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Un gendarme menace sa compagne de la "briser"
P
22 novembre 2023 21:19
Un gendarme menace sa compagne de la "briser".

"Je vais te démolir. Tes photos, tes photos avec tes petits bleus ? Mais vas-y, publie-les sur Facebook, va au commissariat avec. Je vais te briser. D'accord ? Je vais te briser !"

La victime, qui a peur pour sa vie, se sent impuissante. Elle sait que son compagnon, en tant que gendarme, bénéficie d'un statut qui lui donne un pouvoir sur elle.

"Vu que tu es gendarme ! Ah bah oui mais tu veux jouer sur mon terrain, on va jouer sur mon terrain avec mes règles. Et quand c'est mes règles, c'est moi qui gagne !"

Ce témoignage, recueilli par l'émission Complément d'enquête, illustre la difficulté pour les femmes victimes de violences conjugales commises par un membre des forces de l'ordre.

Les victimes sont souvent isolées et craignent de ne pas être prises au sérieux par la justice. Elles peuvent également être confrontées à des pressions de la part de leur agresseur, qui utilise son statut pour les intimider.

Il est urgent de prendre des mesures pour protéger ces victimes et garantir leur sécurité.

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Z
22 novembre 2023 21:26
Salam,
je pense que c'est à lire dans le contexte plus général de la méfiance sociétale contre les FDO.
Peut-être que c'est un cas exceptionnel.
Mais les gendarmes se font vraiment contrôler pour les crimes ou délits dont ils seraient coupables.
Ils sont assermentés, mais ça ne leur octroie aucune immunité.
Si les preuves d'agression ou de violence envers le conjoint sont avérées, la justice fera son travail.
Et sera même peut-être plus sévère pour l'intimidation par le statut.
En tout cas je trouve que les violences conjugales vont à l'encontre du fondement des FDO, le rôle étant de protéger la population et les plus faibles contre toute violence...
Citation
Paiix a écrit:
Un gendarme menace sa compagne de la "briser".

"Je vais te démolir. Tes photos, tes photos avec tes petits bleus ? Mais vas-y, publie-les sur Facebook, va au commissariat avec. Je vais te briser. D'accord ? Je vais te briser !"

La victime, qui a peur pour sa vie, se sent impuissante. Elle sait que son compagnon, en tant que gendarme, bénéficie d'un statut qui lui donne un pouvoir sur elle.

"Vu que tu es gendarme ! Ah bah oui mais tu veux jouer sur mon terrain, on va jouer sur mon terrain avec mes règles. Et quand c'est mes règles, c'est moi qui gagne !"

Ce témoignage, recueilli par l'émission Complément d'enquête, illustre la difficulté pour les femmes victimes de violences conjugales commises par un membre des forces de l'ordre.

Les victimes sont souvent isolées et craignent de ne pas être prises au sérieux par la justice. Elles peuvent également être confrontées à des pressions de la part de leur agresseur, qui utilise son statut pour les intimider.

Il est urgent de prendre des mesures pour protéger ces victimes et garantir leur sécurité.

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23 novembre 2023 00:38
Salam aleikom

Souvent les campagnes des flics et gendarmes subissent des violences. .. et ce n'est pas un problème isolé hélas !

En plus, les flics se soutiennent entre eux dans les affaires.
Tout comme les juges ...

Le juge qui avait sa femme dans un bain de sang ... n'a rien eu ... il a même peut perçu une augmentation.
P
24 novembre 2023 12:32
Depuis 2021, 437 gendarmes et 473 policiers ont été impliqués dans des violences conjugales, révélant une problématique interne de grande ampleur, selon les données du ministère de l'Intérieur. Un total de 910 agents sont concernés par ces incidents. La porte-parole admet aujourd'hui la réalité de ce problème, soulignant que cela est encore plus inacceptable au sein de ces professions chargées de faire respecter les lois.

En coulisses, des témoignages de compagnes de policiers et de gendarmes violents mettent en lumière une réalité alarmante. Des propos sexistes circulent au sein de ces institutions, illustrés par une phrase récurrente entre eux : "Les chiens sont acceptés, les femmes sont tolérées." Les victimes témoignent du pouvoir hiérarchique de leur agresseur, qui s'appuie sur sa position dans la police ou la gendarmerie pour échapper aux conséquences de ses actes.

Les réseaux internes, l'esprit de corps, les intimidations et les menaces compliquent le processus de dénonciation pour ces femmes. Certaines ont du mal à se faire entendre, confrontées à un cercle fermé où les agresseurs bénéficient de complicités.

L'enquête met également en lumière des cas où des policiers impliqués dans des affaires de violences intrafamiliales occupent des postes de responsabilité, suscitant des interrogations sur l'exemplarité au sein de ces institutions. Une plongée dans une réalité moins reluisante que celle que ces professions souhaiteraient afficher.

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