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Vos pensées filantes??? Vos pensées dominantes???
L
21 octobre 2009 21:07
La pensée du jour. Ouvrez bien vos yeux, prenez un stylo et une feuille si vous en avez à portée de main.

Si tu te plains au fils d'Aadam saches alors / Que tu ne fais que te plaindre du Misérocordieux à celui qui ne peut faire Miséricorde.

S'il avait connu son Seigneur, il ne se serait pas plaint de Lui. S'il avait connu les hommes, il ne se serait pas plaint à eux.

Il ya trois niveaux :

-le plus vil consiste à se plaindre de son Seigneur auprès des hommes.
-Le plus élevé consiste à se plaindre soi même auprès de son Seigneur.
-Le niveau intérmédiaire consiste à se plaindre des créatures au Créateur.

Résume des propos d'Ibn al-Qayyim.
l
21 octobre 2009 21:24
Ai-je assez faim pour me faire à manger??? telle est la question perplexe
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
h
21 octobre 2009 21:35
Pourquoi manger seulement si on a vraiment faim?

Manger et puis c'est tout...
[center]La politesse est une monnaie destinée à enrichir non point celui qui la reçoit mais celui qui la dépense.[/center]
C
21 octobre 2009 21:36
Citation
haffssaa a écrit:
Pourquoi manger seulement si on a vraiment faim?

Manger et puis c'est tout...



C'est très profond ce que tu viens d'écrire... Lol.

Salam à vous LallaM & Haffssaa.
.
l
21 octobre 2009 21:37
Citation
haffssaa a écrit:
Pourquoi manger seulement si on a vraiment faim?

Manger et puis c'est tout...

La dernière fois que j'ai mangé sans réellement avoir faim, j'ai été ballonée toute la soirée, une sensation très désagréable.

Le souci c'est que pour l'instant j'ai pas faim, mais c'est pas dit que vers 11h ça soit pareil.
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
h
21 octobre 2009 21:40
Salam à toi, Merci Chamellia, j'ai des moments comme ça smoking smiley

@lallaM: Je dis pas de manger sans avoir faim, mais je ne dit pas non de ne pas manger tant que notre ventre ne crie pas famine. Si je mange à 23h, là oui je serai ballonner...
[center]La politesse est une monnaie destinée à enrichir non point celui qui la reçoit mais celui qui la dépense.[/center]
h
21 octobre 2009 22:44
Pourquoi tant de mystère? Serait-ce un moyen de protection lorsqu'on voit l'autre personne s'ouvrir entièrement.

Le meilleur serait de s'effacer entièrement... Ainsi pas de douleur "inutile"

Mon Dieu j'ai mal au ventre (pensée filante)

Peut-être que ces mots n'ont ils pas d'importance. Mais au moins je m'exprime et j'assume chacun des mots cités.

J'avoue que mes pensées sont assez confuse aujourd'hui... Peut-être la fatigue, peut-être autre chose...

J'ai laissé ma plume au cimetière des poètes, je suis las, je me contente d'observer mais cela ne veut pas dire que j'en pense moins...
[center]La politesse est une monnaie destinée à enrichir non point celui qui la reçoit mais celui qui la dépense.[/center]
l
21 octobre 2009 23:09
Ayé zé faim confused smiley
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
P
26 octobre 2009 23:05
Ayant lu des sujets traitant des complications relationnelles émanant du virtuel et ayant moi même été critiquée d’une qui se prend pour le psy de je ne sais qui (rires), j’ai pensé aujourd’hui dire un mot sur cette dimension du siècle où les âmes se régalent sans crainte parfois et où les esprits pataugent sans lucidité parfois.

J’aimerais dire un mot (oui c'est plus qu'un mot...rires) sur ce fameux monde virtuel qui fait en quelque sorte une partie de notre vie réelle quoi que majoritairement il constitue beaucoup plus de l’irréel mis en écart de tout ce qui nous est réellement réel :

Dans le virtuel, les cinq sens ne sont pas utilisés. On ne peut voir l’autre, on ne peut toucher, on ne peut humer, on ne peut écouter, on ne peut goûter. Donc on ne peut pas concrétiser en quelque sorte cette pseudo-expérience qu’on mène.

