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Confession d'une ex-salafiste
A
15 février 2017 15:58
Henda Ayari a vécu neuf ans à Roanne, voilée de la tête aux pieds, sous l’autorité absolue d’un mari violent. Elle s’est libérée. A écrit un livre-témoignage. Et porte un message d’espoir. « C’est par les femmes, qui sont aussi des mamans, que l’on déconstruira le salafisme en France. »


À 20 ans, Henda Ayari, étudiante en psychologie sans histoire, décide subitement de se voiler. « Une façon de montrer mon amour pour Dieu. »

Vingt ans plus tard, elle se regarde sans concession. « Oui, il y avait une bonne part de narcissisme dans ma démarche. Et même un début de complexe de supériorité : moi, je porte le voile, je suis plus pieuse que les autres. Ça avait aussi un côté rebelle… »

Sauf que, pour Henda, c’est le début d’une plongée en enfer. Cette Française d’origine tunisienne, qui a grandi à Rouen, épouse un salafiste. Durant neuf ans, à Roanne, elle vit « comme les femmes du Prophète », voilée de la tête aux pieds.

Sous l’autorité d’un mari de plus en plus violent, le niqab, qu’elle voulait symbole de sa foi, devient sa prison. À Roanne, il lui attire bien des ennuis : exclusion d’un cours de couture, refus d’un dépôt de plainte, insultes lors de courses en grande surface.

À l’époque, elle se rebiffe. « Quand on porte le voile, il y a davantage de discrimination. C’est ce qui m’a poussée à détester les non-musulmans, ça m’a braquée encore plus. » Aujourd’hui, Henda Ayari a affiné son analyse.

« C’est dommage de traiter ainsi les femmes voilées. Cela produit l’effet inverse : quand on se sent rejeté, on a des raisons de haïr la société. Je l’ai vu encore cet été, avec le burkini. Cette tenue ne concernait que quelques personnes. Après l’affaire, des jeunes filles se sont mises exprès à le porter. Les ventes ont explosé ! »

Lever le voile sur les femmes voilées ? C’est le message qu’Henda Ayari veut faire passer dans son livre-témoignage, J’ai choisi d’être libre. « Il ne faut pas rejeter ces femmes, il faut discuter avec elles. Beaucoup, comme moi à l’époque, ont besoin d’aide. Elles sont fragiles.

Elles vivent en cité, sous le joug de leur famille ou de leur mari, avec peu ou pas d’instruction, sans travail. Quand on se réfugie dans le salafisme, c’est qu’on a perdu espoir dans la société. Cet espoir, il faut leur redonner. »

Henda Ayari se définit elle-même comme « rescapée du salafisme en France ». Et n’a pas de mots assez durs pour qualifier ce courant de l’islam profondément rigoriste. « On ne peut pas interdire une idéologie. Par contre, on peut la combattre, la déconstruire. »

Dans son livre, la jeune femme explique comment ce courant de pensée a fait son lit en France. « Rien de plus simple que de se procurer des livres salafistes lorsque l’on vit dans la banlieue roannaise. » Ou de n’importe quelle ville, d’ailleurs. Elle décrypte la façon dont « les barbes salafistes ont poussé comme des champignons dans les cités de France ».

Et apporte aujourd’hui sa pierre à l’édifice en ouvrant des pistes de résistance. « C’est par les femmes, qui sont aussi des mamans, que l’on pourra se battre. En leur apportant de l’information, de l’éducation, de la pédagogie. Et en leur démontrant que le salafisme n’est pas l’islam. »

Car pour Henda Ayari, l’avenir est féminin. « Ce sont les femmes qui transmettent, qui éduquent les enfants. » Les hommes ? « C’est plus compliqué. Il faut savoir que les salafistes passent d’une femme à l’autre, une simple phrase suffit pour répudier leur « épouse ». Leurs enfants, ils les abandonnent. À ces hommes, je préfère leur dire : partez dans un pays musulman si vous êtes frustrés à ce point ! »

Implacable. Mais il y a de quoi : après avoir quitté son mari, la jeune femme, retournée vivre tout voile dehors à Rouen, a découvert qu’il était fiché « S ». « Je n’avais rien vu… » Durant ses années ligériennes, a-t-elle entendu parler du Roannais Rachid Kassim, le sinistrement célèbre « recruteur » de Daech ? « Bien sûr… » Henda n’en dira pas plus. « J’ai déjà bien assez pris position comme ça, non ? » Si.

