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Nazisme et sionisme sont deux expressions du fascisme et de la barbarie.
8 janvier 2024 19:34
Article écrit par Michelle Weinroth, une juive de gauche sans doute horrifiée par les massacres et terrorisme sans limite de ses coreligionnaires :


L’horreur du passé revient sous une nouvelle forme, et la comparaison entre le ghetto juif sous le nazisme & le ghetto de Gaza sous l’autorité fasciste actuelle d’Israël doit cesser d’être sacrilège.

Les comparaisons ne portent pas sur des identités exactes. On peut toujours critiquer une comparaison et prétendre qu’elle est imparfaite. Mais un tel jugement est intrinsèquement erroné, car les comparaisons ne sont pas destinées à marquer l’identité, mais à souligner certains traits communs – des traits essentiels, bien sûr, et non des traits accessoires ou secondaires.

Comparer le ghetto juif sous le nazisme avec le ghetto de Gaza peut être profondément troublant, mais devons-nous nous détourner de cette similitude pour ne pas voir l’horreur qui se déroule actuellement sous nos yeux et qui, selon plusieurs commentateurs experts, est sans précédent dans l’histoire moderne ? Considérons l’énormité et la rapidité avec lesquelles le massacre de civils innocents est en train de se produire. Au-delà des horribles massacres perpétrés par des frappes aériennes incessantes, il y a l’acte prémédité de priver une population assiégée de ses besoins fondamentaux : nourriture, carburant, médicaments et eau. Il y a aussi l’humiliation d’hommes jeunes et vieux, quasiment dénudés et exécutés de manière extrajudiciaire. Ces actes intentionnels de génocide ne rappellent-ils pas le nazisme ? Gaza, comme certains l’ont appelé, n’est plus un camp de concentration, mais un camp d’extermination.

Une comparaison entre le ghetto de Gaza et le ghetto juif sous le nazisme pourrait bien donner lieu à un débat sur des agendas génocidaires distincts. Mais cette discussion s’éloigne du propos initial. Les différences et les variations mises à part, ce qui unit tous les types de génocides, c’est leur insondable cruauté, leur vertigineuse inhumanité. Ces actes d’anéantissement sont si aberrants qu’ils défient le langage. La parole et la raison sont bloquées, paralysées par le caractère apocalyptique de cet effacement massif de l’humanité.

Il est naturel de vouloir détourner les yeux de tout cela (et par «cela», j’entends tout ce qui est trop obscène et répugnant pour être pris en considération plus d’un instant). Mais le désarroi provoqué par cette comparaison «sacrilège» n’est rien à côté de l’agonie des victimes actuelles – les Palestiniens assiégés. Leur agonie ne disparaîtra pas simplement parce que nous détournons le regard et refusons d’affronter la comparaison. Le malaise suscité par la comparaison ne pourrait-il pas être atténué si l’exprimer publiquement et avec force pouvait donner de l’espoir, contribuer à arrêter le carnage et à prévenir un génocide à part entière ?

En effet, la douleur viscérale qu’une telle analogie provoque peut devenir une forme salutaire d’auto-questionnement chez un public par ailleurs en conflit, complaisant ou indifférent. L’effet de choc résultant de cette comparaison a le pouvoir de secouer le public pour le sortir de sa complaisance, de son déni et de son simple sentiment de désespoir. En effet, rappeler le seuil de «l’indicible», qui a marqué l’Holocauste des juifs, et tracer une ligne de démarcation entre cet épisode du XXe siècle et le présent, c’est rappeler au monde que la guerre contre les Gazaouis d’aujourd’hui (et, en fait, contre les Palestiniens de Cisjordanie) a atteint ce terrible seuil de victimisation déclenchée par la violence nazie. Pendant des années, ce seuil a évoqué l’idée d’une victimisation absolue exclusivement réservée aux juifs. Ce n’est plus le cas. L’horreur du passé est revenue sous une nouvelle forme : la victime de l’Ur n’est pas le juif, mais le Palestinien.

