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écrire un roman?
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17 juin 2019 03:21
Salut tout le monde,

Il y'a quelque temps j'ai eu l'idée d'écrire un roman fantastique, et je pense que je vais commencer à mettre le plan de mon intrigue dans quelque temps si dieu le veut, mais en attendant de terminer le plan j'ai conscience que je dois m'améliorer au niveau de l'écriture.

Aussi, étant étudiant en architecture on nous avait demandé de décrire une ville sans mentionner son nom, on devait à partir d'une lecture comprendre de quelle ville il s'agit, qu'elle soit réel ou utopique, mon choix s'est porté sur une ville utopique, et je voulais vous inviter à lire mon portrait de ville et a mettre votre critique la plus sincère qui soit, en me montrant sur quel niveau je dois m'améliorer, le tout en sachant que ça m'a pris seulement 5h à écrire entre 3h et 11h (j'ai du prendre des pauses), sans avoir le temps de me relire.

Aussi une autre question qui me turlupine depuis quelque jour, lorsque je vais donner une copie de mon roman à un éditeur pour qu'il puisse la lire, ne devrais je pas craindre de me faire voler mon roman?

merci pour ceux qui prendront la peine de lire.

PS: j'arrive pas a insérer le fichier, je vais donc tout coller ici, en attendant de pouvoir reposter (puisque je suis nouveau), je vous poste une intro que j'ai écris pour le mémoire d'un ami.



"Intro:


En passant par la grotte, la hutte et la tente, l’homme n’a cessé d’évoluer dans sa façon de concevoir une habitation, jusqu’à atteindre sa forme la plus récente qu’est la maison.
Evoluant de plus en plus, la maison s’est construite avec des techniques spécifiques pour chaque matériau utilisé, ces différentes façons de construire combinées à la culture d’une civilisation ont données naissances à plusieurs styles d’architectures à travers le monde, des styles qui ont évolués, d’autre qui ont étés influencés et d’autre qui se sont propagés vers d’autres contrées.
Mais vers la fin du 19ème siècle et le début du 20ème un nouveau style d’architecture voit le jour, l’architecture moderne, sa naissance est due surtout à la 2ème révolution industrielle, notamment après l’industrialisation du béton armée et de l’acier, cette révolution industrielle apporta des changements considérables, elle changea la vie de la quasi-totalité de l’humanité et elle apporta beaucoup de facilités dans nos vies. Mais elle a aussi été l’élément qui unifiera l’architecture dans le monde entier, au point où beaucoup de style architecturaux et de techniques de construction se verront disparaître, pour ne laisser place qu’à une architecture moderne faîte de béton armée et d’acier.
Au cours des dernières décennies l’homme a été responsable de la dégradation d’une grande partie de la faune et la flore planétaire, cette dégradation est due non seulement à la surconsommation et l’importante croissance démographique mondiale mais aussi à la construction de masse qu’ont connues nos villes au cours des derniers siècles.
Cette construction de masse a eu lieu surtout grâce à l’architecture moderne, une architecture qui utilise du béton armé non recyclable et énergivore, composé notamment de ciment nécessitant un processus polluant pour sa fabrication et l’extraction de plusieurs matières premières. Cette forte extraction combinée à ce processus de fabrication causent des dommages considérables sur la faune et la flore, au point où une remise en question s’est imposée et qui a conduit à la naissance d’une nouvelle architecture, une architecture respectueuse de l’environnement et adaptable à son milieu, l’architecture bioclimatique et écologique.


Problématique :


L’architecture bioclimatique, s’inspirant des principes de l’architecture vernaculaire, a comme caractéristique principale une adaptation à son milieu, afin d’en tirer un maximum d’avantage tout en se prémunissant des désavantages et des contraintes et le tout en respectant au maximum la nature environnante, comme par exemple en économie d’énergie grâce à l’utilisation de panneaux solaire et un système d’aération naturel, ou grâce à l’orientation de l’habitation et la disposition des pièces, ou aussi grâce à l’utilisation de matériaux locaux dans la construction, avec une adaptation avec la topographie…
L’habitat traditionnel, c’est ce qu’est l’architecture vernaculaire, elle se fond dans son milieu, elle utilise les matériaux locaux, le savoir-faire traditionnel et la culture de son territoire.

