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Nouvel ECHEC … de TAILLE … des Etats-Unis, face au Yémen !!!
25 décembre 2023 17:57
On ne les craint plus !!!

Menace des Houthis : les câbles Internet mondiaux

Le groupe yéménite Houthi a menacé dimanche la coalition militaire internationale dirigée par les États-Unis de s’en prendre aux câbles Internet mondiaux.

Le groupe a déclaré :

Les câbles Internet mondiaux qui traversent le détroit de Bab al-Mandab sont sous notre contrôle.

usrathel ne savent plus quoi faire face aux pieds nus !
25 décembre 2023 18:02
Les États-Unis ont dénoncé de nouvelles attaques des Houthis, qui ont ciblé deux nouveaux pétroliers le 23 décembre. La force maritime annoncée par Washington semble avoir déjà échoué politiquement.

Alors que les États-Unis avaient annoncé la création de la force maritime internationale «Prosperity Guardian» le 18 décembre dernier pour lutter contre les attaques en mer Rouge, deux nouveaux cargos ont été pris pour cible le 23 décembre.

En effet, selon le commandement central américain au Moyen-Orient (Centcom), un pétrolier gabonais battant pavillon indien, le MV Saibaba «a signalé qu’il avait été touché par un drone d’attaque à sens unique, sans faire de blessés». Le même jour, un autre pétrolier, le MV Blaamanen, battant pavillon norvégien, a également été visé par un drone houthi sans faire de blessés ni dégâts.

Washington a également annoncé avoir «abattu quatre drones aériens sans pilote en provenance des zones contrôlées par les Houthis au Yémen» le 23 décembre. Au total, selon le Centcom, les dernières agressions en mer Rouge représentent «les 14e et 15e attaques contre des navires commerciaux par des militants houthis depuis le 17 octobre».

L’armée américaine a aussi indiqué qu’un navire chimiquier avait été touché le 24 décembre au large de l’Inde, accusant «un drone d’attaque tiré depuis l’Iran». L’information n’a pas encore été confirmée.

La coalition «Prosperity Guardian» bat déjà de l’aile
Malgré la création de la coalition «Prosperity Guardian» et son élargissement à 10 nouveaux membres, atteignant maintenant les 20 participants, certains pays refusent toujours d’être sous commandement américain. Dès le départ, ni l’Égypte ni l’Arabie saoudite n’ont daigné participé à cette opération.

Un communiqué du ministère français des Armées publié le 19 décembre précisait que la France, et sa frégate Languedoc, resterait sous «commandement national» pour garantir sa liberté d’action. L’Italie en a fait de même, elle qui dispose également dans la zone d’une frégate. L’Espagne, après avoir accepté, a finalement répondu qu’elle ne participerait qu’à une opération sous mandat de l’OTAN ou de l’UE.

Les Pays-Bas et la Norvège ne feront quant à eux que de la figuration, n’envoyant respectivement que deux et onze officiers d’état-major… sans navires. Et l’Australie, pourtant fidèle alliée de Washington, a quant à elle refusé la demande américaine de déployer un navire de guerre.

Les Américains ne pourront en pratique compter principalement que sur un destroyer britannique et une frégate grecque.

Les Houthis refusent l’«intimidation»
De leur côté, les rebelles yéménites ont organisé une manifestation monstre dans la capitale Sanaa le 22 décembre avec le slogan «la coalition pour protéger les navires israéliens ne nous intimide pas».


مشاهد من الخروج الجماهيري الكبير والاستثنائي بالعاصمة صنعاء مع هتافات الحشود الثائرة في ميدان السبعين في مسيرة : "تحالف حماية السفن الإسرائيلية لا يرهبنا"#تحالف_حماية_السفن_الاسرائيلية
[t.co]

L’Iran a rejeté le 23 décembre les accusations des États-Unis sur son implication dans des attaques récentes menées par des rebelles houthis du Yémen contre des navires commerciaux en mer Rouge. «La résistance (groupes armés en lutte contre Israël, NDLR), dispose de ses propres forces et agit en fonction de ses propre décisions et capacités», a déclaré le 23 décembre le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Bagheri, à l’agence locale Mehr.