Si nous tenons à souligner la gravité de la crise actuelle, il faut lui conférer un caractère d’urgence. La comparaison troublante évoquée ci-dessus peut galvaniser le grand public et l’inciter à agir, à s’exprimer politiquement et à protester efficacement. Ne pas faire cette comparaison, c’est permettre au paysage apocalyptique de Gaza et au massacre de s’aggraver. Certains (notamment les défenseurs d’Israël) pourraient dire : ce n’est pas aussi grave qu’Auschwitz, et nous pouvons donc nous permettre (au moins moralement) de continuer à bombarder l’enfer de la bande de Gaza.
8 janvier 2024 19:37
La dimension politique n’est pas le seul mérite de cette comparaison troublante. L’analogie dérangeante est également un moyen crucial d’exploser des mythes de longue date : en d’autres termes, que la victimisation juive est incomparable, exaltée et singulière dans sa gravité. En effet, c’est précisément l’exceptionnalisme dans lequel Israël se drape qui a permis à l’élite politique sioniste (où qu’elle se trouve – aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe ou en Israël) de bafouer le droit international à maintes reprises depuis plus de 75 ans. C’est ce sentiment cultivé de sublimité suprême (découlant de la militarisation de l’Holocauste et de l’utilisation manipulatrice de la Bible) qui élève le statut d’Israël au rang d’acteur arrogant sur la scène mondiale, indifférent à toutes les lignes rouges (c’est-à-dire à la quasi-totalité des conventions de Genève et des résolutions de l’ONU).

Avec cette identité supra-humaine qu’il s’attribue, l’expansionnisme d’Israël et sa politique de massacre de Palestiniens innocents sont étayés par le sentiment d’un pouvoir illimité conféré par Dieu. La mort de plus de 21 000 Palestiniens n’a pas calmé la soif vicieuse de vengeance d’Israël en réponse au 7 octobre. Pour Israël, les résolutions de l’ONU relèvent des «banales» affaires mondiales : il les rejette donc comme étant insignifiantes, en formulant ses revendications dans le langage de l’autorité divine. Avec cette posture rhétorique hautaine, il se moque du jugement moral et des critiques formulées à son égard par d’autres. Il bafoue le droit international avec un mépris honteux, parce qu’il sait qu’avec le soutien des États-Unis, il peut transgresser la raison et le droit avec une impunité sans bornes. Autrefois plaint en tant que victime collective d’un génocide, Israël en est aujourd’hui l’auteur, l’État qui, paradoxalement, fait de la victimisation sa quintessence.

Si nous voulons qu’Israël rende compte de ses crimes, nous devons exercer le droit démocratique de dire ouvertement et sans honte que les juifs n’ont pas le monopole de la victimisation par le génocide. Les juifs ne sont pas les éternelles victimes de l’histoire. Inversement, les juifs progressistes ont le devoir moral d’aider à desserrer l’emprise sioniste de ce sentiment de victimisation singulière. Ce dernier est une prérogative auto-attribuée qui permet à Israël (ainsi qu’à ses partisans) d’exploiter ce privilège avec des conséquences dévastatrices – génocidaires. Il est impératif que nous contribuions à mettre un terme à ce carnage.

La comparaison entre le ghetto juif sous le nazisme et le ghetto de Gaza sous l’autorité fasciste (actuelle) d’Israël doit cesser d’être sacrilège. En fait, il est essentiel que la comparaison, aussi inconfortable soit-elle, soit exprimée ouvertement, ne serait-ce que pour forcer Israël et ses apologistes à voir le reflet de l’État «juif» dans le miroir du passé nazi et, espérons-le, à réfléchir avec dégoût à sa propre réalité fasciste. Si tel était le cas, l’histoire connaîtrait un tournant positif décisif.

source : [mondoweiss.net]

