Citation
a écrit:
Moi je vote non et mille fois non il faut vraiment etre sans mémoire pour oublier ce qu'ils nous ont fait en 1975 qd ils ont séparés des familles , voler tout leurs bien et les jetter comme des chiens al frontière, moi personelement jamais je pourrai faire confiance
Citation
extenso a écrit:Citation
a écrit:
moi jevais répondre pour une seule chose, tu dis que le MAROC cultuve le canabis et apparament le gouvernement a peur pour sa cher population , mais tu as oublié que l'algérie aussi cultuve "AL QARQOUBI" tu sais les petits "bonbons rouges" qui font des ravages chez les jeunes au maroc et ca vient d'algérie et d'aprés ce que j'ai entendu dire, c le seul truc sur lequel la douane algérinne, ferme les yeux et laisse passer sans problème
Premierement,ces accusations gratuites sans fondement aucun,en ce qui concerne les psychotropes,est une légende urbaine colportee par certains a des fins innavoués.
Moi,je demande solenellement des preuves tangibles de sources crédibles et viables,qui confortent dans les faits cette these abracadabrante,de l'Algerie pays exportateur de psychotropes(sic!).
Deuxio,ce karkoubi machin chose(Revitrol)est un medicament psychotrope thérapeutique tout a fait légal,designé pour le traitement des maladies psycho-nerveuses(epilepsie)et dont la nomenclature est vivement accreditéee par l'OMS(organisation mondiale de la sante).
Maintenant,si des personnes mal intentionnées l'utilise a des fins autres que celles preconisées par le concepteur.......l'Algerie n'y ait pour rien!
Alors que le cannabis en revanche,est une substance nocive,hors la loi, prohibée par toutes legislations judiciaires de par le monde.
PSes centaines d'articles de toutes sortes vous sont achemines de l'Algerie voisine,dont beaucoup de medicaments qui servent a traiter divers pathologies(Revitrol que vous appellez "karkoubi" parmi tant d'autres).
Alors que du maroc il nous vient que le cannabis.
Voila ou reside toute la différence!
Citation
extenso a écrit:Citation
a écrit:
Moi je vote non et mille fois non il faut vraiment etre sans mémoire pour oublier ce qu'ils nous ont fait en 1975 qd ils ont séparés des familles , voler tout leurs bien et les jetter comme des chiens al frontière, moi personelement jamais je pourrai faire confiance
Les Algériens du Maroc, issus de l’immigration installée dès 1840,n’ont pas été victimes de la seule politique de marocanisation des terres et autres biens domaniaux. Quelque 70 000, dont 14 000 inscrits auprès des services consulaires, ont été dépossédés de leurs biens en 1994.
Cette année, le Maroc avait fait le constat médusé de l’existence d’un islamisme armé en mesure de passer aux actes.
Il le fera à la faveur de l’attentat contre un palace de la ville de Marrakech. Dans une superbe fuite en avant, dont le makhzen
a le secret, les autorités marocaines accusent les services secrets algériens d’être les instigateurs de cet attentat à la bombe. La réalité des faits prouvera plus tard que cette action d’éclat était le fait exclusif des djihadistes marocains.
Les propriétaires algériens payeront quand même, au prix fort, cet aveuglement politique, leurs biens spoliés étant toujours sous séquestre.
La spoliation a commencé en 1963
Le régime marocain pourra toujours arguer de l’étatisation des biens des Marocains d’Algérie. Dans le contentieux relatif aux biens des
ressortissants algériens et marocains au Maroc et en Algérie, c’est le palais royal qui porte la responsabilité d’avoir inauguré et clos le mouvement d’expropriation. En dépit de textes régissant l’établissement des ressortissants des deux pays sur les territoires respectifs, le Maroc avait lancé le mouvement de spoliation dès 1963.
Le contexte de la «Guerre des sables», agression militaire caractérisée contre l’Algérie fraîchement indépendante, s’y prêtait.
