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poeme d'amour
n
26 mai 2005 08:40
Elodie

Sa vie est une rose
A première vue très belle
Mais quand on la touche
On se pique et on saigne.

Sa vie est une rose
Que quelqu'un a cueillie
Et a posé dans un vase
En lui coupant ses racines.

Il lui fait croire qu'elle n'est pas seule
La rose qui fane dans le vase
La rose qui pleure ses pétales
La rose à l'amour mort, la rose en deuil.

Sa vie est une rose
Que quelqu'un a cueillie
Il avait mis des gants
Et ne s'est pas piqué.

Lui, il n'a pas saigné
Son amour n'est pas mort
Puisqu'il n'est jamais né
Lui, il n'aime pas
Il possède, il isole mais il n'aime pas.

Il lui fait croire à la rose
Que lui aussi, il souffre
Qu'il voudrait qu'elle soit belle
Il voudrait qu'elle chante
Mais elle ne chante pas
Une rose ne chante pas
Une vie ne chante pas
C'est celle à qui elle appartenait qui chantait
Celle a qui il a volé la vie
Cet homme qui possède la rose
Celle a qui il a volé la vie
Et qu'il a oubliée.

n
26 mai 2005 08:46
Je suis devant toi, je te regarde et je t’écoute.
Tes confidences m’ouvrent une autre route,
Je retiens mon souffle et je garde mon calme
Pour cacher l’agitation de mon âme.
Tes mots transportent bien des désirs
Jamais osés par mon imagination ou mon plaisir.
Tu t’ouvres et à travers toi, je me délivre
Je suis figé et je n’ai pourtant qu’une envie : vivre.
Montre moi les chemins de l’amour que j’ai manqués
« Existe moi » pour que je cesse d’être parqué
Dans ce qui ressemble à des semblants de vie.
Aide moi à faire naître et vivre mes envies.
J’ai le désir d’exister par toi et pour toi,
Je souhaite enfin être entièrement moi.
C’est avec toi que je veux explorer l’amour originel.
Un amour intense, passionné, partagé, osé et sensuel
Mais tu m’impressionnes et je perds mon assurance
J’ai peur de te décevoir, de ne plus être ton évidence.

n
26 mai 2005 08:55
J'aimerais mourrir près de la lune
qui me protègera du soleil
et ne me brulera pas les ailes
J'aimerais renaitre près du soleil
pour qu'il me donne l'energie de vivre
et un rayon d'espèrance
J'aimerais t'aimer près du ciel
pour atteindre le septième
et dire bonjour aux anges
Et enfin dans la voie lactée
devenir ta bonne étoile
Je brillerais pour toi
je guiderais tes pas
et je te ramenerais jusqu'a moi.
n
26 mai 2005 09:08
Aujourd’hui mon corps n’a plus de vie
Dû à un manque d’amour et d’envie
J’ai un mari que j’entends dire m’aimer
Mais il n’a plus de désir passionné.

Il ne respire plus mon air
Il ne désire plus ma chair
Il ne cherche plus à plaire
Il ne vit plus Notre Ere.

Cette ère d’amour et et de passion
Ere éphémère et peu d’abandon
Ce n’est pas l’homme qui vit à mes côtés
Que j’ai finalement épousé !

Cet homme où sa vie s’écoule
Entre télé, travail et repos.
Tout, autour de lui s’écroule
Mais il souhaite sauver sa peau.

La main tendue vers lui,
Sa femme le regarde et sourit,
Son âme est déjà au Paradis
Et contemple sa vie pourrie.

n
26 mai 2005 09:13
Une fois de plus la tristesse se lit
Une fois de plus les liens se délient.
Elle souhaite qu’il réponde à ses désirs,
Et lui, voit ses chances se réduire.

Il sait qu’il doit réagir
Mais préfère laisser le temps partir.
Son travail lui remplit la tête
A se déplacer, en Sicile, en Crête…

Il s’évade de la réalité
Son problème n’est plus dans ses pensées
Il refuse d’être aidé
Et oublie l’être aimé.

Il fut le berceau de son amour
Et distingue le tombeau en retour.
Vivre ou mourir de tristesse ?
Tout ça par manque de caresses.

Elle rêve de grands frissons
De renouer avec la passion
Vivre de nuits câlines, coquines,
Vibrer sous les lèvres masculines.

