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Fin de l’économie israélienne
s
30 septembre 2024 11:55
par Shir Hever

Il est inédit que les gros titres des journaux grand public israéliens et les slogans du mouvement BDS soient presque identiques. Aucun État au monde n’a été capable d’infliger autant de dommages à l’économie israélienne que l’État d’Israël lui-même, et le résultat est une multiplication des signes montrant que l’économie israélienne a atteint une impasse, sans aucune perspective tant que l’État reste un État sioniste d’apartheid rejeté par le monde entier, à l’exception des États-Unis et de l’Allemagne.

Lorsque les manifestants israéliens contre le gouvernement ont brandi une énorme pancarte avec le slogan du BDS «De nation start-up à nation en panne», ce n’était rien de moins qu’une violation de droits d’auteur. Mais c’était en février 2023. Après le 7 octobre, tout a changé.

L’attaque génocidaire d’Israël contre la bande de Gaza, qui a tué plus de 40 000 Palestiniens, dont plus de 15 000 enfants, pourrait bien condamner plus de 146 000 autres Palestiniens de Gaza à mourir dans les mois à venir en raison de complications de santé liées aux blessures, à la famine et aux maladies. La guerre a détruit la vie de 2,3 millions de personnes dans la bande de Gaza et de milliers d’autres en Cisjordanie occupée. Les estimations de l’ONU indiquent que 70% des maisons ont été détruites et que les débris mettront 15 ans à être dégagés. Néanmoins, il ne fait aucun doute que les survivants palestiniens du génocide, bien que traumatisés, appauvris et en deuil de leurs proches disparus, finiront par reconstruire et se remettre, peu importe le temps que cela prendra.

La destruction physique en Israël causée par la guerre est minime en comparaison, et pourtant une chose a été détruite : l’avenir du pays.

Les indicateurs économiques parlent d’une véritable catastrophe. Plus de 46 000 entreprises ont fait faillite, le tourisme s’est arrêté, la note de crédit d’Israël a été abaissée, les obligations israéliennes se vendent à des niveaux proches de celles des obligations «pourries», et les investissements étrangers, qui avaient déjà chuté de 60% au premier trimestre de 2023 (en raison des politiques du gouvernement d’extrême droite d’Israël avant le 7 octobre), ne montrent aucun signe de reprise. La majorité des fonds investis dans les fonds d’investissement israéliens ont été détournés vers des investissements à l’étranger, car les Israéliens ne veulent pas que leurs propres fonds de pension, leurs assurances ou leurs économies soient liés au sort de l’État d’Israël. Cela a entraîné une stabilité surprenante du marché boursier israélien, car les fonds investis dans des actions et obligations étrangères ont généré des bénéfices en devises étrangères, lesquels ont été multipliés par la hausse du taux de change entre les devises étrangères et le shekel israélien. Mais ensuite, Intel a annulé un plan d’investissement de 25 milliards de dollars en Israël, la plus grande victoire du BDS à ce jour.

La crise touche plus profondément les moyens de production de l’économie israélienne.

Tous ces indicateurs sont financiers. Mais la crise frappe plus profondément les moyens de production de l’économie israélienne. Le réseau électrique d’Israël, qui est largement passé au gaz naturel, dépend encore du charbon pour répondre à la demande. Le plus grand fournisseur de charbon d’Israël est la Colombie, qui a annoncé qu’elle suspendrait les livraisons de charbon à Israël tant que le génocide se poursuivrait. Après la Colombie, les deux plus grands fournisseurs sont l’Afrique du Sud et la Russie. Sans électricité fiable et continue, Israël ne pourra plus prétendre être une économie développée. Les fermes de serveurs ne fonctionnent pas sans alimentation 24 heures sur 24, et personne ne sait combien de coupures de courant le secteur israélien de la haute technologie pourrait potentiellement supporter. Les entreprises technologiques internationales ont déjà commencé à fermer leurs succursales en Israël.
s
30 septembre 2024 11:56
La réputation d’Israël en tant que «nation start-up» dépend de son secteur technologique, qui, à son tour, dépend de ses employés hautement qualifiés. Les universitaires israéliens rapportent que les recherches conjointes avec des universités étrangères ont fortement diminué en raison des efforts des mouvements étudiants. Les journaux israéliens sont pleins d’articles sur l’exode des Israéliens instruits. Le professeur Dan Ben David, un économiste célèbre, a soutenu que l’économie israélienne repose sur 300 000 personnes (le personnel supérieur des universités, des entreprises technologiques et des hôpitaux). Une fois qu’une partie significative de ces personnes partira, dit-il, «nous ne deviendrons pas un pays du tiers monde, nous cesserons tout simplement d’exister».

