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Gandalf le gris a écrit:
Les évènements de la vie se suivent et parfois nous blessent ! Pas facile alors de trouver le courage de continuer sereinement. Il suffit que des soucis touchent notre sphère intime et notre sphère professionnelle en même temps et tout nous devient insurmontable...
Il s’agit de toutes ces choses qui nous empêchent d’aller mieux quand on les laisse nous envahir...
Donc, le développement de notre force mentale comprend trois aspects :
1. Les pensées : identifier nos peurs irrationnelles et les remplacer par des pensées plus réalistes.
2. Les comportements : se comporter de manière positive en toutes situations.
3. Les émotions : dominer ses émotions avant qu’elles ne nous dominent.
Et comment peut-on y arriver ? Voici 13 chemins...
1. Ne perdez pas votre temps à vous sentir désolé(e) sur vous-même.
Se sentir désolé pour nous-même est autodestructeur. “Se livrer à l’apitoiement sur soi empêche de vivre une vie complète“. C’est une perte du temps, crée des émotions négatives, et blesse nos relations.
La clé est “d’affirmer la reconnaissance face au bien dans le monde, et vous commencerez à apprécier ce que vous avez“, écrit Amy Morin. L’objectif est de remplacer l’apitoiement sur soi par la gratitude.
2. Ne cédez pas votre pouvoir aux autres.
Les gens cèdent leur pouvoir quand ils manquent de limites physiques et émotionnelles. Vous avez besoin de vous lever pour vous-même et de tracer la ligne lorsque cela est nécessaire. Si d’autres personnes sont en contrôle de vos actions, ils définissent votre succès et votre valeur. Il est important que vous gardiez le suivi de vos objectifs et de travailler à leur égard.
L’auteure utilise l’animatrice de télévision américaine Oprah Winfrey comme un exemple de quelqu’un qui a une forte emprise sur son pouvoir. Winfrey a grandi face à la pauvreté et les abus sexuels, mais "elle a choisi de définir ce qu’elle allait être dans la vie en n’abandonnant pas son pouvoir."
3. N’ayez pas peur des changements.
Faire des changements peut être effrayant, mais éviter le changement empêche la croissance.
"Plus vous attendez, plus il devient difficile," explique Morin. "D’autres personnes vont vous dépasser."
4. Ne se concentrer pas sur des choses que vous ne pouvez pas contrôler.
Selon l’auteure, essayer d’être en contrôle de tout est probablement une réponse à l’anxiété.
“Plutôt que de se concentrer sur la gestion de votre anxiété, vous essayez de contrôler votre environnement“, dit-elle. En déplaçant votre attention loin des choses que vous ne pouvez pas contrôler peut créer plus de bonheur, moins de stress, de meilleures relations, de nouvelles possibilités, et plus de succès.
5. Ne cherchez pas à tout prix à plaire à tout le monde.
Souvent, on prend en compte ce que les autres pensent de nous. Notre estime de soi en dépend, ce que nuit énormément notre véritable force mentale.
Morin mentionne quatre faits sur les gens qui essaient constamment à plaire à tout le monde : C’est une perte de temps ; ces personnes sont facilement manipulées ; il est normal
que les autres nous fassent sentir en colère ou déçu(e) ; et vous ne pouvez pas plaire à tout le monde.
6. Ne craignez pas de prendre des risques calculés.
Les gens ont souvent peur de prendre des risques, que ce soit sur le plan financier, physique, affectif, social, ou commercial. Mais il s’agit tout simplement de travailler et de développer nos connaissances. "Un manque de connaissance sur la façon de calculer le risque entraîne une augmentation de la peur", écrit-elle.
Donc pour mieux analyser le risque, posez-vous les questions suivantes : - Quels sont les coûts potentiels ?
- Quels sont les avantages potentiels ?
- Comment cela m’aidera à atteindre mon objectif ?
- Quelles sont les alternatives ?
- Comment serait-il bon si le meilleur scénario se réalise ?
- Quelle est la pire chose qui pourrait arriver, et comment pourrais-je en réduire le risque ? - Comment serait-il mauvais si le pire scénario se réalise ?
- À quel point cette décision sera-t-elle importante dans cinq ans ?
7. Ne restez pas focalisé(e) sur le passé.
Le passé est dans le passé. Il n’y a aucun moyen de changer ce qui est arrivé, et “rester dans le passé peut être autodestructeur, vous empêchant de jouir du présent et de planifier pour l’avenir," Morin écrit. Il ne résout rien, et peut conduire à la dépression, écrit-elle.
Il peut y avoir un avantage de réfléchir au sujet du passé, cependant. En réfléchissant sur les leçons apprises, compte tenu des faits au lieu des émotions, et en regardant une situation à partir d’une nouvelle perspective, cela peut être très utile, dit-elle.
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Temporelle* a écrit:
C'est adressé à qui ton post ? A des gens parfaits, tu en connais dans ton entourage, pas moi.
A moins que ton post est destiné aux moines bouddhistes, et encore une fois, je n'en connais pas.
Ma philosophie de la vie est:
Si tu as des tuiles qui te tombes dessus, tu as deux choix .
1) Rester en dessous et attendre que tu tombes et te faire bouffer par les vers tout en continuant à te lamentant sur ta misérable vire.
2) Faire juste un petit pas en avant pour éviter les tuiles qui te tombent sur la tète et continuer à avancer au mieux des moyens qui te sont offerts.
A chacun sont choix.
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Darrelia a écrit:
Salam
Dans la vie , faut juste patienter et économiser ses forces pour survivre .
