Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Le dernier tacle de l’Etat
a
22 février 2007 21:38
Le dernier tacle de l’Etat
Après avoir constaté la montée en puissance du PJD, prouvée entre autres par le sondage de l’IRI publié par “Le Journal hebdo” en mars 2006, le ministère de l’Intérieur sort une nouvelle carte de son jeu. Pour contenir une éventuelle vague islamiste aux prochaines élections, le Pouvoir a dessiné un découpage électoral défavorable au PJD.

«Le roi ne veut rien savoir. Il ne veut pas entendre parler du PJD comme première force politique. Cela El Himma le sait pertinemment. C’est pourquoi il fait tout pour réduire au maximum leur prévisible avancée électorale». Ce propos nous a été tenu par un habitué des arcanes du makhzen pour expliquer la finalité politique du dernier charcutage électoral.
C’est un secret de polichinelle qu’autour du roi, on s'agite et on fait feu de tout bois pour contenir l’inéluctable succès électoral du PJD. Tout indique que plusieurs scénarii ont été mis en oeuvre pour isoler le PJD et réduire sa prévisible percée lors des prochaines échéances électorales. Plusieurs initiatives et actions concomitantes élaborées et supervisées par les proches du roi, voilà plus d’un an, corroborent la fameuse thèse du façonnage d'un bloc anti-PJD. Il faut dire que les islamistes du PJD sont devenus un véritable casse-tête pour tous. Pour le Palais, pour la classe politique ainsi que pour une partie de la société civile.
Au ministère de l’Intérieur, le duo Benmoussa-El Himma a tout essayé pour déstabiliser ce parti cible.
Avant même la publication du sondage de l’IRI par “Le Journal Hebdo” en mars 2006, qui a donné le PJD largement favori pour les élections de 2007, Chakib Benmoussa et Fouad Ali El Himma ont tenté de confectionner une “pré-carte” politique où les islamistes n’auraient pas une grande place.
Ils ont ainsi tenu, depuis l’été 2005, une série de rencontres, formelles et informelles, aussi bien avec les partis de la majorité gouvernementale qu’avec quelques uns de l’opposition. Au menu, mode de scrutin, campagne électorale, bilan du gouvernement, jeu des alliances, fusion des mouvements populaires, etc. Bref, selon plusieurs responsables politiques qui ont pris part à certains de ces entretiens qui ressemblaient parfois à des briefs, on a dû fixer les grandes lignes d’une stratégie à plusieurs options pour la reconduction de la majorité actuelle, à quelques retouches près. Une stratégie qui a également et surtout pour objectif, tacite bien sûr, l’interception de l’émergence d’un parti électoralement fort, en l'occurrence le PJD.
Tout en s’assurant que leurs orientations ont été respectées par les partis “amis”, Benmoussa et El Himma ont multiplié les sondages officieux pour “s’enquérir” des intentions des votants. Le dernier sondage en date remonte au mois de janvier dernier. Ses résultats confortent encore une fois le pôle position du PJD. Au grand dam de Benmoussa et El Himma qui semblent avoir peur du “danger islamiste” ou plutôt de la vérité des urnes.
Et comme c’est au ministère de l’Intérieur que les véritables cartes politiques marocaines ont toujours été confectionnées et façonnées avant même le scrutin, Benmoussa et El Himma ont commandé un découpage électoral favorisant la manipulation de la carte électorale. Selon quels critères ce découpage a-t-il été conçu ? Cherche-t-on à représenter une portion du territoire ou plutôt un ensemble d’individus ? Comment concilier l’égalité démographique et l’unité géographique? Et à quelles fins ? Cette interrogation pose le problème de la neutralité du découpage qui doit être, sans aucun doute, le dernier souci de Benmoussa et El Himma.
En tout cas, les ingénieurs de «la mère des ministères» réputés pour leur talent dans le façonnage des cartes politiques, leur ont concocté un beau «gerrymandering». Un charcutage électoral parfaitement anti-PJD.
Ce constat est partagé par plusieurs hommes politiques, de gauche comme de droite, qui sont convaincus que c’est le PJD qui est le plus visé par ce découpage électoral.
Ainsi, le nombre des sièges dans la plupart des circonscriptions où les amis de Saâdeddine El Othmani ont réalisé de “bons scores” lors des élections législatives de 2002, ont été revu à la baisse.
On a été même jusqu'à charcuter ou scinder en deux, et d’une manière disproportionnée, certaines circonscriptions considérées par le département de Chakib Benmoussa comme un “fief électoral” des islamistes. Comme c’est le cas de Tanger, Tétouan, Chefchaoun, Fès, et à moindre mesure, Casablanca.