Mais c’est quoi concrétiser? Devrait il toujours s’agir d’une sensation matérielle pour ressentir? N’existe t-il pas un sens que l’on peut décrire de l’inconcret concret? Ce virtuel ne peut il pas déchainer du spirituel quoi que c’est un monde beaucoup plus superficiel ?

Dans le virtuel, la communication passe à travers les messages. C’est le mode d’interactions entre les personnes et c’est tout une unité de pensées qui ne peut être définie comme “immatérielle”. Dans le virtuel, les esprits peuvent s’unir et se désunir, cohérer comme diverger et cela peut bien déchaîner des émotions et quand on parle d’émotions, on parle automatiquement d’une vivacité, d’un réel qui reste virtuel puisqu’il nous est invisible, puisqu’il nous est insonore et puisqu’il nous est intouchable. Emotions signifie idem la naissance des attitudes aussi bien contrôlables qu’incontrôlables. Cela dépend de comment on gère soi même voire comment on gère la situation.

Une pensée filante: Faut il incontestablement se gérer?
Il est vrai que chaque pseudo n’illustre pas toute sa réalité ou peut être encore, il est fort probable qu’il n’illustre aucune réalité. Il est vrai que notre vie réelle ne se résume pas à des frappes sur le clavier, à un regard sur l’écran et une caresse sur la souris. Il est vrai que c’est très partiellement exprimé dans cette nouvelle dimension du fait que notre vie est une montagne de vécus et notre personne un océan de comportements regroupant des qualités et des défauts. Il est vrai que le virtuel reste un monde déficient de la vérité absolue et pourtant je ne peux éloigner l’idée que ce virtuel peut nous dépeindre une certaine image qui pourrait être réelle sur le pseudo. Le personnage derrière son pseudo peut jouer autant qu’il peut, il peut se déguiser autant qu’il veut mais avec le temps et la communication même si sous forme de fabulations, on arrive à discerner le vrai du faux et le faux du vrai. Car derrière chaque écran, il y a un être humain. Être humain veut dire un certain potentiel, une sensibilité, une mémoire, une intelligence, un savoir, une faiblesse…. Donc le réseau nous communique ce potentiel qui fait en sorte que ça devient aisé d’en ressortir des estimations tendant, ou vers le vrai du portrait/personnage à l’autre bout du fil ou vers le contraire.

Ce monde virtuel est un espace où une communauté de pseudos s’assemble électroniquement tout en vivant sous un règlement prescrit comme l’est de même notre vie de vrai qui se déroule sous autres lois. La communauté virtuelle mène sa pseudo-vie via une intercommunication par écrit se passant sous des ondes étant le seul moyen intermédiaire pour le fonctionnement du pseudo-langage contrairement à notre vie où c’est plutôt via l’oral et le comportemental dissouts sous ce qu’on appelle le life, le direct, le face à face.

En effet, chacun des pseudos-humains détient le droit de se convertir à l’image qu’il aimerait jouer. Il peut ou s’auto produire sa propre image réelle en virtualité ou se la rectifier. L’essentiel dans la virtualisation est d’arriver à s’enrichir et à se faire plaisir.

Alors il ne me reste qu’à dire que si les menteurs arrivent à émouvoir avec leurs scénarios à la hollywoodienne, décorons les avec un oscar virtuel. Ils le méritent s’ils nous offrent du bien avec leur art dans les mensonges mais s’ils arrivent à faire souffrir les âmes sensibles sous leur mensonge, il ne faut quand même pas leur trop en vouloir car la personne qui nage dans cet océan abstraitement concret doit bien maîtriser la nage avant de s’y plonger. C’est le gilet de flottaison qu’il faut toujours porter avec. La méfiance et la clairvoyance doivent être le guide professionnel dans le cheminement et la découverte de cette espace tout en ayant comme hypothèse que le virtuel peut aussi transmettre l’authenticité que l’inauthenticité.

Voilà c'était ma pensée filante que j'ai pensé transmettre ici et que j'ai écrite tout à l'heure et n'ai pas eu le temps pour la poster.

