Citation
Amine444 a écrit:
Salam alaykom Mesdames,
Pour quelles raisons vous refusez vous à vos maris? (hormis les règles, maladies ou couches)
Sont-ils frustrés par votre refus? Si oui, vous vous dites qu'il s'en remettra? Vous vous en foutez? Vous vous "rattraper" plus tard?
Perso ma femme me refuse souvent pour "je suis crevée", elle sait que cela me frustre énormément, mais j'ai l'impression qu'elle ne se rend pas compte des dégâts que cela pourrai causé sur la durée.
Nous sommes rendu à n'avoir qu'un seul rapport par mois en moyenne, et j'ai pas l'impression que cela la dérange.
Je lutte tellement contre mon nefs que j'en suis rendu à me dire que je vais aller voir le médecin savoir s'il existe des solutions pour détruire ma libido et m'éviter cette "souffrance" (et les péchés qui vont avec), et aussi éviter qu'elle se fasse maudire par les anges.
Pour info, 13 ans de mariage, 3 enfants, elle ne manque de rien (financièrement et matériellement), je l'aide du mieux que je peux avec les enfants et dans les tâches ménagères, je l'aime et je sait qu'elle m'aime. Je lui suis dévoué et elle aussi (sauf sur les relations intimes malheureusement)
ps: je ne me laisse pas aller physiquement parlant.
Merci d'avance pour vos réponses qui j'en suis sûr intéresseront bien des maris qui passerai sur ce thread.
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
En fait, je refuse si je n'ai pas d'envie, de désir.
On n'a pas de désir 24h/24, 7 jours/7.
Et en gros, si je n'ai pas de désir et que je le laisse faire quand même (je te parle d'expérience parce que ça m'est arrivé, dans ma jeunesse, de "céder", de ne pas "me refuser" donc, c'est du vécu) :
- déjà le moment me dégoûte, je n'ai qu'une envie c'est qu'il se dépêche de faire ce qu'il veut,
- je me déteste et je le déteste pendant et après l'acte, je me sens sale, salie, parce que j'ai laissé quelqu'un me faire des choses dont je n'avais pas envie,
- ça fait mal. Pas de désir => pas de lubrification (ou très peu) donc en plus de te sentir mal psychologiquement, tu as mal dans les parties intimes, ça s'irrite, ça saigne parfois... Et ça bloque encore plus pour la fois d'après.
- je m'ennuie pendant qu'il "fait son truc". Comme moi je n'avais pas de désir, si je le laisse faire quand même, bah j'aimerai bien qu'on laisse la télé allumée ou que je puisse être dans une position qui me permette de lire un truc en même temps. Ou alors j'essayais de réflechir à des trucs pour passer le temps et me forcer à penser à autre chose, du type "qu'est-ce qu'on va manger ce soir".
- Une sensation d'agression, de viol même.
- une perte de l'estime de moi : en gros la sensation d'être juste une poupée gonflable dont les désirs et les envies ne comptent pas.
- une perte d'estime et de confiance envers mon partenaire : comme il fait passer ses désirs avant les miens, même si je n'ai pas envie, c'est une personne auprès de laquelle je n'étais pas en sécurité, quelqu'un qui ne me protégeait pas, jamais. J'étais plus en sécurité loin de lui que près de lui.
Après ces actes, je me faisais parfois vomir pour enlever cette sensation de dégoût, j'ai aussi parfois passé des heures entières sur la douche à me frotter jusqu'au sang pour enlever la sensation sur ma peau. + des cauchemars la nuit et des visions
Je précise qu'il n'y avait aucune violence physique ni forçage physique, c'était juste lui qui était insistant et moi qui disait oui pour avoir la paix et parce qu'il m'avait répété que c'était mon devoir.
A terme, si réitéré plusieurs fois, un dégoût de plus en plus profond de mon partenaire, jusqu'à éviter le plus possible qu'il me touche (même pour un bisou), parce que j'associai mon partenaire à cet / ces évènements et donc à la douleur et au dégoût que j'avais ressenti à ce moment.
