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Le Maroc engage une offensive diplomatique
o
3 juillet 2006 11:45
Citation
Hamid a écrit:
La "rasd" n'existe pas.
autant pour moi.
mais malheureusement ce n'est pas le cas des républiques bananieres.
b
3 juillet 2006 13:07
C'est l'occasion pour le Maroc de dennoncer afin de faire revoir la reconnaissance de la "rasd" par l'UA.


Faute de consensus, la question du Sahara n'a pas été abordée par le sommet de l'UA à Banjul

Banjul, 03/07/06- Faute de consensus, la question du Sahara n'a pas été abordée par le sommet des chefs d'Etat de l'Union africaine (UA), qui s'est tenu samedi et dimanche à Banjul, a-t-on appris auprès des participants.

"Nous avons besoin de sincérité en Afrique pour trouver une solution à cette question", a déclaré à la MAP le président de la commission de l'UA, Alpha Oumar Konaré, lors de la conférence de presse marquant la clôture du sommet.

Le président de la commission de l'UA a confirmé que la question du Sahara n'a pas été examinée par les chefs d'Etats africains.

Alpha Oumar Konaré a admis que son rapport, présenté mercredi devant la réunion des ministres africains des Affaires étrangères, a suscité un vif débat lors de la réunion ministérielle.

Selon plusieurs chefs de délégations contactés par la Map, le non examen de la question du Sahara par le sommet des chefs d'Etat de l UA traduit la volonté de la majorité des dirigeants africains de se dessaisir définitivement de ce dossier pour le laisser entre les mains de l'ONU.

''Si l'ONU gère avec succès des dossiers aussi complexes que le Darfour, la Côte d'Ivoire ou la Somalie, pourquoi persiste-on à vouloir empoisonner les relations entre les pays africains par une question qui peut être traitée avec le même succès par l'organisation onusienne'', s'est interrogé un diplomate africain.

En effet, le rapport de Oumar Konaré a été vivement critiqué par plusieurs pays africains qui ont reproché au président de la Commission de l'UA d'avoir pris fait et cause pour un seul pays, l'Algérie en l'occurrence, en omettant de signaler la proposition d'autonomie présentée par le Maroc et évoquée dans le dernier rapport du secrétaire général de l'ONU.

Ces pays, qui ont refusé l'arbitraire et se sont placés du côté de la légalité, ont réclamé la modification de la partie sur le Sahara dans ce rapport, certains allant même jusqu'à demander sa suppression pure simple.

Les vifs échanges qui ont opposé lors de cette réunion les représentants de ces pays aux Etats satellites de l'Algérie ont poussé le président de la commission de l'UA à fermer le débat pour que la question du Sahara soit soumise aux chefs d'Etats.

Mais en l'absence de consensus, et face aux risques d'une nouvelle confrontation entre les pays qui soutiennent le droit et la légalité et ceux qui se rangent derrière l'Algérie, le sommet a préféré ne pas examiner la question.

L'Algérie, profitant de l'absence du Maroc de l'UA, en protestation contre la violation flagrante de la légalité internationale par l'admission d'une fantomatique république, dépourvue des attributs élémentaires d'un Etat, a vainement tenté de faire adopter ce rapport qui cherchait à ressusciter le plan Baker, bien que celui-ci ait été jeté aux oubliettes depuis longtemps par le Conseil de sécurité et la communauté internationale.

Et selon une source diplomatique africaine sûre, les deux paragraphes sur le Sahara qui figurent dans ce rapport ont été rédigés par un algérien, membre du secrétariat de la Commission de l'UA.

Avant la clôture du sommet, les ministres des Affaires étrangères du Sénégal, du Gabon et du Togo ont démenti l'existence d'un consensus sur la partie traitant du Sahara dans le rapport de Konaré.

Dans des déclarations à la MAP, ils ont affirmé qu'au contraire, des débats houleux ont marqué la réunion des ministres des Affaires étrangères à propos de ce dossier.

[www.map.ma]
m
3 juillet 2006 14:50
Bonjour osmani,

non c'est très facile, voire trop facile. Sinon les Kabyles reconnaîtraient l'Algérie de 1962 et déposeraient leurs dossiers à l'UA.

Les Rifains feraient la même chose et les Touaregs et la Choyaouia et le Souss et le bec et les plumes Alouette...non...non...