C’est le cas d’Anfa, le quartier le plus aisé de Casablanca, où le PJD a gagné, à la surprise générale, 2 sièges sur 5 en 2002, le nouveau découpage n’y a prévu cette fois que 4. Des élus locaux du parti dans la capitale économique estiment qu’avec cette nouvelle mouture territoriale, le PJD ne peut espérer rafler qu’un seul siége à la circonscription d’Anfa. Et cela, assurent-ils, à cause d’un découpage très typé qui ressemble à une salamandre sur une carte. Or, dans un pays démocratique, soucieux de la transparence et de la crédibilité de ses élections, le découpage électoral est censé donner à tous les électeurs un poids équivalent. Cela signifie deux choses. Primo, le nombre de sièges d'une circonscription doit être proportionnel à la population de cette circonscription. Secundo, le parti qui obtient le plus de voix obtient aussi le plus de postes.
Pour dénoncer cette nouvelle tentative anti-PJD, Saâdeddine El Othmani a organisé le 10 février 2007 une conférence au siège du parti à Rabat. Et comme il fallait s’y attendre, le secrétaire général du PJD n’a pas été aussi agressif que le souhaitaient certains de ses amis. «Ce découpage constitue une régression dangereuse dans les développements positifs qu’a connus le processus électoral au Maroc», a fait remarquer Saâdeddine El Othmani.
Les critiques molles et les positions très timides du secrétaire général ont fini par exaspérer non seulement la base du parti mais également certains dirigeants. C’est le cas de Mustapha Ramid, l’un des fondateurs du PJD et aussi un de ses leaders les plus populaires. Cet avocat doukkali boycotte toujours les réunions du secrétariat général pour manifester son désaccord contre la politique trop “consensuelle”, et à terme périlleuse, adoptée par son parti, notamment le duo El Othmani-Daoudi.
Ces deux derniers «pêchent souvent par leur naïveté politique. Ils ont commis plusieurs erreurs et fait beaucoup de concessions afin d’éviter la confrontation avec le Palais. Ils risquent ainsi de faire payer un fort prix au PJD», dira un proche du PJD sous le sceau de l’anonymat.
La direction du PJD semble ainsi se trouver entre le marteau et l’enclume. Le marteau du Palais qui veut le contenir pour mieux le maîtriser et éviter ainsi de se retrouver face à un parti électoralement et politiquement fort. Donc, un parti qui lui tiendra tête, qui lui exigera de véritables réformes constitutionnelles et qui lui demandera de rendre des comptes, comme ce fut le cas de l’USFP à une certaine époque. Et puis, l’enclume de ses bases et de ses militants qui commencent à montrer des signes d’impatience, eux qui aspirent à une société fondée sur des valeurs islamiques.
Et visiblement, c’est ce projet qui inquiète outre mesure une partie de la société civile. Comme c’est le cas pour l’association 2007 daba, dont le cheval de bataille est manifestement la lutte contre la désaffection politique. Ses membres sont convaincus qu'un taux de participation faible lors des prochaines échéances électorales est un réel danger pour la démocratie. «Cela laisse le champ libre à tous les extrémismes», soutiennent-ils. Et ils donnent pour exemple les élections législatives de 1992 en Algérie.
Le renvoi au cas algérien n’est pas tout à fait innocent. Car in fine l’objectif est de faire craindre aux Marocains l’idée même de la victoire électorale du PJD. «La diabolisation de notre parti est dangereuse pour le Pouvoir lui-même. Car notre parti n’est pas aérolite. Le PJD, qu’on le veuille ou non, représente ce que pensent et veulent des millions de Marocains. Donc, avant de combattre Ramid, Benkirane ou El Yatim, il va falloir faire changer de convictions des millions de Marocains. Et puis, on ne comprend plus rien. Je voudrais qu’on m’explique comment le Pouvoir peut-il demander aux Marocains de ne pas tourner le dos à la chose politique, et en même temps concocter un découpage électoral anti-démocratique ? C’est une insulte à leur intelligence», lâchera agacé un député péjédiste.
Décidément, les instigateurs des scénarii anti-PJD se mélangent les pinceaux. Chacun y va de sa grille d’analyse, de ses supputations approximatives, de ses projections, de ses intérêts personnels, et surtout de ses fantasmes.
L’épouvantail PJD est-il toujours suffisant et crédible pour justifier toutes ces formes d'arrangements politiques préalables ? A terme, le “danger islamiste” devient un mauvais alibi. Une arme à double tranchant pour le Palais.