[www.leprogres.fr]
"Si derrière toute barbe il y avait de la sagesse, les chèvres seraient toutes prophètes"
I
IEF
15 février 2017 16:02
I
Salam aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh




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[center] La science sans religion est boiteuse, la religion sans science est aveugle [/center]
15 février 2017 16:05
J'ai beaucoup d'amies Salafiste dans mon entourage et elles ne correspondent en rien à ce que tu dit!
Encore du blablabla!
15 février 2017 16:09
Tu travailles pour l'émission confession intime abdoulaye?

Pas envie de lire. Tu perds ton temps.
15 février 2017 16:10
j'ai des amies et cousines salafistes tous haineux. Le salafisme= la haine envers tout ptdr
15 février 2017 16:33
Citation
a écrit:
j'ai des amies et cousines salafistes tous haineux. Le salafisme= la haine envers tout

C'est parce que les salafis aiment leur dine qu'ils peuvent être amenés à avoir la haine de tout ce qu'ils entendent de mensonges et tromperies contre la religion d'Allah et de Son Messager et cela même chez certains musulmans.

Que dire de celui qui n'est même pas troublé que l'on dise n'importe quoi sur l'islam ?

D'après Abou Sa'id Al Khoudri (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) a dit : « Celui d'entre vous qui voit un mal qu'il le change par sa main. S'il ne peut pas alors par sa langue et s'il ne peut pas alors avec son coeur et ceci est le niveau le plus faible de la foi ».
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°49)
[Cheikh Soulayman Rouhaylî] Le Minhaj des Salafs : https://www.youtube.com/watch?v=hcKVtfSM9aU
15 février 2017 17:04
salam
porter le burka, oui si c'est un choix religieux, mais sous la contrainte, non ;
ma fille je ne l'ai jamais obligée à se voiler, elle l'a fait de son plein grés et ne se voile (comme moi) entiéremet que lorsque nous allons au bled voir ses grands parents;
un choix religieux oui, mais contrainte non et puis si tu vis en france tu connais trop bien les conséquences;
15 février 2017 17:40
Salam

Moi je peuX me confessée aussi avec le titre
" le magnifique témoignage d'une salafiste "
Je vais en convaincre plus d'un que le minhaj salaf n'est pas ce que beaucoup pensent .
***{..Je ne Suis pas Parfaite ... Mais quand Je regarde Ma Fille... Je sais qu'au moins une partie de Ma vie L'est ...}***
*
15 février 2017 17:54
Salam alayk

@ al Khidr :

C'est parce que les salafis aiment leur dine qu'ils peuvent être amenés à avoir la haine de tout ce qu'ils entendent de mensonges et tromperies contre la religion d'Allah et de Son Messager et cela même chez certains musulmans.

“ C’est par quelque miséricorde de la part d’Allah que tu (Muhammad) as été si doux envers eux ! Mais si tu étais rude, au cœur dur, ils se seraient enfuis de ton entourage. ” (Q.2/159)

Le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit dans un récit authentique : “ Certes la douceur n’est présente dans une chose que pour l’embellir, et elle n’est retirée de cette chose que pour l’enlaidir ” Muslim dans le chapitre de la piété et les liens de famille(2594).

Et Il a dit : “ Celui à qui est enlevé la douceur, il lui est enlevé tout le bien. ” Muslim dans le chapitre de la piété et les liens de famille(2592)


Citation
al Khidr a écrit:
Citation
a écrit:
j'ai des amies et cousines salafistes tous haineux. Le salafisme= la haine envers tout
15 février 2017 18:14
Wa aleyka as salam

1. Tu cite des textes mais tu ne sais pas de quoi tu parles,
tu ne comprends déjà pas les propres citations de savant que tu prend pour arguments

Comme l'a dit le frère Rosile : va apprendre ta religion

2. Arrête de poster à mon adresse.
Citation
*IGNISAID* a écrit:
Salam alayk

@ al Khidr :

C'est parce que les salafis aiment leur dine qu'ils peuvent être amenés à avoir la haine de tout ce qu'ils entendent de mensonges et tromperies contre la religion d'Allah et de Son Messager et cela même chez certains musulmans.

