Qui te donnerait main forte Autre que le pieu naïf Sur le bord du poème Tendre comme un bourgeon Planant comme une absence ? Oh ! Toi, fière de ton allure Ne te presse pas…
Afin que la vie ne se froisse. En un clin d’œil Tu remis de l’ordre dans mon cœur Essuyas la peine flétrie dans les coins Débarrassas la fenêtre de l’aube fanée Et me la remis nette et vierge Comme de coutume vers la fin de la nuit J’ouvre mes fenêtres Attendant que tu amènes l’univers Au brasier de ma passion ;
Que tu épluches le paradis pour mes chants Je ne parlerai pas à présent du ciel Ni des fleurs de notre sévère voisine Mon cœur maintenant est plus ardent Qu’un grain de châtaigne. De cellophane, Mon cœur est emballé Comme la pleine lune ce cœur est perforé. Elle est semblable à une végétation nuisibles Dit le destin, Suis Allah Il t’aideras
Mariem Abdallah.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/06/23 22:07 par CSKA.