, malgré le fait que j’ai posté une des vidéos retraçant cette agression deux fois, vidéo que je poste ci-dessous une troisième fois.

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N
Nuit ensoleillée
1 décembre 2015 01:24
Assalamo alaykoum,
Il faut frapper tous les acteurs, pas uniquement un seul et les condamner. Ils n'ont aucune valeur de l'Islam, je les vois comme des animaux.
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M
Mr 3abess
1 décembre 2015 04:39
Surtout que la prostitution est légale au maroc
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K
Khalid...
1 décembre 2015 13:31
C'est bon Horchani c'est pour te rassurer ton actrice va bien elle a déjà cicatrisé eye rolling smiley

[www.facebook.com]

Et rendez vous l'année prochaine à Tunis avec tes sublimes jury au festival de Carthage et votre salon de livre pour récompenser son futur film et son futur livre pour nous faire découvrir les lumières de l'Islam.

En tout cas j'avoue elle a du level avec son français niveau cabaret +8, les académiciens allez vous rhabiller...
Citation
horchani a écrit:
Je suis sidéré de l’absence totale de compassion et de solidarité envers Loubna Abidar, l'actrice principale du film, pour la sauvage agression qu’elle a subie de la part d’énergumènes qui sont à la solde, certainement, de qui vous savez ! Et cela, malgré le fait que j’ai posté une des vidéos retraçant cette agression deux fois, vidéo que je poste ci-dessous une troisième fois.

[b][center]ما كل ما يتمنى المرء يدركه - تجري الرياح بما لا تشتهي السفن[/center][/b] [center][i]أبو الطيب المتنبي[/i][/center]
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