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Marc814 a écrit:
PPFFFF tu as essayé de la convaincre genre: "tu écris des poèmes ou je te colle une baffe" et bien ça marche pas comme ça avec choco
@chocolat chocolat,
Si tu me lis, tu dois savoir que tu étais la seule qui me faisais rêver, qui as arrêté mes ronflement, tu étais grâce à tes poèmes un soleil à l'horizon, une pleine lune qui m'éclairait la nuit, tu étais l'eau dont on a tous besoin pour vivre, notre oxygène.
Reviens, veux-tu? ton absence a brisé nos coeur.
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tandev a écrit:
Merci suave souvenir,
d'avoir éveillé quelque chose prêt à flétrir.
Il fut un temps, j'écrivais comme l'on respire,
et de ces laborieuses notes, je n'en gardai nulle à chérir.
Car pondre un poème et l'exposer à l'inconnu,
c'était comme hurler toutes les peines, debout, fragile et nue.
Alors je me fis la promesse, et rangeai ma parole,
et je n’écrivis qu'ennuyeux mails et monotones textes d'école.
Mais bien sûr, comme l'eau turbulente sous des surfaces trop lisses,
mes vers morts-nés ressortent un par un, dans une blague de décembre, ils s'épanouissent.
Après tout, pourquoi continuer à feindre l'imperméabilité, dans la violente pluie des mots?
Si "msemenomiel", goûter festif d'une lointaine enfance m'invite, alors les doigts collants, je ne ferai point défaut.
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SamDirien a écrit:
Bof facile à résumer, tiens je vais te le faire le poème du soir façon Chocolat
A mon ptit miel en sucre
Oh mon hlilou tout mignon
Qu'est ce que tu sens bon !
Je veux que tu me serres dans tes bras
Toute la journée je ne pense qu'a toi
etc...(sur une bonne dizaine de vers)
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