Disposant de beaucoup de styles d’architectures traditionnelles locales, l’architecture de terre reste tout de même le style le plus impressionnant et le plus présent dans les zones arides du Maroc, elle s’intègre parfaitement avec le paysage et s’adapte facilement aux conditions climatiques, l’une des villes utilisant ce style d’architecture est la ville de Figuig, constituée de plus de 7 ksour, et l’un d’eux en particulier, le ksar de Zenaga, possédant des caractéristiques en plus.
Alors dans quelle mesure l’architecture vernaculaire marocaine est-elle durable ?"
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17 juin 2019 07:35
LA VILLE ET LA VIE DANS LA FORET


Le réveil sonne, il est 7h30 du matin, et nous sommes le 04 avril 2027, ça fait déjà plus d’une semaine que j’ai quitté le stress de mon ancienne ville pour venir habiter dans celle ci, c’est un ami qui m’en a parlé, un des membres de sa famille est venu y habiter, il souffrait lui aussi du stress constant de la ville mondaine, il était à la recherche de la sérénité, ce qu’il trouva justement ici, dans cette ville qui se détache du reste du monde.
Suite à son témoignage j’ai été impatient de pouvoir la visiter, mais l’agence de déménagement spécial qui intervient uniquement dans cette ville vient juste de finir hier, et j’ai du être présent avec eux tout au long de la procédure. Cela dure plus de temps que d’habitude car l’une des caractéristiques de cette ville et qui est assez contraignante dans mon cas est que les transports individuelles ou publics trop polluant, rejetant des gaz toxiques dans l’atmosphère sont interdit, et de ce fait les voies goudronnées sont inexistantes, seul des voies pour les deux-roues et les rails ont étés installés.

Je suis l’une des rares nouvelles personnes à venir habiter ici, en effet cette ville est conçu pour empêcher les habitants de vivre dans un stress urbain, c’est pourquoi ils ont empêchés la démographie de s’accroitre, ce qui rend les procédures à faire pour venir y habiter très difficiles et donc les déménagements assez rare, mais ça reste un mal pour un bien, une ville surpeuplé est une ville qui verra des bidonvilles grandir dans ces alentours, du stress procurer par des gens courant partout vers la richesse matériel et des constructions qui se font au détriment des espaces verts.

Je n’ai peut être pas eu l’occasion de visiter la ville mais les déplacements que j’étais obligé d’y faire m’ont donné un petit aperçu, et mon impatience pour visiter la ville n’a fait que s’accroitre, je crois que j’en suis déjà tombé amoureux.
Cette ville est un mélange harmonieux entre nature, grand espace et habitation, c’est comme si on était en pleine nature en Islande avec une petite ambiance venant du japon et ses Sakuras, son seul accès se fait avec un train très discret qui laisse tout paraître sauf au niveau du toit et qui passe par une forêt de hêtres ressemblant aux forêts de hêtres de Roumanie, cette forêt crée une ambiance mystérieuse, la densité des feuilles des arbres laisse entrer peu de lumière, le sol est d’un vert sombre et humide, on ressent que la terre y est vivante, j’ai du prendre le train 3 fois en une semaine pour faire l’aller retour de ma nouvelle ville à l’ancienne, et à chaque fois que je le prend je ressens un frissons indescriptible, c’est comme si j’entrais à chaque fois dans un monde fantastique, un monde magique comme celui d’Harry Potter, si je n’avais pas peur d’y aller seul je m’y serais aventurer, je suis quelqu’un qui vit dans son imaginaire, qui aime le fantastique et s’éloigne du matériel, une tel forêt est un rêve qui se réalise pour moi, mais le plus fabuleux encore est qu’on ne voit pas le bout de cette forêt car elle fusionne avec l’entrée de la ville, plus on y plonge et plus les habitations apparaissent et les arbres diminuent, sans pour autant disparaître.
Mon nouveau foyer n’est pas entouré seulement de cette forêt mais aussi d’une montagne d’une grandeur et d’une beauté fascinante, on y voit la blancheur de la neige dans son sommet, elle crée une harmonie fascinante avec la forêt « magique », sa rivière qui coule donne naissance à des ruisseaux au milieu de la forêt et son immensité fait office de carapace pour la ville contre les vents forts.