Les données sur le nombre réel d’Israéliens quittant le pays sont confuses et contradictoires. En période d’incertitude extrême, alors que les journaux israéliens diffusent de la désinformation sur une vague mondiale d’antisémitisme, comme si les juifs seraient plus en danger en Europe ou en Amérique du Nord qu’en Israël, de nombreux Israéliens optent encore pour l’émigration – les familles prennent des vacances prolongées et d’autres Israéliens explorent des options de travail et d’études à l’étranger. Pourtant, les estimations du nombre d’Israéliens ayant déjà quitté le pays varient énormément.

Les deux secteurs de l’économie israélienne qui ne signalent pas d’effondrement sont les entreprises d’armement, qui affichent des ventes élevées (bien que la plupart soient domestiques, armant le génocide), et les «exits» – lorsque des entreprises internationales se disputent les restes du secteur technologique israélien en quête de bonnes affaires. Même Google a exprimé son intérêt pour l’achat de la société israélienne de cybersécurité Wiz, fondée par des officiers des services de renseignement israéliens qui sont impatients de vendre leur entreprise à Google afin de pouvoir quitter Israël.

Les économistes israéliens s’attendent à ce que le gouvernement israélien prenne des mesures urgentes pour faire face à la crise, mettre fin à la guerre, réduire les dépenses publiques, augmenter les impôts, rétablir la confiance du public dans les institutions publiques israéliennes et réparer les relations étrangères d’Israël, notamment avec les pays dont il dépend pour le commerce – l’UE, la Turquie et la Colombie. Le gouvernement israélien met plutôt en œuvre des plans pour détruire l’économie palestinienne, non seulement à Gaza mais aussi celle de l’Autorité palestinienne en Cisjordanie. Il adopte une approche belliqueuse envers tout État qui critique ses politiques et a adopté un budget de dernière minute irréaliste pour 2024.

À l’ère de l’économie de l’information, les perspectives économiques des États ne sont déterminées ni par les matières premières ni par la qualité de la main-d’œuvre. Nous vivons plutôt dans une ère d’«économie des attentes». Le battage médiatique autour de la «nation start-up» d’Israël s’est transformé en #Shutdownnation. Deux économistes israéliens de renom, Jugene Kendel et Ron Tzur, ont publié un rapport secret dans lequel ils prédisent qu’Israël ne survivra pas jusqu’à son centième anniversaire. Le rapport est gardé secret car ils ne veulent pas qu’il devienne une prophétie autoréalisatrice, mais ils ont donné des interviews à ce sujet. Lors de la 76e journée de l’indépendance d’Israël, Haaretz a publié un éditorial dans ses éditions anglaise et hébraïque, avec le titre : «Israël survivra-t-il pour fêter ses 100 ans ? Seulement si Netanyahou démissionne». L’édition en hébreu a été publiée sans cette précision. Presque quatre mois se sont écoulés et Netanyahou ne montre aucun signe de renoncer au pouvoir et sabote les négociations pour un cessez-le-feu afin d’empêcher les élections.