Par TAïeb Chadi
& Omar Brouksy

.lejournal-hebdo
z
22 février 2007 21:44
Sacre Journal Hebdo smiling smiley Le temple de l'objectivité... C'est normal qu'on ait le journalisme qu'on merite en fin de compet, personne ne fait un "suivi" des immensites qu'ils pondent... Pourquoi s'arreteraient-ils?
a
22 février 2007 22:46
Ce n'est pas le seul à avoir relaté le charcutage de circonscription.
ce bidouillage est bien réél.
toi qui nous chantes les louanges d'un Maroc démocratique tu devrais le regretter.
A moins que ton rôle sois de défendre systématiquement l'ETAT
z
22 février 2007 23:00
"regretter"? pas compris l'analogie, expliques moi stp...

Je ne defends ni l'etat ni JH. Je te dis simplement que le jour venu, le PJD gagnera bel et bien. Tout ce que tu lis dans JH, El Mundo et autres catastrophes journalistiques deontologiquement parlant, ne sont que des discussions de salon. De plus, permettre au PJD de gouverner est une aubaine trop belle pour le pouvoir pour demasquer les faiblesses d'un parti ideologique une fois qu'il aura a gerer la chose publique... Une autre raison pour laquelle je ne crois pas aux sornettes de JH. Unjournal qui a des comptes a regler n'est pas ce que j'appellerais "neutre" et credible, mais bien a toi le droit de boire tout ce qu'ils disent. Faut bien que Jamai paie ses billets casa-madrid smiling smiley
a
22 février 2007 23:44
Azbou , les dés sont jetés cette fois ci , je comprends mieux maintenant la boue dans laquelle tu trainais le Maroc à longueur de posts.
En fait je m'étais pas trompé , il ya de l'éléctoralisme en dessous de tout cela.
a
23 février 2007 00:15
il ya eu refonte des circonscription, c'est une chose qui peux être controlé.
De plus il n'y apas que le-journal qui a sorti cette info.
le gfait que tu contest montre ton peu d'objectivité.
on voit pour qui tu roule.
le mackhzen et non le Maroc
a
23 février 2007 00:27
Le makhzen est un concept un peu vieillot et parti en fumée , j'espere une fois pour toute.
Les choses évoluent certes lentement mais surement.
Certains veulent bruler les étapes au risque de se bruler les ailes.
L'alternative que tu proposes nous ramenara surement aux pires moments des années de plomb.
Années que je ne souhaiterais plus pour mon pays.
Au rique de te decevoir je ne roule pour personnee mais seulement pour mon pays le Maroc pour lequel je veux autre chose et non l'histoire qui se repette.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/02/07 01:10 par azl95.
z
23 février 2007 00:46
azbou/skhouni

T'y es presque, il suffit d'enlever le "c" a "mackhzen" maintenant et tu auras fianlement la bonne orthographe smiling smiley Tu pourras alors te faire prendre pour un marocain.

Tu ne m'as pas repondu j'ai remarque a propos de ce lapsus tres tres ravelateur a mon avis... Je recopie d'un autre poste:

Tu dis : ce n'est pas un contrat entre un roi et son peuple, c'est un contrat entre un roi et un mackzen qui gangréne le pays.

Je t'ai deja dit il y a longtemps et avant que tu ne changes de pseudo que c'est makhzen et non pas mackzen... Tout marocain sait epeller ce mot... smiling smiley donc tout ton argumentaire de marocain qui combat le "mackzen" est un bien joli essai, mais raté, une fois de plus...


