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Moh Tsu a écrit:
As-salam aleykoumou
Premier deuil qui est normalement une réjouissance pour un vrai croyant en voyant l'être aimé quitté la prison qu'est ce bas monde, fait de souffrances et épreuves en tous genres
Le manque est certain dur mais d'un côté il est normalement compensé par l'idée de l'être aimé est près de Dieu
"154. Et ne dites pas de ceux qui sont tués dans le sentier d'Allah qu'ils sont morts. Au contraire ils sont vivants, mais vous en êtes inconscients.
155. Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants,
156. qui disent, quand un malheur les atteint : "Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons"." Sourate 2 Al Baqara
Deuxième deuil
Il faut accepter les échecs qui sont nécessairement les étapes d'une (autre) réussite qui vient après ou dans/pour l'autre vie... Cela s'appelle apprendre. C'est comme marcher, parler, étudier, etc. c'est jamais facile... et pourtant à forcer de tomber, se relever, essayer à nouveau, mais autrement, en s'aidant de son expérience, on arrive vers quelque chose d'autre, comme le fait de courir...
« Allah ne ferme pas une porte à un de ses serviteurs par sagesse qu'en lui ouvrant deux autres par sa miséricorde » Ibn Al Qayyim
Les deuils, échecs, manques, ratés, etc. font partis de la vie... C'est grâce à eux qu'on apprend à grandir, à faire face à l'adversité, à ses aléas, et qu'on acquiert du caractère, de la patience et qu'on endure les choses... Ce qui a pour effet de nous maintenir éveiller face à la réalité de cette vie éphémère vouée à disparaitre, comme tout ce qui nous entoure... et ne pas quitter de vue ce qui attend toute Créature... la mort.
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monica777 a écrit:
Je ne suis pas d'accord . Le deuil d'un proche (parents, parenté proche, enfant ) est l'épreuve de ce monde la plus terrible et douloureuse qui soit. Au contraire, une relation qui se termine, est plutôt vécu comme un échec personnel, dont on se relève avec plus ou moins de difficultés.
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monica777 a écrit:
Je ne suis pas d'accord . Le deuil d'un proche (parents, parenté proche, enfant ) est l'épreuve de ce monde la plus terrible et douloureuse qui soit. Au contraire, une relation qui se termine, est plutôt vécu comme un échec personnel, dont on se relève avec plus ou moins de difficultés.
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صبر a écrit:
Le second deuil on perd une partie de sois
Eh bien moi j’ai perdu ma personne ma joie l’amour d’ailleurs je me souviens encore dire à Allah
Au moment où j’étais en pleine dépressions que je souffrais de douleurs et pendant 3 ou 4 long moins ça ne s’arrêtait pas
Une brûlure énorme au cœur parfois la douleur était si intense que je répéter Oh Allah j’ai très mal tout en gesticulant dans mon lit
Mais je savais que c’était un bien pour moi cette souffrance et que c’était dû à mes propre mains
La coïncidence que je tombe sur votre poste,
Je travail de nuit en ce moment dans un endroit proche de là où j’ai eu ma relation pendant 4 ans et demi
Et je me suis mis à repenser encore au passé, puis j’ai du parler à mon âme de vive voix
Lui dire que la décision d’Allah était parfaite pour moi, qu’il fallait que je balaye tout ces souvenir qui ne font que me
Rendre triste
Je me suis rappeler à moi même tout les bienfait qu’Allah m’avais donner suite à cette épreuve ou j’ai souffert énormément
Pour en revenir au sujet le second deuil est le plus horrible sans aucun doute
Et mon deuil est fini mais il y aura toujours des choses dans la vie pour me l’éveiller encore et c’est à moi de me reprendre pour m’en re débarrasser
Pour moi cette personne et morte. Et moi même je suis mort une fois tout en laissant tout mes souvenir avec cette femme.
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