L’heure est enfin venu, je prends mon petit déjeuner dans ma terrasse verdoyante, et mon regard se pose comme chaque matin sur les façades vertes du voisinage, j’habite près de l’entrée et près de la première gare de la ville, la deuxième se trouve au centre ville, les urbanistes qui ont conçu la ville ont eu une très belle idée, le passage du train devient sous-terrain dès qu’on s’approche de l’entrée, ça permet d’éviter une coupure au milieu de la ville, par contre les tramways sont eux aussi souterrains , mais dans un soucis de manque de lumière ils sont ouvert et créent donc des coupures qui se mêle parfaitement avec la ville grâce aux ponts en bois qui relie les deux bords et à la verdure de la surface qui fusionne dans une pente avec la verdure se trouvant aux abords des rails, la ville en devient beaucoup plus verte grâce à cette manière de faire.
w
17 juin 2019 07:36
Il est 8h15m, je prends mes affaires et je sors pour mon premier jour de travail, c’est aussi l’occasion de commencé à visiter la ville étant donné que je n’ai pas pu m’aventurer au-delà du lieu où j’habite, je n’ai pas idée de ce à quoi ressemble mon lieu de travail mais il se trouve en plein centre ville.
Je ne commence qu’à 10h30m et j’ai 15min de trajet, ça me laisse largement le temps de visiter un ou deux endroits, j’envisage de me rendre en premier près de mon lieu de travail pour rester dans les alentours et éviter d’être en retard. En ouvrant la porte de l’immeuble je sors et fais face à ce dégagement aménagé en parc d’une cinquantaine de mètre de largeur avec clôture et porte au milieu se trouvant entre les deux immeubles voisins me faisant face, éloigné de moi d’une vingtaine de mètre et s’arrêtant à peine à 4 niveaux avec une façade à la fois verte de verdure, avec beaucoup de terrasse, et des volumes ressortant harmonieusement entre eux peint en noir et en blanc mat. Je suis séparé de ce parc par un tapis d’herbe verte, et de quelques arbres plantés de façon hasardeuse dans le même esprit d’une forêt.

Je pars sur la gauche et traverse par l’allée piétonne qui est séparé de l’allée des deux roues par un parterre de fleur multicolore atteignant les 50cm de hauteurs, en arrivant au bout de la rue, après avoir traversé cette « forêt » je me retrouve dans un carrefour entouré d’immeuble semblable au mien et à ceux des voisins, je tourne alors à droite et après une centaine de mètre dans le même tableau, je tombe nez à nez avec l’un des ponts se trouvant au dessus d’une ligne de tramway, j’envisageais au départ de descendre par les escaliers intégré dans la pente pour prendre le tramway, mais vu que j’ai encore 2 heures devant moi je choisis plutôt de continuer à pied, au pire ça me prendra une quarantaine de minute pour arriver à destination.
Je commence alors à traverser le pont, et je m’arrête au milieu pour admirer cette magnifique ligne de verdure et ces rails au milieu, j’attends 3 minutes avant que le premier tramway ne passe, ce tramway est à la pointe de la technologie, il n’a pas besoin de ligne électrique, ne fait pas de bruit, utilise l’énergie renouvelable, et s’arrête automatiquement au moindre danger, c’est le tramway parfait pour la ville parfaite.

