c'est vous qui jubilez dés qu'un attentat est commis et fait des victimes juives. moi, je suis atterré de voir ce niveau zero de la réflexion, cette voie sans issue voulue par les uns et les autres. si je me suis indigné, c'est justement parce que des deux cotés, certains ont tout fait une fois plus pour aller au carton et que la population le paie. on l'a vu arriver et, inexorablement, on a encore eu droit à la démonstration de force de l'un, les cadavres et les "v" de la victoire chez l'autre. et vous, vous applaudissez à ce spectacle navrant.
Instructions du ministre de l’information : Il est interdit de critiquer les Frères musulmans et le président
Le ministre de l’Information, issu des Frères musulmans, El-Metwalli Abdel Maksoud est furieux de la tentative de certains animateurs de la télévision locale d’être équilibrés dans la couverture des retombées de la déclaration constitutionnelle catastrophique du président Mohamed Morsi, affirment des sources au sein du bâtiment de l’Union de la radio et de la télévision égyptienne, Maspero.
El-Metwalli Abdel Maaksoud ne cesse de convoquer les chefs des différents secteurs de l’établissement et les directeurs des chaines de télévision et de radio, de les gronder, de suivre en personnes les rapports, et contacter parfois les animateurs et les producteurs auxquels il parle de manière indécente.
Il n’est permis de critiquer ni le président ni les Frères musulmans à la télévision et à la radio publiques et « celui à qui cela ne plait pas, qu’il reste chez lui », avait pesté Abdel Maksoud, selon les mêmes sources.
Le ministre avait remis aux animateurs une liste des invités qu’ils doivent recevoir, entre autres des cadres des Frères musulmans et des juges faisant partie du mouvement « juges pour l’Egypte » qui travaille pour l’intérêt du président et qui est dirigé par le magistrat, Walid Charabi, délégué par une décision du ministre de la Justice issu des Frères musulmans, Ahmed Mekki.
Badr: Nous allons attacher nos opposants à un arbre
Le cheikh Abdallah Badr a menacé les opposants au courant islamique et aux décisions prises par le président Mohamed Morsi de les attacher chacun à un arbre devant chaque mosquée.
Dans une interview accordée à la chaine satellitaire « al-Hafez », le cheikh Badr a souligné que les « feloul » envoyaient quelques-uns de leurs partisans pour empêcher le soutien apporté aux décisions du président Morsi.
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