Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Donner trop aux enfants c’est les pourrir ?
G
6 juin 2022 11:21
Salam les yabis

Je me demande si le fait de faciliter trop la vie aux enfants n’est pas un cadeau empoisonné finalement ??

En effet pour leur garantir un bel avenir ne faudrait il pas les familiariser un tant soit peu avec la galère ? La difficulté ? L’effort ??? Quand je vois tous ces fils de qui ne réussissent absolument pas leurs vies à l’instar de leurs parents ... souvent le parent qui a grandi dans la misère dans la difficulté soulève des montagnes meme son enfant fera nettement moins mieux que lui. J’ai énormément de cas autour de moi, des parents ayant grandi dans la misère, bien loin des bibliothèques, qui pourtant ont réussi à déjouer le sort et finir médecin ou ingénieur

A l’inverse leurs enfants n’ont pas eu de parcours exceptionnel .... loin de la ....

Aussi, dans mon entourage également j’les amies de ma petite sœurs inscrites en médecin ont toutes échouées, pourtant les parents avaient payés des prépa à 8000 balles l’année ...

La seule petite qui a réussi c’est une fille qui avait perdu son papa très tôt et dont la maman a passé une majeure partie de sa vie à combattre un cancer ... pas de prépa pour elle. Et pourtant classement plus qu’honorable et réussite au concours.


Du coup je me dis je dois arrêter de gâter mes enfants et les familiarises avec l’effort, le mérite, le goût du travail / de la difficulté...

Vous en pensez quoi
'
6 juin 2022 11:29
Slm

Je pense qu’il faut apprendre aux enfants le goût de l’effort, et le goût d’obtenir ce que l’on veut seulement après avoir travaillé pour.

Si on ne veut pas en faire des feneants ça me semble important.

Concernant la réussite je n’ai pas la même vision que toi. L’enfant n’est pas en compétition avec ses parents. Sa réussite et ma réussite c’est son comportement, ses valeurs et son honneur.

Pour le travail tant qu’il fait qq ch de noble, de legal et qui lui plait, ma foi, medecin ou boucher ça ne changera rien pour moi ! ?
J’attaque pas les personnes mais les idées. Les personnes n’en valent pas le coup. ☀️ Pssst en fait si, parfois j’attaque les co** ^^
P
6 juin 2022 11:33
Le phénomène que tu montres (un "galérien" qui s'en sort remarquablement bien, mais ses enfants pas tant que ça), c'est un symptôme des ""nouveaux riches"" (expression non péjorative !).

Quand on a manqué de tout, on veut offrir le meilleur à ses enfants, les aider, leur apporter tout le soutien dont on n'a pas disposé. C'est normal et naturel, c'est aussi une façon de montrer à ses enfants qu'on les aime ("ce que je n'ai pas eu, je te l'offre, je veux que tu ai une vie plus facile que moi"winking smiley.

Par contre, si tu regardes comment ça se passe dans des familles où le niveau social et culturel est élevé depuis plusieurs générations, tu vois qu'ils n'éduquent pas leur enfants de la même façon que les "nouveaux riches". Ils ne privent pas leurs enfants, mais ils leur transmettent le goût de l'effort.
Typiquement, quand on demande à chacun de ses enfants de pratiquer un instrument de musique (ce qui demande beaucoup de travail, de concentration et de répétition, il y a beaucoup de "chiant et rébarbatif" avant le fun), c'est exactement ça. On apprend aux enfants à travailler dur, pour qu'ensuite ils sachent travailler dur dans leurs études.

De même quand on leur fait pratiquer un sport, ça sert certes à décompresser, mais aussi à apprendre les valeurs propres au sport (dépassement, esprit d'équipe, humilité, etc..).

En vacances, on ne fait pas que jouer et se détendre, mais on se cultive aussi, on va dans des musées, on écoute le guide, etc. On "apprend à être intéressé" (ça ne se développe pas tout seul).