Je continue alors mon chemin, après 3min de marche, le paysage commence à changer, les immeubles sont de plus en plus espacés entre eux, les arbres de type « froid » (comme les pin…) sont largement plus présent, au bout de 10min de marche, je suis stupéfait, je pensais perdre l’esprit devant ce que je vois, je savais que j’étais éveillé, j’en avais complètement conscience mais je n’arrivais pas à y croire, j’ai compris immédiatement l’esprit de cet aménagement urbain, c’était du génie, on aurait cru à un compte de fée, cette ville s’inspire des paysages des plus beaux univers fantastiques, ce que je vois devant moi est le summum de la beauté.
Devant moi un tunnel de Sakuras faisant ressortir la beauté de cette grande place verte d’une verdure jamais vu auparavant, avec des plantes de tous les types posées avec une harmonie éblouissante, des fontaines expulsant de l’eau dans un spectacle de magie, où des gens se retrouve pour exprimer leur amour, leur créativité, et leur art dans une danse, dans de la peinture, dans des chants, près des enfants joyeux gambadant dans l’herbe et les fontaines, en sécurité, près de leur parent contemplant le magnifique panorama sur la montagne blanche s’offrant à eux.

Je traverse cette magnifique place verte et je m’y attarde quelque minute, espérant trouver l’amour de ma vie, mais hélas, je ne m’étais pas rendu compte que j’ai passé plus d’une heure à visiter cette place, et le temps presse, il faut que j’arrive très tôt à mon premier jour de boulot aujourd’hui, je traverse alors la place pour en sortir et me retrouver face à des centres commerciaux, c’est là où se trouve mon boulot, je travail dans un cabinet d’architecture très réputé dans la ville, la façade du bâtiment est très belle, elle est peut être entièrement vitrée mais elle est bien travaillé, elle fusionne avec les centres commerciaux, et le tout crée une place centrale de loisir, où se mêle cinéma, commerce, café etc…

Il est 16h30min, je suis fatigué, mais je me plais beaucoup dans mon nouveau boulot et je me sens merveilleusement bien mentalement, je reprend le même chemin que j’ai pris pour venir avec un collègue et je m’attarde un peu dans la place, il me représente à l’un de ses amis qu’on a rencontré par hasard dans la place, on décide alors de se voir le weekend prochain dans un café dans une autre place de la ville, près d’un musée d’art.
w
17 juin 2019 07:36
Le lendemain sur le chemin de l’aller je décide cette fois ci de prendre le tramway pour la première fois, en descendant les marches j’attends sur une plateforme le passage du prochain tramway, il arrive et je m’y précipite, il démarre et à ma grande surprise, moi qui ne me sentait jamais bien dans les transports public, je me sens superbement joyeux et serein, la lumière qui entre à l’intérieure mêlé à la verdure près des rails est d’une très grande beauté.

Le temps passe, c’est le weekend, et j’ai passé une magnifique semaine où j’ai appris à connaitre mes collègues et mes voisins, qui sont tous très agréables avec moi, maintenant il est l’heure de mon rendez-vous avec mes deux nouveaux amis, je prend le tramway jusqu’à cette place dont ils m’ont parlé, nous arrivons à destination, et depuis le tramway, j’arrive à voir des bâtiments vitrées et quelque bout d’arbre, je sors et je monte les marches, je me retourne pour voir notre lieu de rendez vous, et là… une sensation de déjà vécu, une sensation d’éblouissement, je revis le même scénario d’il y’a une semaine déjà, je suis stupéfait devant cette beauté, cette place ne ressemble pas à l’autre place près de mon lieu de travail, mais elle va dans le même esprit, sauf que cette fois ci les bâtiments et les centres commerciaux fusionnent directement et harmonieusement avec la verdure, je rencontre mes amis, et je leur parle de mon amour pour cette ville, et ils me font savoir que sa beauté ne se limite pas à sa, et qu’il y’a aussi de grands centres de loisir se trouvant près du coté de la montagne, nous décidons alors pour l’occasion d’y aller le weekend prochain.