Trois historiens israéliens, deux sionistes et un anti-sioniste, ont déclaré que le projet sioniste était arrivé à son terme. Lorsqu’une masse critique d’Israéliens, quelle que soit leur opinion politique, sera convaincue que l’apartheid israélien est devenu insoutenable, ils n’accepteront plus d’investir de l’énergie et de l’argent, de risquer leur vie et celle de leur famille pour le projet sioniste. Ils chercheront un avenir meilleur pour eux-mêmes, comme le ferait toute personne saine d’esprit, soit en quittant Israël, soit, mieux encore, en œuvrant pour un nouveau système politique démocratique en Palestine. Une personne, une voix, et un avenir dans lequel chacun, quelle que soit sa religion et son origine ethnique, peut avoir une place.


[jazairhope.org] dredi-a-20h/
C
30 septembre 2024 14:33
A l'ONU, Netanyahou a engagé des personnes payées pour l'applaudir !

Netanyahou a prononcé un discours de 35 minutes devant une assistance très clairsemée, de nombreux diplomates ayant quitté la salle pour marquer leur réprobation pour l’accueil d’un génocidaire dans l’enceinte de l’Assemblée générale de l’ONU.

[ www.lesoir.be ]

Netanyahou avait pris la précaution de faire venir des personnes payés pour applaudir qui étaient clairement regroupées dans les tribunes à l’arrière de la salle. Cette claque permettait aux télévisions amies de filmer quelques gros plans sur des applaudissements et d’abuser les téléspectateurs en leur laissant croire que Netanyahou pouvait encore être soutenu.
r
30 septembre 2024 14:57
Tu délires
Ils se portent très bien d’un point de vue économique
Tu ne fais que relater les fake news
s
30 septembre 2024 15:07
Ha ha ha, hi hi hi! Cause toujours, mon bonhomme.

Le shekel s’effondre et les chacals s’enfuient ! Ils sont venus pour souffrir et souffriront jusqu’au bout .
La stratégie même du monde islamique implique la destruction d’Israël non pas par une marche victorieuse vers Tel-Aviv, mais par la création de conditions de vie insupportables pour ses citoyens afin de les forcer à partir vers d’autres pays.
Citation
re.Vooriden a écrit:
Tu délires
Ils se portent très bien d’un point de vue économique
Tu ne fais que relater les fake news
s
30 septembre 2024 15:12
De plus, la teneur de son discours a été marquée par deux maladresses : la première a été de traiter l’ONU de «marécage antisémite» et de «farce méprisable». La seconde a été de réitérer les deux plus gros mensonges de son narratif de la journée du 7 octobre 2023, mensonges désormais connus de la planète entière, à savoir : l’histoire des bébés démembrés et brûlés vivants, mensonge dénoncé par la presse israélienne elle-même et surtout l’oubli de dire que la moitié des victimes israéliennes du 7 octobre l’avaient été sous le feu des Forces israéliennes en application de la directive Hannibal.

Ces deux maladresses ont complètement décrédibilisé l’ensemble de son discours. C’était à peu près aussi ridicule que si Colin Powell revenait d’outre-tombe avec un petit tube en verre pour réitérer ses mensonges éhontés de 2003 devant le Conseil de sécurité de l’ONU sur les armes de destruction massives prétendument détenues par l’Irak.

[youtu.be]
Citation
Citron pavot7 a écrit:
A l'ONU, Netanyahou a engagé des personnes payées pour l'applaudir !

Netanyahou a prononcé un discours de 35 minutes devant une assistance très clairsemée, de nombreux diplomates ayant quitté la salle pour marquer leur réprobation pour l’accueil d’un génocidaire dans l’enceinte de l’Assemblée générale de l’ONU.

[ www.lesoir.be ]

Netanyahou avait pris la précaution de faire venir des personnes payés pour applaudir qui étaient clairement regroupées dans les tribunes à l’arrière de la salle. Cette claque permettait aux télévisions amies de filmer quelques gros plans sur des applaudissements et d’abuser les téléspectateurs en leur laissant croire que Netanyahou pouvait encore être soutenu.
r
30 septembre 2024 15:13
tu hallucines
le shekel est 0.24 euros en ce moment, stable depuis des années, le max qu'il a pu etre c'est 0.28e je crois

le monde islamique n'existe que dans ta tete
il n'y a pas de monde islamique car les "musulamans" s'entretuent ou s'ignorent
s
30 septembre 2024 15:22
Ah ben voilà !
on a déniché un israelien ptdr

En plus, c'est pas bien de mentir !