On les met dans la difficulté, non pas en les privant, mais en augmentant le niveau d'exigence envers eux. Mes parents ne se satisfaisaient jamais d'une note "moyenne" à l'école par exemple, ils exigeaient de nous le meilleur possible. Si on était pas dans les trois premiers, c'est qu'on n'avait pas travaillé assez dur.


C'est pour ça que dans le haut du panier, tu trouves souvent ces enfants-là, et avec eux ceux qui ont galéré et se sont battus toute leur vie pour monter.
Par contre les enfants de ceux qui se sont battus, on a souvent voulu les préserver des difficultés de la vie, tout en ne leur apprenant pas forcément à se dépasser et à "souffrir" par les moyens des classes sociales plus élevées. On a "apprécié le confort" quoi. L'inconvénient, c'est que les enfants apprennent à se déplacer uniquement dans leur zone de confort.
M
MFL
6 juin 2022 11:34
Bien évidemment que ce n’est pas bon gâter ses enfants!
Ça crée des enfants exigeant, qui n’accepte pas les refus, les contraintes ou auront du mal à gérer les échecs.

Sans parler du manque de reconnaissance !
Ils seront très souvent ingrats envers leur parent puisque pour eux, c’est « normal » d’avoir tout ce qu’ils ont eu

Et puis soyons lucide, c’est un principe contraire à l’islam!
Les excès et le gaspillage!

Il faut savoir dire non, et autoriser les plaisirs de façon ponctuelle…

Perso de nos jours, je vois des parents qui mettent sur les réseaux sociaux quasiment tous les jours, ou tous les weekend: les jouets en veux tu en voila (à base de lego et playmobil à 80/100€), la sortie au parc, au bowling, au laser game, au karting, à l’accrobranche,
Sans parler des resto! C’est limite la honte si ton gamin ne mange pas un burger au fast food chaque week-end!

C’est vraiment trop!

Bref pour moi, c’est contre productif!

Bcp de parent transposent leur enfance sur celles de leur bambins…ils veulent que leur enfant ne manque de rien mais finalement ne leur rende pas service

Qu’Allah nous facilite l’éducation de nos enfants



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/06/22 11:48 par Rhlass.
6 juin 2022 11:47
Oups gros n'importe quoi
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
Le phénomène que tu montres (un "galérien" qui s'en sort remarquablement bien, mais ses enfants pas tant que ça), c'est un symptôme des ""nouveaux riches"" (expression non péjorative !).

Quand on a manqué de tout, on veut offrir le meilleur à ses enfants, les aider, leur apporter tout le soutien dont on n'a pas disposé. C'est normal et naturel, c'est aussi une façon de montrer à ses enfants qu'on les aime ("ce que je n'ai pas eu, je te l'offre, je veux que tu ai une vie plus facile que moi"winking smiley.

Par contre, si tu regardes comment ça se passe dans des familles où le niveau social et culturel est élevé depuis plusieurs générations, tu vois qu'ils n'éduquent pas leur enfants de la même façon que les "nouveaux riches". Ils ne privent pas leurs enfants, mais ils leur transmettent le goût de l'effort.
Typiquement, quand on demande à chacun de ses enfants de pratiquer un instrument de musique (ce qui demande beaucoup de travail, de concentration et de répétition, il y a beaucoup de "chiant et rébarbatif" avant le fun), c'est exactement ça. On apprend aux enfants à travailler dur, pour qu'ensuite ils sachent travailler dur dans leurs études.

De même quand on leur fait pratiquer un sport, ça sert certes à décompresser, mais aussi à apprendre les valeurs propres au sport (dépassement, esprit d'équipe, humilité, etc..).

En vacances, on ne fait pas que jouer et se détendre, mais on se cultive aussi, on va dans des musées, on écoute le guide, etc. On "apprend à être intéressé" (ça ne se développe pas tout seul).

On les met dans la difficulté, non pas en les privant, mais en augmentant le niveau d'exigence envers eux. Mes parents ne se satisfaisaient jamais d'une note "moyenne" à l'école par exemple, ils exigeaient de nous le meilleur possible. Si on était pas dans les trois premiers, c'est qu'on n'avait pas travaillé assez dur.