Bonne nuit

Je serai inchaa Allah de retour pour lire ce qui a été écrit comme pensées précédentes. Le moment je me mets en mode OFF.
P
27 octobre 2009 13:39
Ma pensée filante du jour après avoir réfléchi sur ce qu’endurent quelques intervenantes sur Yabiladi, et sur le poste « A&S » et sur celui de Halka, s'exprime dans le texte suivant :

L’amour est une épreuve sentimentale qui doit procurer du bien à notre âme, à notre cœur, à notre esprit, à notre corps, en gros à notre vie.
L’amour ça nous réjouit, nous chauffe, nous réchauffe, nous pique et nous chatouille. L’amour ça nous fait déguster le monde des songes romanesques et découvrir l’effervescence des plus ardentes passions rocambolesques.
L’amour est un parfum à exhaler, un délice à déglutir, une ampleur à admirer, une ardeur à consommer.
L’amour est cette vivacité qui nous alimente de joie et de souffrance, la joie qui nous fait vibrer d’amour et la souffrance qui nous fait pleurer d’amour.
C’est harmonieux de rencontrer l’amour, de ressentir son cœur battre pour l’être aimé, ses pensées nager avec l’être aimé, son corps appeler l’être aimé et son âme se délivrer à l’être aimé. L’amour c’est vivre puisque notre fond est submergé d’émotions, puisque tout simplement notre fond fond.

L’amour est par conséquent un sentiment beau, non c’est plutôt un sentiment très beau, ah non c’est plus que très beau, c’est sublime, non c’est le sentiment le plus sublime qui puisse exister (sourire).

C’était des expression écrites dans un passé récent. Je saute à l’important :

Durant notre vie on peut aimer à plusieurs reprises et à plusieurs façons et suivant l’âge, l’amour peut se déguiser en plusieurs costumes. Parlant du costume de l’amour, je me permets de citer l’amour platonique.
C’est quoi ?
On croise la personne chérie qui influe sur le psychique par un magnétisme inattendu, on devient sans comprendre le pourquoi séquestré sous son charisme, on s’enflamme, on se plonge dans des rêves, on échange les regards qui miroitent l’endurance, le sourire qui apostrophe l’admiration, le mal à l’aise qui appelle au secours, on attend le premier pas jusqu’à souffrir d’impatience, on entre dans la labyrinthe des mono controverses sans fin. Ce genre d’amour est aussi beau à sa manière puisqu’on palpite tout entier sous une magie qu’on ne peut définir.

Et pourtant je ne peux encourager un tel sentiment car avec le temps, ça déchire et ça risque que le pur devienne impur et le bon devienne mauvais. Dans ce genre de situations, il faut savoir se réviser et s’autocritiquer. Il faut saisir que le vrai amour avec grand A est celui qu’on éprouve envers une personne qu’on estime. Et comment estime t-on une personne ? Quand on connaît très bien sa valeur. Et quand connaît on sa vraie valeur ? Quand on la fréquente grâce à une vie commune ou une communication intense donc en un mot grâce à un échange vif ou une expérience sur terrain.

Dans l’amour platonique, on ignore l’autre. On se suffit de la beauté extérieure donc le plus fréquent on se suffit du côté matériel sans déchiffrer, effleurer, toucher ce qui est interne.

Question : Ne nous arrive t-il pas d’éprouver une grande envie de déguster un fruit parfaitement appétissant de l’extérieur mais une fois épluché, on découvre combien il est pourri à l’intérieur ?
P
27 octobre 2009 13:53
Conséquence: Il ne faut jamais se soumettre aux apparences. Elles trompent. Oui parfois il nous est difficile de se contrôler quand l’attirance est là, quand l’amour ou l’affection tape notre porte sans prévenir mais je dis toujours qu’il faut savoir garder sa raison et sauvegarder son sens de critique pour ne jamais s’égarer donc pour ne jamais perdre le repère voire l’équilibre total.

Dans l’amour platonique, la nature humaine se diffère de l’un à l’autre. Il existe des personnes qui s’alimentent avec des flirts et des regards de loin pour satisfaire leurs lacunes internes. Elles se jouissent par ressentir la faiblesse de leur proie ou leur chéri (e). Elles se contentent de les contempler souffrir, mourir ou juste se réjouir sans rien entreprendre et c’est une sorte de sadisme invisible et à soi et à autrui. Avec une telle attitude, elles se saturent sentimentalement. Comme il existe d’autres qui draguent, aiment d’une façon timide. Les regards sont leur limite, ne les dépassent pas. Incapables d’entamer un pas, elles se contentent d’aimer de loin par peur de concrétiser ce qui a été construit dans leur abstrait comme images, rêves et attentes.

