waaaa ce que je suis parti en vous lisant..c'est incroyable comme Rabat nous manque tous...ça se sent..et je suis heureuse de partager cela avec vous tous et toutes !
Au fait j'habite du côté de l'entrée principale de l'administration ....L'hotel Hassan est en face, l'institut italien, argana...et le bouquiniste d'en face qui vient de décéder il y a 2 ans je crois ... lahyre7mou... Alors de sta7..je pouvais voir le terrain de Hassan II, lknissiya ftri9 la gare ....Ayaya...que de beaux souvenirs !
l'activité commerciale se ressent des chantiers en cours
Les travaux d'aménagement du boulevard Mohammed V de Rabat vont bon train. La wilaya de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër entend réhabiliter la plus célèbre avenue de la capitale. Elle compte refaire le revêtement du sol, réaménager les espaces verts, construire de nouvelles fontaines et surtout imposer aux boutiques et magasins qui le bordent une mise en lumière scénique. Le chantier a été ouvert, il y a plus de deux mois et rien ne laisse présager qu'il va prendre fin dans les jours qui viennent.
Mais plus les travaux traînent en longueur, plus les R'batis et les visiteurs de la capitale se sentent incommodés par tout ce remue-ménage. Les habitants de Rabat avaient certes accueilli favorablement le lancement des travaux. Ils voulaient que cette artère structurante soit enfin aménagée, embellie pour refléter l'image de la capitale. Mais ils ne veulent surtout pas que ce branle-bas s'éternise.
Ils ont hâte de renouer avec l'ambiance habituelle qui a toujours marqué cette artère. « Il nous tarde de revoir l'avenue qu'on a toujours arpentée. Ses cafés, ses snacks et ses boutiques, ses enseignes lumineuses. » Déclare cette jeune femme, visiblement incommodée par les travaux.
Il faut dire que le projet de réaménagement du boulevard Mohammed V n'a pas manqué de perturber la circulation et de diminuer par conséquent l'activité commerciale au centre ville.
Les magasins et les cafés sis dans ce boulevard sont presque désertés. Les gens ne passent plus par cette avenue. Ils empruntent l'avenue parallèle (Moulay Abdallah).
La poussière, les amas de pierres, le bruit des marteaux piqueurs, le vrombissement des machines … les obligent à changer de chemin au grand dam des commerçants. Du coup des voix mécontentes sont de plus en plus audibles.
Pour le garçon de ce café : « l'activité du café a baissé considérablement. Les clients se font de plus en plus rares. Les recettes s'en ressentent énormément. Vous savez, nous les garçons, on gagne notre vie grâce essentiellement aux pourboires des clients. Or ces clients ne viennent plus comme avant ».
Le propriétaire de ce magasin de vêtements est du même avis. Il estime que les travaux ont eu pour conséquence directe la baisse de son activité commerciale. « Comment voulez-vous que des clients viennent ici alors que la pagaille est partout. Les gens évitent de passer par cette voie de peur de salir leurs vêtements. Je crois qu'il vaut mieux fermer en attendant la fin des travaux. » explique-t-il, un peu dépité.
Mêmes les kiosques ont été démontés pour ne pas gêner le travail des ouvriers. Leurs propriétaires les ont implantés provisoirement dans d'autres points du centre ville. D'ailleurs, ils craignent de ne pas pouvoir retourner à leur emplacement initial une fois les travaux achevés ou, que la wilaya les somme de diminuer les surfaces de ces kiosques dans le but de gagner de l'espace et de fluidifier la circulation des piétons.
Une autre catégorie professionnelle est lésée par les travaux de réaménagement. Les photographes ambulants du Boulevard. Ces photographes qui d'ordinaire gagnent leur vie en prenant en photo les gens devant les fontaines ou devant l'édifice du Parlement, ont été contraints d'évacuer les lieux. Certains ont choisi de s'installer temporairement dans la place en face de la gare ONCF de Rabat-ville. Mais, là-bas, les clients ne sont pas au rendez-vous chaque jour.