C'est pour ça que dans le haut du panier, tu trouves souvent ces enfants-là, et avec eux ceux qui ont galéré et se sont battus toute leur vie pour monter.
Par contre les enfants de ceux qui se sont battus, on a souvent voulu les préserver des difficultés de la vie, tout en ne leur apprenant pas forcément à se dépasser et à "souffrir" par les moyens des classes sociales plus élevées. On a "apprécié le confort" quoi. L'inconvénient, c'est que les enfants apprennent à se déplacer uniquement dans leur zone de confort.
S
6 juin 2022 12:19
Quand on n'a pas de problème à résoudre, la loi du moindre effort tant physique qu'intellectuel nous conduit au repos, à la zone de confort comme dit précédemment.

Les problèmes, les exos, les contraintes engendrent la recherche de solutions.

La méthode des cas, des échecs-corrections-réussites, de l'élaboration de scénarios, développe la capacité à se projeter dans le futur, à élaborer des stratégies pour réussir, pour plaire à ses parents puis à soi-même.

Il faut un juste milieu : ne pas gâter, ne pas priver, mais récompenser et féliciter en cas de réussite. La récompense ou rétribution devant être mûrement réfléchies : jeux utiles et formateurs (jeux d'échecs, kits à monter, microscope, télescope, chimie, électricité, etc ...)

Pour les sports les enfants aiment les sports en équipe, comme ceux individuels : l'équitation, le tir à la carabine à air comprimé apportant la satisfaction de toucher une cible ou un objectif à distance, développant une certaine assurance après des succès répétés, etc ...

Les facultés d'apprendre à surmonter les difficultés, à s'adapter, à se remettre des échecs transitoires, à contrôler un stress temporaire sans "démissionner" ne peuvent se développer que si l'enfant rencontre des obstacles et non dans des conditions où les parents prennent le devant, le gâtent ou résolvent pour lui les problèmes.
G
6 juin 2022 12:22
Oui évidemment un enfant passionné par la pâtisserie évidemment que c’est une réussite s’il fini pâtissier d’autant que s’il est passionné il ira loin dans son domaine c’est certain

Mais je parle de ceux qui souhaitaient absolument faire médecine mais n’y sont pas parvenus. Aucune passion etc
Citation
☀️ a écrit:
Slm

Je pense qu’il faut apprendre aux enfants le goût de l’effort, et le goût d’obtenir ce que l’on veut seulement après avoir travaillé pour.

Si on ne veut pas en faire des feneants ça me semble important.

Concernant la réussite je n’ai pas la même vision que toi. L’enfant n’est pas en compétition avec ses parents. Sa réussite et ma réussite c’est son comportement, ses valeurs et son honneur.

Pour le travail tant qu’il fait qq ch de noble, de legal et qui lui plait, ma foi, medecin ou boucher ça ne changera rien pour moi ! ?
G
6 juin 2022 12:22
Oui évidemment un enfant passionné par la pâtisserie évidemment que c’est une réussite s’il fini pâtissier d’autant que s’il est passionné il ira loin dans son domaine c’est certain

Mais je parle de ceux qui souhaitaient absolument faire médecine mais n’y sont pas parvenus. Aucune passion etc
Citation
☀️ a écrit:
Slm

Je pense qu’il faut apprendre aux enfants le goût de l’effort, et le goût d’obtenir ce que l’on veut seulement après avoir travaillé pour.

Si on ne veut pas en faire des feneants ça me semble important.

Concernant la réussite je n’ai pas la même vision que toi. L’enfant n’est pas en compétition avec ses parents. Sa réussite et ma réussite c’est son comportement, ses valeurs et son honneur.

Pour le travail tant qu’il fait qq ch de noble, de legal et qui lui plait, ma foi, medecin ou boucher ça ne changera rien pour moi ! ?
Citation
☀️ a écrit:
Slm

Je pense qu’il faut apprendre aux enfants le goût de l’effort, et le goût d’obtenir ce que l’on veut seulement après avoir travaillé pour.

Si on ne veut pas en faire des feneants ça me semble important.