Parmi ceux qui ont quitté la salle de l’Assemblée générale de l’ONU lors du discours de Netanyahou se trouvaient ceux de l’Indonésie. 4ème pays le plus peuplé au monde, 6ème puissance économique en parité de pouvoir d’achat, membre du G 20, ce pays en forte croissance est, avec beaucoup d’autres, vent debout contre Israël. L’Occident otanien, complice d’Israël, ne devrait donc pas être surpris de voir l’Indonésie se tourner vers la multipolarité, voire les BRICS, plutôt que vers le sionisme mondialiste pratiqué avec ferveur par des gouvernances corrompues de l’Occident otanien. Encore un clou dans le cercueil de la défunte hégémonie occidentale US-UE-OTAN-AUKUS.

[en-antaranews-com.translate.goog] lestine-at-un-meeting?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp


Citation
re.Vooriden a écrit:
tu hallucines
le shekel est 0.24 euros en ce moment, stable depuis des années, le max qu'il a pu etre c'est 0.28e je crois

le monde islamique n'existe que dans ta tete
il n'y a pas de monde islamique car les "musulamans" s'entretuent ou s'ignorent
s
30 septembre 2024 15:35
Disons, il n'était pas le seul !

Le mouvement des non alignés utilise son influence pour sensibiliser le monde sur la question palestinienne:

[en-antaranews-com.translate.goog] -palestine-retno?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

L’Indonésie se demande si les casques bleus ont un rôle à jouer pour protéger les gazaouis :

[en-antaranews-com.translate.goog]- amid-gaza-conflict?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

De plus, son président dénonce avec véhémence l'attaque israelienne.

[en-antaranews-com.translate.goog] n-lebanon?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

Sans oublier les ministre des affaires étrangères malaisien qui attaque l'abus des vétos américains pour soutenir les crimes de l'entité terroriste sioniste.
r
30 septembre 2024 15:40
on parle d'economie, tu as parlé de shekel et je t'ai démontré que tu mentais
pourquoi tu vas à ceux qui ont quitté la salle de l'onu ?
oui ils l'ont fait, mais rien à avoir avec ton histoire d'economie

bref, fake news depuis des mois
et délire paranoiaque
c'est pour ça qu'on avancera jamais
quand les autres bossent et avancent, nous on passe notre temps à raconter nimp
30 septembre 2024 15:51
Tiens selon BDS, ces klebs de BNP Paribas auraient lancé un plan de plus de 2 milliards pour renflouer les banques israéliennes.

Les clients de cette banque devraient songer à la quitter, non ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/09/24 16:03 par Magneto*.
s
30 septembre 2024 16:09
T'inquiètes, c'est fait depuis belle lurette.

L’acharnement grandissant, hystérique des sionistes à absorber les terres voisines, faute de quoi l’entité n’est qu’un état sans importance réelle, provient du succès des BRICS : Les Rothschild, facteurs de domination mondiale majeur, voient leurs capacités amputées progressivement: le rêve d’une domination mondiale sioniste par les banques occidentales prend fin. D’où les ordres transmis à l’UE de mettre à bas la Russie…..Mais ça a loupé, et Poutine critique fortement Israël.
Citation
Magneto* a écrit:
Tiens selon BDS, ces klebs de BNP Paribas auraient lancé un plan de plus de 2 milliards pour renflouer les banques israéliennes.