[www.yabiladi.com]




Citation
azbou a écrit:
il ya eu refonte des circonscription, c'est une chose qui peux être controlé.
De plus il n'y apas que le-journal qui a sorti cette info.
le gfait que tu contest montre ton peu d'objectivité.
on voit pour qui tu roule.
le mackhzen et non le Maroc
a
23 février 2007 01:11
Pour avoir autant de haine pour son propre pays , je pense effectivement zaki t'as raison
a
23 février 2007 23:09
MAQZEN MACQZEN MACKZEN MAKZHEN MAKZZEN

A ce que je sache ce n'est pas un nom français, il ne peux y avoir d'ortographe officiel en caractére latin au Maroc, sachant que l'écriture officiel du Maroc est l'arabe, Donc je sais pas ou t'a péché l'écriture officel et sacralisé de Makhzen.


L'écriture Makhzen t'est peux être familiére, c'est vrai que tout milieu à ses habitudes, peux être que dans ton milieu makzenien, vous avez des habitudes d'écriture de ce mot qui vous unie.
Ca ne m'interesse pas.

Tu met en doute ma citoyeneté marocainne, peux être que dans ton esprit de lécheur de botte royalles il est inconcevable de ne pas être monarchiste et d'être marocain.

Cependant tu ne parle pas du fond, les bidouilles royal pour ne pas avoir des éléctions représentatives de la volonté du peuple marocain, la volonté d'affaiblir un parti qui risque d'avoir une majorité et qui pourrait faire de 'l'ombrage au pouvoir du roi.
Le charcutage et la volonté de ne pas porté à 3% le taux de représentativité à l'assemblé pour avoir une pléthore de petit partis.

Toi qui met toujour en avant le coté démocrate du ROi, tu n'y trouve rien à redire.
C'est plus pratique de détourner le sujet en mettant en cause lejournal sur sa légitimité et moi sur ma citoyenneté.



Et pour Azl95 j'ai la haine du Maroc que tu souhaite, un maroc b*ordel qui se vend pour quelques dihram, oui j'ai la haine de ce maroc, et la haine de ceux qui le défende.
j'aime le maroc qui est résté digne

On a pas les mêmes valeurs, j'y peux rien.
m
24 février 2007 00:40
Jel'ai peche d'ou j'ai peche tous les autres mots smiling smiley

C'et pour ca que nous marocains quand on parle de casablanca, on n'ecrit pas cazablanka ou quand on parle de Jawad X onne dit pas Djawad X. c'est des mots qu'on a vu des centaines et des milliers de fois, tout simplement..voila d'ou je fais ma peche, la ou n'importe quel marocain ne se tromperait pas sur quelque chose d'aussi elementaire..

Je ne doute pas de ta "citoyennete", une citoyenente qui ne connait pas l'orthographe du mot, coment peut-elle se defendre d'en comprendre le concept ou d'avoir jamais fait partie du Marrok, pardon, maroc... smiling smiley

Tu vois c'est comme "royalles" dans "lécheur de botte royalles". Un marocain qui a lu toute sa vie les journaux marocains ne ferait jamais cette faute. Mais bon, apparement tu mets 2 L a Royalles, ne me traites pas de monarchiste donc, j'en mets qu'un seul moi smiling smiley


Pour le "fond", de quoi tu parles mon ami encore une fois? Le PJD est un parti royaliste, il ne le cache pas, il ne conteste meme pas si la monarchie doit ou ne doit pas exister, donc je ne vois comment tu peux faire un argument base sur ton imagination ou sur ton auto-conviction personnelle.

quant au commentaire sur le Maroc b*ordel, par respect aux yabiladiennes et aux marocaines (y compris celles qui te sont proches), je n'irais pas dans cette pente, ca n'en vaut pas vraiment la peine. et comme tu dis si bien, ca te donenra une perche pour ne pas parler du "fond"...


et tu as totalement raison, on n'a ni les memes valeurs, ni la meme orthographe.


Citation
azbou a écrit:
MAQZEN MACQZEN MACKZEN MAKZHEN MAKZZEN

A ce que je sache ce n'est pas un nom français, il ne peux y avoir d'ortographe officiel en caractére latin au Maroc, sachant que l'écriture officiel du Maroc est l'arabe, Donc je sais pas ou t'a péché l'écriture officel et sacralisé de Makhzen.


L'écriture Makhzen t'est peux être familiére, c'est vrai que tout milieu à ses habitudes, peux être que dans ton milieu makzenien, vous avez des habitudes d'écriture de ce mot qui vous unie.
Ca ne m'interesse pas.