Pour qu'un état soit reconnu, il faut qu'il ait un tracé de frontière, une population, une carte gégraphique, et la résidence de la dite population dans des lieux géographiquement définis.

Le cas de l'impolisario est identique aux bandes criminelles qui se réfugient dans un pays aussi voyou qu'eux et qui les fait rêver pour les pousser à semer une crise balkanique dans la région.

Les véritables Sahraouis du Maroc ont un territoire, ils vivent à l'intérieur de leur territoire. Le calme et la sérénité s'y remarquent lorsqu'on fait la comparaison à la guerre civile d'à côté.

Il leur arrive de manifester quand un délinquant est emrpisonné, ils crient, revendiquent, sont filmés, interwievés, en gros ils s'expriment.

Nous n'avons jamais vu la tête d'un sequestré à Lahmada. Nous ne savons même pas qui ils sont, quelle est leur réalité ? Existe-t-il vraiment ou vivent-ils dans l'imagination de ceux qui les ont crées ?

Nous avions lu que cette population avoisinait les 190 000.

L'ONU les a porté à 90 000. Aucune réaction. Pourquoi ? Combien sont-ils ? Où vivent-ils ? L'UA peut-elle nous répondre ?

Elle n'est pas capable. C'est un machin crée en toute pièce pour servir ceux qui sont forts et qui gouvernent. Sinon, cette organisation créerait des commissions pour d'abord s'informer sur l'existence réelle de la RASD, le nombre de séquestrés pour leur apporter une aide adéquate. UNE AIDE AFRICAINE et pas internationale.

L'UA n'est pas capable de faire tout cela donc elle est, et restera incapalbe de dire quoi que ce soit et surtout de dicter au Maroc une quelconque résolution.

En définitive, elle est tombée dans son propre piège exactement comme l'ONU. Crée par l'Amérique pour imposer son hégémonie mais jamais aucune résolution contre l'oncle SAM ou son fils protégé Isreal, ETAT VOYOU qui s'attaque aux civils avec une armée suréquipée.

Moralité : N'attendez rien des républiques bananières ni de l'ONU ni de Baker. Je ne cesserai de le répéter : IL N'Y A QUE JAHDAK WALLA JALDAK. Et celui qui avait écrit que la raison du plus fort est toujours la meilleure, eh ben IL N'AVAIT PAS TORT.

mag3
a
3 juillet 2006 15:04
C'est tres habile de la part du Roi d'avoir envoyé OMAR KABAJ en Afrique dans la delegation marocaine. Il avait été nommé la semaine dernière conseiller du Souverain. Kabaj est l'homme qui a sauvé la Banque Africaine du Developpement de la faillite et a été à ce titre un homme qui devait avoir en ligne tout les chefs d'etats africains. C'est bien qu'il use de son relationnel au profit de son pays. D'autant que c'est grace au lobbying d'Hassan II qu'il a été elu pdt.
M6 sans avoir le panache et la verve d'Hassan m'impressionne de plus en plus. je le trouve efficace.
z
3 juillet 2006 15:09
mmm, c'est vrai que je n'avais pas fait le lien, effectivement, la nomination rapide et sa participation a cette offensive diplomatique s'explique maintenant...
o
3 juillet 2006 18:31
Citation
mag3 a écrit:
Bonjour osmani,

non c'est très facile, voire trop facile. Sinon les Kabyles reconnaîtraient l'Algérie de 1962 et déposeraient leurs dossiers à l'UA.

Les Rifains feraient la même chose et les Touaregs et la Choyaouia et le Souss et le bec et les plumes Alouette...non...non...

Pour qu'un état soit reconnu, il faut qu'il ait un tracé de frontière, une population, une carte gégraphique, et la résidence de la dite population dans des lieux géographiquement définis.

Le cas de l'impolisario est identique aux bandes criminelles qui se réfugient dans un pays aussi voyou qu'eux et qui les fait rêver pour les pousser à semer une crise balkanique dans la région.

Les véritables Sahraouis du Maroc ont un territoire, ils vivent à l'intérieur de leur territoire. Le calme et la sérénité s'y remarquent lorsqu'on fait la comparaison à la guerre civile d'à côté.

Il leur arrive de manifester quand un délinquant est emrpisonné, ils crient, revendiquent, sont filmés, interwievés, en gros ils s'expriment.