Je précise aussi que mon mari n'est pas l'homme avec lequel je me suis forcée . Au contraire, mon mari n'est jamais insistant, et d'ailleurs au fil des années ça a décuplé mes envies de venir vers lui, aujourd'hui je viens parfois plus vers lui que le contraire .
Aujourd'hui quand je refuse parce que je n'ai pas d'envie, oui je me dis qu'il s'en remettra, parce que je sais que le fait de céder à la pression, pour le coup, on a vraiment du mal à s'en remettre (je n'ai jamais vu aucun de mes partenaires se mettre à vomir, faire des cauchemars ou se frotter la peau jusqu'au sang parce que trop de désir...).
Non je ne m'en fous pas, je suis désolée pour mon mari qu'il voit ses désirs de l'instant insatisfait, et à la fois heureuse qu'il considère les relations sexuelles comme quelque chose qui se partagent à deux. Il ne voit pas l'intérêt de faire ça si je n'en ai pas envie, il trouve ça nul si je ne suis pas enthousiaste.
Et on se rattrape au moment où j'ai du désir, si ça n'arrive pas tout de suite tant pis.
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
En fait, je refuse si je n'ai pas d'envie, de désir.
On n'a pas de désir 24h/24, 7 jours/7.
Et en gros, si je n'ai pas de désir et que je le laisse faire quand même (je te parle d'expérience parce que ça m'est arrivé, dans ma jeunesse, de "céder", de ne pas "me refuser" donc, c'est du vécu) :
- déjà le moment me dégoûte, je n'ai qu'une envie c'est qu'il se dépêche de faire ce qu'il veut,
- je me déteste et je le déteste pendant et après l'acte, je me sens sale, salie, parce que j'ai laissé quelqu'un me faire des choses dont je n'avais pas envie,
- ça fait mal. Pas de désir => pas de lubrification (ou très peu) donc en plus de te sentir mal psychologiquement, tu as mal dans les parties intimes, ça s'irrite, ça saigne parfois... Et ça bloque encore plus pour la fois d'après.
- je m'ennuie pendant qu'il "fait son truc". Comme moi je n'avais pas de désir, si je le laisse faire quand même, bah j'aimerai bien qu'on laisse la télé allumée ou que je puisse être dans une position qui me permette de lire un truc en même temps. Ou alors j'essayais de réflechir à des trucs pour passer le temps et me forcer à penser à autre chose, du type "qu'est-ce qu'on va manger ce soir".
- Une sensation d'agression, de viol même.
- une perte de l'estime de moi : en gros la sensation d'être juste une poupée gonflable dont les désirs et les envies ne comptent pas.
- une perte d'estime et de confiance envers mon partenaire : comme il fait passer ses désirs avant les miens, même si je n'ai pas envie, c'est une personne auprès de laquelle je n'étais pas en sécurité, quelqu'un qui ne me protégeait pas, jamais. J'étais plus en sécurité loin de lui que près de lui.
Après ces actes, je me faisais parfois vomir pour enlever cette sensation de dégoût, j'ai aussi parfois passé des heures entières sur la douche à me frotter jusqu'au sang pour enlever la sensation sur ma peau. + des cauchemars la nuit et des visions
Je précise qu'il n'y avait aucune violence physique ni forçage physique, c'était juste lui qui était insistant et moi qui disait oui pour avoir la paix et parce qu'il m'avait répété que c'était mon devoir.
A terme, si réitéré plusieurs fois, un dégoût de plus en plus profond de mon partenaire, jusqu'à éviter le plus possible qu'il me touche (même pour un bisou), parce que j'associai mon partenaire à cet / ces évènements et donc à la douleur et au dégoût que j'avais ressenti à ce moment.
Je précise aussi que mon mari n'est pas l'homme avec lequel je me suis forcée . Au contraire, mon mari n'est jamais insistant, et d'ailleurs au fil des années ça a décuplé mes envies de venir vers lui, aujourd'hui je viens parfois plus vers lui que le contraire .
Aujourd'hui quand je refuse parce que je n'ai pas d'envie, oui je me dis qu'il s'en remettra, parce que je sais que le fait de céder à la pression, pour le coup, on a vraiment du mal à s'en remettre (je n'ai jamais vu aucun de mes partenaires se mettre à vomir, faire des cauchemars ou se frotter la peau jusqu'au sang parce que trop de désir...).