Tu met en doute ma citoyeneté marocainne, peux être que dans ton esprit de lécheur de botte royalles il est inconcevable de ne pas être monarchiste et d'être marocain.

Cependant tu ne parle pas du fond, les bidouilles royal pour ne pas avoir des éléctions représentatives de la volonté du peuple marocain, la volonté d'affaiblir un parti qui risque d'avoir une majorité et qui pourrait faire de 'l'ombrage au pouvoir du roi.
Le charcutage et la volonté de ne pas porté à 3% le taux de représentativité à l'assemblé pour avoir une pléthore de petit partis.

Toi qui met toujour en avant le coté démocrate du ROi, tu n'y trouve rien à redire.
C'est plus pratique de détourner le sujet en mettant en cause lejournal sur sa légitimité et moi sur ma citoyenneté.



Et pour Azl95 j'ai la haine du Maroc que tu souhaite, un maroc b*ordel qui se vend pour quelques dihram, oui j'ai la haine de ce maroc, et la haine de ceux qui le défende.
j'aime le maroc qui est résté digne

On a pas les mêmes valeurs, j'y peux rien.
a
24 février 2007 20:16
Zaki alias Morrocoboc peux être aussi Azl95 puisque tu réponds aussi pour eux.
2 ou 3 pseudo c'est pas trés déontologique.
A force de créer des monarchiste mackzenien vous aller finir par être plus que 30 millions.
b
24 février 2007 20:31
Une petite remarque, on écrit Makhzen et pas mackzen.
m
24 février 2007 20:45
Azbou/skhouni, non non je ne le cache pas, zaki = moroccoboc effectivement. L'un est pour le forum anglais, l'autre pour le forum francais smiling smiley

Azl95 est une autre personne, mais si ca te rechauffe le coeur de me prendre pour azl95, tu es le bienvenue, tu devras juste prouver qu'il fait les memes erreurs d'orthographe sur des mots largement connus chez le peuple marocain...

donc je ne me cache pas derriere les pseudos t'en fais pas smiling smiley je n'en ai pas besoin tout simplement parce ke je connais un minimum des sujets dont je parle, comme le "mackzen" et les activites "royalles" lol

Donc notes le : zaki7 ici, moroccoBOC sous d'autres cieux.

En plus on peut pas dire que t'es une lumiere franchement, en utilisant MoroccoBoc, je t'ai repondu en citant ton texte et en t'adressant directement a partir du message precedent, je pense qu'il y a une relation inversement proportionnel entre ton aptitude a presenter des arguments et ta meconnaissance aigue de la societe marocaine, a part bien entendu les sujets sur la prostitution et le "Mackzen".

sinon il fait beau la bas a l'est? smiling smiley


Citation
azbou a écrit:
Zaki alias Morrocoboc peux être aussi Azl95 puisque tu réponds aussi pour eux.
2 ou 3 pseudo c'est pas trés déontologique.
A force de créer des monarchiste mackzenien vous aller finir par être plus que 30 millions.
25 février 2007 01:32
Bonsoir,

Merci de revenir au sujet.
Je vous rappelle que les attaques personnelles sont interdites.
"Marocainement vôtre" L'admin
a
26 février 2007 20:47
Mais bon passons, ça t'évite de parler du fond , la diminution du nombre de représentant par élécteur dans les zones urbaines où le pjd a montré qu'il était populaire.
C'est ça sans doute le MAROC DEMOCRATIQUE.

CE MAROC avec une façade démocratique et l'arriére coure ou régne la magouille MAKKNEZIENNE (tiens encore une faute d'orthographe)
a
26 février 2007 20:56
Charcutage électoral : La preuve par trois cas

Au ministère de l’Intérieur, la direction des élections travaille d’arrache-pied sur les scénarii probables et possibles des prochaines élections législatives.
Au fur et à mesure que l’on approche des élections, la tension monte. Le souci de présenter une carte électorale au préalable est devenu une tradition. Un outil aussi important que le découpage électoral donne une idée très avancée sur les tendances politiques qui devraient émerger. Car lorsqu’on a des données démographiques et géographiques sur chaque circonscription, les simulations sur les intentions de votes deviennent, grâce au travail de proximité des milliers des moqqadams opérant sur le territoire du royaume, faciles à deviner et à quantifier. Et puis, la plupart des zones sont connues pour voter d'une façon ou d’une autre.