Ils ont été obligés de baisser leurs tarifs pour pouvoir survivre à cette période de récession. Avant, une photo coûtait 10 DH. Elle ne coûte à présent que 5 DH. Visiblement, l'aménagement du Boulevard Mohammed V ne se fait pas sans dégâts collatéraux. Mais on ne fait pas d'omelettes sans casser les œufs. On attendant la fin des travaux, les pigeons de l'ancienne fontaine s'en sont allés roucouler ailleurs.
Un projet qui vise à réhabiliter le centre ville
Le coût du projet de réaménagement du boulevard Mohammed V est estimé à plus de 40 millions de DH. L'objectif est de promouvoir l'espace urbanistique de la capitale à travers la valorisation de son centre et des grandes voies structurantes. Il s'agit de réhabiliter cette importante artère en la dépouillant des éléments qui dénaturent son cachet authentique.
Le projet concerne la partie de l'Avenue Mohammed V qui va de l'avenue Hassan II à la mosquée Assouna. La tranche du boulevard qui se situe entre la gare de Rabat-Ville et Bank Al Maghrib sera embellie de trois fontaines, alors que les deux fontaines en haut et en bas seront refaites.
Une autre fontaine sera également construite au rond-point de la gare, alors que la grande fontaine du jardin Assouna sera restourée dans le même esprit. De même, les revêtements des sols seront entièrement refaits.
Par ailleurs, une mise en lumière scénique de toute l'avenue fera l'objet d'une étude spécifique. Des bancs publics, poubelles et panneaux de signalisation seront également installés.
Le projet entre dans le cadre d'un programme qui intéresse certaines avenues principales et monuments historiques de la capitale.
de rien mimicha. a rabat je suis chez moi aussi (quartier hassan que je trouve l'un des meilleus quartier de la ville) et c'est interessant d'apprendre ce qui se passe.
le boullevard med 5 avait stagne de longues annees je trouve. j'espere que les travaux seront plutot d'un effet positifs, car parfois je crains que l'inverse se reproduise...
"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois."
abtal, 3oukba, chem's, la gare d'agdal, fal weld 3oumir ..
" Il y a deux choses auxquelles il faut se faire sous peine de trouver la vie insupportable : ce sont les injures du temps et les injustices des hommes. "
Tiens je vais être le seul temari du coin, mais ça fait rien nos belles plages ont fait que vous avez déjà parlé de Temara!
Je suis né à Rabat, je reste attaché à cette ville, si un jour je retourne au Maroc inchaa allah j'aimerai habiter cette ville. Mon souvenir de cette ville c'est les matchs des FAR pendant les années de gloire 85 à 90 avec l'ossature de l'équipe nationale.
J'habitais pas loin du stade que j'ai vu se construire pour le jeux panarabes de 85, chaque fois que les FAR avaient un match à domicile, d'intenses négociations débutaient avec si elmarda pour nous laisser passer sans payer les 5 ou 10 DH selon le temps, pour aller soit dans la tribune 2 (couverte) ou la célèbre 13 remplie de 2e Hallouf (les soldats)! Mon souvenir le plus marquant c'est FAR#ZAMALEK, avec un sentiment mitigé car les FAR ont gagné mais Timoumi a été "cassé"! Je me rappelle aussi du "Terrahe" laghrissi qui marquait tout le temps! j'ai passé seulement 7 ans mais j'ai beaucoup de souvenirs de cette ville, le plus marquant étant le parcours vers le stade. Le parcours vers les plages était pas mal non plus car on en profitait pour ramasser les bouteilles au abords des villas qu'on vendait pour se payer des "choses" comme tout le monde sur la plage. Je suis passé au collège AL GHAZALI et au lycée CIDERA (pour ceux qui connaissent).
Myster.. Tu déconnes sérieusement.... Puisque tu dis que je te connais et que tu dis me connaître alors ??? De quoi aura-tu peur ? Chkoun had moncef ....chkoun ??? Je connaissais un moncef..et c'était l'ami à un ex copain à moi ...est ce que c'est toi ? en plus c'était dans la période de mes 15 ans et demi... allezzzz!!