Pourtant elle lui a promis un enfant,
Mais il s’en moque à présent.
Elle ne voit pas le bout du tunnel,
Et souhaite un autre ciel.

n
26 mai 2005 09:28


Je me ferai pour toi …

Pour toi, je me ferai reine
Pour que tu ne m’oublis
Je me ferai fleur de ta vie

Pour toi, je ferai La Seine
Comme ce cour d’eau
Dans ta vie, je serai ce qui a de plus beau

Pour toi, je me ferai déesse
Pour que tu te souviennes
Que je suis tienne

Pour toi je me ferai sagesse
Pour que tu aprécis
Je ferai authentique ma vie

Pour toi, je me ferai mère
Pour que tes enfants
Soient comme moi et toi dorénavant

Pour toi, je ferai ta femme
Pour te montrer l’amour
Que j’ai pour toi sans aucun détour

Pour toi, je ferai passion
Pour te montrer mon affection
Sans aucune prétention

Pour toi, je ferai ton soleil
Pour que tu me vois à chacun de tes réveille
Comme l’amour qui est plus fort que la veille

Pour toi, je me ferai tous se que tu voudras
Mais sache que malgré tous ça
Je resterai toujours MOI


n
26 mai 2005 09:39



Désespérance

Comment guérir les plaies du coeur ?
Comment croire à des jours meilleurs ?
Quand, engourdis par la douleur
Je reste seule dans le jour qui se meurt

Et je me dis que cette quête insensée
Cette soif d'amour et de félicité
Il me faut à tout jamais l'oublier
Au risque d'a tout jamais sombrer

Car je vivote sans en avoir l'air
Montrant un visage souriant et fier
Mais si tu voyais l'envers du décor
Tu n'envierais pas mon sort

Ne t'en fais pas trop je survivrai
Juste un mauvais moment à passer
Y'en aura d'autres, faut pas se leurrer !
Coup de pied au derrière, faut avancer !

Lili 25 mai 2005
_________________

B
26 mai 2005 15:02
le jour est-il mieux que la nuit ?
ou la nuit est-il mieux que le jour?
qu'ils ailent l'un et l'autre à la ruine
si on n'est pas uni avec ceux qu'on aime
n
27 mai 2005 11:43



La Courbe de tes yeux

La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.

Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,

Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.

Paul ELUARD
n
28 mai 2005 20:25

Les mots s'échappent de moi
Et ceci pour s'envoler vers toi
je les veux beaux pour exprimer
Tout l'amour que mon âme ne cesse de crier


La réalité auprès de toi
Est un rêve qui ne finit pas
Me tenir à tes côtés et te contempler
J'aurai pu le faire toute l'éternité


mais tu as mis fin à ce rêve
A ce bonheur que je croyais sans trève
Tu t'en es allée
Ne me laissant seul et désamparé


Chaque battement de mon coeur
Arrache de moi un pleur
Car je m'en veux de t'avoir laisser partir
Car en le faisant tu as ôté tout sens à ma vie...

Antonio OUÉDRAOGO
n
28 mai 2005 20:30
LA LUNE ET TOI

Le regard de tes yeux reflète la Lune impitoyable
Accrochée là-haut sur ce fond miraculeusement noir
Telle qu’elle se dessine fièrement,
attisant son pouvoir
Au milieu de cette mare divinement exécrable.

Couchée sous ta pauvre fenêtre ternie par le temps,
Tu entends le souffle du vent
qui se vante d’éventrer
Cette Sorcière qui sort les cierges pour t’implorer:
Cesses ainsi de l’adorer
de tes grands yeux admirant.

Ces pauvres pierres que la Dame
te lance sur tes paupières
Détournent ton regard contourné
sur ses belles rondeurs
Le fantôme éventant repousse
en un instant sa blondeur.

Ce sombre tableau doucement
s’éclaircit par tes prières,
Tu rêves de ciel bleu
mais les nuages bien assombris
Couvrent puis recouvrent
tes mauvais rêves d’une insomnie.



Zuwitch



n
28 mai 2005 20:34







J'ai toujours été celle...