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Gandalf le gris a écrit:
Le plus dur combat qu'on peut livrer est le combat avec soi-même. C'est pourquoi la plupart des gens préfèrent passer leur vie à culpabiliser les autres plutôt que d'affronter leurs propres démons.
Rava Bakou
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Gandalf le gris a écrit:
Salam temporelle
tu penses que c'est pas possible d'évoluer, tu penses pas que notre façon de réfléchir agit sur notre vie..
On ne peut pas être parfait certes mais rien nous empêche d'avoir l'envie d'arpenter un chemin introspectif pour nous rapprocher de la perfection , on cherche tous à s'élever sur le plan financier ou social, est ce mal de vouloir aussi s'élever spirituellement, et pour y parvenir, ça passe par, modifier sa façon de pensée et de trouver les ressources nécessaires en nous et aussi nous nourrir de bonnes paroles et de bonnes émotions..
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Gandalf le gris a écrit:
8. Ne recommettez pas les mêmes erreurs indéfiniment.
Réfléchir peut vous assurer que vous ne répétez pas vos erreurs. Il est important d’étudier ce qui a échoué, ce que vous auriez pu faire mieux, et comment le faire différemment la prochaine fois.
Les personnes mentalement fortes acceptent la responsabilité de leurs erreurs et créent un plan réfléchi par écrit pour éviter de répéter la même erreur dans l’avenir.
9. Ne ressentez pas le succès des autres.
Le ressentiment est comme la colère qui reste cachée et embouteillée. Se concentrer sur le succès d’une autre personne ne vous fera pas ouvrir la voie à votre propre réussite, car cela vous distraira de votre propre chemin.
Même si vous avez du succès, vous ne pouvez jamais être content(e) si vous êtes toujours focalisé(e) sur les autres. Vous pourriez également négliger vos talents et abandonner vos valeurs et vos relations.
10. Ne renoncez pas après le premier échec.
Le succès n’est pas immédiat, et l’échec est presque toujours un obstacle que vous devez surmonter. Penser que l’échec est inacceptable ou que cela signifie que vous n’êtes pas assez bon, ne reflète pas la force mentale. En fait, “recommencer après un échec vous rendra plus fort(e)", écrit Morin.
11. N’ayez pas peur de passer du temps en tête à tête avec vous-même.
“Créer du temps pour être seul avec vos pensées est sûrement une expérience puissante, utile à vous aider à atteindre vos objectifs“, écrit Morin. Devenir mentalement fort "vous oblige à prendre une pause loin de l’agitation de la vie quotidienne pour vous concentrer sur la croissance intérieure."
Par exemple,
- La solitude au bureau peut augmenter la productivité.
- Passer du temps tout seul peut augmenter votre empathie.
- Passer du temps seul suscite la créativité.
- Compétences solitaires sont bonnes pour la santé mentale.
- La solitude offre la réparation. On y puise souvent un bien-être qui rend plus fort.
12. Arrêtez de penser que le monde vous est redevable.
Il est facile de se mettre en colère contre le monde pour vos échecs ou manque de succès, mais la vérité est que cela doit être gagné.
“La vie n’est pas destinée à être juste“, dit Morin. Si certaines personnes éprouvent plus de bonheur ou de succès que d’autres, cela ne signifie pas que le monde vous est redevable. “La clé est de se concentrer sur vos efforts, accepter la critique, admettre vos défauts, et ne pas compter les points“, Morin écrit. Se comparer aux autres va seulement vous mener vers la déception.
13. N’attendez pas de résultats immédiats.
“Une volonté de développer des attentes réalistes et de comprendre que le succès ne se produira pas du jour au lendemain est nécessaire si vous voulez atteindre votre plein potentiel“, écrit Morin. Les personnes mentalement faibles sont souvent impatientes. Elles surestiment leurs capacités et sous-estiment combien de temps le changement prend, elles attendent des résultats immédiats.
Il est important de “garder vos yeux sur le trophée“ et de travailler sans relâche pour atteindre vos objectifs à long terme. Il y aura des échecs sur le chemin, mais si vous mesurez vos progrès et regardez la grande image, le succès peut très bien se matérialiser.
Amy Morin
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Temporelle* a écrit:
Gandalf, j'aimerais avoir la même vision du monde que toi, quel monde parfait ou tout le monde est, beaux, mais je ne vie pas dans un monde utopique. J'évolue justement pour ma propre survie, je suis loin de stagner et de mettre la responsabilité de mes échecs sur les autres. Je suis une femme, je vis dans un monde composé pour la majeur partie d'hommes qui n'ont qu'un souhait c'est de remettre la femme à la "place" .qu'elle mérite
Je n'ai pas le temps de m'appesantir sur toutes les théories que tu énumères dans ton post, je laisse ça au philosophes en herbes, genre, faites l'amour pas la guerre avec une fleur au bout du fusil.
Moi, je suis une battante, je préfère bouffer que d'ètre bouffée. Je peux très bien rajouter que ce n'est pas de ma faute de penser comme ça, que c'est Dieu qui m'a faite ainsi, mais non je vais pas le dire, c'est un choix de vie que j'ai fais, justement pour ne plus être le mouton de panurge, une proie prête à être attrapée, cuite et mangée..
Je choisis, où, quand et comment mener ma vie, que ça plaise ou pas.
Le toutou de service, finie pour moi..
Une fois vielle, si j'y arrive, j'espère pouvoir me reposer sur mes lauriers pour philosopher sur la chienne de vie qu'on a
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