Nous n'avons jamais vu la tête d'un sequestré à Lahmada. Nous ne savons même pas qui ils sont, quelle est leur réalité ? Existe-t-il vraiment ou vivent-ils dans l'imagination de ceux qui les ont crées ?

Nous avions lu que cette population avoisinait les 190 000.

L'ONU les a porté à 90 000. Aucune réaction. Pourquoi ? Combien sont-ils ? Où vivent-ils ? L'UA peut-elle nous répondre ?

Elle n'est pas capable. C'est un machin crée en toute pièce pour servir ceux qui sont forts et qui gouvernent. Sinon, cette organisation créerait des commissions pour d'abord s'informer sur l'existence réelle de la RASD, le nombre de séquestrés pour leur apporter une aide adéquate. UNE AIDE AFRICAINE et pas internationale.

L'UA n'est pas capable de faire tout cela donc elle est, et restera incapalbe de dire quoi que ce soit et surtout de dicter au Maroc une quelconque résolution.

En définitive, elle est tombée dans son propre piège exactement comme l'ONU. Crée par l'Amérique pour imposer son hégémonie mais jamais aucune résolution contre l'oncle SAM ou son fils protégé Isreal, ETAT VOYOU qui s'attaque aux civils avec une armée suréquipée.

Moralité : N'attendez rien des républiques bananières ni de l'ONU ni de Baker. Je ne cesserai de le répéter : IL N'Y A QUE JAHDAK WALLA JALDAK. Et celui qui avait écrit que la raison du plus fort est toujours la meilleure, eh ben IL N'AVAIT PAS TORT.

mag3

ok,je vois ou tu veux en venir,les rebelles et leurs souteneurs se sont piègés eux mm en déclarant la création de cette "rasd"ils voulaient aller tellement vite qu'ils ont mis la charut avant les boeufs,un pseudo état sans légitimité.
on comprend mieux pourquoi l'autorité palestinienne "olp" ou "hamas" n'ont toujours pas déclarés la naissance de l'état palestinien,un état non souverain qui plus est.
d'allieur moratinos la bien dit que la création de la rasd a était une erreur,et qu'il falait rester seulement en mouvement de libération "polisario" qui aurait pu muter en partie politique,mais la junte d'alger a anticipé les choses.
b
3 juillet 2006 18:54
La reconnaissance de la "rasd" va effectivement a l'encontre de la legalité internationale. C'est la raison pour laquelle l'Union Europeene ne reconnait pas cette entite ni d'ailleurs aucune institution internationale digne de ce nom. Seule l'UA, comme organisation international, la reconnait. Ce qui parle pour le sous-developpement et le mnercenariat poltique en Afrique.

C'est pour cette raison aussi que Moratinos juge, avec justesse, que la reconnaissance de la "rasd" est un erreur.

Car reconnaitre cette entite c'est deja trancher dans un conflit qui n'est pas encore definitivement regle. L'algerie, et d'autres pays qui la reconnaissent se contredisent par exemple quand ils demandent le referendum et l'autodetermination de ce qu'ils appelent appelent *peuple sahraoui*. A quoi bon si on est deja pour une republique et pour l'independance?!?

Le Maroc n'a jamais crie dans ce bazare aux pays de reconnaitre sa souvereinte. Il se bat devant les instances internationales des le debut. Et si on reconnait sa souvereinte, ce sera une fois pour toute, et de maniere qu'on se moquera de ceux qui ne font pas.

L'algerie a choisi le mercenariat et la mendicite politique, en achetant les voix une par une. et en se contredisant de maniere aussi flagrante: elle n'est pas partie prennante mais fait tout pour la pseudo "rasd". Elle est pour la legalite internationale et l'ONU, mais elle reconnait deja cette entite et se bat ouvertement pour l'independance etc.

Les mechants restent des mechants et finiront par perdre. Le Maroc est entrain de renverser la situation. Lisez en bas, au second degré svp. Mal tres mal pour l'algerisario quand les sahroaui decouvrent leurs droits de refugié. Ont-ils le statu de refugiés, pourquoi et sur quelle base? Ah la question se posera maintenant:


[www.lematin.ma]

Les séquestrés des camps de Tindouf exigent les documents prouvant leur statut de réfugiés sur le territoire algérien

01.07.2006 | 20h12

Les camps de Tindouf vivent ces derniers jours une ébullition sans précédent après que les voix des séquestrés se soient élevées pour revendiquer leur statut de réfugiés sur le territoire algérien afin de faciliter leur déplacement hors de la zone de Tindouf, indiquent des témoins oculaires.



Les séquestrés, en quête d'un moyen de fuir les camps de Tindouf et d'échapper à la prise des responsables du «polisario», ont haussé le ton ces derniers jours pour exiger la remise de documents prouvant leur statut de réfugiés, ce que leur refusent l'Algérie et sa création factice le «polisario», précisent les mêmes sources.

Ces revendications, poursuivent les témoins, ont atteint leur paroxysme en raison de la volonté véhémente de la population de se soustraire aux camps de Tindouf, en particulier suite aux circonstances tragiques et aux conditions inhumaines qu'on lui fait subir, et qui sont marquées notamment par le mépris et l'humiliation exercées à son encontre par les milices du «polisario».

Cette pression exercée sur les séquestrés a connu récemment une recrudescence sans précédent après le soulèvement populaire dans les camps, et ce qui s'ensuivit comme graves violations des droits de l'Homme orchestrées par les services de sécurité relevant de la bande du «polisario», affirment ces sources.

L'Algérie, qui ne cesse de prétendre que la population des camps est libre de ses mouvements, ne se contente pas de refuser l'octroi de documents prouvant le statut de réfugiés aux Sahraouis résidant sur son territoire mais persiste à l'interdire à toutes les parties habilitées à le faire, le but étant d'empêcher les séquestrés d'exprimer librement leur volonté de quitter les camps, indiquent-elles. Selon les témoins, la situation dans les camps de Tindouf présage de davantage de tension et de pression, en particulier après le refus catégorique du «polisario» et à travers lui l'armée algérienne, véritable maître de la situation à Tindouf, de répondre favorablement aux revendications de la population.

Ce qui accentue la souffrance de la population séquestrée, ajoutent les mêmes sources, c'est que les responsables du «polisario» qui refusent d'octroyer ces documents aux habitants des camps sont ceux-là mêmes qui, dès le début de la saison estivale, plient bagage pour s'offrir des «vacances aux frais de la princesse».

D'où l'anecdote qui circule parmi les jeunes dans les camps disant: «si tu perds de vue n'importe quel dirigeant du +polisario+ et qu'il s'avère être injoignable, il suffit de composer le 0034 pour l'avoir immédiatement au bout du fil sur l'autre rive».



| MAP
D
3 juillet 2006 19:41
Salam,

Le Maroc doit il developper une sorte de doctrine monroe, vis à vis de l'Afrique, une doctrine officieuse bien sur.
Mettre un lobbying eco en conjugaison avec le diplomatique, avec par exemple faire en sorte que le Maroc puisse devenir un prescripteur pour les evantuels investissement etranger dans les pays etranger.
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
b
4 juillet 2006 09:44
Un exemple comment la presse algerienne vend les echecs diplomatiques de l'algerie a ses lecteurs.


[www.algerie-dz.com]

Sahara Occidental : Le Maroc isolé ?

La politique répressive du Maroc au Sahara Occidental a été critiquée par l’Algérie et plusieurs autres pays africains à l’issue des travaux du 7ème sommet de l’Union africaine (UA) à Banjul.
lundi 3 juillet 2006.
La formulation d’une résolution sur le Sahara occidental soumise au Comité exécutif de l’Union africaine réuni depuis mercredi dans la capitale gambienne divise les Etats africains, les partisans de la décolonisation et les « pays amis » du royaume chérifien. Les partisans du Maroc ont estimé que le texte, tel qu’il est proposé, fait la part belle à la République arabe sahraouie et démocratique (RASD) et son principal allié, l’Algérie. Ils demandent la rédaction d’un texte équilibré et consensuel sur le Sahara occidental, alors que les Etats qui ont reconnu la République arabe démocratique sahraouie, avec à leur tête l’Algérie, n’entendent pas lâcher du lest et veulent que la mouture qui leur est proposée soit adoptée.

