bientot les vacances si vous avez a classer les plages au maroc sans tenir compte du classement de l economiste la qu elle pour vous est propre est securisee ?
bouznika ? bof dar bouazza de loin devant! Taghazout, essaouira, dar bouazza, ain diab walidia et aussi de belles plages entre safi et essaouira mais bon bouznika c pas top compare aux autres!
La plus belle plage est : Essaydiya (Nord Est) et du côté de Fnideq à 10 Km direction Cabo Negrro, c'étaient des plages privées et M6 a ordonné qu'on laisse les marocains y acceder librement. D'ailleurs lui-même il y va. On le voir au loin faire du jet-ski.
Nabil9000 a écrit: ------------------------------------------------------- > Le journal "Le Matin" a classé la plage de sidi > bouzid la plus fréquentée durant l'été 2004 et la > plus sécurisée.
pk tu parles de securité, toutes les plages sont sur!!! tu m'etonnes.
à ain diab je me suis fait volé mon portable. à la plage mohamadia une yabiladienne parlait l'autre fois qu'elle s'est fait volé son sac. à tamaris un s'est fait volé son auto radio dans sa voiture.... tu comprends maintenant le sens de sécurité? si tu dis que toutes les plages sont sécurisées pourquoi on ne voit jamais des affaires des baigneurs sans que personne ne reste à côté? vas à la plage et laisse seul ton portable et ta montre sur un linge et dis moi ce que tu vas trouver au retour.
biggie.à ain diab je me suis fait volé mon portable. à la plage mohamadia une yabiladienne parlait l'autre fois qu'elle s'est fait volé son sac. à tamaris un s'est fait volé son auto radio dans sa voiture.... tu comprends maintenant le sens de sécurité? si tu dis que toutes les plages sont sécurisées pourquoi on ne voit jamais des affaires des baigneurs sans que personne ne reste à côté? vas à la plage et laisse seul ton portable et ta montre sur un linge et dis moi ce que tu vas trouver au retour.
sidi bouzid à el jadida..la côte atlantique à partir de ljdida est vraiment très belle et très propre..sinon ain diab c vraiment bof franchement...sablette à mohamedia était bien mais maintenant elle est vraiment trop visitée.
Les dunes et les plages du littoral entre Tanger et Larache sont les principales sources d’approvisionnement en sable pour le secteur de la construction. Or, Tanger consommedu ciment à tout va depuis quelques années. Aujourd’hui, la ville du détroit arrive même en deuxième position après Casablanca. Cette situation entraîne une pression sur le littoral sans précédent. Ainsi, les besoins journaliers en sable sont passés de 5000 m3 à 6500 m3 en moins de 2 ans, selon la Fédération du Bâtiment de Tanger. Qui paye les pots cassés ? L’écosystème marin dont les plages disparaissent à vue d’œil. Pourtant, des solutions de substitution existent, mais se heurtent aux contraintes du marché local. Le ministère de l’Equipement soutient le sable de dragage, mais les professionnels du secteur n’en veulent pas car il est trop chargé en sel et en éléments organiques. D’ailleurs, 30 tonnes de sable de dragage végètent depuis 3 ans dans le port de Larache n’ayant pas trouvé preneur. Autre option possible : le sable concassé. C’est la solution défendue par la fédération du bâtiment de Tanger. Mais là aussi, cette option se heurte à la loi du marché. Pourquoi payer un sable concassé à 90 dh le m3 alors que le sable marin se négocie à 85 dirhams ? Ou bien, quand on peut carrément le voler sur la plage. C’est un exercice de style dans la région.
Les dunes et les plages du littoral entre Tanger et Larache sont les principales sources d’approvisionnement en sable pour le secteur de la construction. Or, Tanger consommedu ciment à tout va depuis quelques années. Aujourd’hui, la ville du détroit arrive même en deuxième position après Casablanca. Cette situation entraîne une pression sur le littoral sans précédent. Ainsi, les besoins journaliers en sable sont passés de 5000 m3 à 6500 m3 en moins de 2 ans, selon la Fédération du Bâtiment de Tanger. Qui paye les pots cassés ? L’écosystème marin dont les plages disparaissent à vue d’œil. Pourtant, des solutions de substitution existent, mais se heurtent aux contraintes du marché local. Le ministère de l’Equipement soutient le sable de dragage, mais les professionnels du secteur n’en veulent pas car il est trop chargé en sel et en éléments organiques. D’ailleurs, 30 tonnes de sable de dragage végètent depuis 3 ans dans le port de Larache n’ayant pas trouvé preneur. Autre option possible : le sable concassé. C’est la solution défendue par la fédération du bâtiment de Tanger. Mais là aussi, cette option se heurte à la loi du marché. Pourquoi payer un sable concassé à 90 dh le m3 alors que le sable marin se négocie à 85 dirhams ? Ou bien, quand on peut carrément le voler sur la plage. C’est un exercice de style dans la région.
Les dunes et les plages du littoral entre Tanger et Larache sont les principales sources d’approvisionnement en sable pour le secteur de la construction. Or, Tanger consommedu ciment à tout va depuis quelques années. Aujourd’hui, la ville du détroit arrive même en deuxième position après Casablanca. Cette situation entraîne une pression sur le littoral sans précédent. Ainsi, les besoins journaliers en sable sont passés de 5000 m3 à 6500 m3 en moins de 2 ans, selon la Fédération du Bâtiment de Tanger. Qui paye les pots cassés ? L’écosystème marin dont les plages disparaissent à vue d’œil. Pourtant, des solutions de substitution existent, mais se heurtent aux contraintes du marché local. Le ministère de l’Equipement soutient le sable de dragage, mais les professionnels du secteur n’en veulent pas car il est trop chargé en sel et en éléments organiques. D’ailleurs, 30 tonnes de sable de dragage végètent depuis 3 ans dans le port de Larache n’ayant pas trouvé preneur. Autre option possible : le sable concassé. C’est la solution défendue par la fédération du bâtiment de Tanger. Mais là aussi, cette option se heurte à la loi du marché. Pourquoi payer un sable concassé à 90 dh le m3 alors que le sable marin se négocie à 85 dirhams ? Ou bien, quand on peut carrément le voler sur la plage. C’est un exercice de style dans la région.