Non je ne m'en fous pas, je suis désolée pour mon mari qu'il voit ses désirs de l'instant insatisfait, et à la fois heureuse qu'il considère les relations sexuelles comme quelque chose qui se partagent à deux. Il ne voit pas l'intérêt de faire ça si je n'en ai pas envie, il trouve ça nul si je ne suis pas enthousiaste.
Et on se rattrape au moment où j'ai du désir, si ça n'arrive pas tout de suite tant pis.
Citation
Oxycodone a écrit:
J’avoue que j’ai eu des moments de mal à l’aise en lisant quelques passages ,
Tu parles de te sentir sale, de dégoût, de viol…alors que c’est ton mari!!
Ok tu en as pas envie, mais si lui en a envie, qu’est-ce qu’il ya de sale ou de dégoûtant de le laisser faire son affaire ? Tu compares ça à un viol, tu sais ce que c’est un viol?
Si c sec ok, il ya des gels lubrifiant
Citation
Mirabelle° a écrit:
Bonjour, ce texte ne viens pas de toi
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
En fait, je refuse si je n'ai pas d'envie, de désir.
On n'a pas de désir 24h/24, 7 jours/7.
Et en gros, si je n'ai pas de désir et que je le laisse faire quand même (je te parle d'expérience parce que ça m'est arrivé, dans ma jeunesse, de "céder", de ne pas "me refuser" donc, c'est du vécu) :
- déjà le moment me dégoûte, je n'ai qu'une envie c'est qu'il se dépêche de faire ce qu'il veut,
- je me déteste et je le déteste pendant et après l'acte, je me sens sale, salie, parce que j'ai laissé quelqu'un me faire des choses dont je n'avais pas envie,
- ça fait mal. Pas de désir => pas de lubrification (ou très peu) donc en plus de te sentir mal psychologiquement, tu as mal dans les parties intimes, ça s'irrite, ça saigne parfois... Et ça bloque encore plus pour la fois d'après.
- je m'ennuie pendant qu'il "fait son truc". Comme moi je n'avais pas de désir, si je le laisse faire quand même, bah j'aimerai bien qu'on laisse la télé allumée ou que je puisse être dans une position qui me permette de lire un truc en même temps. Ou alors j'essayais de réflechir à des trucs pour passer le temps et me forcer à penser à autre chose, du type "qu'est-ce qu'on va manger ce soir".
- Une sensation d'agression, de viol même.
- une perte de l'estime de moi : en gros la sensation d'être juste une poupée gonflable dont les désirs et les envies ne comptent pas.
- une perte d'estime et de confiance envers mon partenaire : comme il fait passer ses désirs avant les miens, même si je n'ai pas envie, c'est une personne auprès de laquelle je n'étais pas en sécurité, quelqu'un qui ne me protégeait pas, jamais. J'étais plus en sécurité loin de lui que près de lui.
Après ces actes, je me faisais parfois vomir pour enlever cette sensation de dégoût, j'ai aussi parfois passé des heures entières sur la douche à me frotter jusqu'au sang pour enlever la sensation sur ma peau. + des cauchemars la nuit et des visions
Je précise qu'il n'y avait aucune violence physique ni forçage physique, c'était juste lui qui était insistant et moi qui disait oui pour avoir la paix et parce qu'il m'avait répété que c'était mon devoir.
A terme, si réitéré plusieurs fois, un dégoût de plus en plus profond de mon partenaire, jusqu'à éviter le plus possible qu'il me touche (même pour un bisou), parce que j'associai mon partenaire à cet / ces évènements et donc à la douleur et au dégoût que j'avais ressenti à ce moment.
Je précise aussi que mon mari n'est pas l'homme avec lequel je me suis forcée . Au contraire, mon mari n'est jamais insistant, et d'ailleurs au fil des années ça a décuplé mes envies de venir vers lui, aujourd'hui je viens parfois plus vers lui que le contraire .