Cet amour platonique qu’on peut croiser dans la vie de vrai se vit idem dans le monde virtuel et c’est la couleur de ma pensée du jour. Je tiens à en parler brièvement:

À force de fréquenter électroniquement un certain pseudo esprit, une certaine pseudo âme, on se voit fondu sous sons charme épistolaire, sous ce que dégage comme traits son caractère. Son image reste invisible, son rang social reste inintelligible, sa personne absolue reste illisible, en revanche le spirituel pur peut tout de même se déclencher à force de communiquer et donc on se sent attiré vers le pseudo, on aime interagir avec, on aime rigoler avec, on aime le contacter sans se pencher à la concrétisation. Les interactions se vivent abstraitement. On se sent emprisonné sous une magie incompréhensible. On attend son apparition, on savoure ses écrits, ses critiques ainsi de suite. Parfois il arrive à ce que ça hante l’esprit. On pense au pseudo sans pour autant connaître le vrai portrait du pseudo. C’est un autre genre d’amour platonique qu’entraîne cette dimension du siècle et qui n’est que le Net.

Bref, tout ceci est pour dire que je peux comprendre un tel tourbillon au cas où on prétend le vivre, le sentir. Mais (et oui j’ai un « mais » à ajouter), il faut savoir cheminer dans le mystère. Ça peut très bien apporter bonheur lorsqu’on s’arme de sagacité et de raison. Il faut jouer son propre protecteur, son propre bodyguard. Se plonger dans un amour mystérieux peut exciter mais que ça n’irrite pas jusqu’à succomber dans les ténèbres du regret, de la peur ou encore de la mélancolie.

Donc OUI, dans le virtuel on peut croiser son grand amour mais pour le vivre, il faut passer à la dimension de vrai et qui n’est que l’aplatir réellement, concrètement. Le pas est parfois difficile à entamer, la volonté y doit être le meilleur catalyseur.
Parfois il arrive à qu’une fois le seuil franchi, on accidente la déception de voir ses rêves, ses attentes s’effondre et ce qui peut attrister. Néanmoins, s’aimer virtuellement à la longue ne fait que nuire l’âme alors que l’âme est tout ce qu’on a pour aimer notre vie d’ici bas.

Donc prenons en soin, beaucoup soin. Il ne faut pas la terrifier, l’embarrasser mais plutôt l’attendrir et l’épater.

Ça peut être aussi bien intéressante ma pensée comme ennuyante (rires) mais bon, tant que ça me fait plaisir de venir l'exprimer, c'est donc okkkké (rires). Mon âme en est plus que contente et mon estomac en saute idem de joie. Je le vois tout excité mon estomac, il me demande de nouveau le miammiam (rires)...So i'll be back inchallah (sourire)

Bon appétit, et à moi et à tout le monde
27 octobre 2009 16:09
salam

Planete 44,,, pourquoi je comprend tous se que tu dis et ecrir,mais mon probléme
c'est, que je n'arrive pas a te repondre, filosophiquement comme tu la bien écrir
mais je vais eceillé. comprend moi.... ne fait pas attontion au fautte d' ortographe (rire)
tu parlé du virtuel, c'est vrais, on est deriere un ecan. caché deriere un pseudo On peux dire squ'on veux s'inventer un senario
ou une image.. on peux faire squ'on veux avec le virtuel.on peux donné l'age qu'on veux, s'inventer des diplopme, étre parfait.Donné l'image que l'autre on veux qu'il vois. je trouve que c'est supér
le virtuel, ce vidé du compléxe qu'on a,se montré intélo, tous savoir,et au dessou des autre se montré beaucoup plus généreux, plus gentie,plud beaux,
et plus,plus,plus,je dis merci a l'inventeur de cette téchnologie
mai, je trouve que c'est comme même dangeureux cette téchnologie qui noux améne a notre désruction
si on ne sais pas s'on servire.....
on vie télement dans ce monde de virtualité qu'on se rend pas comps de la déscente au enfer
de tombé du haut, et on se trouve moin que rien
on se reveil avec une tête soucidéraire, et on tombe des nues. apret on se demande quesqui c'est passé
esque j'ai révé. Tous se que j'ai entendu, ou j'ai lu sur l'eran c'est finalement faux archi faux..
quesqu'on a fait a ce moment là????????
si on es raisonale, on eteint l'écran, et on refléchi le temps qu'il faut pour ce remêtre
on quéstion
et surtous on se met au travaille a fon pour oublier
heureusement...nous les musulman on a la foi.... on se remet a dieux notre seul recour
on demande a dieux de nous pardonner notre ingonrance et que sa ne recommence plus jamais
voila ma pensé du jour
merci de m'avoir lu
P
27 octobre 2009 16:47
Citation
belamri a écrit:
salam