Pour faire pression, le Maroc, qui s’est retiré de l’UA en 1984 pour protester contre l’admission de la RASD au sein de l’UA, a envoyé pour la première fois son ministre des Affaires étrangères sur les lieux d’un sommet de l’Union africaine pour mener, dans les coulisses, une bataille diplomatique sur le Sahara occidental. La pertinence de ce rapport présenté par le président de la commission de l’UA, M. Alpha Oumar Konaré, lors du Conseil des ministres préparatoire au sommet des chefs d’Etat de l’organisation panafricaine, a été soulignée par le ministre délégué, chargé des affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel. Ce dernier a rappelé que la question du Sahara occidental est inscrite à l’ordre du jour des Nations unies depuis 1962 au titre du chapitre 11 de la Charte de l’ONU.

Le diplomate algérien a souligné que ce territoire non autonome subit « une occupation étrangère » dont la nature a été rappelée avec clarté par le conseiller juridique de l’ONU dans l’avis qu’il avait rendu à ce sujet en 2002. Lequel indiquait en particulier que « la question du Sahara occidental est une question de décolonisation relevant de la résolution 1514 et [que] le Maroc est une puissance occupante ». Le rapport de la commission africaine présenté devant le Conseil exécutif de l’UA souligne également que la situation dans laquelle se trouve le processus de paix au Sahara occidental « mérite la plus grande attention de la part de la communauté internationale, qui doit agir d’urgence pour permettre au peuple du Sahara occidental d’exercer son droit à l’autodétermination, et ce, conformément à la législation internationale et aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations unies ».

Synthèse de Ahlem, algerie-dz.com
D’après la Tribune
4 juillet 2006 11:42
Toujours la même rengaine et la même contradiction : d'un coté on proclame et on reconnait une pseudo"rasd", d'un autre on réclame un referendum censé décider de la naissance ou non de cette pseudo entité…
Mais comment peut-on avoir encore des relations diplomatiques avec un tel gouvernement ?
"Avec un H majuscule"
m
4 juillet 2006 17:47
Cet article est plein de contradictions. Puisque la RASD est reconnue pourquoi un référendum ? Et pour qui ?

Pour les vrais Sahraouis ils sont chez eux en train de penser comment ils vont s'autogérer...

pour les terroristes qui veulent foutre la pagaille, ils auront leur compte un jour ou l'autre.

mag3
b
4 juillet 2006 18:15
Oui mais ce qu'essaye de dissimuler l'article vainnement c'est que l'algerie a essuyé un echec flagrant.

Ainsi n'arrive-t-il pas a ecrire que l'UA aurait cirtiqué le Maroc, amis juste l'algerie et "plusieurs" pays, entendez certains pays.

Puis la resolution aurait divisé les Etats africains. L'article ommet lachement qu'il s'agissait la d'un text redigé par son pays. Dans les relations internationales un tel echec est trop lourd. On ne soumet une resolution que lorsqu'on est sur de gagner. Hors la diplomatie algerienne boiteuse et en panne depuis longtemps bas dans tous les sens et fait dans l'actionnisme desesperé.

Pour un pays qui se respecte ce serait une honte que d'avoir echoue d'abuser d'une organisation comme l'UA, apres avoir essuye tous les echec au niveau international, nottament au sein de lUNO.

Pour le Maroc, que des points gagnants. Sa diplomatie s'est reactivée et voila que meme plus membre de l'UA il a reussi a exercer son pressing dans les couloir de l'organisation. Un tabou est tombé en vérité, et bientot ce n'etonnerait personne de voir le pays regagner l'organisation pour y designer un sahraoui afin de mieux se proteger. Puis le pays est sur l'offensive. Mediatique aussi. Sa diplomatie fouette le projet de l'autonomie alors que le CORCAS coupe l'herbe sous les pieds de l'algerisario, peu a peu, mais surement. J'ai regardé il y a quelques semaines une interview d'un tele espagnole avec Ould Rchid et je peux vous dire qu'il est redoutable! Les deux journalistes se montraient convaincues et interessées par se dits. Il parle tres bien l'espagnole a l'inverse de marrakchi qui lis ses discours en arabe quand il est en espagne.
z
4 juillet 2006 20:20
Et surtout de l'autre on se dit "neutre", la debandade totale ou safi, ils ne savent plus ou donner de la tete, ni quelel position adopter.

Citation
Hamid a écrit:
Toujours la même rengaine et la même contradiction : d'un coté on proclame et on reconnait une pseudo"rasd", d'un autre on réclame un referendum censé décider de la naissance ou non de cette pseudo entité…
Mais comment peut-on avoir encore des relations diplomatiques avec un tel gouvernement ?
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