Pour ne pas froisser César, l'article provient d'un magazine satirique connu par pas mal d'entre vous déjà puisqu'il est né sur Yabiladi : La Gâchette du Maroc.
toumya a écrit: ------------------------------------------------------- > exact il résume bien a situation, mais oublie un > petit détail, c'est une constation personnelle > bien. > > certains de nos compatriotes hommes choisissent > pour profiter de leur jeunesse(qui varie de 20 à > 35 ans selon les cas) de partager les plus beaux > moments avec une femme le plus souvent > occidentale, et c'est qu'arrivée à un age avancé > ils font un retour aux origines...
Omar tu veux épouser ma fille ? Combien t'y as yallah ? Je te fais un prix d'amis. - Heu je suis à découvert 3ami el Hajj. Je n'ai pas d'argent. - Digage ispice di mal élevé. Ma fille wallah elle ne part pas à moins de 10 000 €uros. Ci à prendre ou à lisser.
mmmddrrrrrr je savait pas que c etait comme au marchez au puce
Bass a écrit: ------------------------------------------------------- > Salam aalikoum > > > Si vous voulez mon avis ya autant d'espoir > aujourdhui qu'il y en avait ya 50ans... > > plus rien ne m'etonne
bien sur ya de l espoir heureusement et c est pas ca ki mank des filles et des hommes bien hamdoulilah ki veulent se lancer
karim_92 a écrit: ------------------------------------------------------- > Hanane19 a écrit: > -------------------------------------------------- > ----- > > si je comprends bien tout ça laisse peu > d'espoir > > au final !!! > > > ya de l'espoir > > il suffit de faire bocoup de zhommes > > et ralentir au nivo des fifilles > mdrrr > > ------------------------------------------- > "karim .... un ange dans un monde de brute"
et voila la solution de karim, quel génie, tu m'epate lol
J'ai déjà eu l'occasion de lire le même article "satirique" sur ce site déjà et je rejoins bon nombre de gens, qui malgré son caractère léger, n'en demeure pas moins une "vérité sociale" de nos jours à prendre en compte. Le Nouvel Observateur en début d'année avait mené sa petite enquête et a relevé que 14 millions de personnes en France recherchaient l'âme soeur... Ce qui au passage m'avait inspiré un poème, et par ailleurs il y a quelques temps j'ai posé une question relative à l'influence du nombre de divorce en constance augmentation sur la prise de décision de se marier chez les jeunes couples et il en ressort que cela est secondaire, car il faut "goûter" à ce rêve, légitimé culturellement et socialement et légitimant (don de nouveau statut et responsabilités)...
Sommes-nous tous mariables et surtout si c'est le cas, sommes-nous prêts à faire le pas, le saut, le bond... Oui, le saut à l'élastique résume bien le mariage... C'est fait de peurs, montée d'adrénaline, d'hésitations, de sensations fortes et de confiance, en l'autre qui nous entraîne... Mais vu le nombre de victimes en bas parfois, il y a de quoi réfléchir, même si la plus tard du temps, il y a de l'eau pour regagner la berge à l'amiable... et c'est souvent long, épuisé, nageant à contre-courant des pensées (regards), jugements, des pairs... des gens... Le mariage est assimilé par tradition à la vie. Vie à deux. Donner la vie. Et quand le mariage échoue, c'est comme la vie qui s'arrête pour beaucoup... Ce qui est faux bien sûr si on enlève les jugements sociaux de valeurs, quantifié par les profits symboliques de la réussite de vie (mariage d'amour, heureux) qu'est la naissance d'enfants. Oui, l'intérêt du mariage n'est que purement reproductif dans un sens et légitime la relation et ce qui en découle... Sans cet aspect des choses, les sociétés dite modernes se contenteraient du modèle du concubinage, qu'on retrouve sous différentes formes chez plusieurs peuples... Le flirt peut-être considéré comme une forme de concubinage limité, au vu de certaines personnes qui disent "sortir" avec un conjoint pendant plusieurs années avant de faire le grand pas. Chose qu'on remarque chez les individus en ménage avec enfants qui se passent la bague au doigt parfois bien après de longues années...
Le mariage est l'union de deux individualismes dont le cadre solennel (devoirs) fixé par les autorités civiles et religieuses dans des cas fait office de ciment... Mais malheureusement il arrive que la "maison matrimoniale" à la première grande secousse, ou suite des petites répliques (invectives) se fissure et s'écroule sans de bonnes fondations (respect, amour et sincérité)... Le mariage fait trembler. On est donc jamais prêt à s'engager plus au moins et la majorité d'entre nous, fait comme lors du saut à l'élastique : on saute en fermant les yeux et en ce disant "advienne ce qui adviendra", on verra par la suite, ce que nous réserve le destin !"
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