Concernant la réussite je n’ai pas la même vision que toi. L’enfant n’est pas en compétition avec ses parents. Sa réussite et ma réussite c’est son comportement, ses valeurs et son honneur.

Pour le travail tant qu’il fait qq ch de noble, de legal et qui lui plait, ma foi, medecin ou boucher ça ne changera rien pour moi ! ?
G
6 juin 2022 12:24
Super argumentaire ! Très très pertinent !
Ce que tu dis là me semble très juste !
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
Le phénomène que tu montres (un "galérien" qui s'en sort remarquablement bien, mais ses enfants pas tant que ça), c'est un symptôme des ""nouveaux riches"" (expression non péjorative !).

Quand on a manqué de tout, on veut offrir le meilleur à ses enfants, les aider, leur apporter tout le soutien dont on n'a pas disposé. C'est normal et naturel, c'est aussi une façon de montrer à ses enfants qu'on les aime ("ce que je n'ai pas eu, je te l'offre, je veux que tu ai une vie plus facile que moi"winking smiley.

Par contre, si tu regardes comment ça se passe dans des familles où le niveau social et culturel est élevé depuis plusieurs générations, tu vois qu'ils n'éduquent pas leur enfants de la même façon que les "nouveaux riches". Ils ne privent pas leurs enfants, mais ils leur transmettent le goût de l'effort.
Typiquement, quand on demande à chacun de ses enfants de pratiquer un instrument de musique (ce qui demande beaucoup de travail, de concentration et de répétition, il y a beaucoup de "chiant et rébarbatif" avant le fun), c'est exactement ça. On apprend aux enfants à travailler dur, pour qu'ensuite ils sachent travailler dur dans leurs études.

De même quand on leur fait pratiquer un sport, ça sert certes à décompresser, mais aussi à apprendre les valeurs propres au sport (dépassement, esprit d'équipe, humilité, etc..).

En vacances, on ne fait pas que jouer et se détendre, mais on se cultive aussi, on va dans des musées, on écoute le guide, etc. On "apprend à être intéressé" (ça ne se développe pas tout seul).

On les met dans la difficulté, non pas en les privant, mais en augmentant le niveau d'exigence envers eux. Mes parents ne se satisfaisaient jamais d'une note "moyenne" à l'école par exemple, ils exigeaient de nous le meilleur possible. Si on était pas dans les trois premiers, c'est qu'on n'avait pas travaillé assez dur.


C'est pour ça que dans le haut du panier, tu trouves souvent ces enfants-là, et avec eux ceux qui ont galéré et se sont battus toute leur vie pour monter.
Par contre les enfants de ceux qui se sont battus, on a souvent voulu les préserver des difficultés de la vie, tout en ne leur apprenant pas forcément à se dépasser et à "souffrir" par les moyens des classes sociales plus élevées. On a "apprécié le confort" quoi. L'inconvénient, c'est que les enfants apprennent à se déplacer uniquement dans leur zone de confort.
G
6 juin 2022 12:42
J’aime bcp tes interventions
Citation
Sarrazin a écrit:
Quand on n'a pas de problème à résoudre, la loi du moindre effort tant physique qu'intellectuel nous conduit au repos, à la zone de confort comme dit précédemment.

Les problèmes, les exos, les contraintes engendrent la recherche de solutions.

La méthode des cas, des échecs-corrections-réussites, de l'élaboration de scénarios, développe la capacité à se projeter dans le futur, à élaborer des stratégies pour réussir, pour plaire à ses parents puis à soi-même.

Il faut un juste milieu : ne pas gâter, ne pas priver, mais récompenser et féliciter en cas de réussite. La récompense ou rétribution devant être mûrement réfléchies : jeux utiles et formateurs (jeux d'échecs, kits à monter, microscope, télescope, chimie, électricité, etc ...)

Pour les sports les enfants aiment les sports en équipe, comme ceux individuels : l'équitation, le tir à la carabine à air comprimé apportant la satisfaction de toucher une cible ou un objectif à distance, développant une certaine assurance après des succès répétés, etc ...

