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Unesuggestion a écrit:
Là, le type a manqué son coup, parce que la police avait mis des blocs de béton et qu'il a agi (semble-t-il) spontanément.
Il n'y a pas de psychanalyse à faire. C'est un crime anti-musulman en réaction d'attentats précédent revendiqués comme "musulmans".
Maintenant que chacun a appris à foncer dans la foule et que ça s'est produit à plusieurs reprises, ça ne va pas arrêter.
Ce qui est surprenant, c'est que ça ne se soit pas produit avant: Il y a des dizaines d'années que des chrétiens se font attaquer dans des églises, dans des pays orientaux, en particulier en Égypte, avec des motos, des voitures piégées, des mitraillettes et des grenades.
[ Il n'y a pas que les Chrétiens qui se font attaquer: Il ne se passe pas 1 mois sans que des mosquées, des pèlerins ou des enterrements chiites se fassent attaquer, en particulier au Pakistan. ]
Et on ne parle même pas des chrétiens et des yézidis qui se sont fait massacrer par les daéChiens, des femmes qui se sont faites violer etc.
La voiture et la camion bourré d'explosif est devenu habituel de la part des islamistes.
La France étant assimilationniste, les Musulmans sont assez bien protégés, car il n'y a pas de communauté à attaquer, sauf près des lieux de culte.
Dans les pays communautaristes, comme l'Angleterre c'est autre-chose: il y a des quartiers entiers qui sont musulmans. Ça signifie qu'une attaque dans de tels quartiers fera automatiquement un grand nombre de victimes musulmanes.
En France, il y a quelques rues "juives" et on a pu constater que ça a suffit pour attirer les attentats. Déjà en 1982 ...
[www.ina.fr]
En France, il suffira peut-être de mettre des blocs de béton et les barbus qui agressent les filles en jupes prendront peut-être de sérieuses raclées, mais il est probable qu'il n'y aura pas ou peu de victimes.
On n'est cependant pas à l'abri que, lorsqu'une église sera attaquée en Égypte à la grenade, la même chose se produise en France contre une mosquée. Pour le moment, les gens se sont retenus. Ce qui est inquiétant, c'est que quelqu'un soit passé à l'acte, en France.
Par contre, on peut s'attendre à quelque-chose de gros en Angleterre. Il y a eu plusieurs attentats et on peut s'attendre à ce que des attentats anti-musulmans fassent autant de morts qu'il y a eu de victimes d'attentats.
L'existence de communautés va faciliter les attentats contre une population précise, surtout que les gens se sont habitués à porter des accoutrement du Machreq ...
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pimprenelle a écrit:
Si ca avait ete un "arabe " qui avait agi ainsi devant une église ou quelqu'autre endroit comme cet homme vient de le faire , on aurait tout de suite crié à l'attentat islamiste , Daesh et tout le tralala habituel ....
Mais là rien de grave voyons , il ne s'agit que d'un homme excusable car pas toute sa tete !
C'est toujours deux poids , deux mesures !
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zig-zag a écrit:
@Unesuggestion c est un attentat terroriste contre les musulmans ça ne sert a rien de jouer sur les mots
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Unesuggestion a écrit:
Non, ce n'est pas un attentat terroriste. Rien ne le laisse penser actuellement. Ça le serait s'il y avait un groupe idéologique derrière, comme c'est le cas de l'EI, d'al Qaïda, de l'IRA, de Corsica libre ou de l'ETA, par exemple.
Ça viendra peut-être, mais ce n'était pas le cas.
Oui, c'était un attentat contre des Musulmans. c'est évident.
Ça, c'est ce qu'on sait présentement.
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Le terrorisme n'est pas encore totalement exclu.
Son domicile a probablement été perquisitionné et on saura très vite s'il fréquente un site qui pousse à foncer dans la foule (je n'en connais point, mais j'imagine que ça existe).
d'ici au milieu de la semaine prochaine, on en saura nettement plus.
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a écrit:
TERRORISME, subst. masc.
A. − HIST. Politique de terreur pratiquée pendant la Révolution. [ ]
− P. ext. Emploi systématique par un pouvoir ou par un gouvernement de mesures d'exception et/ou de la violence pour atteindre un but politique. Ajoutez (...) la fausse jacquerie communiste et le réel terrorisme bonapartiste (...) Il faudrait un volume spécial pour raconter (...) les innombrables détails de cette immense extorsion de signatures qu'on appelle le vote du 20 décembre (Hugo, Nap. le Pt, 1852, p. 193).Terrorisme d'État. Et le souvenir de la « bande à Baader », et la dénonciation du « terrorisme d'État » dans tout cela? Un prétexte. Un manteau moderniste jeté sur des situations vieilles comme le monde [dans « Il faut tuer Birgitt Haas »] (Le Nouvel Observateur, 5 sept. 1981, p. 65, col. 1).
− P. plaisant. Une dynastie n'est (...) au fond qu'un terrorisme permanent et réglé (Renan, Antéchrist, 1873, p. 281).
B. − Ensemble des actes de violence qu'une organisation politique exécute dans le but de désorganiser la société existante et de créer un climat d'insécurité tel que la prise du pouvoir soit possible. Lutte contre le terrorisme; recrudescence du terrorisme; victime du terrorisme; terrorisme à l'italienne. L'accomplissement des tâches qui viennent d'être énumérées doit aller de pair avec le rétablissement de la concorde et de la sécurité dans ces deux pays d'Afrique du Nord qu'endeuillent, en ce moment même, le fanatisme et le terrorisme (Mendès-France, 1954ds Doc. hist. contemp., p. 199).Barantin et Vicourtier reprirent (...) le grand schéma qu'ils possédaient de manière parfaite jusque dans les moindres compartiments. L'exemple du terrorisme F.L.N., ses victimes dans l'entourage des accusés (...), l'abandon politique sans qu'il y ait eu défaite militaire, la peur, la colère légitime, le désespoir (M. Droit, Le Retour, Paris, Julliard, 1964, p. 377).
− P. anal. Attitude d'intolérance, d'intimidation dans le domaine culturel, intellectuel et/ou spirituel. Terrorisme de la vertu; terrorisme intellectuel, verbal. [ ]
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