Donné l'image que l'autre on veux qu'il vois.

le virtuel, ce vidé du compléxe qu'on a,se montré intélo, tous savoir,et au dessou des autre se montré beaucoup plus généreux, plus gentie,plud beaux,et plus,plus,plus,je dis merci a l'inventeur de cette téchnologie
mai, je trouve que c'est comme même dangeureux cette téchnologie qui noux améne a notre désruction
si on ne sais pas s'on servire.....

on vie télement dans ce monde de virtualité qu'on se rend pas comps de la déscente au enfer
de tombé du haut, et on se trouve moin que rien


on se reveil avec une tête soucidéraire, et on tombe des nues. apret on se demande quesqui c'est passé
esque j'ai révé.

Wa 3alaykoum assalam Amina,

c'est beau ce que tu as écrit puisque c'est dit avec sincèrité et puis c'est aussi sensé. Je m'en moque des erreurs d'orthographe, l'important est que je t'ai bien comprise (sourire)

Tu sais Amina, tu as évoqué un point profond dans ton écrit, c'est celui de quelques causes qui poussent l'internaute à se plonger dans la virtualité et puis quelques méfaits qui peuvent en déduire. Tu as parlé ensuite d'une auto inspection qui s'oblige une fois le PC est étteint puisque cette technologie peut nous éloigner de la réalité pure de notre être. Oui il y a bel et bien des exemples qui vivent pareil.

Je vais réfléchir peut être encore sur ton point et si jamais je tourverais envie d'exprimer mon avis là dessus, je viendrai le pondre comme pensée filante ici. En tout cas, j'agis selon ma spontanéité (sourire)

Merci pour ta contribution Amina. C'est sage le dit.
B
28 octobre 2009 10:58
Salam,
ma pensée filante suit la tienne,planète44.
Tu est une vraie ousstadha,lol!

Tu as été complète et je n'ajouterais rien sauf que l'amour est aussi et peut-être avant tout une "communication chimique"...Sans yeux,pour ceux qu'Allah a fait faveur de la vue, je ne vois pas comment on peut tomber amoureux...Je ne parle pas d'apprécier ou de mesurer la beauté de qqn mais de regarder cette personne,les yeux dit on sont une fenêtre ouverte sur notre âme...Et le prophète saws a dit à celui qui voulait se marier "as tu regardé dans ses yeux?Va regarder dans ses yeux ,car dans les yeux des Ansars il y a qc..."

Et puis pour reprendre ta métaphore de la mer,(on surfe sur internet dit on)l'homme idéal celui auquel on aspire toutes ne se trouve surement pas sous l'eau...Et quand bien même tu aurais réussi à le pêcher 6 pieds sous mer,il ne faut pas s'éterniser et remonter avec lui le plus vite sur terre...
Les longues correspondances,ne sont qu'une perte de temps et ne permettront jamais de réellement connaître la personne.
C'est justement cette absence des sens qui amplifie le phenomène d'idéalisation de l'autre,il y a un manque évident,un vide à remplir et l'imagination prend le relais.
Je pense que ce sont surtout des âmes jeunes,naives et romantiques qui se perdent dans ce mirage virtuel.

Néanmoins on ne niera pas le fait qu'il puisse naître une attirance entre 2 pseudos,car au delà des 5 sens il y a aussi l'âme,aro7...
"Al aroua7 jounoudoun modjannada,ma ta3arafa minha i'talafa wa ma tanaakara minha ikhtalaf",c'est un hadith très connu où le prophète saws a dit que les âmes se reconnaissent entre elles.
Celles dotées de la même nature se reconnaissent,s'attirent,, et celles dotées de natures différentes s’ignorent,s'éloignent...car L'humain penche naturellement vers celui qui lui est similaire.