Une semaine plus tard, moi et mes deux amis on se retrouve près de mon boulot, et on prend le tramway, direction le grand centre de loisir, nous y arrivons, je monte, je monte les marches, nous traversons un petit parc avec au milieu un tunnel de chêne, au bout de ce tunnel, je m’empêche de pousser un petit cri, là c’est l’apothéose de la stupéfaction, devant moi un parc d’attraction d’une grandeur que je ne peux déterminer, un parc d’attraction digne d’un Disney land, avec toute la splendeur d’un monde de magie, d’un coté des téléphériques qui montent au sommet de la montagne et des gens qui descendent en ski, et du coté de la forêt, un jardin qui s’y mêle et y donne un accès direct.
Nous commençons par visiter le parc d’attraction et j’y vis comme dans un rêve, il est déjà 21h le parc va bientôt fermer, ça fait plus de 10h que j’y suis, il est temps de rentrer, sur le chemin du retour on se sépare moi, mes deux amis, et deux autres nouveaux amis qu’on a rencontré dans le parc. Sur le chemin du retour, je me suis dis que je suis dans un paradis sur terre, j’ai commencé à mieux me sentir mentalement par rapport à mon ancienne vie, et je compte peut être rester ici à tout jamais.

Le temps passe, nous sommes au mois de novembre, il commence à pleuvoir, et je découvre une nouvelle beauté de cette ville, moi ayant l’esprit à la méditation, cherchant à tout prix la solitude, je suis parmi ceux qui trouvent leur bonheur dans la pluie, c’est alors que je me décide enfin de franchir le pas, je me décide de m’aventurer dans cette fameuse forêt, je prend alors la direction vers l’entrée de la ville au lieu d’accéder à la forêt depuis son entrée principale qui se trouve près du parc d’attraction, je vais jusqu’à l’endroit où commence a s’enterrer le train, et je suis les rails, plusieurs minutes de marche plus tard, et un train qui passe près de moi, je commence à m’éloigner des rails, et à m’enfoncer sérieusement dans la forêt, elle est encore plus belle en temps de pluie, son côté mystérieux se renforce, et sa terre est plus vivante que jamais, une demi journée de marche plus tard, je ne sens pas le temps passer, et c’est alors que la nuit commence à tomber, j’ai extrêmement peur mais j’étais préparer à sa, je plante ma tente et je m’endors.
Le lendemain à mon réveil, après avoir rangé ma tante, je me rends compte que je n’avais pas fais attention à un détail, d’une importance capitale, je n’ai encore croisé aucun animal sauvage, et notre ville, qui limite fusionne avec la forêt n’a aucun clôture contre eux, je me décide alors de faire demi tour, mais hélas, je ne retrouve plus mon chemin, j’erre alors pendant plusieurs jours dans la forêt, tout en économisant mes ressources, au bout du 8ème jour a errer dans la forêt sans aucun animal en vue, je décide de trouver un moyen de monter dans un arbre, j’ai réussi avec beaucoup de peine, et par chance j’aperçois la montagne, au bout de 2 jours de marche je réussis enfin à échapper à la forêt, mais cette mauvaise expérience que j’ai vécu n’est pas ce qui occupe mes pensées, mais c’est bien le mystère de cette vie animal inexistante, serait-ce l’œuvre de cette ville ? Serait-ce la grandeur de l’avidité de l’homme ? Ou serait-ce lié à un autre mystère ? Les gens de la ville sont ils au courant ?
L
17 juin 2019 10:58
Alaykoum Salam,




Je trouve ton idée géniale ! Que Dieu te facilite.



Aussi une autre question qui me turlupine depuis quelque jour, lorsque je vais donner une copie de mon roman à un éditeur pour qu'il puisse la lire, ne devrais je pas craindre de me faire voler mon roman?


Justement, il faut faire attention. Il faut protéger ton texte auprès d'un notaire ou via un organisme spécialisé.

Quant à ton intro, je la trouve pas mal mais ça manque un peu de vocabulaire et de subtilité à mon goût. Essaie de l'améliorer en apportant plus d'éléments susceptibles d'attirer la curiosité de tes futurs lecteurs.



P.S. Je suis moi-même dans le domaine de l'architecture.


Je vais suivre ton post de près InchaAllah pour lire ton portrait.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/06/19 11:18 par Lavieestbelle*.
C
17 juin 2019 11:17
Je lirais ton texte avec grand plaisir.
 
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