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Le mariage c'est pour les hommes libres
31 mars 2023 22:01
Puis là tu donnes un point de vue masculin, et basé sur la raison.

Nombreux sont ceux qui la perdent en cours de route, envoûtés par une belle qui elle se fiche de toute ces raisons.

Citation
Taheke a écrit:
Coucou Rozenn Bye

Un homme peut être père entre 40 et 50 ans, ce qui est conseillé aujourd'hui, pour avoir des moyens réels quand à l'éducation de ses enfants, tant matériellement qu'intellectuellement.

L'écart d'âge dans les couple va se creuser encore plus je pense.

Pour des personnes ayant des moyens les enfants sont moins une contrainte que pour des prolos.
Dans une branche de ma famille, jadis, les parents payaient des gouvernantes pour s'occuper des enfants, ils ne s'en occupaient pas eux même. Ils changeaient régulièrement de gouvernantes pour casser le lien affectif et faire que les enfants ne s'attachent pas trop. D'où des carences affectives dans la famille par la suite d'ailleurs.

Mais chez tous les "riches" le fait de payer une personne pour s'occuper des enfants est monnaie courante, que ce soit pour l'éducation particulière ou la garde à proprement parler.
T
31 mars 2023 23:39
Oui cette époque est déjà compromise pour la plupart des gens. Mais la société vends ce mythe comme étant encore la réalité moderne et beaucoup tombent dans le panneau.

J'ai une tante homo qui n'a pas d'enfant (normal me direz vous) bien qu'à priori elle et sa compagne auraient pu élever des enfants dans de très bonnes conditions mais c'est un autre sujet.

Bien avec le recul cette tante qui gagne très bien sa vie a pu pourvoir à pas mal de besoin des membres de sa famille sans avoir à se poser trop de question de se mettre dans le besoin.

La famille élargie joue beaucoup dans la richesse et la capacité matérielle et culturelle des individus quand à se reproduire ou évoluer socialement.

Ceux qui sont nés dans des familles à problèmes ça doit être difficile voir impossible de se faire une place dans cette société de compétition déséquilibrée pour favoriser les plus fort et les plus puissants...

(Sinon ben oui ma grippe est finie quand même depuis plus d'une semaine, et heureusement parce que je croule sous le travail Danse ).


Citation
Rozenn* a écrit:
Salut Taheke smiling smiley

Chez nous on est des prolos il faut croire, et même ceux qui s'en sont bien sortis (de la génération précédente), c'était soit sur le modèle homme qui travaille/femme au foyer, soit l'entraide entre les conjoint.

Mais ceux qui ont atteint cette liberté, notamment materielle, c'est en particulier ceux qui n'ont pas eu d'enfant.

Ou qui ont mieux reussi matériellement que les autres et ont pu sécuriser leur vieillesse.

Mais ce sont des parcours de vie assez aléatoires, il n'y a pas vraiment de modèle à suivre.

Je ne veux pas être pessimiste, mais cette époque me semble revolue.

Au fait, tu t'es bien remis de ta grippe ?
S
1 avril 2023 01:53
Finalement, tu vois la liberté comme le fait de gagner plein d'argent et de ne pas le partager avec personne histoire de ne rendre des comptes à personne et pouvoir l'utiliser comme bon te semble.

C'est une conception de la liberté, mais je la trouve pour ma part bien ennuyeuse s'il faut la vivre seule.

Après forcément, à partir du moment où tu te mets en couple, que tu as des enfants, ben tu es moins libre, tu deviens dépendant de tout ce petit monde. Mais n'est-ce pas aussi une forme de liberté également, surtout quand tout va bien dans le couple ?

Mon mari est un serviable dans l'âme, il n'aurait pas supporter de vivre longtemps seul. L'argent, c'est bien mais s'il n'y a personne avec soi pour le dépenser, c'est triste. Et pour l'avoir connu à une période où il commençait sérieusement à en avoir marre de la solitude (et je ne parle pas de sexe ici), je sais que pour lui, le mot liberté signifie être libre AVEC quelqu'un.

Je comprends que de ton côté, tu vois le fait d'être avec une femme comme un encombrement, mais quand on a trouvé la bonne, on a juste envie d'être avec elle. Ce n'est pas qu'une question d'hormones ou de sexualité, c'est juste que sans l'autre, on se sent vide de tout.

L'autre met du piment dans l'existence, de la douceur, de l'émotionnel, de l'abstrait, du concret ... bref, plein de choses qu'on ne connait pas si on reste seul.

Alors bien sûr, quand tout se passe bien. ça, c'est autre chose.

Bref, dans la vie, il faut de tout pour faire un monde. Y'en a qui n'ont que l'argent et ce qu'ils peuvent en faire en tête, d'autres qui préfèrent l'amour, d'autres qui seront plus aventurier à voyager partout, d'autres auront besoin d'être père ... La liberté, c'est finalement d'être là où on a véritablement envie d'être. Et quand c'est réciproque, alors là, la vie peut être géniale ensemble.

Et je suis certaine de ne pas être un poids pour mon mari. Sans moi, la vie n'aurait pas autant de saveur. Et vice versa. On a fini par fusionner. On ne fait qu'un pour ainsi dire.

Bon après, c'est certain, beaucoup de couples finissent mal, même en restant mariés. Mais pour ceux pour qui ça fonctionne, ça vaut le coup.

Je connais un couple qui vivait séparés, chacun sa vie et ils se retrouvaient les week-ends ou quand ils en avaient envie. Et ils ont eu un enfant comme ça. Ben c'était un couple équilibré malgré leur façon "étrange" de vivre leur couple.

La liberté n'est pas impossible à deux. Faut juste qu'elle soit conçue de la même façon par les deux.
1 avril 2023 05:04
Perso, je suis déjà hors course.

Mais on ne sait pas d'où viendra notre subsistance.

Ce qui ne fait aucun doute, c'est qu'on ne passera pas à côté.
Citation
Taheke a écrit:
Oui cette époque est déjà compromise pour la plupart des gens. Mais la société vends ce mythe comme étant encore la réalité moderne et beaucoup tombent dans le panneau.

J'ai une tante homo qui n'a pas d'enfant (normal me direz vous) bien qu'à priori elle et sa compagne auraient pu élever des enfants dans de très bonnes conditions mais c'est un autre sujet.

Bien avec le recul cette tante qui gagne très bien sa vie a pu pourvoir à pas mal de besoin des membres de sa famille sans avoir à se poser trop de question de se mettre dans le besoin.

La famille élargie joue beaucoup dans la richesse et la capacité matérielle et culturelle des individus quand à se reproduire ou évoluer socialement.

Ceux qui sont nés dans des familles à problèmes ça doit être difficile voir impossible de se faire une place dans cette société de compétition déséquilibrée pour favoriser les plus fort et les plus puissants...

(Sinon ben oui ma grippe est finie quand même depuis plus d'une semaine, et heureusement parce que je croule sous le travail Danse ).
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