Aujourd'hui quand je refuse parce que je n'ai pas d'envie, oui je me dis qu'il s'en remettra, parce que je sais que le fait de céder à la pression, pour le coup, on a vraiment du mal à s'en remettre (je n'ai jamais vu aucun de mes partenaires se mettre à vomir, faire des cauchemars ou se frotter la peau jusqu'au sang parce que trop de désir...).
Non je ne m'en fous pas, je suis désolée pour mon mari qu'il voit ses désirs de l'instant insatisfait, et à la fois heureuse qu'il considère les relations sexuelles comme quelque chose qui se partagent à deux. Il ne voit pas l'intérêt de faire ça si je n'en ai pas envie, il trouve ça nul si je ne suis pas enthousiaste.
Et on se rattrape au moment où j'ai du désir, si ça n'arrive pas tout de suite tant pis.
Citation
Amine444 a écrit:
Salam alaykom Mesdames,
Pour quelles raisons vous refusez vous à vos maris? (hormis les règles, maladies ou couches)
Sont-ils frustrés par votre refus? Si oui, vous vous dites qu'il s'en remettra? Vous vous en foutez? Vous vous "rattraper" plus tard?
Perso ma femme me refuse souvent pour "je suis crevée", elle sait que cela me frustre énormément, mais j'ai l'impression qu'elle ne se rend pas compte des dégâts que cela pourrai causé sur la durée.
Nous sommes rendu à n'avoir qu'un seul rapport par mois en moyenne, et j'ai pas l'impression que cela la dérange.
Je lutte tellement contre mon nefs que j'en suis rendu à me dire que je vais aller voir le médecin savoir s'il existe des solutions pour détruire ma libido et m'éviter cette "souffrance" (et les péchés qui vont avec), et aussi éviter qu'elle se fasse maudire par les anges.
Pour info, 13 ans de mariage, 3 enfants, elle ne manque de rien (financièrement et matériellement), je l'aide du mieux que je peux avec les enfants et dans les tâches ménagères, je l'aime et je sait qu'elle m'aime. Je lui suis dévoué et elle aussi (sauf sur les relations intimes malheureusement)
ps: je ne me laisse pas aller physiquement parlant.
Merci d'avance pour vos réponses qui j'en suis sûr intéresseront bien des maris qui passerai sur ce thread.
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
En fait, je refuse si je n'ai pas d'envie, de désir.
On n'a pas de désir 24h/24, 7 jours/7.
Et en gros, si je n'ai pas de désir et que je le laisse faire quand même (je te parle d'expérience parce que ça m'est arrivé, dans ma jeunesse, de "céder", de ne pas "me refuser" donc, c'est du vécu) :
- déjà le moment me dégoûte, je n'ai qu'une envie c'est qu'il se dépêche de faire ce qu'il veut,
- je me déteste et je le déteste pendant et après l'acte, je me sens sale, salie, parce que j'ai laissé quelqu'un me faire des choses dont je n'avais pas envie,
- ça fait mal. Pas de désir => pas de lubrification (ou très peu) donc en plus de te sentir mal psychologiquement, tu as mal dans les parties intimes, ça s'irrite, ça saigne parfois... Et ça bloque encore plus pour la fois d'après.
- je m'ennuie pendant qu'il "fait son truc". Comme moi je n'avais pas de désir, si je le laisse faire quand même, bah j'aimerai bien qu'on laisse la télé allumée ou que je puisse être dans une position qui me permette de lire un truc en même temps. Ou alors j'essayais de réflechir à des trucs pour passer le temps et me forcer à penser à autre chose, du type "qu'est-ce qu'on va manger ce soir".
- Une sensation d'agression, de viol même.
- une perte de l'estime de moi : en gros la sensation d'être juste une poupée gonflable dont les désirs et les envies ne comptent pas.
- une perte d'estime et de confiance envers mon partenaire : comme il fait passer ses désirs avant les miens, même si je n'ai pas envie, c'est une personne auprès de laquelle je n'étais pas en sécurité, quelqu'un qui ne me protégeait pas, jamais. J'étais plus en sécurité loin de lui que près de lui.
