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a écrit:
j'ai des amies et cousines salafistes tous haineux. Le salafisme= la haine envers tout
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al Khidr a écrit:Citation
a écrit:
j'ai des amies et cousines salafistes tous haineux. Le salafisme= la haine envers tout
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*IGNISAID* a écrit:
Salam alayk
@ al Khidr :
C'est parce que les salafis aiment leur dine qu'ils peuvent être amenés à avoir la haine de tout ce qu'ils entendent de mensonges et tromperies contre la religion d'Allah et de Son Messager et cela même chez certains musulmans.
“ C’est par quelque miséricorde de la part d’Allah que tu (Muhammad) as été si doux envers eux ! Mais si tu étais rude, au cœur dur, ils se seraient enfuis de ton entourage. ” (Q.2/159)
Le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit dans un récit authentique : “ Certes la douceur n’est présente dans une chose que pour l’embellir, et elle n’est retirée de cette chose que pour l’enlaidir ” Muslim dans le chapitre de la piété et les liens de famille(2594).
Et Il a dit : “ Celui à qui est enlevé la douceur, il lui est enlevé tout le bien. ” Muslim dans le chapitre de la piété et les liens de famille(2592)
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Abdoulaye06 a écrit:
Henda Ayari a vécu neuf ans à Roanne, voilée de la tête aux pieds, sous l’autorité absolue d’un mari violent. Elle s’est libérée. A écrit un livre-témoignage. Et porte un message d’espoir. « C’est par les femmes, qui sont aussi des mamans, que l’on déconstruira le salafisme en France. »
À 20 ans, Henda Ayari, étudiante en psychologie sans histoire, décide subitement de se voiler. « Une façon de montrer mon amour pour Dieu. »
Vingt ans plus tard, elle se regarde sans concession. « Oui, il y avait une bonne part de narcissisme dans ma démarche. Et même un début de complexe de supériorité : moi, je porte le voile, je suis plus pieuse que les autres. Ça avait aussi un côté rebelle… »
Sauf que, pour Henda, c’est le début d’une plongée en enfer. Cette Française d’origine tunisienne, qui a grandi à Rouen, épouse un salafiste. Durant neuf ans, à Roanne, elle vit « comme les femmes du Prophète », voilée de la tête aux pieds.
Sous l’autorité d’un mari de plus en plus violent, le niqab, qu’elle voulait symbole de sa foi, devient sa prison. À Roanne, il lui attire bien des ennuis : exclusion d’un cours de couture, refus d’un dépôt de plainte, insultes lors de courses en grande surface.
À l’époque, elle se rebiffe. « Quand on porte le voile, il y a davantage de discrimination. C’est ce qui m’a poussée à détester les non-musulmans, ça m’a braquée encore plus. » Aujourd’hui, Henda Ayari a affiné son analyse.
« C’est dommage de traiter ainsi les femmes voilées. Cela produit l’effet inverse : quand on se sent rejeté, on a des raisons de haïr la société. Je l’ai vu encore cet été, avec le burkini. Cette tenue ne concernait que quelques personnes. Après l’affaire, des jeunes filles se sont mises exprès à le porter. Les ventes ont explosé ! »
Lever le voile sur les femmes voilées ? C’est le message qu’Henda Ayari veut faire passer dans son livre-témoignage, J’ai choisi d’être libre. « Il ne faut pas rejeter ces femmes, il faut discuter avec elles. Beaucoup, comme moi à l’époque, ont besoin d’aide. Elles sont fragiles.
