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a écrit:
- D'après certains ulémas hanafites comme Cheikh Khâlid Saïfullâh, la remise d'un prix de type B.2.1 ou B.2.2 est autorisée à propos de toutes les compétitions qui apportent un profit reconnu par l'islam : course à pied, lutte, football, hockey, volleyball, etc. (voir Jadîd fiqhî massâ'ïl, 1/192).
Selon ces ulémas, le hadîth "Pas de prix, sauf dans un [tir de] flèches ou une [course de] méhari ou de cheval" est à comprendre dans le même sens que cet autre hadîth : "Pas de ruqya, sauf par rapport à un mauvais œil ou une piqûre d'insecte" (rapporté par at-Tirmidhî, n° 2057, Abû Dâoûd, n° 3884). La ruqya n'est pas interdite pour les autres cas, et ce hadîth veut juste dire que si elle mérite et a besoin d'être faite, c'est bien pour ces deux cas-là (c'est ce qu'ont écrit plusieurs ulémas, voir 'Awn ul-ma'bûd). De même, l'autre hadîth signifie que si on veut offrir un prix (type B.2.1 ou B.2.2) au vainqueur d'une compétition, il est souhaitable de le réserver à l'un des trois types de compétitions mentionnés. Cependant il n'est pas interdit d'offrir un prix de l'un de ces deux types pour les autres compétitions. La négation présente dans le hadîth suscité n'induit pas, ici, selon ces ulémas, une interdiction, mais une simple orientation. Ce hadîth signifie selon eux : "Lâ yanbaghi-s-sabaqu, illâ fî nasl aw khuff aw hâfir"" (cette interprétation du hadîth, Cheikh Khalid Saïfullâh me l'a rapportée oralement de ces ulémas hanafites, et m'a dit qu'elle était écrite dans un de ses ouvrages, mais que celui-ci n'était pas encore édité).
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CHN-W a écrit:
Etc : et cætera. C'est un terme ambigu.
Tu as un verset ou un hadith sur l'effet bénéfique du foot ?
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CHN-W a écrit:
Oui, je sais que tu as une allergie à la divergence. Mais, ça se soigne très bien de nos jours.Détails ici.
Divergence est un mot-fétiche. Avec le mot détails.