[ssofidelis.substack.com]
8 janvier 2024 20:13
Pour être honnête, il faut préciser que ceux qui massacrent le peuple palestinien ne sont pas les mêmes juifs du ghetto : ce sont les juifs sionistes, qui signaient des accords avec Hitler, étaient autorisés en tant qu’organisation juive au contraire de tous les autres, qui s’s’opposaient au boycott de l’Allemagne nazi lancé par les juifs antisionistes (dont probablement ceux du ghetto de Varsovie. Ceux qui à l’instar de Ben Gourion faisaient tout pour faire échouer la conférence de Genève initiée pour venir en aide aux juifs déportés.
d
8 janvier 2024 21:38
Si je reponds tu as le rafaler !? Y a eu plusieurs massacres récemment. Ça fait ma au coeur
Hie j'ai vu une vidéo, une petite palestinienne, 3,4 ans coursée mes kina par des soldats de tsahal. J'étais choquée et le gars qui filmait depuis chez lui aussi
Les sionistes à force d'avoir totale impunité, ils sont devenus gaga
8 janvier 2024 21:59
Cette interview avec Ahmadinejad en 2007, c’est une bombe atomique. Et elle est toujours d’actualité.

Regarde la un peu, à partir de la 26:00 minute

[youtu.be]

À voir ou à revoir.
Citation
mamiepasgâteau a écrit:
Si je reponds tu as le rafaler !? Y a eu plusieurs massacres récemment. Ça fait ma au coeur
Hie j'ai vu une vidéo, une petite palestinienne, 3,4 ans coursée mes kina par des soldats de tsahal. J'étais choquée et le gars qui filmait depuis chez lui aussi
Les sionistes à force d'avoir totale impunité, ils sont devenus gaga
8 janvier 2024 22:08
Ces monstres sont passés bien au-delà de toute compréhension ou d’une tempérance possible dans leur folie destructrice.

Israêl et son sponsor perpétuel basé à Washington DC sont dans un cycle totalement déchaîné de violence auto-justifié sans plus aucune limite, une boucle de rétroaction que personne ne pourra plus arrêter.

Ces deux entités délirantes ne peuvent qu’être stoppées par une violence encore plus forte, un coup de massue formidable mais juste, dont le but est le retour à la paix mondiale immédiate.
N’est-ce pas ce que tout être humain sensé attend de ses forces de l’ordre face à un forcené tueur en série ?
w
8 janvier 2024 22:17
Salam

L'histoire du sionisme est une histoire sanguinaire.

Terrorisme d'état et génocide


Lettre adressée par Albert EINSTEIN et Hannah ARENDT au New-York Times (02/12/1948)
Par Albert EINSTEIN et Hannah ARENDT
Arrêt sur info — 11 octobre 2023
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Albert EINSTEIN et Hannah ARENDT

Lettre sur les objectifs de M. Menahem Begin (massacre du village Arabe de Deir Yassine)
Texte publié (2 décembre 1948) republié USA – 02-03-2008 – Wikimedia

Lette lettre au sujet de Begin et d’Israël publiée dans le New-York Times le 2 décembre 1948
Avant que des dommages irréparables soient faits par des contributions financières, des manifestations publiques en soutien à Begin et avant de donner l’impression en Palestine qu’une grande partie de l’Amérique soutient des éléments fascistes en Israël, le public américain doit être informé sur le passé et les objectifs de M. Begin et de son mouvement.

Aujourd’hui ils parlent de liberté, de démocratie et d’anti-impérialisme, alors que jusqu’à récemment ils ont prêché ouvertement la doctrine de l’Etat Fasciste.

A l’éditeur du New-York Times. – New York, 2 Dec. 1948
Parmi les phénomènes politiques les plus inquiétants de notre époque, il y a dans l’état nouvellement créé d’Israël l’apparition du « Parti de la Liberté » (Tnuat Haherut), un parti politique étroitement apparenté dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social aux partis Nazi et fascistes.

[arretsurinfo.ch] -1948/
8 janvier 2024 22:29
C'est pourquoi il faut arrêter de minimiser ce qui se passe à Gaza depuis des années... ce n'est plus un camp de concentration c'est devenu un camp d' extermination !

Nous sommes tous témoins de la Shoah des Palestiniens réalisés par les occidentaux et le regime israélien.

Hirler n'a jamais brûlés des bébés et enfants.

Les seuls terroristes dans le monde sont basés à Washington, Londres, Paris, et tel aviv. (Tel affif.)
Ils prônent la guerre en coulisse et la paix sur scène.

Merci de ce partage... seule une juive peut se permettre de dire la vérité sans tabou ... contrairement aux autres, qui auront subi des représailles !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/01/24 23:01 par LynTu.
*
8 janvier 2024 22:41
Salam,

C'est un texte poignant !

En effet, la douleur viscérale qu’une telle analogie provoque peut devenir une forme salutaire d’auto-questionnement chez un public par ailleurs en conflit, complaisant ou indifférent. L’effet de choc résultant de cette comparaison a le pouvoir de secouer le public pour le sortir de sa complaisance, de son déni et de son simple sentiment de désespoir.

Cette phrase m'a particulièrement interpellée car j'ai entendu tellement de personnes autour de moi dire à propos des génocides de l'histoire "si ça avait été nous, nous n'aurions jamais cautionné ceci car nous sommes conscients !".

Je suis plus que déçu de constater que ces mêmes personnes justifient le génocide qui se déroule sous les yeux du monde en ce moment même et le nomme “conflit”.

Je me demande si nos successeurs auront aussi la même arrogance de clamer haut et fort qu'ils n'auraient jamais cautionné de tels actes.
Citation
enicnaY a écrit:
Article écrit par Michelle Weinroth, une juive de gauche sans doute horrifiée par les massacres et terrorisme sans limite de ses coreligionnaires :


L’horreur du passé revient sous une nouvelle forme, et la comparaison entre le ghetto juif sous le nazisme & le ghetto de Gaza sous l’autorité fasciste actuelle d’Israël doit cesser d’être sacrilège.

Les comparaisons ne portent pas sur des identités exactes. On peut toujours critiquer une comparaison et prétendre qu’elle est imparfaite. Mais un tel jugement est intrinsèquement erroné, car les comparaisons ne sont pas destinées à marquer l’identité, mais à souligner certains traits communs – des traits essentiels, bien sûr, et non des traits accessoires ou secondaires.

Comparer le ghetto juif sous le nazisme avec le ghetto de Gaza peut être profondément troublant, mais devons-nous nous détourner de cette similitude pour ne pas voir l’horreur qui se déroule actuellement sous nos yeux et qui, selon plusieurs commentateurs experts, est sans précédent dans l’histoire moderne ? Considérons l’énormité et la rapidité avec lesquelles le massacre de civils innocents est en train de se produire. Au-delà des horribles massacres perpétrés par des frappes aériennes incessantes, il y a l’acte prémédité de priver une population assiégée de ses besoins fondamentaux : nourriture, carburant, médicaments et eau. Il y a aussi l’humiliation d’hommes jeunes et vieux, quasiment dénudés et exécutés de manière extrajudiciaire. Ces actes intentionnels de génocide ne rappellent-ils pas le nazisme ? Gaza, comme certains l’ont appelé, n’est plus un camp de concentration, mais un camp d’extermination.

Une comparaison entre le ghetto de Gaza et le ghetto juif sous le nazisme pourrait bien donner lieu à un débat sur des agendas génocidaires distincts. Mais cette discussion s’éloigne du propos initial. Les différences et les variations mises à part, ce qui unit tous les types de génocides, c’est leur insondable cruauté, leur vertigineuse inhumanité. Ces actes d’anéantissement sont si aberrants qu’ils défient le langage. La parole et la raison sont bloquées, paralysées par le caractère apocalyptique de cet effacement massif de l’humanité.

Il est naturel de vouloir détourner les yeux de tout cela (et par «cela», j’entends tout ce qui est trop obscène et répugnant pour être pris en considération plus d’un instant). Mais le désarroi provoqué par cette comparaison «sacrilège» n’est rien à côté de l’agonie des victimes actuelles – les Palestiniens assiégés. Leur agonie ne disparaîtra pas simplement parce que nous détournons le regard et refusons d’affronter la comparaison. Le malaise suscité par la comparaison ne pourrait-il pas être atténué si l’exprimer publiquement et avec force pouvait donner de l’espoir, contribuer à arrêter le carnage et à prévenir un génocide à part entière ?

En effet, la douleur viscérale qu’une telle analogie provoque peut devenir une forme salutaire d’auto-questionnement chez un public par ailleurs en conflit, complaisant ou indifférent. L’effet de choc résultant de cette comparaison a le pouvoir de secouer le public pour le sortir de sa complaisance, de son déni et de son simple sentiment de désespoir. En effet, rappeler le seuil de «l’indicible», qui a marqué l’Holocauste des juifs, et tracer une ligne de démarcation entre cet épisode du XXe siècle et le présent, c’est rappeler au monde que la guerre contre les Gazaouis d’aujourd’hui (et, en fait, contre les Palestiniens de Cisjordanie) a atteint ce terrible seuil de victimisation déclenchée par la violence nazie. Pendant des années, ce seuil a évoqué l’idée d’une victimisation absolue exclusivement réservée aux juifs. Ce n’est plus le cas. L’horreur du passé est revenue sous une nouvelle forme : la victime de l’Ur n’est pas le juif, mais le Palestinien.

Si nous tenons à souligner la gravité de la crise actuelle, il faut lui conférer un caractère d’urgence. La comparaison troublante évoquée ci-dessus peut galvaniser le grand public et l’inciter à agir, à s’exprimer politiquement et à protester efficacement. Ne pas faire cette comparaison, c’est permettre au paysage apocalyptique de Gaza et au massacre de s’aggraver. Certains (notamment les défenseurs d’Israël) pourraient dire : ce n’est pas aussi grave qu’Auschwitz, et nous pouvons donc nous permettre (au moins moralement) de continuer à bombarder l’enfer de la bande de Gaza.
d
8 janvier 2024 23:04
Toute façon vu comment les musulmans sont massacrés partout dans le monde faut une force pour les défendre. Sinon on risque la disparition,ouïghours, Palestine, Irak, Afghanistan... C'est qui le prochain ?
PS. Je vais regarder ta vidéo après la vaisselle insha Allah
Citation
enicnaY a écrit:
Ces monstres sont passés bien au-delà de toute compréhension ou d’une tempérance possible dans leur folie destructrice.

Israêl et son sponsor perpétuel basé à Washington DC sont dans un cycle totalement déchaîné de violence auto-justifié sans plus aucune limite, une boucle de rétroaction que personne ne pourra plus arrêter.

Ces deux entités délirantes ne peuvent qu’être stoppées par une violence encore plus forte, un coup de massue formidable mais juste, dont le but est le retour à la paix mondiale immédiate.
N’est-ce pas ce que tout être humain sensé attend de ses forces de l’ordre face à un forcené tueur en série ?
d
8 janvier 2024 23:21
A part les sionistes et les journalistes français sionistes qui ont clairement signé un pacte avec Satan, personne ne cautionne dans le monde.
C'est juste que tout est verrouillé de partout. Les réseaux sociaux ou c'est très compliqué de s'exprimer pour la Palestine, les médias, la politique et les frontières..
L'écrasante majorité est écoeuré et serait prête à réagir si les frontières étaient ouvertes. J'en suis certaine.
Citation
*Assia* a écrit:
Salam,

C'est un texte poignant !

En effet, la douleur viscérale qu’une telle analogie provoque peut devenir une forme salutaire d’auto-questionnement chez un public par ailleurs en conflit, complaisant ou indifférent. L’effet de choc résultant de cette comparaison a le pouvoir de secouer le public pour le sortir de sa complaisance, de son déni et de son simple sentiment de désespoir.

Cette phrase m'a particulièrement interpellée car j'ai entendu tellement de personnes autour de moi dire à propos des génocides de l'histoire "si ça avait été nous, nous n'aurions jamais cautionné ceci car nous sommes conscients !".

Je suis plus que déçu de constater que ces mêmes personnes justifient le génocide qui se déroule sous les yeux du monde en ce moment même et le nomme “conflit”.

Je me demande si nos successeurs auront aussi la même arrogance de clamer haut et fort qu'ils n'auraient jamais cautionné de tels actes.
*
9 janvier 2024 00:26
Salam,

A part les sionistes et les journalistes français sionistes qui ont clairement signé un pacte avec Satan, personne ne cautionne dans le monde.

Oui, je suis d'accord pour le mot "cautionner" . Je pensais plutôt à une "prise de conscience insuffisante" dans mon cercle social, illustrée par des déclarations telles que "Pourquoi boycotter ?" ou "C'est un conflit qui persiste depuis longtemps au Moyen-Orient, et il est difficile d'y changer quelque chose" ou encore "Changer nos habitudes de consommation serait trop contraignant". Si ces constats ne correspondent pas à ceux de ton entourage, je me réjouis de voir que cela pourrait être une perception individuelle limitée à mon cercle social.

C'est juste que tout est verrouillé de partout. Les réseaux sociaux ou c'est très compliqué de s'exprimer pour la Palestine, les médias, la politique et les frontières.

Pour être honnête, je ne suis pas suffisamment informé sur les contenus des réseaux sociaux, ce qui n'influence pas ma perspective.

L'écrasante majorité est écoeuré et serait prête à réagir si les frontières étaient ouvertes. J'en suis certaine.

Je ne sais pas vraiment car mon point de vue est largement influencé par mon environnement immédiat, ce qui limite ma perspective globale. Il faudrait que j'échange plus avec des personnes différentes, et que je m'informe plus également. Cependant, cela ne semble pas être le cas pour ceux qui détiennent réellement le pouvoir d'agir.
Citation
dudule07 a écrit:
A part les sionistes et les journalistes français sionistes qui ont clairement signé un pacte avec Satan, personne ne cautionne dans le monde.
C'est juste que tout est verrouillé de partout. Les réseaux sociaux ou c'est très compliqué de s'exprimer pour la Palestine, les médias, la politique et les frontières..
L'écrasante majorité est écoeuré et serait prête à réagir si les frontières étaient ouvertes. J'en suis certaine.
d
9 janvier 2024 01:10
Tu auras toujours des imbéciles heureux qui seront contents et qui continueront de faire des vidéos tiktok ridicules juste parce qu'ils auront le ventre plein et une certaine tranquilité. Beaucoup de gens surtout dans notre communauté ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.

Pour le fait qu'on soit impuissants, c'est vrai. On dénonce ici et je crois que c'est déjà une bonne chose. C'est peut être une des seules choses qu'on puisse faire.

Après on pourrait élargir le débat sur un aspect plus religieux à savoir qu'une réforme religieuse individuelle doit avoir lieu pour changer l'ensemble de la communauté et comprendre pourquoi Allah permet à ces gens de nous humilier.. ça serait une vrai question de fond.
Mais les gens sont trop préoccupés par leur passions immédiates, leur lamentables préoccupations et leur bas instincts.


Citation
*Assia* a écrit:
Salam,

A part les sionistes et les journalistes français sionistes qui ont clairement signé un pacte avec Satan, personne ne cautionne dans le monde.

Oui, je suis d'accord pour le mot "cautionner" . Je pensais plutôt à une "prise de conscience insuffisante" dans mon cercle social, illustrée par des déclarations telles que "Pourquoi boycotter ?" ou "C'est un conflit qui persiste depuis longtemps au Moyen-Orient, et il est difficile d'y changer quelque chose" ou encore "Changer nos habitudes de consommation serait trop contraignant". Si ces constats ne correspondent pas à ceux de ton entourage, je me réjouis de voir que cela pourrait être une perception individuelle limitée à mon cercle social.

C'est juste que tout est verrouillé de partout. Les réseaux sociaux ou c'est très compliqué de s'exprimer pour la Palestine, les médias, la politique et les frontières.

Pour être honnête, je ne suis pas suffisamment informé sur les contenus des réseaux sociaux, ce qui n'influence pas ma perspective.

L'écrasante majorité est écoeuré et serait prête à réagir si les frontières étaient ouvertes. J'en suis certaine.

Je ne sais pas vraiment car mon point de vue est largement influencé par mon environnement immédiat, ce qui limite ma perspective globale. Il faudrait que j'échange plus avec des personnes différentes, et que je m'informe plus également. Cependant, cela ne semble pas être le cas pour ceux qui détiennent réellement le pouvoir d'agir.
d
9 janvier 2024 04:16
J'en ai qu'un seul mot à dire Rothschild
Citation
enicnaY a écrit:
Cette interview avec Ahmadinejad en 2007, c’est une bombe atomique. Et elle est toujours d’actualité.

Regarde la un peu, à partir de la 26:00 minute

[youtu.be]

À voir ou à revoir.
*
10 janvier 2024 22:27
Salam,

Beaucoup de gens surtout dans notre communauté ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.

Quand tu dis "surtout", j'aime à penser le contraire, que nous sommes "les moins concernés", après c'est peut-être en raison de l'affection particulière que les musulmans se portent entre eux. Néanmoins, je reconnais que j'ai encore beaucoup à apprendre au-delà de ma courte expérience de la vie.

On dénonce ici et je crois que c'est déjà une bonne chose. C'est peut être une des seules choses qu'on puisse faire.

Oui, je pense aussi que c'est une bonne chose de prendre la parole pour dénoncer !

ça serait une vrai question de fond

En effet, c'est une vraie question de fond !

A mon avis, nous sommes fortement influencés par la montée de la mondialisation, qui cherche à unifier nos pensées et nos actions. Les pays occidentaux se sont attribué le rôle de juges du "bien" et du "mal" (ironique connaissant leur propre histoire).

À travers leur domination des nombreux grands médias, ils imposent leurs décisions au nom du prétendu "bien". Certains jugements de valeur sont justifiés, et c'est une bonne chose, mais paradoxalement, cela peut “désorienter” les esprits en faisant croire que la "formidable" intelligence humaine, peut déterminer indépendamment le "bien" et le "mal". Nous, musulmans, savons que cela est incorrect, car Allah est le seul Omniscient. Contribuer à l'ordre et à l'harmonie entre les créatures d'Allah sur terre se réalise, de la meilleure manière, en suivant l'Islam.

Que les non-croyants n’en soit pas convaincus, c'est une chose. Mais que les croyants cèdent aux idées humaines, qui sont en contradictions avec ce que leur enseigne leur religion, est affligent. Chaque croyant progresse à son propre rythme. Cependant, lorsque chaque individu dépend de l'autre pour ordonner le bien et condamner le blâmable, voilà le résultat.

Selon moi, c’est un premier élément de réponse : le délaissement de notre religion au nom de divers profits bien moins honorables (dont les passions, les préoccupations et les bas instincts que tu as justement énoncé dans ton message).

Un second élément auquel je pense c’est la division. La division, qu'elle soit géographique, politique ou idéologique, nuit aux musulmans. Je pense qu’il faut le garder en tête pour rassembler autour de nous.

A mon avis, les personnes ayant une certaine conscience, qu'elles soient musulmanes ou non, sont profondément touchées par les injustices. Alors, un troisième élément de réponse auquel je pense, c’est ce qui est fait dans ce forum justement : faire connaitre les injustices de tous pour éviter le rejet de la vérité au profil du mensonge.



Citation
dudule07 a écrit:
Tu auras toujours des imbéciles heureux qui seront contents et qui continueront de faire des vidéos tiktok ridicules juste parce qu'ils auront le ventre plein et une certaine tranquilité. Beaucoup de gens surtout dans notre communauté ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.

Pour le fait qu'on soit impuissants, c'est vrai. On dénonce ici et je crois que c'est déjà une bonne chose. C'est peut être une des seules choses qu'on puisse faire.

Après on pourrait élargir le débat sur un aspect plus religieux à savoir qu'une réforme religieuse individuelle doit avoir lieu pour changer l'ensemble de la communauté et comprendre pourquoi Allah permet à ces gens de nous humilier.. ça serait une vrai question de fond.
Mais les gens sont trop préoccupés par leur passions immédiates, leur lamentables préoccupations et leur bas instincts.
 
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