Et comme un découpage n’est jamais neutre, il peut astucieusement avantager un parti ou le cas échéant le défavoriser. C’est le cas du dernier découpage proposé par le ministère de l’Intérieur dont le PJD dénonce la partialité. Un arrêt sur certaines circonscriptions " taillées " par ce découpage démontre comment le ministère de l’Intérieur est décidé à réduire l’avancée électorale du PJD.



La preuve pas trois

Ainsi Tanger offre un exemple flagrant en la matière.

D’abord, la ville du Détroit a été scindée en deux préfectures : Tanger–Asilah et El Fahs-Anjra. La première préfecture, pratiquement urbaine, compte 4 sièges pour 762.583 habitants dont 260.000 nouveaux habitants de la circonscription de Bni Makada qui vient d’être annexée par le nouveau découpage électoral à Tanger-Asilah alors qu’elle relevait jusque-là d’El Fahs-Anjra. La deuxième préfecture, complètement rurale, où le PJD est quasi absent, a été dotée de 2 sièges pour 97.295 habitants.

Si la règle de la représentativité (démographie et superficie) a été respectée, Tanger–Asilah devait bénéficier de 7 sièges au lieu de 4. Mais comme ce territoire est considéré comme étant acquis au PJD, le ministère de l’Intérieur a réduit le poids électoral de cette région, privant ainsi le PJD d’un siège ou deux de plus.

Autre région, autre carte politique. A Sidi Kacem où la démographie est moins forte que celle de Tanger-Asilah. Avec 692.239, habitants, la ville bénéficie de 7 sièges. Or Sidi Kacem est loin d’être un fief électoral du PJD. Les élections de 2002 le démontrent entièrement. Les amis de Saâdeddine El Othmani n’ont pu y avoir aucun siège.
Un peu plus loin de la région de Chrarda, la grande Casablanca n’a pas échappé elle non-plus au morcellement administratif. En plus de ramener de 5 à 4 le nombre de sièges à Anfa, le ministère de l’Intérieur a eu l’ingénieuse idée de créer une nouvelle circonscription à Nouacer qui était jusque-là rattachée à Ben Msik-Mediouna. Et on a donné 3 sièges à Nouacer où le PJD est loin d’être bien représenté. Bien sûr cela n’a pas échappé aux élus locaux du parti qui sont scandalisés par cet énième tacle de l’Etat contre leur parti.

lejournal-hebdo.com
m
26 février 2007 21:24
Mais mon ami, tu veux parler du fond et tu continues a ecrire des postes aigris. Quand on veut parler du fond eton le declare, on laisse la lourdeur de cote et on parle du fond. tou simplement... Donc MoroccoBOC te dit: get over it smiling smiley et couscousauxbonbons (mon pseudo cusine) te dit: arretes de nous gaver. On est rassasié. Et mon pseudo Socrate-Marruecos te dit: non toute la societe marocaine ne se resume pas au sujet de la prostitution. Quant a mon pseudo connaitreleMaroc-un-minimum, il te dit recherches et lis sur ce que tu ecris pour eviter de tomber dans le ridicule en demontrant que tu ne sais pas epeler le mot meme du sujet que tu veux t'approprier.

Ca fait longtemps que tu es sur ce forum, moi et toi savons tres bien les arguments d'un cote et de l'autre, et si je fais le resume de ton CV yabiladiste ca se resumera a trois mots:

Makhzen
Prostitution
PJD

Ces trois vont toujours ensemble d'ailleurs...

donc si tu veux parler du fond tabarakallah, si tu veux continuer sur cette lancee, tu y perdras des plumes.

Revenons donc au fond:

-Peux-tu m'expliquer pourquoi le PJD est pro-monarchie?
-Peux-tu m'expliquer toi qui pense que la monarchie est responsable de tous les maux des marocains (y compris la prostitution qu'elle encourage selon toi), comment tu peux soutenir un partie monarchique en etant anti-makhzen?

Merci pour une reponse coherente.. au moins une fois..
a
26 février 2007 22:42
laissons la prostitution pour un autre poste.

