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amirene a écrit:
salam
à quoi sert un coach en développement personnel
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Made in Heaven a écrit:
Salam, c’est un genre de sous psychologue mélanger a de la doctrine bouddhiste
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amirene a écrit:
salam
ce métier me donne trop l impression que tous les ratés ou frustrés du travail se sont reconvertis dans ce nouveau truc inutile
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Citronnus a écrit:
Salam
Bah ... qu'on se tourne vers psy, un coach ou un homme de Dieu, au final, chacun d'entre eux a pour vocation d'expliquer que les solutions sont en nous et non pas ailleurs ...
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Made in Heaven a écrit:
Salam, c’est un genre de sous psychologue mélanger a de la doctrine bouddhiste
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Sabrina_marooc a écrit:
Salam les yabis
Que pensez vous des coachs en développement personnel ?
Une amie s’est reconvertie dans ce secteur et peine à développer une clientèle. Depuis 6 mois seulement 2 clients.
Elle se fait bcp insulter de charlatan.
On lui reproche d’essayer de profiter de la faiblesse des gens pour gagner de l’argent.
Je précise qu’elle a fait une formation.
Quelle était avocate avant.
Je lui ai conseillé d’essayer de se tourner vers le métier de psychologue qui vise également à aider les gens mais qui jouit de plus de crédibilité.
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re.Vooriden a écrit:
doctrine bouddhiste ????
n'importe quoi
[quel-coach.fr]
lire ici avant de répandre des fakes
Un coach en développement personnel va se concentrer avant tout sur l’individu, sur ses objectifs et sur son potentiel. Il va accompagner son client sur une période déterminée, vers un objectif spécifique. Son but est d’aider d’abord le coaché à prendre conscience de ses compétences et de ses capacités, puis à les développer et à les exploiter pour atteindre ses véritables objectifs de vie. Grâce à des échanges, des exercices pratiques ou des mises en situation, le coach personnel va instaurer une véritable dynamique de changement.
c'est quelqu'un qui va accompagner la personne dans le besoin afin de répondre à un besoin spécifique (pro/perso)
Les objectifs peuvent être très différents selon les personnes : Il peut s’agir de développer sa confiance en soi, de s’affirmer, d’oser dire non ou de développer son charisme. Le but peut être aussi de trouver sa vocation, de prendre plus facilement des décisions, d’avoir de meilleures relations avec les autres ou encore d’améliorer sa communication.
et je peux te dire que j'en connais plein qui ont eu recours à ça (notamment des managers qui ne pouvaient pas prendre la parole en public et imposer leur vision)
sérieux, arrêtez de raconter n'importe quoi, si la nana se fait traiter de charlatan c'est clairement à cause de personne comme toi qui véhicule ces fake news
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Made in Heaven a écrit:
Ne t’arrête pas au mot bouddhiste, c’est volontairement exagéré…
Le coach en développement personnel n’est pas une profession encadrée en plus d’être une pseudo science, il n’y a aucune preuve que ça fonctionne, c’est du placebo rien d’autre
Julia de Funès, docteur en philosophie auteur de « Le développement (im)personnel » à lire d’urgence…
Extrait de son livre :
Une occasion plus qu’une vocation
C’est généralement après plusieurs années de travail laborieux ou décevant que l’individu décide soudainement de devenir coach. L’avènement du coach n’est pas le fruit d’une longue patience, d’une lente maturation, mais la délivrance soudaine d’un métier accompli jusqu’alors péniblement. Le coaching est une issue de secours, une échappatoire, une libération plus qu’une vocation en gestation, longuement mûrie et préparée.
Une frustration à l’origine d’une reconversion
Une frustration demeure commune aux coachs : celle de n’avoir pas fait ce qu’ils désiraient faire depuis longtemps. Nombreux sont les coachs désireux d’être psychologue, psychanalyste ou psychiatre. Mais les concours de médecine ou les examens de psychologie demeurent réservés aux plus travailleurs d’entre nous.
Tout le monde sait à quel point les velléités éclatent à la moindre difficulté réelle rencontrée, si elles ne s’accompagnent du courage, de la détermination et du travail nécessaires à tout accomplissement. Le coach aurait souhaité être « psy » sans le vouloir vraiment. Ou s’il l’a vraiment voulu en se donnant les moyens de réussir il n’y est pas parvenu. Manque de compétences ou manque de volonté restent les deux seules explications du regret ou du remords.
Quand bien même les coachs se défendent avec fierté et assurance de n’être pas « psy » en distinguant nettement les deux disciplines (et pour cause… les rapprocher révélerait ouvertement leur échec ou fainéantise), ils éprouvent toutefois cette douce satisfaction d’aider, d’accompagner des esprits en difficulté. L’illusion d’être « psy », sans effort, sans étude, sans concours, avec à la clé un salaire plus consistant que celui d’un jeune médecin ou psychanalyste, voilà ce que permet le coaching. À une réalité difficile et exigeante, beaucoup préfèrent la facilité d’une illusion.
Le coaching est à la psychanalyse ce que l’homéopathie est à la médecine. S’il ne vient à l’idée de personne de se faire opérer par un homéopathe, nombreux sont ceux qui laissent pourtant leur esprit entre les mains de coachs peu qualifiés. Le corps aurait-il droit à plus d’égards que l’esprit ? Un esprit bancal serait-il moins regrettable qu’un corps boiteux ? Confions nos consciences fragilisées aux « professionnels » de l’esprit humain et non aux amateurs ni aux imposteurs