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Eamses a écrit:
Ce genre de comportement ne prélude rien de bien. Utiliser des drones pour tuer des civils sahraouis sur la terre des aïeux de leurs aïeux. Déjà la construction du Mur des Sables est jugée illégitime car elle viole plusieurs principes fondamentaux du droit international, porte atteinte aux droits des Sahraouis, et contrevient aux efforts de la communauté internationale pour aboutir à une solution pacifique et équitable pour le Sahara Occidental.
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Abdelhak38 a écrit:
Bah voyons va dire ça aux séquestrés de Tindouf que ton régime réprime jusqu'à leur voler les aides après la taxer.
Des civils n'ont rien à faire dans la zone tampon devenue une zone de guerre depuis que le sbires des cabranates algériens ont mis fin au cessez le feu.
Tu te souviens c'est quand ils ont laissé les sandales sans que chling'riha ne bronche.
Je te l'ai déjà dit du moment que ton folklore ici sur ce site 100% marocain te fais du bien c'est le plus important.
Dis nous les insultes proférées envers les citoyens marocains par les zabalas qui vous servent de médias officiels...c'est digne d'un pays dirigé par des brêles, non?
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Eamses a écrit:
Ce genre de comportement ne prélude rien de bien. Utiliser des drones pour tuer des civils sahraouis sur la terre des aïeux de leurs aïeux. Déjà la construction du Mur des Sables est jugée illégitime car elle viole plusieurs principes fondamentaux du droit international, porte atteinte aux droits des Sahraouis, et contrevient aux efforts de la communauté internationale pour aboutir à une solution pacifique et équitable pour le Sahara Occidental.
[aujourdhui.ma]
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Eamses a écrit:
Le droit international, notamment la Charte des Nations Unies, interdit à un État de changer le statut d’un territoire non autonome en y établissant une occupation militaire. En érigeant le Mur des Sables pour renforcer sa présence militaire et restreindre l'accès aux territoires contrôlés par le Front Polisario, le Maroc est accusé de chercher à modifier unilatéralement la situation sur le terrain, ce qui va à l’encontre des résolutions de l'ONU sur la décolonisation.
: La construction du mur a séparé des familles et limité la circulation des Sahraouis entre les territoires sous contrôle marocain et ceux sous contrôle du Front Polisario. De nombreuses organisations de défense des droits humains dénoncent les conséquences humanitaires et les violations de la liberté de mouvement que le mur impose aux Sahraouis. En droit humanitaire, les restrictions de déplacement imposées à une population locale sont souvent jugées contraires aux principes fondamentaux de protection des civils.
Le mur est entouré de millions de mines antipersonnel et d'autres dispositifs de sécurité, rendant la zone dangereuse pour les populations locales. Les conventions internationales, comme le Traité d'Ottawa sur l’interdiction des mines antipersonnel, condamnent l’usage de ces dispositifs, en particulier dans des zones civiles ou habitées. Bien que le Maroc ne soit pas signataire du Traité d'Ottawa, cette pratique est largement critiquée par la communauté internationale.
La construction et le maintien du mur vont à l'encontre des efforts de la MINURSO (Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara Occidental), qui a été créée pour permettre au peuple sahraoui de se prononcer sur son avenir. En créant une séparation physique qui favorise un contrôle de fait sur la majorité du Sahara Occidental, le Maroc a complexifié la mise en œuvre du processus de paix et, par conséquent, l’accès du peuple sahraoui à l’autodétermination.