Les clients de cette banque devraient songer à la quitter, non ?
C
30 septembre 2024 16:10
Vooriden,

L’agence de notation internationale de crédit Moody a dégradé les notations locales et monétaires à long terme du gouvernement israélien de A2 à Baa1, soit de deux crans, en raison de perspectives négatives. C’est la deuxième baisse en 2024. En février Moody avait déjà dégradé la note d’Israël d’un cran (de A1 à A2). Une baisse de trois crans en 6 mois, c’est du jamais vu pour Israël.

[tass-com.translate.goog] _tr_pto=wapp
L
30 septembre 2024 16:13
Il y a plein d'articles qui parlent de l' économie sioniste au ralenti..
Citation
re.Vooriden a écrit:
on parle d'economie, tu as parlé de shekel et je t'ai démontré que tu mentais
pourquoi tu vas à ceux qui ont quitté la salle de l'onu ?
oui ils l'ont fait, mais rien à avoir avec ton histoire d'economie

bref, fake news depuis des mois
et délire paranoiaque
c'est pour ça qu'on avancera jamais
quand les autres bossent et avancent, nous on passe notre temps à raconter nimp
L
30 septembre 2024 16:21
Monde islamique ne veut pas dire monde islamique unifié
Citation
re.Vooriden a écrit:
tu hallucines
le shekel est 0.24 euros en ce moment, stable depuis des années, le max qu'il a pu etre c'est 0.28e je crois

le monde islamique n'existe que dans ta tete
il n'y a pas de monde islamique car les "musulamans" s'entretuent ou s'ignorent
r
30 septembre 2024 16:21
entre ralenti et "la fin" c'est tout un monde
Citation
redding59 Lydec a écrit:
Il y a plein d'articles qui parlent de l' économie sioniste au ralenti..
r
30 septembre 2024 16:22
s'il n'est pas unifié c'est comme s'il n'existait pas lol
Citation
redding59 Lydec a écrit:
Monde islamique ne veut pas dire monde islamique unifié
L
30 septembre 2024 16:27
Un nation en crise, dans le cas le plus extrême en guerre civile est donc une nation qui n'existe pas?

Ca ne veut absolument rien dire ce que tu dis.

Bien évidemment qu'il y a un monde musulman comme il y un monde chrétien, ce même monde chrétien qui s'est entretué dans les plus grandes guerres que l'humanité ait jamais connu.
Citation
re.Vooriden a écrit:
s'il n'est pas unifié c'est comme s'il n'existait pas lol
s
30 septembre 2024 16:29
Cette baisse serait-elle l’expression d’un antisionisme primaire de la part de l’agence Moody ptdr ?

Ce qui est drôle, c'est que l'agence Fitch avait fait de même en août dernier.


[www.lesechos.fr]


Mais pas de panique, tout va bien. Le Mozart israélien de la Finance et du nettoyage ethnique Bezalel Smotrich, a expliqué sur X, que l’économie israélienne rebondirait à la suite des mesures budgétaires «responsables» qu’il prévoit de prendre.

Ce genre de promesse n’engage que ceux qui les croient. Elles ressemblent à celles de Bruno Lemaire, il y a deux ans, qui nous avait promis d’effondrer l’économie russe. Ça craint…
Citation
Citron pavot7 a écrit:
Vooriden,

L’agence de notation internationale de crédit Moody a dégradé les notations locales et monétaires à long terme du gouvernement israélien de A2 à Baa1, soit de deux crans, en raison de perspectives négatives. C’est la deuxième baisse en 2024. En février Moody avait déjà dégradé la note d’Israël d’un cran (de A1 à A2). Une baisse de trois crans en 6 mois, c’est du jamais vu pour Israël.

[tass-com.translate.goog] _tr_pto=wapp
L
30 septembre 2024 16:30
La fin Dieu seul la connait, mais il faut pas être un génie pour se rendre compte que cet entite belliqueuse aura une fin.

En ce moment même les sionistes les moins extrêmes partent et sont remplacés par d'autres plus extrêmes.

Bombarder ce n'est pas ça qui apporte la stabilité bien au contraire.

Citation
re.Vooriden a écrit:
entre ralenti et "la fin" c'est tout un monde
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