Néanmoins, le même jour un cadre des Gardiens de la Révolution iraniens, Mohammad Reza Naqdi, a estimé que «les États-Unis et leurs alliés devaient s’attendre à la naissance de nouvelles forces de résistance et à la fermeture du reste des voies navigables», selon le média iranien Tasnim, précisant que le détroit de Gibraltar ainsi que la mer Méditerranée pourraient être impactés.

Environ 20 000 navires transitent chaque année via le canal de Suez et la mer Rouge, ce qui représente environ 40% du commerce maritime mondial.

source :[francais-rt-com.translate.goog] alition-us-echec?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp
C
25 décembre 2023 18:02
Attention par contre aux manipulations de contrôle et de modification des sentiments.
25 décembre 2023 18:04
En attendant – tout est possible – la fermeture du détroit d’Ormuz par l’Iran … lequel est encore plus capable que le Yémen, d’en faire voir des vertes et des pas mûres aux Yankees !!!
25 décembre 2023 18:12
Echec du Sionistan à Gaza !

Un journaliste israélien affirme que les forces d’occupation israéliennes ne seront pas en mesure d’éliminer le Hamas et qu’elles devront probablement se retirer avant d’avoir atteint leurs objectifs.

Les forces d’occupation israéliennes pourraient devoir quitter la bande de Gaza avant que leur principal objectif militaire, l’élimination complète du mouvement de résistance Hamas, ne soit atteint, selon le site web israélien Ynet.

Le journaliste israélien et analyste des affaires politiques et militaires Ronen Bergman a écrit qu’il s’était entretenu avec un haut fonctionnaire du gouvernement sous le couvert de l’anonymat, et que ce dernier avait fulminé contre l’invasion de la bande de Gaza par l’occupant israélien.

Le fonctionnaire a déclaré qu’il se sentait nauséeux et dégoûté après chaque entretien qu’il avait avec plusieurs responsables du gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahou, notamment en raison des instructions qu’il recevait concernant l’invasion en cours, dont les objectifs, selon le fonctionnaire, étaient la «destruction de l’infrastructure, des capacités et du pouvoir du Hamas», ainsi que la libération de tous les otages.

L’invasion a été lancée dans le but de faire pression sur le chef du Hamas dans la bande de Gaza, Yahya al-Sinwar, pour qu’il conclue un accord d’échange de prisonniers et qu’il libère les captifs.

Malgré les nombreux revers et échecs, les responsables israéliens insistent sur le fait que l’invasion terrestre doit se poursuivre «à la fois pour atteindre le premier objectif, le démantèlement des organisations [de la Résistance], et le second : mettre suffisamment de pression sur al-Sinwar pour qu’il capitule et accepte un accord qu’Israël peut accepter».

Le journaliste israélien a fait valoir que cela rappelle la situation qui prévalait avant la guerre de 2006 contre le Liban, lorsque les Israéliens avaient affirmé, dans les jours précédant l’agression, qu’ils disposaient d’une puissance de feu suffisante pour neutraliser et détruire complètement les capacités du Hezbollah à attaquer des cibles israéliennes.

Les Israéliens ont affirmé que le Hezbollah ne disposait que de quelques Katiouchas et qu’il ne pouvait pas atteindre les forces d’occupation israéliennes. En réalité, il s’est avéré qu’il y avait des Katiouchas et bien plus encore.

«Il ne s’agit pas d’une question de recul ou d’une conclusion à laquelle on ne peut parvenir qu’après coup», a-t-il déclaré, affirmant que les médias avaient mis en garde les Israéliens, avant l’invasion de Gaza, contre le risque de les induire en erreur sur la facilité avec laquelle ils pourraient mener l’agression terrestre.

Il a souligné que ceux qui prévoient le maintien de l’occupation israélienne à Gaza manquent d’intelligence et d’informations générales sur les événements qui ont eu lieu précédemment, que ce soit avec l’occupation israélienne ou ailleurs dans le monde.

Selon Bergman, le monde ne permettra pas à l’occupation israélienne de rester à Gaza ; la pression internationale, a-t-il dit, accompagnée du nombre de soldats tués au combat «d’une armée chancelante» aux mains des combattants de la Résistance qui ont réussi à se regrouper «obligera les forces israéliennes à se retirer beaucoup, beaucoup plus tôt».

L’expert en affaires militaires n’a pas hésité à dire que les forces d’occupation israéliennes allaient probablement terminer leur première série de combats armés sans avoir atteint le premier objectif de leur agression sur Gaza.

[le-blog-sam-la-touch.over-blog.com]

Le monde entier a vu ce qu’était capable de faire la pourriture sioniste aidée par les USA qui sont au même niveau de saloperie.

Le constat du haut fonctionnaire israélien est forcément juste, et peut-être en-dessous de la vérité. 75 ans d’aventurisme et d’atrocités inutiles ont mené à ça, le récit biblique amélioré pour le peuple assoiffé de vengeance millénariste aboutit à une défaite cuisante annoncée. Que vont faire les USA pris dans une multiplicité d’impasses pour protéger leur petit chéri Bibi ???!!
C
25 décembre 2023 18:25
Perso j'ai l'impression d'un amateurisme et d'israel et des us

l'agression sioniste n'amène nulle part et la protection des us en mer rouge est complètement idiote.

Le point commun de ces 2 là c'est qu'ils ne connaissent que la force. Régler les conflits par l'écrasement militaires.

Mais les petits commencent à se rebeller et montre de l'intelligence tant dans leurs actions que dans leurs armes et technologies.
25 décembre 2023 20:03
Le jour où ils vont se faire péter comme l’Irak, ou pourra dire qu’eux au moins l’avaient bien cherché !
d
25 décembre 2023 23:10
Comme l'Irak l'avait bien cherché avec ses armes de destruction massives n'est ce pas?
Citation
nana d'enfer a écrit:
Le jour où ils vont se faire péter comme l’Irak, ou pourra dire qu’eux au moins l’avaient bien cherché !
26 décembre 2023 09:18
… Les Houthis savent de quelle sauvagerie Washington est capable. Malgré cela, ils ne reculent pas et ne cèdent pas. Il y aura un cessez-le-feu ou il y aura une guerre. C’est à Biden de décider. Mais s’il opte pour la guerre, il doit savoir que ce ne sera pas une partie de plaisir. Oh, non ! Les bases américaines, les navires de guerre américains, les champs pétrolifères et les infrastructures saoudiennes seront attaqués. Les prix du pétrole grimperont en flèche, la navigation commerciale s’arrêtera et les Bourses s’effondreront. Et la Chine et la Russie regarderont, de loin, la dernière once de crédibilité et de puissance de l’Oncle Sam disparaître dans le trou noir de la péninsule arabique.

Voici comment le chef des Houthis, Abdul-Malik al-Houthi, a résumé la situation :

«Si les États-Unis veulent nous faire la guerre, ils doivent savoir que nous les attendons. Nous voulons une guerre directe entre le Yémen, les États-Unis et Israël. Nous n’avons pas peur des États-Unis et tout le peuple du Yémen se dressera contre eux».

C’est une guerre que les États-Unis peuvent facilement éviter en faisant simplement «ce qu’il faut» c’est à dire en approuvant un cessez-le-feu dès maintenant. Cela permettrait de mettre rapidement fin aux atrocités commises par Israël et de faire cesser les attaques contre la navigation commerciale. C’est une solution que satisferait tout le monde».
Citation
nana d'enfer a écrit:
Le jour où ils vont se faire péter comme l’Irak, ou pourra dire qu’eux au moins l’avaient bien cherché !
 
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