Sinon ma pensée dominante,c'est la même qui me hante tous les jours,dès mon réveil...La même douleur qui poigne mon coeur...Une épreuve semblable à un tunnel sombre où j'apercois la lumière au bout,elle me paraît loin,mais elle est si proche en réalité...Si proche et si loin...Alhamdulillah aladhi la you7mad 3ala makrouhin siwah ...

Bonne journée à tous...Une autre pensée filante,j'aimerais bien un ptit café...
P
29 octobre 2009 15:24
J’ai bien aimé ton expression “communication chimiqueet d’où ma pensée filante du jour :

Parler d’un truc chimique, pour moi c’est automatiquement penser à la notion de réactions, liaisons, décompositions, facteurs dérangeant le mécanisme, catalyseurs l’accélérant, état naturel, état artificiel, changement de matières, paramètres nécessaires pour un déclenchement donc conditions obligatoires pour un cheminement, produit final, produit initial, énergie, donner, accepter, rapport de forces….etc…c’est toute une série de données et termes qui me laissent plus ou moins confuse sur comment encadrer cette communication chimique, donc comment encadrer l’amour selon ta définition(sourire).
J’essaye de m’approfondir un peu plus dans l’idée, ça me fait travailler les neurones, leur gymnastique du jour quoi (rires) :

Tu sais Bedoon essm, aimer c’est ressentir en premier lieu et ressentir veut dire sensibilité et sensibilité veut dire spirituel et spirituel veut dire âme. Alors la question qui se pose ici : Ne peut on pas aimer avec le cerveau uniquement ? Ne peut on pas aimer avec le cœur uniquement ? Aimer de vrai est-ce uniquement quand c’est l’âme qui aime ? Autres questions : Est ce uniquement du cœur que se dégagent passion + émotion ? Est-ce vraiment cet organe faisant tout le temps du boumboum qui excite nos sens les incitant à chanter le boumboum de l’amour? Et pourquoi parle t- on de « roh » lorsqu’on tient à purifier un sentiment ? C’est souvent le cas lorsqu’on évite de le matérialiser. Le matérialiser insinue pour moi lui donner une valeur concrète comme par exemple, un amour basé sur le physique, sur le rang social de l’individu ou sur une chose qu’on peut évaluer de non abstraite. Parfois lorsqu’on parle d’amour raisonnable, on fait introduire la raison dans le relationnel et donc le cerveau comme organe. Lorsqu’on parle d’un amour fort vif, c’est vite le cœur qui transmet poétiquement la douceur, tendresse qui l’émergent et lorsqu’on parle d’un amour pur, c’est l’âme qui s’impose et donc c’est ce qu’on évoque le plus (sourire). Est ce juste un langage littéraire chez les humains ou y a t-il du vrai dans tout ce bagage sentimental (rires). Bref, laissons ces questions sans réponses. Que chacun philosophe comme ça lui plait (sourire). Je ne fais jouer qu'avec les mots moi, j'aime jouer (rires)

D’autre part, le hadith nabawi que t’as cité explique justement l’alchimie qui peut se créer entre deux personnes, leurs âmes se reconnaissent rapidement et donc une sympathie, un amour mutuel naît facilement entre eux. C’est un phénomène qu’on vit dans notre vie de vrai.
Donc la question qui se pose automatiquement : Puisqu’il existe des pseudos personnages qui surfent comme tu le dis si bien dans ce mirage virtuel et qui s’attirent énormément, n’est ce pas suffisant à ce qu’ils réussissent à s’entendre idem et aussi fort en réel ? Je parle surtout de ceux qui s’autoproduisent dans cette dimension loin de toute coloration et tout simulacre. Puisque durant leur surf, ils prétendent s’aimer jusqu’à fusion de leurs âmes après cohérence en principes et convergence en visions, pourquoi toi et moi, insistons quand même à la concrétisation des échanges pour ne pas tomber dans l’idéalisation qui peut émaner de la virtualisation ? C’est toute de même une contradiction et un paradoxe au cas où on pense au hadith non ? Pourquoi faut il recourir au regard et au sens de la vue par exemple ?