Après ces actes, je me faisais parfois vomir pour enlever cette sensation de dégoût, j'ai aussi parfois passé des heures entières sur la douche à me frotter jusqu'au sang pour enlever la sensation sur ma peau. + des cauchemars la nuit et des visions
Je précise qu'il n'y avait aucune violence physique ni forçage physique, c'était juste lui qui était insistant et moi qui disait oui pour avoir la paix et parce qu'il m'avait répété que c'était mon devoir.
A terme, si réitéré plusieurs fois, un dégoût de plus en plus profond de mon partenaire, jusqu'à éviter le plus possible qu'il me touche (même pour un bisou), parce que j'associai mon partenaire à cet / ces évènements et donc à la douleur et au dégoût que j'avais ressenti à ce moment.
Je précise aussi que mon mari n'est pas l'homme avec lequel je me suis forcée . Au contraire, mon mari n'est jamais insistant, et d'ailleurs au fil des années ça a décuplé mes envies de venir vers lui, aujourd'hui je viens parfois plus vers lui que le contraire .
Aujourd'hui quand je refuse parce que je n'ai pas d'envie, oui je me dis qu'il s'en remettra, parce que je sais que le fait de céder à la pression, pour le coup, on a vraiment du mal à s'en remettre (je n'ai jamais vu aucun de mes partenaires se mettre à vomir, faire des cauchemars ou se frotter la peau jusqu'au sang parce que trop de désir...).
Non je ne m'en fous pas, je suis désolée pour mon mari qu'il voit ses désirs de l'instant insatisfait, et à la fois heureuse qu'il considère les relations sexuelles comme quelque chose qui se partagent à deux. Il ne voit pas l'intérêt de faire ça si je n'en ai pas envie, il trouve ça nul si je ne suis pas enthousiaste.
Et on se rattrape au moment où j'ai du désir, si ça n'arrive pas tout de suite tant pis.
Citation
Oxycodone a écrit:
J’avoue que j’ai eu des moments de mal à l’aise en lisant quelques passages ,
Tu parles de te sentir sale, de dégoût, de viol…alors que c’est ton mari!!
Ok tu en as pas envie, mais si lui en a envie, qu’est-ce qu’il ya de sale ou de dégoûtant de le laisser faire son affaire ? Tu compares ça à un viol, tu sais ce que c’est un viol?
Si c sec ok, il ya des gels lubrifiant
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
Et de qui alors ?
Citation
Incarnat a écrit:
Aleykoum Salam,
Je te conseille de lui en parler une dernière fois pour qu'elle trouve des solutions. Tu n'as pas à te faire du mal en prenant des médicaments chimiques pour stopper ta libido et tu ne vas pas risquer de tomber dans le péché.
Elle peut consulter un sexologue, un psy, un gynéco. Elle est peut-être en pré-ménopause, un bilan sanguin anormal...etc. il y a des tas de raisons, à elle de faire le nécessaire.
Citation
PrintempsHeureux a écrit:
Parce que le mariage (ou la mise en couple si on n'est pas marié / pas musulman) n'est pas un consentement à vie.
Si tu n'as pas de désir, pas envie, pas de pensée sexuelle à un instant T, ce n'est pas la bague au doigt qui donne pas magie des envies ?
On peut se sentir sale et utilisé si on a le sentiment que son corps a été utilisé contre son gré, le mariage ne donne pas un accès illimité de facto au corps de l'autre.
Le moment où l'autre est à l'intérieur de toi, mais que toi tu n'avais pas envie qu'il fasse ça, que tu n'avais pas envie d'avoir son corps sur toi, la sensation de sa peau sur toi, son odeur dans le nez, juste parce que tu n'avais pas de désir, ça peut être (très) mal vécu. On peut se sentir dégoutée.
Tu peux si tu veux dire "tu n'as pas le droit de te sentir dégoutée", mais on ne contrôle pas ses sensations, on ne peut pas leur donner des ordres.
Et légalement le viol conjugal existe.
Citation
citronnette a écrit:
Et pourquoi ce serait elle qui aurait un problème systématiquement et qui devrait se faire soigner ...
Pourquoi notre posteur ne parvient pas à "dérider" son épouse ?
Dans ce genre de situations, les deux intervenants doivent faire des efforts ENSEMBLE.