“ C’est par quelque miséricorde de la part d’Allah que tu (Muhammad) as été si doux envers eux ! Mais si tu étais rude, au cœur dur, ils se seraient enfuis de ton entourage. ” (Q.2/159)

Le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit dans un récit authentique : “ Certes la douceur n’est présente dans une chose que pour l’embellir, et elle n’est retirée de cette chose que pour l’enlaidir ” Muslim dans le chapitre de la piété et les liens de famille(2594).

Et Il a dit : “ Celui à qui est enlevé la douceur, il lui est enlevé tout le bien. ” Muslim dans le chapitre de la piété et les liens de famille(2592)
[Cheikh Soulayman Rouhaylî] Le Minhaj des Salafs : https://www.youtube.com/watch?v=hcKVtfSM9aU
15 février 2017 18:22
encore des clichés.... toujours dans le champ lexical de la "prison" de la "libération" "mari violent" ohalalalalaa vous en avez pas marre de vos cas unitaire que vous mettez sous le feu des projecteurs.... les femmes les plus malheureuses de france sont souvent celle qui sont battues par des maris alcoolique SANS RELIGION, les millions de musulmans vivent trés bien tout comme les musulmanes avec ou sans voile... les bretonnes et les alsaciennes vivent tres bien avec leurs Coiffes bigoudènes!!!
Citation
Abdoulaye06 a écrit:
Henda Ayari a vécu neuf ans à Roanne, voilée de la tête aux pieds, sous l’autorité absolue d’un mari violent. Elle s’est libérée. A écrit un livre-témoignage. Et porte un message d’espoir. « C’est par les femmes, qui sont aussi des mamans, que l’on déconstruira le salafisme en France. »


À 20 ans, Henda Ayari, étudiante en psychologie sans histoire, décide subitement de se voiler. « Une façon de montrer mon amour pour Dieu. »

Vingt ans plus tard, elle se regarde sans concession. « Oui, il y avait une bonne part de narcissisme dans ma démarche. Et même un début de complexe de supériorité : moi, je porte le voile, je suis plus pieuse que les autres. Ça avait aussi un côté rebelle… »

Sauf que, pour Henda, c’est le début d’une plongée en enfer. Cette Française d’origine tunisienne, qui a grandi à Rouen, épouse un salafiste. Durant neuf ans, à Roanne, elle vit « comme les femmes du Prophète », voilée de la tête aux pieds.

Sous l’autorité d’un mari de plus en plus violent, le niqab, qu’elle voulait symbole de sa foi, devient sa prison. À Roanne, il lui attire bien des ennuis : exclusion d’un cours de couture, refus d’un dépôt de plainte, insultes lors de courses en grande surface.

À l’époque, elle se rebiffe. « Quand on porte le voile, il y a davantage de discrimination. C’est ce qui m’a poussée à détester les non-musulmans, ça m’a braquée encore plus. » Aujourd’hui, Henda Ayari a affiné son analyse.

« C’est dommage de traiter ainsi les femmes voilées. Cela produit l’effet inverse : quand on se sent rejeté, on a des raisons de haïr la société. Je l’ai vu encore cet été, avec le burkini. Cette tenue ne concernait que quelques personnes. Après l’affaire, des jeunes filles se sont mises exprès à le porter. Les ventes ont explosé ! »

Lever le voile sur les femmes voilées ? C’est le message qu’Henda Ayari veut faire passer dans son livre-témoignage, J’ai choisi d’être libre. « Il ne faut pas rejeter ces femmes, il faut discuter avec elles. Beaucoup, comme moi à l’époque, ont besoin d’aide. Elles sont fragiles.