Les facultés d'apprendre à surmonter les difficultés, à s'adapter, à se remettre des échecs transitoires, à contrôler un stress temporaire sans "démissionner" ne peuvent se développer que si l'enfant rencontre des obstacles et non dans des conditions où les parents prennent le devant, le gâtent ou résolvent pour lui les problèmes.
'
6 juin 2022 12:53
C’est un concours. T’es pris tant mieux sinon tant pis. Tu vas pas te tuer ou te jeter ss un train pr ça, y’a pire ds la vie. Ok c’est dur à avaler mais c’est comme ça ?‍♀️

En fait la notion d’échec réussite pour moi n’est pas la même que pour le commun des mortels.

Je ne vais jamais blamer mon gosse parce qu’il a raté le concours de médecine. Deja raté … bien grand mot. N’a pas été reçu et puis fin.

Et en particulier si il a mis en œuvre les moyens pour y arriver.

Un échec c’est la porte vers une réussite. Je veux pas qu’il se sente détruit par un échec. Au contraire il doit apprendre de ses erreurs/ manquements pour s’améliorer et devenir qqun de meilleur inshallah.

C’est sa vie, pas ma mienne, je peux le soutenir, l’aider, le guider, mais jamais travailler pour lui ou le forcer à aller vers une voie qui ne lui convient pas. Pour mon plaisir et ma fierté à moi. Pour les yeux des gens etc.

C’est pas comme je suis.

Par contre je suis assez exigeante en terme d’éducation. Donc plus sur le parent que sur l’enfant finalement.

L’enfant prend pour modèles ses parents.
Citation
Googlee a écrit:
Oui évidemment un enfant passionné par la pâtisserie évidemment que c’est une réussite s’il fini pâtissier d’autant que s’il est passionné il ira loin dans son domaine c’est certain

Mais je parle de ceux qui souhaitaient absolument faire médecine mais n’y sont pas parvenus. Aucune passion etc
J’attaque pas les personnes mais les idées. Les personnes n’en valent pas le coup. ☀️ Pssst en fait si, parfois j’attaque les co** ^^
L
6 juin 2022 13:25
Beaucoup de jeunes souhaitent faire des choses pour lesquelles ils ne sont tout simplement pas faits.

Pourquoi se focaliser sur "médecine" ou des études prestigieuses?
Tous les jeunes n'ont pas les capacités à réussir le concours et entre vouloir et pouvoir il y a une marge.

Vouloir ce n'est pas toujours pouvoir il faut arrêter de penser faux.
Tout le monde n'a pas les mêmes aptitudes.

Quand tu parles de gâter, il faut savoir ce que signifie pour toi ce terme.
On peut gâter ses enfants tout en leur demandant de faire des efforts, sans que ceux-ci soient irréalisables en fonction de leurs capacités propres.

Mais gâter.......? de quelle façon?
Citation
Googlee a écrit:
Oui évidemment un enfant passionné par la pâtisserie évidemment que c’est une réussite s’il fini pâtissier d’autant que s’il est passionné il ira loin dans son domaine c’est certain

Mais je parle de ceux qui souhaitaient absolument faire médecine mais n’y sont pas parvenus. Aucune passion etc
M
6 juin 2022 16:51
Salam wa3likom,

Je suis tout à fait d'accord avec toi. C'est pour ça que j'essaie d'inculquer la valeur de l'argent à ma fille et de ne pas tout lui acheter ce qu'elle veut... je lui explique que dans la vie on a rien sans rien.
Je la fait participer au tache ménagère et quand on va au magasin je lui donne de temps à autre une petite somme pour se faire plaisir mais elle doit gérer elle même son budget ... mais j'avoue que la avec le divorce c'est un peu plus compliquer de lui donner l'éducation que je souhaite sachant que son papa procède autrement et qu'il a été lui même éduquer sans aucune valeur de l'argent d'où de grosse galère financière pendant tout notre mariage ...

Mais comme toi j'ai pu faire le même bilan et j'ai remarqué exactement les même cas .. les parents pauvres qui reussissent et leurs enfants sauf rares exceptions qui sont des ratés ...
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook