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Parlez-moi de Larache !
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4 octobre 2005 17:45
Mamoun Taha “Momata”, Mohamed

-Lagrimas de una pluma [Larmes d'une plume],Tanger:
Editiions Marocaines et internacionales,1993.

-Susurros [Murmes], Larache:1995
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5 octobre 2005 23:23
A tous mes lecteurs musulmans, je souhaite bon ramadan !
s
7 octobre 2005 17:37
Farida Diouri
• Née à Larache, fille de l’écrivain hispano-marocain Driss Diouri, décédée le 10 août 2004.
• Œuvres
o Vivre dans la dignité ou mourir (premier roman)
o Dans tes yeux, la flamme infernale, L’Harmattan, 2000
C’est l’histoire d’«une femme impuissante [qui] se bat pour être reconnue en tant qu'être humain à part entière. »

o L’ange de la misère, L’Harmattan, 2002.
Il s’agit de « la détresse profonde d'une femme prostituée, que la société refuse de voir, de reconnaître, d'avouer et qu'elle refoule au fond de sa conscience. »
s
9 octobre 2005 23:28
Du 14 au 18 janvier 2004, eut lieu à Tanger le Salon international du livre. A cette occasion, les élèves du lycée Moulay Mohamed Ben Abdellah de Larache purent avoir le 15 janvier une rencontre avec le conteur malien Ousmane Diarra, tandis que la Délégation à la culture de la même ville eut rencontré Mohamed Arkoun.

s
12 octobre 2005 04:53
Zamora Lucas, Florentino, Lope de Vega censor de libros. Coleccioón de aprobaciones, censuras, elogios y prólogos del Fénix que se hallan en los preliminares de algunos libros de su tiempo con notas biograficas de sus autores, Larache, 1941.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/10/05 04:54 par sophos.
s
13 octobre 2005 12:31
Adresse:

Municipalité de Larache
Boulevard Mohamed V
Larache /Maroc
Téléphone :+212 39363839/ +212 963833
Fax :+212 39 912727




Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/10/05 12:32 par sophos.
p
20 octobre 2005 11:20
Salam Aleikoum,
nuestro paisano SERGIO BARCE, escritor nacido en Larache, acaba de ganar el premio literario TRES CULTURAS de Murcia, con la novela

"SOMBRAS EN SEPIA" Editorial Pre-Textos

Gran parte de la novela transcurre en Larache. Felicidades a SERGIO BARCE
s
21 octobre 2005 09:58
panchosantamaria a écrit:
-------------------------------------------------------
> Salam Aleikoum,
> nuestro paisano SERGIO BARCE, escritor nacido en
> Larache, acaba de ganar el premio literario TRES
> CULTURAS de Murcia, @#$%& la novela
>
> "SOMBRAS EN SEPIA" Editorial Pre-Textos
>
> Gran parte de la novela transcurre en Larache.
> Felicidades a SERGIO BARCE

Muchas gracias pour l'information !


k
22 octobre 2005 00:52
Bonsoir
Merci Sophos de toutes ces informations sur notre ville.
J'ai lu dernièrement un livre sur l'histoire de Larache (en Arabe) que j'ai bien aimé de Mr TADLAOUI, et je suis tombé par hasard sur des livres (en Francais) d'un ancien (comme moi) de Larache, Youssouf Amine ELALAMY.
Peux-tu m'indiquer d'auters livres ou auteurs Larachois ?
Merci d'avance et encore merci pour tout le travail que tu as fait.
Khalid
s
23 octobre 2005 11:59
c'est toi qui le dit....
s
25 octobre 2005 12:42
"La Grande Mosquée (masgid al-A dam) est fondé au XVIIIème siècle par le sultan Sidi Muhamad ben Abd Allah. Plus exactement en 1760. Sis au centre de la Médina, il marque par sa grandeur et sa position topographique le paysage urbain de la ville de Larache.
Cette oeuvre architecturale conserve toujours son plan d'origine. Les travaux du début du XXème siècle sont bien visibles. Ce sont essentiellement des travaux d'embellissement et d'agrandissement.
Par son emplacement, il est accessible par tous les résidents des quartiers de la Médina. L'édifice s'intègre dans le contexte architectural et urbain qui lui est proche et, qui date, d'ailleurs, de la même époque."
s
25 octobre 2005 13:20
Merci, Khalid, pour le compliment. Voici quelques oeuvres écrites par un autre natif de Larache, Mohamed Sibari. Le connaissez-vous ?


Sibari, Mohamed,El babuchazo, Tanger: La-la Menana y AEMLE, 2005.

-El caballo, Tanger: E.M.I., 1993

-Cuentos de Larache, Tanger: AEMLE, 1998

-Judería de Tetuán, Larche: Sibari, 1996

-Pinchitos y divorcios, Madrid: La-La Menana, 2002

-Poemas de Larache, Tanger: E.M.I., 1995

-Regulares de Larache, Tanger: E.M.I.,1995

-Relatos de Hamman, Tanger: AEMLE, 2001

-Relatos de las Hespérides, Madrid: La-La Menana, 2000

-La rosa de Xauen, Larache: Sibari, 1996

k
25 octobre 2005 23:01
Merci Sophos
pour ces renseignements, malhereusement pour moi, je ne parle pas Espagnol, je vous conseille d'aller visiter ce site (En Espagnol!)
[www.20six.fr]

s
27 octobre 2005 13:45
khalid712 a écrit:
-------------------------------------------------------
> Merci Sophos
> pour ces renseignements, malhereusement pour moi,
> je ne parle pas Espagnol, je vous conseille
> d'aller visiter ce site (En Espagnol!)
>
>
Cher Khalid,
Vous nous aviez dit que vous avez fait vos études secondaires au lycée Mouley Mohamed Ben Abdellah. Pouvez-vous nous parler de cet établissement. Se trouve-t-il toujours vers le stade de foot à la sortie de Larache, en face d'un quartier de bidonville ?
Avec mes remerciements pour le site,
Sophos


s
28 octobre 2005 09:18

Auteur natif de Larache, publié par la seule et célèbre imprimerie et maison d'édition de la même ville:
Rebollo Bessieres, Antonio,Nocturno para un amanecer, Larache: Edit. Cremades,1981.

(L'imprimerie se trouve rue Hassan II - anciennement, rue Canalejas)

k
28 octobre 2005 16:58
Bonjour
Effectivement, j’ai fait mes études secondaires (jusqu’ à la seconde) au lycée Moulay Mohamed Ben Abdellah à Larache. A cette époque (années 70), il n’y avait qu’un seul lycée-collège à Larache : un collège réservé aux filles (Lalla Menana ? El groupo ?) à côté du marché, et le lycée pré-cité appelé par les Larachois : TIJARIA. Cet établissement prenait les filles à partir de la 5ème année (Seconde en France).
Il y avait des profs qui faisaient les 2 établissements, donc avait des déplacements à faire (dur sans voiture !). Pour nous c'était bien, ça prolongeait notre récréations.
L’ambiance était sympathique, on faisait beaucoup de sport, Jeux scolaires (Volley, basket, foot, hand …) et on travaillait aussi beaucoup : il n’y avait pas de chômage au Maroc et toutes les portes étaient ouvertes, on avait un pays à construire.
Ensuite, j’ai du aller continuer mes études dans d’autres villes au Maroc (Le lycée ne proposait que 2 bac : littéraire ou science expérimentale).
Il y avait aussi au lycée un grand internat pour les élèves qui viennent de Ksar El Kebir, Asilah et toutes les compagnes des alentours.
A côté du lycée, il y avait un lycée professionnel, mais je le connais moins.
s
29 octobre 2005 14:26
Merci beaucoup Khalid pour ces précieuses informations ! Mais dans quelle partie de la ville se trouve ce lycée Moulay Mohamed Ben Abdellah ? Est-il vrai qu'à l'époque de vos études dans cet établissement, qu'il ait été possible de se rendre à "Tijiriyya" en bus, appelé "Tabtabou" par les larachois, que l'internat dont vous avez parlé occupât d'anciens locaux militaires, que le centre de formation professionnel auquel vous faites allusion se trouvât en face du réfectoire où les internes prenaient leurs repas ?

Dans les années 70, le directeur du lycée ne serait-il pas Si Slimane, un homme grand et fluet, au dos légèrement courbé; le consièrge de l'établissement ne s'appelerait-il pas Serroukh, qui portait toujours un tarbouche et qui habitait une maison à droite de la deuxième porte d'entrée du lycée ?

Avec mes salutations,
Sophos
k
30 octobre 2005 19:49
Bonjour Sophos
Le lycée de Larache de l’époque existe encore, il est situé sur la route de Rabat, avant d’arriver au stade de foot. Le réalisateur (Larachois?) Mohamed Chrif Tribak a tourné un film qui se passe en partie dans ce Lycée (A l’époque, il y avait un prof d’arabe du nom de tribak au lycée, et un autre dans une école primaire, celui ci avait des enfants dans ce lycée).
Je ne me rappelle pas du nom du directeur de l’époque, mais je crois qu’il était d’origine Fassi et qu’il était effectivement grand et mince.
Tout le lycée était un emplacement militaire, ce qui explique son entrée monumentale. Avant et durant ma scolarité dans ce lycée, on a construit tous les bâtiments qui se trouvent au fond du lycée aprés en avoir détruit certains.
Je ne me rappelle absolument pas du concierge du lycée, par contre je connaissais le concierge du lycée professionnel – feu Hillali : un homme extraordinaire, qui a vécu beaucoup d’épreuves-.
Pour aller au lycée, il y avait effectivement un bus. Le départ était de Bab el médina et le terminus était au stade, on pouvait même acheter des tickets avec des réductions à condition d’en acheter une certaine quantité mais la plupart des élèves allaient quand même à pied.
Il y avait une deuxième et dernière ligne Bab el médina-Hôpital. L’hôpital et le stade étaient les limites de la ville, après, il y avait des bidonvilles (Kellito et Jnane Bacha ?). Aprés le stade, la première construction en béton était le café "Hostal", maintenant un camping, je crois.
Pour aller à la plage l’été, il n’y avait pas de bus, il fallait prendre les petites barques (ou pour certains aller à la nage !) : il n’y avait donc pas beaucoup de monde. Il n’était pas rare de rencontrer des gens de Larache qui ne sont jamais allés à la plage.
Khalid


s
31 octobre 2005 23:40
Cher Khalid,
Comment s'appellait ce quartier de bidonvilles sur lequel donnait la grande porte d'entrée du lycée ? Jnane Bidaoua ? Il prolongeait celui de Mhashasse, où se trouvaient un moulin et une scierie.
Avez-vous, par ailleurs, d'autres souvenirs au sujet d'enseignants que vous avez connus (Aouami, Beaux-Yeux, Khalil, etc.) ?
Avec mes salutations,
Sophos
k
2 novembre 2005 00:18
Bonsoir Sophos :
Le quartier s’appelait –je crois- Jnane Bacha.
Au sujet des enseignants que j’ai connus, tous les profs de Français et de matières scientifiques que j’ai eu personnellement étaient Français. En 4ème année (seconde, 1ère année au lycée), j’ai eu une prof Roumaine : le Maroc avait trouvé que les Français lui coûtaient trop cher.
La seule exception était un prof de math que j’ai beaucoup apprécié, Mr MERNISSI.
J’ai eu en Arabe Mr JEBARI (Je me rappelle encore de certaines de ses blagues et de son éternelle cigarette qu’il fumait même en classe).
J’ai eu en Arabe aussi, Mr SENHAJI, qui était à l’époque assez âgé.
En éducation Physique, j’ai eu Mr FILALI, un prof qui aimait bien son métier et qui n’hésitait pas à jouer avec ses élèves.
J’ai connu, sans les avoir eu comme profs, Mme SEBTI,(ou SEBTAOUI) une prof de Français qui a continué sa carrière comme inspectrice ou prof à la Fac. Son mari avait une papeterie au centre ville. Mr TRIBAK, un prof d’Arabe originaire de Ksar(il n’y avait pas de lycée à Ksar el Kébir à cette époque), ce professeur était aussi poète, il a écrit de nombreux poèmes sur Larache notamment à l’occasion des semaines de Larache. (Chaque année, vers fin juillet, se déroulait à Larache une fête qui durait 15 jours, il y avait toutes sortes de manifestations. On clôturait la semaine par un grand feu d’artifice)
J’ai connu aussi Mr SALEM, prof de Sport.
Par contre, je ne me rappelle pas des trois noms que vous avez dit.
J’ai oublié beaucoup de noms, je me rappelle de quelques visages : le surveillant général : un homme noir de petite taille très sympatique, le prof de Philo, un homme assez avenant qui passait beaucoup de temps à la librairie Amal,(c'est peu être lui Beaux-yeux : en terminal, je n’était pas à Larache).
A la prochaine
Khalid

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