Elles vivent en cité, sous le joug de leur famille ou de leur mari, avec peu ou pas d’instruction, sans travail. Quand on se réfugie dans le salafisme, c’est qu’on a perdu espoir dans la société. Cet espoir, il faut leur redonner. »

Henda Ayari se définit elle-même comme « rescapée du salafisme en France ». Et n’a pas de mots assez durs pour qualifier ce courant de l’islam profondément rigoriste. « On ne peut pas interdire une idéologie. Par contre, on peut la combattre, la déconstruire. »

Dans son livre, la jeune femme explique comment ce courant de pensée a fait son lit en France. « Rien de plus simple que de se procurer des livres salafistes lorsque l’on vit dans la banlieue roannaise. » Ou de n’importe quelle ville, d’ailleurs. Elle décrypte la façon dont « les barbes salafistes ont poussé comme des champignons dans les cités de France ».

Et apporte aujourd’hui sa pierre à l’édifice en ouvrant des pistes de résistance. « C’est par les femmes, qui sont aussi des mamans, que l’on pourra se battre. En leur apportant de l’information, de l’éducation, de la pédagogie. Et en leur démontrant que le salafisme n’est pas l’islam. »

Car pour Henda Ayari, l’avenir est féminin. « Ce sont les femmes qui transmettent, qui éduquent les enfants. » Les hommes ? « C’est plus compliqué. Il faut savoir que les salafistes passent d’une femme à l’autre, une simple phrase suffit pour répudier leur « épouse ». Leurs enfants, ils les abandonnent. À ces hommes, je préfère leur dire : partez dans un pays musulman si vous êtes frustrés à ce point ! »

Implacable. Mais il y a de quoi : après avoir quitté son mari, la jeune femme, retournée vivre tout voile dehors à Rouen, a découvert qu’il était fiché « S ». « Je n’avais rien vu… » Durant ses années ligériennes, a-t-elle entendu parler du Roannais Rachid Kassim, le sinistrement célèbre « recruteur » de Daech ? « Bien sûr… » Henda n’en dira pas plus. « J’ai déjà bien assez pris position comme ça, non ? » Si.

[www.leprogres.fr]
15 février 2017 18:29
Moi je connais un frère "salafi", c'est une personne des plus aimable et tout à fait tolérant, avec une droiture et une persévérance dans la pratique religieuse admirable.
Un homme intelligent, qui a fait des études, et instruit dans la religion.
Toujours le sourire quand il rencontre quelqu'un, il se rend disponible pour aider ses parents, joue avec les enfants.

On est loin de la caricature du vilain barbu extrémiste endoctriné sous-éduqué.
Citation
GenieDeFolie a écrit:
j'ai des amies et cousines salafistes tous haineux. Le salafisme= la haine envers tout ptdr
15 février 2017 18:35
Puis le rapport de l'auteure du livre au voile est quand même spécial.

Entre son complexe de supériorité envers les femmes non voilées ou "moins" voilées qu'elle quand elle se voile, et son complexe de supériorité envers les femmes voilées quand elle se dévoile...
*
15 février 2017 18:46
Salam alayk

@ "Fleur de lotus*":

J'en doute pas une seule seconde de ce que tu dis, car il y en a qui sont gentils, respectueux, aimables, et il y en a d'autres qu'il faudrait enfermer dans un asile psychiatrique, tellement sont endoctrinés, rudes, paranoïaques.


Citation
Fleur de lotus* a écrit:
Moi je connais un frère "salafi", c'est une personne des plus aimable et tout à fait tolérant, avec une droiture et une persévérance dans la pratique religieuse admirable.
Un homme intelligent, qui a fait des études, et instruit dans la religion.
Toujours le sourire quand il rencontre quelqu'un, il se rend disponible pour aider ses parents, joue avec les enfants.

On est loin de la caricature du vilain barbu extrémiste endoctriné sous-éduqué.
15 février 2017 18:53
Salem.

Quand on lit tous les articles à propos de cette dame ,ses interviews on devine que son livre est un torchon ,un ramassis de conneries de haine envers le dyne.

Elle a trouvé comment faire facilement la promo de son torchon de livre .
Dire que j'ai perdu du temps à lire des extraits et ses interviews.
P
15 février 2017 19:02
Moi je trouve ce témoignage plutôt touchant.
Bien sûr, derrière le mot salafi, je suppose qu'il y a tout et n'importe quoi. J'ai lu sur ce site des témoignage concernant ou venant de salafi très touchants et spirituels aussi, donc il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac, ce serait tellement dommage. C'est un peu comme le soufisme, il y a à boire et à manger.