Elles vivent en cité, sous le joug de leur famille ou de leur mari, avec peu ou pas d’instruction, sans travail. Quand on se réfugie dans le salafisme, c’est qu’on a perdu espoir dans la société. Cet espoir, il faut leur redonner. »
Henda Ayari se définit elle-même comme « rescapée du salafisme en France ». Et n’a pas de mots assez durs pour qualifier ce courant de l’islam profondément rigoriste. « On ne peut pas interdire une idéologie. Par contre, on peut la combattre, la déconstruire. »
Dans son livre, la jeune femme explique comment ce courant de pensée a fait son lit en France. « Rien de plus simple que de se procurer des livres salafistes lorsque l’on vit dans la banlieue roannaise. » Ou de n’importe quelle ville, d’ailleurs. Elle décrypte la façon dont « les barbes salafistes ont poussé comme des champignons dans les cités de France ».
Et apporte aujourd’hui sa pierre à l’édifice en ouvrant des pistes de résistance. « C’est par les femmes, qui sont aussi des mamans, que l’on pourra se battre. En leur apportant de l’information, de l’éducation, de la pédagogie. Et en leur démontrant que le salafisme n’est pas l’islam. »
Car pour Henda Ayari, l’avenir est féminin. « Ce sont les femmes qui transmettent, qui éduquent les enfants. » Les hommes ? « C’est plus compliqué. Il faut savoir que les salafistes passent d’une femme à l’autre, une simple phrase suffit pour répudier leur « épouse ». Leurs enfants, ils les abandonnent. À ces hommes, je préfère leur dire : partez dans un pays musulman si vous êtes frustrés à ce point ! »
Implacable. Mais il y a de quoi : après avoir quitté son mari, la jeune femme, retournée vivre tout voile dehors à Rouen, a découvert qu’il était fiché « S ». « Je n’avais rien vu… » Durant ses années ligériennes, a-t-elle entendu parler du Roannais Rachid Kassim, le sinistrement célèbre « recruteur » de Daech ? « Bien sûr… » Henda n’en dira pas plus. « J’ai déjà bien assez pris position comme ça, non ? » Si.
[www.leprogres.fr]
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GenieDeFolie a écrit:
j'ai des amies et cousines salafistes tous haineux. Le salafisme= la haine envers tout
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Fleur de lotus* a écrit:
Moi je connais un frère "salafi", c'est une personne des plus aimable et tout à fait tolérant, avec une droiture et une persévérance dans la pratique religieuse admirable.
Un homme intelligent, qui a fait des études, et instruit dans la religion.
Toujours le sourire quand il rencontre quelqu'un, il se rend disponible pour aider ses parents, joue avec les enfants.
On est loin de la caricature du vilain barbu extrémiste endoctriné sous-éduqué.
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*IGNISAID* a écrit:
Salam alayk
@ "Fleur de lotus*":
J'en doute pas une seule seconde de ce que tu dis, car il y en a qui sont gentils, respectueux, aimables, et il y en a d'autres qu'il faudrait enfermer dans un asile psychiatrique, tellement sont endoctrinés, rudes, paranoïaques.
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C.C. a écrit:
Salut à tous,
J'ai remarqué - en temps qu'occidentale travaillant dans un quartier de plus en plus salafi - que les femmes salafi sont souvent très douces et sur la réserve, un peu parano.
Alors que les hommes sont austères, désagréables, renfrognés, jamais contents, revendicatifs, je n'en connais aucun qui soit aimable avec l'équipe. Regard méprisant....
Quand j'en rencontrerai ne serait-ce que 1 sympa, peut-être que je changerai d'avis sur les hommes salafis, à l'image de ceux du forum d'ailleurs, qu'on reconnait tout de suite avant qu'ils aient eu besoin de stipuler leur minaj.
Et ce qui me choque par dessus tout : ils crachent. Ca me dégoute.
Y a rien dans la religion qui vous interdit de cracher des gros mollards par terre ?
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Moussochocolat a écrit:
J'en ai lu des conneries ce soir mais j'avoue que ton commentaire est une perle!
Alors déjà j'aimerais bien savoir comment tu sais que ces gens-là sont salafis? Ils te l'ont dit?
Et ensuite concernant le fait de cracher on dirait une grosse blague! Hahaha.