J’ai toujours été celle qui écoutait
Les confidences et les peines des autres
J’essayais de les conseiller du mieux que je pouvais
Et de trouver les mots qui réconfortent

J’ai toujours été celle qui aimait
En secret un homme qui ne se doutait de rien
Je savourais les quelques instants de complicité
En espérant qu’un jour il serait mien

J’ai toujours été celle qui rêvait
De rencontrer un homme qui la comprenne
Un homme tendre, sensible et discret
Qui chasserait au loin toutes mes peines

J’ai toujours été celle qui était
Rejetée par tant de personnes si cruelles
Celle qui avait tellement de choses à donner
Et qui avait juste besoin d’amour pour se sentir belle

J’ai toujours été celle qui attendait
Patiemment que l’on remarque sa présence
J’avais toujours peur de déranger
Si bien que cette présence devenait absence

J’ai toujours été celle qui restait
Seule, sans personne pour partager sa vie
Attendant que l’amour vienne me trouver
Mais il n’est pas venu éclairer mes nuits

Alors je suis toujours celle qui attend
Qui espère et qui rêve de ce jour merveilleux
Où je rencontrerai celui qui sera mon tendre amant
Et qui fera de ma vie une succession de jours heureux


JJGIRL


n
28 mai 2005 20:42
Toi & Moi
Un amour au-delà des mots
Un amour dans mon coeur et si beau
Partout ton visage me poursuit
Ton sourire est un souffle sur ma vie
Quand je souffre d'absence
C'est encore ta présence
Qui vient troubler mes pensées
Me donnant l'envie de m'envoler
Comme l'oiseau vers sa destinée
Tu es ma source et ma joie
Le fruit d'amour que je cueille ici-bas
Quand tu caresses ma peau
Je frissonne j'en oublis tous mes maux
Quand tu m'offres un baiser
C'est du ciel bleu pour la journée
Avec toi l'amour est splendeur
C'est le parfum du bonheur
Cet amour est protégé par un écrin
Seulement ouvert par le pouvoir de nos mains
Je savoure avec toi nos moments calins
Nos plaisirs interdits et coquins
Au delà de la passion
Tu repeinds mon horizon
Tel un ange ou un démon
Tu enflammes mes sens et ma raison
Je te dépose ces mots du bonheur
Comme un brin d'amour comme une fleur
Cueille les en douceur
Qu'ils viennent s'échouer sur ton coeur
Puisque l'amour avec toi n' est que douceur
Réinventons le à chaque fois qu'il se meurt

Ghislaine

n
28 mai 2005 20:45



Ses pétales m'éffleurent...





Cette rose embaumée
Que de toi j’ai gardée
Déjà toute fanée
Dans mes doigts va mourir
Au cours morne des heures
Dans ma triste demeure
Ses pétales m’effleurent
Comme des souvenirs...

Qu’il est lourd le silence
De ces nuits où je pense
A ta chère présence
Au doux son de ta voix
Lorsque après riant d’ivresse
De bonheur, de tendresse
Ses pétales m’effleurent
Comme des souvenirs...


SAMEG


n
28 mai 2005 20:50
Guérir de toi


Dans mes veines s’écoulent ces flots démontés,
Cet amour de toi en mon âme si enraciné,
L’ignoble abcès de mes sentiments sans retour,
Toi qui te moques bien de mon cœur qui saigne toujours.


L’ivresse de Toi qui m’obsède et me projette dans l’abîme,
Le spectre de ma vie dont tu ne seras jamais la rime,
A chaque instant le mal d’avantage qui se propage,
Ton ombre continue à semer en moi ses sombres ravages.


Ma faiblesse qui me condamne à retomber,
Dans cette passion tenace dont je voudrais m’échapper.
S’effrite sous mes pas ce sol qui ne pourra tenir,
Le temps qui s’égraine et pourtant je continue à défaillir.


Où puiser la force d’aborder cet autre avenir,
Passer mon chemin et retrouver enfoui ce doux rire,
Quitter ce linceul qui m’emprisonne au fond de moi,
Et me retourner sans avoir peur de guérir de toi.



JMC - Octobre 2004.


29 mai 2005 23:49
Jeux de miroirs

Je te prends, si tu me comprends.
Désirs refoulés. Entorse au coeur.
Pansements de bleus changeants.
Je saigne des larmes de couleurs.

Je te comprends sans t'atteindre.
Vivons, gâchés. Pour être heureux.
C'est trou noir pour s'éteindre,
Après ces feux en nous, en ces lieux.

Je te prends, si toi, tu m'attends.
Au quai des Orfèvres, vaux bijoux.
Mes lèvres plaquées sur ton diamant,
Ce caillou, si jamais loin de ton cou.

Miroir aux alouettes, des âmes soeurs,
En toi, je crois et me laisse prendre.
Piqué au jeu de ces beaux acteurs,
Ces couples, pareils à s'y méprendre.

Môh Tsu
07/03/2005
29 mai 2005 23:52
AMOUR IMAGINAIRE

N'as-tu pas senti mon coeur t'effleurer ?
Je perds haleine à courir pour l'éternité.
Je sais. Je rêve. Et alors ? J'ai le droit.
Après tout, l'amour n'a pas de couleur, je crois.
Tu m'ignores, vaniteuse, avec ton air supérieur.
Vas-y tire droit. Vise moi en plein coeur !
Prends-toi pour Cupidon, ôte-lui son beau rôle.
C'est ce que tu fais je crois, presque drôle.
Tu te joues de moi. Tu sais que je suis à toi,
Qu'il n'y a pas d'autres femmes comme toi.
Tu en profites. Tu me fais languir hiver comme
Été, jouant avec les ombres, clichés de tes formes,
Tes décolletés, coups de grâce de trop, fatals.
J'ai chaud. Ma langue traîne, je suis ton vasal.
Ma reine de toujours. Ose un instant me regarder
Droit dans les yeux, et me dire cette vérité,
Ces mots que je prononce et dont tu te détournes,
Comme par peur de perdre juste après ta couronne.
Ose me dire devant que je ne suis pas ton homme,
Toi qui m'as donné ce teint animal, cette pomme.
J'attends. Si le désir ne peut suffir, mourir
Pour tes yeux, c'est quelque part revivre.
Si l'écho de ces mots, de cette vaine faiblesse,
Ne sortant pas de ta bouche, au coeur me blessent,
Je crierai ton nom, vagabond sur tous les chemins,
Qui mènent à Hadès, terres creuses sans besoin.
Alors, ma mort sur la conscience, tu traîneras
Ma peine, sans le moral, dans tout tes états.
Je t'en voudrais pas même si tu es coupable.
C'est moi qui est à plaindre, le responsable,
De cette tragédie dont tu tais tous les mots,
De peur que le Monde entende et répande leur écho.
Je t'aime au-delà de ces beaux mots pour les mortels.
Après la mort, sans ton amour, au pied de l'autel,
De la citadelle, belle Alézia, je disposerais
Des fleurs, réciterais poèmes pour ta beauté.
Car des deux côtés du miroir, du pale monde,
Tu resteras la seule, dont l'âme non féconde,
N'aura jamais connue l'amour de la vie ensemble,
Qui enfante joies, cris, vies qui nous ressemblent.
Je t'en veux pas, j'écris confus, sur la fin,
Des mots, qui remplissent le creux de mes mains.
Des larmes tombent. Tu en es la source. Je me tais.
Tu n'es pas coupable. C'est ce qu'on appelle aimer.

Môh Tsu
16/03/2005
n
30 mai 2005 08:44
J’ai tellement d’amour
Qui coule dans mes veines
Que je voudrai en ce jour
Bannir toutes les haines
Faire de ce monde
Une grande ronde
Ou l’amour prime sur les guerres
Et recouvre toute la terre
Aimer les gens
Quelque soit leurs racines
Aimer les gens
Pour le plus beau des avenirs
J’ai tellement d’amour
Qui coule dans mes rêves
Que je voudrai en ce jour
Bannir toutes les haines
Faire de ce monde
Plus aucune honte
Ou l’amour est plus fort que la misère
Que les guerres ne soient plus nécessaires
Aimer les gens
Quelque soit leurs racines
Aimer les gens
Quelque soit leurs origines
Aimer les gens
Tout simplement

n
30 mai 2005 08:49
J’aimerais trouver la confiance
qui se cache en moi
pour ne plus souffrir en silence
de ce manque d’amour propre
pouvoir aimer sans difficulté
et pardonné avec facilité
que plus jamais ne revienne
ces doutes qui m’harcèle
trouver la notice de mon cœur
pour aimer sans avoir peur
et que le bonheur enfin m’ensorcelle

n
30 mai 2005 09:00
Je n’y crois plus
à ce sentiment de feux
qui m’a toujours déçu
à ces rêves malheureux

qu’on espère comme un enfant.
Je ferme mon coeur
pour éviter le chatiment
d’un amour éphémère qui meurt.

Pourquoi dois-je souffrir?
A quoi ça sert de t’aimer
si un jour tu dois partir?
A quoi ça sert de briser

un coeur innocent et si fragile
qui bat en cadence
espérant en amour facile
dans l’espoir et la souffrance?

Non! je refuse d’y croire
que l’amour est né au paradis
je ne veux pas savoir
ce que ferai-je de ma vie.

Ecrit par mouchette
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
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