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Viet53 a écrit:
salut bara,
j'ai sorti mon lacoste = tchamir zrag ,
les sabres = zarwata
les nikes dorés : hankara du souk de foum jamaâ
bonne soirée bara
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casainfo1 a écrit:
Merci BARA ,
Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .
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BARA222 a écrit:Citation
casainfo1 a écrit:
Merci BARA ,
Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .
[img257.imageshack.us]
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DGabana a écrit:
Casa Me Manque
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casainfo1 a écrit:Citation
BARA222 a écrit:Citation
casainfo1 a écrit:
Merci BARA ,
Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .
[img257.imageshack.us]
WAOUWW ,juste derrière la mosquée à droite , il y avait la régie du tabac, j'ai joué de multiples saisons avec ce club dans les années 80 , quelle nostalgie !
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BARA222 a écrit:Citation
casainfo1 a écrit:Citation
BARA222 a écrit:Citation
casainfo1 a écrit:
Merci BARA ,
Je me souviens de mon premier passeport que j'ai retiré ici même .
[img257.imageshack.us]
WAOUWW ,juste derrière la mosquée à droite , il y avait la régie du tabac, j'ai joué de multiples saisons avec ce club dans les années 80 , quelle nostalgie !
La régie des tabacs, un très bon souvenir en 1973 comme moniteur à Imouzzer en compagnie de F.Z Tragha, Sahmaoui, Zaki
Bilal,Hajjani etc...
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BARA222 a écrit:
Effervescence à Derb Sultan à la veille de l'Aïd
Le quartier se transforme, donnant lieu à toutes sortes de petits commerces informels.
Chaque année, ce sont les mêmes rituels et les mêmes images qui se répètent. A l'approche de l'Aid Al Adha, les quartiers de la métropole regorgent de vendeurs de moutons mais aussi de commerçants de tout genre. La frénésie d'achat bat son plein et on ne peut plus marcher sans croiser un vendeur de foin, de charbon, de couteaux ou encore des jeunes transformés à l'occasion en rémouleurs.
Toutefois, les signes de la fête du sacrifice sont encore plus visibles à Derb Sultan. Certains diraient que ce quartier est toujours bondé de commerçants et de «ferracha» (vendeurs ambulants). Mais, ce quartier mythique de la ville a la particularité de nous immerger dans l'esprit de l'Aïd et de nous rappeler les différentes traditions du Maroc. «Les habitants de Casablanca sont généralement originaires de différentes régions du Maroc. A chacun d'eux ses habitudes et sa liste d'achat personnalisée.
Et pour les satisfaire, on vend un peu de tout à Derb Sultan», nous explique sur un ton sérieux une vielle femme tout en remuant son «stock» de henné mis dans un grand sac en plastique transparent à côté des pétales de roses séchées et d'autres herbes et épices utilisés à l'occasion de la fête du sacrifice.
A voir les couleurs, l'atmosphère et les senteurs de ce marché riche en émotions, on dirait que tous les Casablancais vivent encore les anciennes traditions de «l'Aïd El Kébir». A première vue, Derb Sultan et plus précisément boulevard Mohammed VI où tous les « ferracha » préfèrent s'installer, ressemblent à une vraie fourmilière. Les artères de cette partie de la ville sont presque toutes occupées par les commerçants et les chauffeurs de taxi évitent de s'y aventurer par peur de se retrouver coincés au sein de ce grand labyrinthe commercial.
Une fois à l'intérieur du quartier, le visiteur non habitué pourrait se perdre dans les venelles qui se ressemblent. «Je viens souvent à Derb Sultan mais durant la période de l'Aïd, je n'arrive pas à m'y retrouver», nous confie Fatma, une habitante de Casablanca qui vient faire ses emplettes avant de partir à Agadir pour fêter l'événement en famille. Pour découvrir à nouveau son marché, cette jeune femme comme beaucoup d'autres personnes se laissent guider par les voix des vendeurs de produits en réclame.
«Je suis venue pour acheter des pyjamas à ma mère et mes belles sœurs et je me suis retrouvée avec plusieurs sachets d'ustensiles de cuisine, des gâteaux achetés à côté du marché «Jmiâa et même un nouveau produit importé de Chine pour allumer le charbon», affirme Fatma accompagnée de son petit bébé âgé de 8 mois tout en vérifiant si son porte-monnaie n'est pas dérobé par l'un des pickpockets qui «se baladent» dans la région.
En effet, A Derb Sultan on retrouve un peu de tout : des articles de cuisine en plastique vendus à 3 DH, des pyjamas variant entre 30 et 200 DH, des couteaux, du charbon… «L'aïd est une vraie aubaine à Derb Sultan. Tout le monde en profite selon ses moyens et ses besoins. A l'origine, je vends des barrettes et bijoux fantaisie mais j'ai changé d'activité à cette occasion pour booster mon chiffre d'affaires », nous explique un vendeur d'outils tranchants. Une petite virée dans ce marché populaire nous dévoile des facettes cachées de la capitale économique tout au long de l'année.
«Les clients de la fête du sacrifice sont diffèrents de ceux qui viennent tout au long de l'année. Ce sont généralement des propriétaires de commerce, des ouvriers et des employés résidant à Casablanca mais originaires de petites villes du Maroc. Ces gens prennent leur congé une seule fois par an à l'occasion de Aïd Al Adha», affirme un jeune commerçant d'habits importés de Turquie. Et d'ajouter que c'est à cette période qu'on peut constater l'ampleur de l'immigration interne. A Derb Sultan, on constate des multiples illustrations de l'économie informelle, des images de l'anarchie mais on y remarque également la diversité humaine et culturelle de la capitale économique. On y voit surtout l'importance d'un tel marché qui fait vivre des milliers de familles.
Réglementation en échec
Les marchands ambulants et «ferracha» de Derb Sultan sont en concurrence permanente. Ils brandissent leurs marchandises tout en criant le prix pour défier leurs concurrents. Leur mission n'est pas de tout repos. Ils doivent également faire attention aux représentants des forces de l'ordre qui peuvent saisir leurs articles à tout moment. «A chaque fois, les « mkhaznias » (agents de l'autorité publique) nous chassent d'ici. Ils refusent de comprendre que ce commerce est notre unique ressource financière », déplore un vendeur de cordes. «Il est impossible de ''vider'' Derb Sultan de ses marchands ambulants sauf si on nous trouve d'autres occupations qui génèrent une somme d'argent à même de suffire à nos besoins et ceux de nos familles», ajoute un autre commerçant. A rappeler que la préfecture de Mers Sultan-El Fida a déjà essayé en vain de réglementer le secteur des marchands ambulants en leur proposant des tranches horaires et des emplacements précis. Aujourd'hui, les agents de l'autorité publique essaient aussi bien que mal de libérer un peu d'espace à Derb Sultan, notamment au niveau du boulevard Mohammed VI en essayant de diminuer le nombre des « ferracha ». Toutefois, les vendeurs ambulants n'adhèrent pas à cette politique. Ils trouvent toujours le bon moyen de garder leurs places dans l'endroit concerné.
source le matin
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BARA222 a écrit:
Une spéciale dédicace à Viet et à tout les amoureux de ce mythique Quartier qu'est Derb Sultan...
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