Dans notre vie de vrai, il nous arrive à se sympathiser si vite avec une personne sans qu’elle parle trop d'elle. On ressent un certain magnétisme qui flotte entre les âmes, ça se ressent dans notre fond le plus profond que c’est le genre, le type, la tête, l’âme, la beauté dans tout son ensemble qui concide avec ce qu’aime, ce que préfère notre propre âme. Parfois ça nous arrive de se torturer, d’essayer de faire admettre un tiers à son âme par trouver des égalités dans les optiques, par chercher des points d’intersection dans les visions, par s’efforcer à l’accepter sous des compromis quoi que l’âme le repousse au premier contact. Parfois ça réussit et parfois ça échoue (sourire). Donc qu’en est il en virtuel, qu'en est il du virtuel ?
P
29 octobre 2009 15:38
Si tu le remarques, on parle toutes les deux sur le fait que les yeux doivent tout de même jouer leur rôle. Pourquoi ? Vu mon angle en tout cas, je pense que c’est parce que les yeux tracent mieux le portrait de l’image dessinée dans le subconscient. Les yeux concrétisent en quelque sorte tout ce qui a été abstraitement enregistré dans l’inconscient. La puissance de l’irréel permet de représenter la réalisation de tous les désirs et de tous les fantasmes alors que la puissance du réel, elle permet de mettre en œuvre cette représentation.

Il arrive à ce qu’on trouve tant de séduction dans l’irréel, dans l’imaginaire. C’est souvent si beau de rêver, d’aller au delà, être ailleurs mais à la longue ça fait dérailler, ça fait dévier, ça fait délirer hors zone du pragmatisme et du réalisme et donc ça emmène à l’illusion et qui dit illusion dit probabilité d’un certain déséquilibre psychique qui peut voir le jour au cas où on se contente uniquement de vivre dans ses fantaisies, dans la chimère.

Il me semble donc que si ces pseudos-amoureux fuient leur vie pour se réfugier dans une autre vie à travers la beauté d’une correspondance et d’une littérature, il faut tout de même qu’ils se réveillent un jour s’ils deviennent drogués de cette littérature incarnant tous leurs beaux rêves car pour vivre les rêves vécus dans leur lecture (ça où volonté de les vivre de vrai se pose), faut passer à la dimension « life » et c’est une dimension qui travaille beaucoup plus avec les sens, le regard y compris et donc là l’écrit n’a pas de poids, aucun poids.

Oui comme tu dis, le regard peut déterminer la véracité des propos, le degré des sentiments, la pureté de l’âme.

Prenons un exemple qui montre l’importance et le rôle des yeux :

Si je te décris un tableau exprimant une œuvre représentant de l’art abstrait, je te parle du choix des couleurs fantastiques prises par l’artiste, de leur combinaison réussie, de ses fascinantes formes figurées, de la vue totale de la toile, de la finesse dans ses lignes, de la diversité dans la géométrie, de la haute qualité de la peinture utilisée, de sa belle tendance dans l’exprimé, de l’intéressant reflet que donne l’image, de l’importance du message qu’il tient à transmettre à travers son art, de la matière si chère optée comme chambranle, je présume qu’il y aurait un pourcentage d’exactitude que tu tombes amoureuse de la toile surtout si j’excelle dans la transmission de mon admiration du travail fait pour ressortir une telle œuvre.

Admettons que tu t’intéresses beaucoup plus à l’expressionisme dans la peinture et pas du tout à l’abstrait, ce serait par conséquent incroyable et injustifiable pour toi que tu ressentes une telle envie de vouloir contempler la toile de vrai et en face? Et donc là, on peut dire qu’on peut se dispenser du regard dans l’amour, il n’est pas forcément indispensable pour ressentir une certaine attirance envers quelqu’un, quelque chose.

Je me permets de traiter cette conclusion dans un autre angle : Admettons maintenant que je te montre enfin la toile que t’as cru aimer à partir de mes expressions. Il se peut encore qu’une fois elle est devant toi, dans tes mains, tu la trouves sur place très laide, absolument loin d’être attirante ou intéressante car elle ne coïncide pas trop ou plutôt point à ce que tu t’es imaginé en haut dans ta jugeote. Il se peut que tu n’apprécies guère la composition des dessins, que tu ne trouves aucune harmonie entre les couleurs. Et là, c’est la déception, c’est le choc et c’est vite le regret de m’avoir donné du temps à te parler aussi longuement sur la toile et surtout le regret de l’avoir aimée un certain temps sans l’avoir vue (sourire). Je dis alors : La perception est donation de présence, l’imagination est une donation d’absence, cette imagination qui fait en sorte à ce qu’on mène une pseudo-existence en tant qu’image pour la conscience qui le pose comme son objet loin de toute réalité au champ.
Donc les sens doivent être là pour ressentir plus fort et mieux le pseudo ressenti. Les mimiques, les gestiques et l’éthique peuvent donner plus de valeur, plus de goût à celui ci.

Une pensée filante qui me vient juste le moment : Et les aveugles qui souffrent de cécité, peuvent ils aimer comme il se doit puisqu’on parle moi et toi de l’importance du regard (rires) ? Mon Dieu, c’est un angle à traiter encore. Je freine là sinon je ne vais pas finir.

Bonne soirée.

P.S : Ta pensée dominante porte la couleur noire non ? J’aime le noir de la nuit et non des pensées ou des sentiments (sourire)…..mmmm là me vient encore une autre pensée : Pourquoi est ce que j'aime la couleur de la nuit ? A t-elle vraiment une couleur la nuit ou c’est juste un état physique que nous reflète la nature pendant le nuit? N'y a t-il que le noir pendant la nuit? (rires...ouf c'est trop de questions là, ouf que c'est trop, je fuis mes pensées moi...moi chute...sourire)
l
29 octobre 2009 16:03
Ma pensée fillante:

Comment elle fait pour écrire des tartines de textes à chaque fois, elle a pas la flemme?????
Le plus pessimiste d'aujourd'hui a été le plus optimiste autrefois. Il poursuivait de vaines illusions. L'échec l'a découragé.
29 octobre 2009 17:43
salam


moi, sque je voulais savoir, c'est elle fait quoi comme boulo???????? moody smiley

je la vois bien en ecrivain,hhhhh sa lui va trés bien a sa façon d'écrire waoooooSOS
P
31 octobre 2009 15:58
Grand rire

Lalla M, ça ne me demande pas trop de temps et d'énergie pour préparer ces tartines et puis j'aime, ça fait plaisir à mon âme...c'est comme toi lorsque tu passes devant un magasin de fringues et t'es souvent curieuse et prête d'y entrer pour acheter tes tartines vestimentaires...Je me demande: T'as pas la flemme? (rires + clin d'oeil)

Amina, tu m'as fait rire. Non je ne suis pas écrivaine (sourire)
P
31 octobre 2009 16:14
J’ai pensé venir partager avec vous ce qui suit :

J’ai été au souk ce matin, le jour était ensoleillé, les gens bien gais, c’est l’atmosphère du WE que j’aime et puis y avait partout des légumes mûrs en âge, des fruits attrayants en look!!! Et que dire des poissons !!! Différentes sortes en toute fraîcheur, en toute splendeur, mmmmm un régal pour mes yeux (rires). Maintenant après avoir pris mon dej (je ne vais pas dire ce que c’était….c’est un secret d’Etat….rires), je pense ou bien sortir à vélo rendre visite pour des minutes à mes amies les oies qui habitent dans un lac tout près de la maison. Je leur emmène souvent le khobz qu’elles adorent sourtout lorsqu’il fait beau et certainement qu’elles m’attendent avec impatience les coquines pendant que c'est encore clair le ciel (rires) ou bien m’occuper de mes plantes, j’en ai des unes qui ont besoin d’une nouvelle coupe et plus de soin, elles sont devenues moches et j'aime pas les croiser ainsi, ça me coupe l'appétit, je les ai négligées un tout p’tit peu, je l'avoue (sourire).

Donc je me demande, ou faire plutôt silate arrahime aux voisins quoi que c'est hayawanates (rires) ou travailler comme une esthéticienne botanique en cet après midi. Là une pensée filante vient de naître puisque je parle d’esthétique : Pourquoi pas un soin de visage avec une recette de grand mère, ne serait ce pas mieux en ce souriant samedi? mmmmm faut choisir, faut choisir Planete 44, allez penses et penses encore et puis décides enfin (rires).

Mais bon, je vais me déconnecter tout d’abord et puis c’est sûr que ma spontanéité sera la dominante (sourire)

À la prochaine inchaa Allah, ou sous une folie comme celle d'aujourd'hui, ou sous une boulémie, celle de préparer d'autres tartines textuelles (à propos, une création linguistique par Lalla M et que je trouve miammiam...rires)

- Safi Planete 44 chute...ne dis plus rien
- Ok moi skoute (rires)
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