Pour ce qui est du PJD il est monarchiste par obligation à mon avis, car un parti politique dois reconnaitre le roi pour exister et participer aux élections, ils ont chosi le pragmatisme, mais je pense que beacou de dirigeant, et plus encore de militant ne le porte pas dans leur coeur.
d'ailleur le roi leur rend bien, car lui ou ces proche (c'est kif kif) ont fait pression pour qu'ils réduise leurs élus aux denieres élections municipales et lesgislatives.

je soutiens le PJD par défaut, je préférerais un parti clairement ani-monarchiste, mais on a pas le choix au Maroc.

ok couscousauxbonbons (ton mauvais goût en terme de cusine ne m'étonne pas )

Mais peux tu me dire si tu conteste l'article du journalhebdo concernant les exemples de charcutage éléctoral.
m
26 février 2007 22:58
Mes gouts concernant la cuisine dependent de l'invite, dans ce cas, meme un couscous aux bonbons est approprié smiling smiley

Pour revenir au "fond":

Donc tu nous expliques en quelque sorte que tu supportes par defaut un parti monarchiste qui l'est par obligation, ya salam... L'incoherence coherente. L'ordre dans le chaos. ca t'arrive de relire ce que tu ecris de temps en temps? Parce que ton argument la, il atteint de nouveaux fonds.

comment tu peux venir ici nous gaver avec ah moi je suis anti-makhzen, le roi il doit faire sa valise et s'exiler afin que la prostitution tout d'un coup s'arrete au maroc (par magie) et que le maroc devienne une superpuissance.. et d'un autre tu soutiens le parti qui fait le plus le leche-botte parce qu'il veut le pouvoir, a n'importe quel prix...

Tu serais un fan de Yassine, je dirais ok la au moins il ya de la suite dans les idees, mais la, il me semble que tu melanges les pinceaux.

Voila ce que ton journal Hebdo dit de ton PJD, en supportant ce parti, tu supportes donc la position du PJD en tant que defenseur de la monarchie, n'est ce pas? Parce que si c'est pas le cas, je crois que tu dois encore une fois te renseigner sur le sujet en piochant plus sur les principes du PJD...

Tu vois finalement, je suis plus proche sur la position du PJD concernant l'evolution que la monarchie doit suivre que Maroc que toi...

Réaction

Le PJD se démarque

Les membres du PJD sont, pour une fois, unanimes : ils contestent tous l'approche de Nadia Yassine sur la monarchie. Sans néanmoins oublier de préciser que la liberté d'expression est un principe qu'il faut respecter à tout prix. Au sujet des poursuites à l'encontre de la fille du cheikh Yassine, Mohamed Khalfi, rédacteur en chef du quotidien « Attajdid », explique que « tout acteur politique a le droit d'exprimer ses opinions politiques. La liberté d'expression garantit ce droit tant que l'on respecte la loi et la Constitution marocaines ».
Même si Nadia Yassine a ouvertement attaqué le parti d'Othmani, le PJD préfère aujourd'hui la ménager. Le député Abdelkader Aâmara relativise d'ailleurs ses déclarations. « Ce n'est pas la première fois que Nadia Yassine réagit de la sorte. Concernant le PJD, elle n'est pas la seule à nous accuser d'être récupérés par le Makhzen. Nous avons choisi de reconnaître les institutions et d'y travailler. L'histoire jugera les choix de chacun », affirme Aâmara. Mais les islamistes du PJD qualifient d'erreur politique « l'analyse académique » sur la monarchie développée par Nadia Yassine. Mohamed Khalfi estime, pour sa part, que « cette analyse est vide de tout sens scientifique. Elle n'a pas été présentée sous une forme académique. Un débat académique construit pouvait apporter énormément de choses », regrette Khalfi. L'un des points de discorde entre le PJD et Al Adl Wal Ihsane a toujours été le rôle de l'institution monarchique. Pour les amis d'Othmani, la monarchie est une institution incontournable. « Sa légitimité vient de l'histoire du pays et de sa popularité », souligne le député Abdelkader Aâmara. Pour le PJD, l'évolution de cette institution est nécessaire, mais devra se faire dans un climat serein. Tout en appelant à une réforme constitutionnelle qui permettra au gouvernement ainsi qu'au Parlement d'exercer un vrai pouvoir, le PJD affirme que la monarchie aura toujours un rôle d'arbitre. Khalfi conclut que « la monarchie est une composante du champ politique marocain. Elle a évolué au sein du paysage politique et social du pays. Il faut travailler avec elle et essayer d'accompagner son évolution ».
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook