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derb Korea...Casablanca
f
1 novembre 2010 00:29
salut bara,

j'ai sorti mon lacoste = tchamir zrag Clap,

les sabres = zarwata perplexe

les nikes dorés : hankara du souk de foum jamaâ ptdr

bonne soirée bara thumbs upthumbs upthumbs up

Bye
b
1 novembre 2010 22:37
Citation
Viet53 a écrit:
salut bara,

j'ai sorti mon lacoste = tchamir zrag Clap,

les sabres = zarwata perplexe

les nikes dorés : hankara du souk de foum jamaâ ptdr

bonne soirée bara thumbs upthumbs upthumbs up

Bye

Salut viet,

Tu m'as tué ...je vais dormir...


Bonne nuit viet Bye
b
9 novembre 2010 22:41
c
9 novembre 2010 22:54
Citation
BARA222 a écrit:
[img585.imageshack.us]


Merci BARA ,

Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .
b
12 novembre 2010 23:02
انطلقت أمس الأربعاء .. أكاديمية محمد السادس لكرة القدم تنقب عن مواهب درب السلطان

وحيد أبوأمين


انطلقت يوم أمس الأربعاء عملية التنقيب عن المواهب الرياضية في كرة القدم في صفوف أطفال أحياء مقاطعة مرس السلطان من درب الكبير، وبوشنتوف وحي الداخلة ..وغيرها من أزقة المنطقة الشعبية، والذين لايتجاوز عمرهم 13 سنة، وذلك بناء على اتفاق بين أكاديمية محمد السادس لكرة القدم ومجلس المقاطعة والسلطة المحلية، حيث ستتكلف الأكاديمية بالإشراف على عملية التنقيب هاته، وذلك على مدى يومين في الأسبوع هما الأربعاء والجمعة من الساعة الثانية إلى الرابعة زوالا بفضاء الملعب المعشوشب لاولاد زيان، على أن تجرى مقابلات في كرة القدم صبيحة يوم الأحد من السابعة إلى غاية التاسعة، وهو البرنامج الذي سيمتد على مدار السنة كاملة.
هذا البرنامج ، حسب المشرفين عليه ، «يهدف إلى اختيار الموهوبين والمتفوقين من بين نظرائهم من أجل إلحاقهم بالأكاديمية ، في أفق تلقيهم تكوينا رياضيا ودراسيا، بغية تشكيل نواة لمشروع أبطال الغد في رياضة كرة القدم ، وبالتالي تغذية الفرق الوطنية بهم والاستفادة من التداريب/التكاوين التي تلقوها»، علما بأن الباقين «لن يحرموا من استرسال تنظيم البرامج التدريبية لهم محليا، وإجراء المقابلات الرياضية لفائدتهم». كما أن برنامج العمل المسطر، وفق مصدر مطلع، «يهدف إلى تكوين المكونين من مؤطري فرق الأحياء، وتوجيه دعوات لفرقهم من اجل المشاركة في مباريات رياضية بمقر المركز مع تلاميذه».
يذكر أن تجربة أخرى تم التسويق لانطلاقها بالفداء مع «نادي الأرسنال»، والتي تم الإعلان بكون الإدارة المشرفة ستعمل على «اختيار 50 طفلا/موهبة من أبناء أحياء المنطقة، من أجل إلحاقهم مجانا بالنادي وتكوينهم وطرح إمكانية سفرهم خارج أرض الوطن لاستكمال مسيرتهم الرياضية، إضافة إلى منحهم الملابس الرياضية كاملة، ومنح أخرى لفرق الأحياء، والعمل على صيانة بعض الملاعب»، إلا انه لحد الساعة لم تنتقل هذه التصريحات إلى خطوات، ولم يحظ بالتداريب المذكورة سوى أبناء الميسورين، بالنظر إلى التكلفة المرتفعة لتحقيق هذه الغاية التي لاتتأتى لأبناء الطبقات الشعبية المعوزة، علما بأن ملاعب القرب هاته هي أحدثت لفائدة أبناء الأحياء من أجل التنشيط الرياضي بها وتلبية حاجياتهم الرياضية، وحتى تكون متنفسا للتعبير عن مواهبهم وطاقاتهم.
b
12 novembre 2010 23:41
Citation
casainfo1 a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
[img585.imageshack.us]


Merci BARA ,

Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .


[img257.imageshack.us]
c
12 novembre 2010 23:48
Citation
BARA222 a écrit:
Citation
casainfo1 a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
[img585.imageshack.us]


Merci BARA ,

Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .


[img257.imageshack.us]


WAOUWW ,juste derrière la mosquée à droite , il y avait la régie du tabac, j'ai joué de multiples saisons avec ce club dans les années 80 , quelle nostalgie !
D
12 novembre 2010 23:51
Casa Me Manque sad smiley
c
12 novembre 2010 23:53
Citation
DGabana a écrit:
Casa Me Manque sad smiley

Toi aussi ...Bienvenu au club des nostalgiques smiling smiley
b
14 novembre 2010 00:06
Citation
casainfo1 a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
Citation
casainfo1 a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
[img585.imageshack.us]


Merci BARA ,

Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .


[img257.imageshack.us]


WAOUWW ,juste derrière la mosquée à droite , il y avait la régie du tabac, j'ai joué de multiples saisons avec ce club dans les années 80 , quelle nostalgie !


La régie des tabacs, un très bon souvenir en 1973 comme moniteur à Imouzzer en compagnie de F.Z Tragha, Sahmaoui, Zaki

Bilal,Hajjani etc...
b
14 novembre 2010 01:03
Citation
BARA222 a écrit:
Citation
casainfo1 a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
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casainfo1 a écrit:
Citation
BARA222 a écrit:
[img585.imageshack.us]


Merci BARA ,

Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .


[img257.imageshack.us]


WAOUWW ,juste derrière la mosquée à droite , il y avait la régie du tabac, j'ai joué de multiples saisons avec ce club dans les années 80 , quelle nostalgie !


La régie des tabacs, un très bon souvenir en 1973 comme moniteur à Imouzzer en compagnie de F.Z Tragha, Sahmaoui, Zaki

Bilal,Hajjani etc...


[img703.imageshack.us]
b
14 novembre 2010 23:02
Effervescence à Derb Sultan à la veille de l'Aïd




Le quartier se transforme, donnant lieu à toutes sortes de petits commerces informels.


Chaque année, ce sont les mêmes rituels et les mêmes images qui se répètent. A l'approche de l'Aid Al Adha, les quartiers de la métropole regorgent de vendeurs de moutons mais aussi de commerçants de tout genre. La frénésie d'achat bat son plein et on ne peut plus marcher sans croiser un vendeur de foin, de charbon, de couteaux ou encore des jeunes transformés à l'occasion en rémouleurs.
Toutefois, les signes de la fête du sacrifice sont encore plus visibles à Derb Sultan. Certains diraient que ce quartier est toujours bondé de commerçants et de «ferracha» (vendeurs ambulants). Mais, ce quartier mythique de la ville a la particularité de nous immerger dans l'esprit de l'Aïd et de nous rappeler les différentes traditions du Maroc. «Les habitants de Casablanca sont généralement originaires de différentes régions du Maroc. A chacun d'eux ses habitudes et sa liste d'achat personnalisée.

Et pour les satisfaire, on vend un peu de tout à Derb Sultan», nous explique sur un ton sérieux une vielle femme tout en remuant son «stock» de henné mis dans un grand sac en plastique transparent à côté des pétales de roses séchées et d'autres herbes et épices utilisés à l'occasion de la fête du sacrifice.
A voir les couleurs, l'atmosphère et les senteurs de ce marché riche en émotions, on dirait que tous les Casablancais vivent encore les anciennes traditions de «l'Aïd El Kébir». A première vue, Derb Sultan et plus précisément boulevard Mohammed VI où tous les « ferracha » préfèrent s'installer, ressemblent à une vraie fourmilière. Les artères de cette partie de la ville sont presque toutes occupées par les commerçants et les chauffeurs de taxi évitent de s'y aventurer par peur de se retrouver coincés au sein de ce grand labyrinthe commercial.
Une fois à l'intérieur du quartier, le visiteur non habitué pourrait se perdre dans les venelles qui se ressemblent. «Je viens souvent à Derb Sultan mais durant la période de l'Aïd, je n'arrive pas à m'y retrouver», nous confie Fatma, une habitante de Casablanca qui vient faire ses emplettes avant de partir à Agadir pour fêter l'événement en famille. Pour découvrir à nouveau son marché, cette jeune femme comme beaucoup d'autres personnes se laissent guider par les voix des vendeurs de produits en réclame.
«Je suis venue pour acheter des pyjamas à ma mère et mes belles sœurs et je me suis retrouvée avec plusieurs sachets d'ustensiles de cuisine, des gâteaux achetés à côté du marché «Jmiâa et même un nouveau produit importé de Chine pour allumer le charbon», affirme Fatma accompagnée de son petit bébé âgé de 8 mois tout en vérifiant si son porte-monnaie n'est pas dérobé par l'un des pickpockets qui «se baladent» dans la région.
En effet, A Derb Sultan on retrouve un peu de tout : des articles de cuisine en plastique vendus à 3 DH, des pyjamas variant entre 30 et 200 DH, des couteaux, du charbon… «L'aïd est une vraie aubaine à Derb Sultan. Tout le monde en profite selon ses moyens et ses besoins. A l'origine, je vends des barrettes et bijoux fantaisie mais j'ai changé d'activité à cette occasion pour booster mon chiffre d'affaires », nous explique un vendeur d'outils tranchants. Une petite virée dans ce marché populaire nous dévoile des facettes cachées de la capitale économique tout au long de l'année.

«Les clients de la fête du sacrifice sont diffèrents de ceux qui viennent tout au long de l'année. Ce sont généralement des propriétaires de commerce, des ouvriers et des employés résidant à Casablanca mais originaires de petites villes du Maroc. Ces gens prennent leur congé une seule fois par an à l'occasion de Aïd Al Adha», affirme un jeune commerçant d'habits importés de Turquie. Et d'ajouter que c'est à cette période qu'on peut constater l'ampleur de l'immigration interne. A Derb Sultan, on constate des multiples illustrations de l'économie informelle, des images de l'anarchie mais on y remarque également la diversité humaine et culturelle de la capitale économique. On y voit surtout l'importance d'un tel marché qui fait vivre des milliers de familles.

Réglementation en échec
Les marchands ambulants et «ferracha» de Derb Sultan sont en concurrence permanente. Ils brandissent leurs marchandises tout en criant le prix pour défier leurs concurrents. Leur mission n'est pas de tout repos. Ils doivent également faire attention aux représentants des forces de l'ordre qui peuvent saisir leurs articles à tout moment. «A chaque fois, les « mkhaznias » (agents de l'autorité publique) nous chassent d'ici. Ils refusent de comprendre que ce commerce est notre unique ressource financière », déplore un vendeur de cordes. «Il est impossible de ''vider'' Derb Sultan de ses marchands ambulants sauf si on nous trouve d'autres occupations qui génèrent une somme d'argent à même de suffire à nos besoins et ceux de nos familles», ajoute un autre commerçant. A rappeler que la préfecture de Mers Sultan-El Fida a déjà essayé en vain de réglementer le secteur des marchands ambulants en leur proposant des tranches horaires et des emplacements précis. Aujourd'hui, les agents de l'autorité publique essaient aussi bien que mal de libérer un peu d'espace à Derb Sultan, notamment au niveau du boulevard Mohammed VI en essayant de diminuer le nombre des « ferracha ». Toutefois, les vendeurs ambulants n'adhèrent pas à cette politique. Ils trouvent toujours le bon moyen de garder leurs places dans l'endroit concerné.

source le matin
b
14 novembre 2010 23:08
Citation
BARA222 a écrit:
Effervescence à Derb Sultan à la veille de l'Aïd




Le quartier se transforme, donnant lieu à toutes sortes de petits commerces informels.


Chaque année, ce sont les mêmes rituels et les mêmes images qui se répètent. A l'approche de l'Aid Al Adha, les quartiers de la métropole regorgent de vendeurs de moutons mais aussi de commerçants de tout genre. La frénésie d'achat bat son plein et on ne peut plus marcher sans croiser un vendeur de foin, de charbon, de couteaux ou encore des jeunes transformés à l'occasion en rémouleurs.
Toutefois, les signes de la fête du sacrifice sont encore plus visibles à Derb Sultan. Certains diraient que ce quartier est toujours bondé de commerçants et de «ferracha» (vendeurs ambulants). Mais, ce quartier mythique de la ville a la particularité de nous immerger dans l'esprit de l'Aïd et de nous rappeler les différentes traditions du Maroc. «Les habitants de Casablanca sont généralement originaires de différentes régions du Maroc. A chacun d'eux ses habitudes et sa liste d'achat personnalisée.

Et pour les satisfaire, on vend un peu de tout à Derb Sultan», nous explique sur un ton sérieux une vielle femme tout en remuant son «stock» de henné mis dans un grand sac en plastique transparent à côté des pétales de roses séchées et d'autres herbes et épices utilisés à l'occasion de la fête du sacrifice.
A voir les couleurs, l'atmosphère et les senteurs de ce marché riche en émotions, on dirait que tous les Casablancais vivent encore les anciennes traditions de «l'Aïd El Kébir». A première vue, Derb Sultan et plus précisément boulevard Mohammed VI où tous les « ferracha » préfèrent s'installer, ressemblent à une vraie fourmilière. Les artères de cette partie de la ville sont presque toutes occupées par les commerçants et les chauffeurs de taxi évitent de s'y aventurer par peur de se retrouver coincés au sein de ce grand labyrinthe commercial.
Une fois à l'intérieur du quartier, le visiteur non habitué pourrait se perdre dans les venelles qui se ressemblent. «Je viens souvent à Derb Sultan mais durant la période de l'Aïd, je n'arrive pas à m'y retrouver», nous confie Fatma, une habitante de Casablanca qui vient faire ses emplettes avant de partir à Agadir pour fêter l'événement en famille. Pour découvrir à nouveau son marché, cette jeune femme comme beaucoup d'autres personnes se laissent guider par les voix des vendeurs de produits en réclame.
«Je suis venue pour acheter des pyjamas à ma mère et mes belles sœurs et je me suis retrouvée avec plusieurs sachets d'ustensiles de cuisine, des gâteaux achetés à côté du marché «Jmiâa et même un nouveau produit importé de Chine pour allumer le charbon», affirme Fatma accompagnée de son petit bébé âgé de 8 mois tout en vérifiant si son porte-monnaie n'est pas dérobé par l'un des pickpockets qui «se baladent» dans la région.
En effet, A Derb Sultan on retrouve un peu de tout : des articles de cuisine en plastique vendus à 3 DH, des pyjamas variant entre 30 et 200 DH, des couteaux, du charbon… «L'aïd est une vraie aubaine à Derb Sultan. Tout le monde en profite selon ses moyens et ses besoins. A l'origine, je vends des barrettes et bijoux fantaisie mais j'ai changé d'activité à cette occasion pour booster mon chiffre d'affaires », nous explique un vendeur d'outils tranchants. Une petite virée dans ce marché populaire nous dévoile des facettes cachées de la capitale économique tout au long de l'année.

«Les clients de la fête du sacrifice sont diffèrents de ceux qui viennent tout au long de l'année. Ce sont généralement des propriétaires de commerce, des ouvriers et des employés résidant à Casablanca mais originaires de petites villes du Maroc. Ces gens prennent leur congé une seule fois par an à l'occasion de Aïd Al Adha», affirme un jeune commerçant d'habits importés de Turquie. Et d'ajouter que c'est à cette période qu'on peut constater l'ampleur de l'immigration interne. A Derb Sultan, on constate des multiples illustrations de l'économie informelle, des images de l'anarchie mais on y remarque également la diversité humaine et culturelle de la capitale économique. On y voit surtout l'importance d'un tel marché qui fait vivre des milliers de familles.

Réglementation en échec
Les marchands ambulants et «ferracha» de Derb Sultan sont en concurrence permanente. Ils brandissent leurs marchandises tout en criant le prix pour défier leurs concurrents. Leur mission n'est pas de tout repos. Ils doivent également faire attention aux représentants des forces de l'ordre qui peuvent saisir leurs articles à tout moment. «A chaque fois, les « mkhaznias » (agents de l'autorité publique) nous chassent d'ici. Ils refusent de comprendre que ce commerce est notre unique ressource financière », déplore un vendeur de cordes. «Il est impossible de ''vider'' Derb Sultan de ses marchands ambulants sauf si on nous trouve d'autres occupations qui génèrent une somme d'argent à même de suffire à nos besoins et ceux de nos familles», ajoute un autre commerçant. A rappeler que la préfecture de Mers Sultan-El Fida a déjà essayé en vain de réglementer le secteur des marchands ambulants en leur proposant des tranches horaires et des emplacements précis. Aujourd'hui, les agents de l'autorité publique essaient aussi bien que mal de libérer un peu d'espace à Derb Sultan, notamment au niveau du boulevard Mohammed VI en essayant de diminuer le nombre des « ferracha ». Toutefois, les vendeurs ambulants n'adhèrent pas à cette politique. Ils trouvent toujours le bon moyen de garder leurs places dans l'endroit concerné.

source le matin


[img214.imageshack.us] grinning smiley
b
15 novembre 2010 22:22
Enfants de la rue : de plus en plus jeunes... drogués et prostitués
Publié le : 15/11/2010


La gare Oulad Ziane, un des points noirs de Casablanca, en accueille une des concentrations les plus importantes.
Ils s'improvisent cireurs, vendeurs de mouchoirs, de cigarettes au détail, ou transporteurs de bagages.
Drames familiaux, agressions sexuelles, besoin de liberté, les causes de leur fugue sont nombreuses.
Les associations tentent tant bien que mal de les aider à vivre autrement.

[Enfants de la rue : de plus en plus jeunes... drogués et prostitués]
Oulad Ziane : la gare routière la plus importante du pays. Plus de 800 autocars desservant l’ensemble du pays y transitent chaque jour. La gare est aussi un des points noirs de Casablanca et accueille une des concentrations les plus importantes des enfants de la rue. Rachid Ajidar est l’éducateur de rue en charge du bureau de Bayti, un local d’observation situé à l’intérieur même de l’arrondissement de la gare. A quarante ans, l’homme a accumulé une grande expérience dans le programme «Milieu ouvert» à Casablanca et principalement à la gare routière. «Il faut savoir qu’il y a toujours des retours et des sorties. Nous avons par contre constaté une plus grande féminisation du phénomène et quelques cas d’enfants subsahariens. La situation à la gare de Oulad Ziane est révélatrice puisque c’est ici que débarquent tous les enfants qui arrivent d’autres régions du pays», assure M. Ajidar. C’est aussi un endroit où ils peuvent trouver du travail. Ils s’improvisent cireurs, transporteurs de bagages, vendeurs de biscuits, de kleenex, de confiserie ou de cigarettes au détail.

Cartographie du phénomène

La gare Oulad Ziane n’est que le noyau central de la région d’El Fida. Les enfants squattent plusieurs endroits aux alentours de la gare : le stade Beggar juste en face, le cimetière Chouhada (un lieu réputé dangereux), l’école Mazraâ, fermée depuis les inondations qui ont touché Derb Soltane, ainsi que le jardin El Amal. Un peu plus loin, c’est le périmètre Mers Sultan avec son lot de squats : Sahat Sraghna, l’Hermitage, Bouchentouf, garage Allal, El Méchouar et marché Jmiâa. Bayti a réalisé une cartographie des principaux points noirs de la capitale économique.

suite------>[www.lavieeco.com]
b
28 novembre 2010 23:26
Boulevard Al Fida ,Derb Sultan à la hauteur de Sahat Sraghna


[img440.imageshack.us]
f
7 décembre 2010 17:04
salut bara,

alors t'es où? ne me dis pas que tu as pris racine à sahat sraghna auprès d'une "karrosa de babbouche", va un plus loin y a des "casse krot " de "toune 7ar ou des "soississo"

allez reviens à ton poste, Tes absences ne sont plus tolérées depuis "came m^me" le 29/11/10 à 00H26.

"attation No no ji vi mi fachi" le sang va monter à ma têteGrrrr

Bye
f
13 décembre 2010 22:38
salut baraaaaaaa


SOSSOSSOS Oups No no No no Grrrr Zen



sleeping thumbs up Bye
b
15 décembre 2010 23:05
Une spéciale dédicace à Viet et à tout les amoureux de ce mythique Quartier qu'est Derb Sultan...Welcome

[www.youtube.com]
f
16 décembre 2010 23:05
un grand merci BARA,


yyyyyyyyya zamaaaaaaane, lycée MEDV , lycée fatima az zahra, lycée khawarizmi, kisaria, lhobous, c'est incroyable bara, à chaque fois je vois des photos ou vidéo comme celle là, wallah que l"odeur des rues me vient dans le nez comme si j'étais sur place.

bonne nuit

thumbs up
c
16 décembre 2010 23:18
Citation
BARA222 a écrit:
Une spéciale dédicace à Viet et à tout les amoureux de ce mythique Quartier qu'est Derb Sultan...Welcome

[www.youtube.com]

Salam, BARA
Salam, viet

Merci BARA , pour cette video c'est super, un voyage de 4 minutes des années en arrière...

Tu vois l'3awina à la 1m31 ,la porte en face s'était le hammam ou je me rendais avec mon oncle ..je devais avoir 5 ou 6 ans .
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