Plus tard, en 1973, le dahir (décret) numéro 1.73.213 du 2 mars, relatif «au transfert à l’Etat de la propriété des immeubles agricoles appartenant aux personnes physiques étrangères et aux personnes morales», organisera un nouveau mouvement de dépossession. Destiné à l’expropriation des étrangers, dans le cadre de la marocanisation des terres agricoles,il ne sera appliqué finalement qu’aux seuls propriétaires algériens. Des milliers de nos compatriotes de Guercif, Agadir, Taza, Oujda, Berkane, Casablanca, Nador et Fès, seront carrément spoliés. Ces biens, ainsi que les propriétés reprises en 1963 sont toujours sous séquestre. Ils sont gérés par un organisme d’Etat, la SOGETA.
Ces mouvements de spoliation ont été effectués au mépris de la convention d’établissement algéro-marocaine, signée à Alger,le 15 mars 1963, par les ministres des Affaires étrangères des deux pays, Abdelaziz Bouteflika et Ahmed Laraki.
Cette convention sera renforcée par un protocole annexe au traité d’Ifrane, la modifiant et la complétant. L’article 5 de cette convention consacre le principe du libre exercice des droits économiques et l’égalité fiscale. Il assimile même les ressortissants des deux Etats aux nationaux de chacun des deux pays. L’assimilation au national est réalisée dans «l’exercice des activités professionnelles et salariées». En vertu de ces dispositions, les citoyens des deux Etats «pourront librement accéder à la propriété des biens mobiliers et immobiliers». Et, de ce fait, «en jouir et exercer tous les droits de possession de propriété et de disposition dans les mêmes conditions que les nationaux». De même et dans les mêmes conditions de jouissance, peuvent-ils «assurer la gestion sous toutes ses formes, de leurs biens mobiliers et immobiliers, commerciales ou agricoles». En matière de statut personnel et de dévolution successorale, y compris les legs, la convention prévoit que «les juridictions de chacune des parties doivent appliquer, conformément aux principes du droit international privé, la loi nationale de l’autre partie sous réserve des règles de l’ordre public.»
La convention d’établissement fixe les conditions d’expropriation. Elle stipule que «les biens des ressortissants de chacun des deux pays situés sur le territoire de l’autre ne pourront faire l’objet d’expropriation que pour cause d’utilité publique et conformément à la loi».Pourtant, en 1994, des milliers de familles algériennes seront purement et simplement spoliées. Les autorités marocaines avaient alors une singulière interprétation de la «cause d’utilité publique» au lendemain d’un attentat à la bombe islamiste. Pour régler les problèmes de toutes sortes, y compris des questions d’expropriation, le traité d’Ifrane, signé le 15 janvier 1969, prévoit de conférer à une commission mixte paritaire les compétences nécessaires pour «régler tout problème pouvant naître» de l’application de la convention d’établissement de 1963.
La suite de l'article ici:
[www.yabiladi.com]
Citation
Bengi a écrit:Citation
axis7 a écrit:Citation
lalie_elle a écrit:
Le Maroc est une vieille Nation, son peuple, un peuple de paix, de tolérance, avec un esprit d'ouverture vers les autres.
Mais, êtez-vous réellement pour l'ouverture des frontières avec le voisin ? Que nous apportera réellement cette ouverure ?
Perso, je réponds NON :
1) Pas besoin des maux du voisin
2) Je pardonne rarement, très rarement aux traîtres et ingrats
3) Nous avons suffisamment tendu la main, à la manière de vrais frères de religion, tout au long de l'histoire, pas besoin de quémander, nous sommes un peuple souverain, qui a tout pour se sentir fier ( histoire, traditions, ...)
On va subir combien de sondages sur ce thème?
Vous n'en avez pas marre de toujours poser les même questions surtout pour y apporter une réponse aussi affligeante?
L'ennemi imaginaire, après les fassis, les algériens.
Quel désespoir!
Citation
cro-magnon a écrit:
Extenso
tu veux que je poste des articles du journal aujourd'hui.ma ????
Rien que la source de ton article rends celui ci caduc !
Les algériens ne changeront donc jamais !