Mais il ne faut pas nier non plus la réalité. J'ai connu une femme qui était dans milieu salafi il y quelques années. Elle était voilée de la tête aux pieds et avait changé de prénom. Elle était sur le point d'épouser un homme, et au moment où celui-ci a dit "oui" et a dévoilé ses dents édentées, elle a réalisé qu'elle avait complètement perdu la tête, qu'elle n'était plus elle-même. Après cet épisode, elle a eu l'impression qu'on lui avait laver le cerveau. Je ne dirai pas ici tout ce qu'elle m'a raconté, mais c'est vrai qu'une personne fragilisée et seule peut facilement tomber dans des extrêmes et être influencée. Ce sont des choses qui existent, qui sont probablement minoritaires, mais qu'il ne faut pas nier.

Désolée pour les personnes salafies parmi nous, je suppose qu'il y a une différence entre salafi et salafiste... Je pense que nous sommes pas là pour juger les autres, mais pour témoigner de notre foi... Ne peut-on discuter sereinement autour d'un sujet, même si celui-ci est un peu sensible. Ne sommes-nous pas musulmans, de ceux qui portent la paix et la conciliation?
15 février 2017 19:18
Salut à tous,

J'ai remarqué - en temps qu'occidentale travaillant dans un quartier de plus en plus salafi - que les femmes salafi sont souvent très douces et sur la réserve, un peu parano.

Alors que les hommes sont austères, désagréables, renfrognés, jamais contents, revendicatifs, je n'en connais aucun qui soit aimable avec l'équipe. Regard méprisant....

Quand j'en rencontrerai ne serait-ce que 1 sympa, peut-être que je changerai d'avis sur les hommes salafis, à l'image de ceux du forum d'ailleurs, qu'on reconnait tout de suite avant qu'ils aient eu besoin de stipuler leur minaj.


Et ce qui me choque par dessus tout : ils crachent. Ca me dégoute.

Y a rien dans la religion qui vous interdit de cracher des gros mollards par terre ?


Citation
*IGNISAID* a écrit:
Salam alayk

@ "Fleur de lotus*":

J'en doute pas une seule seconde de ce que tu dis, car il y en a qui sont gentils, respectueux, aimables, et il y en a d'autres qu'il faudrait enfermer dans un asile psychiatrique, tellement sont endoctrinés, rudes, paranoïaques.
M
15 février 2017 22:24
J'en ai lu des conneries ce soir mais j'avoue que ton commentaire est une perle!

Alors déjà j'aimerais bien savoir comment tu sais que ces gens-là sont salafis? Ils te l'ont dit?

Et ensuite concernant le fait de cracher on dirait une grosse blague! Hahaha.

Citation
C.C. a écrit:
Salut à tous,

J'ai remarqué - en temps qu'occidentale travaillant dans un quartier de plus en plus salafi - que les femmes salafi sont souvent très douces et sur la réserve, un peu parano.

Alors que les hommes sont austères, désagréables, renfrognés, jamais contents, revendicatifs, je n'en connais aucun qui soit aimable avec l'équipe. Regard méprisant....

Quand j'en rencontrerai ne serait-ce que 1 sympa, peut-être que je changerai d'avis sur les hommes salafis, à l'image de ceux du forum d'ailleurs, qu'on reconnait tout de suite avant qu'ils aient eu besoin de stipuler leur minaj.


Et ce qui me choque par dessus tout : ils crachent. Ca me dégoute.

Y a rien dans la religion qui vous interdit de cracher des gros mollards par terre ?
15 février 2017 22:51
Pour moi, un hommes salafi, c'est celui qui a une barbe, un qamis et qui a troqué ses airmax d'antan pour des babouches.

La femme salafi, c'est celle qui porte le jilbeb ou le niqab.

Après, si c'est pas eux les salafis, au temps pour moi.





Citation
Moussochocolat a écrit:
J'en ai lu des conneries ce soir mais j'avoue que ton commentaire est une perle!

Alors déjà j'aimerais bien savoir comment tu sais que ces gens-là sont salafis? Ils te l'ont dit?

Et ensuite concernant le fait de cracher on dirait une grosse blague! Hahaha.
P
15 février 2017 23:00
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