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GenieDeFolie a écrit:
Moi je préfère suivre le prophète prier tout j'aime lire des histoires pour tirer des leçons morales !!
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GenieDeFolie a écrit:
Moi je préfère suivre le prophète prier tout j'aime lire des histoires pour tirer des leçons morales !!
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2passageici a écrit:
c est le mieux que tu puisses faire quand tu avais ecris ton 1er post je voulais te dire fait comme tu peux le plus important etant l intention et le coeur
y avais aussi une histoire avec le prophete sur lui la grace et la paix qui a trouvé une femme dans le desert qui priait pas comme il nous l a montré
il sur lui la grace et la paixlui avai donc montré la bonne facon et etait reparti sur son chameau
en court de route le chameau ne voulait plus avancer et voulait retourner en arriere
le prophete sur lui la grace et la paix l'a laissé faire il est donc revenu sur ses pas et revoit la femme en pleure elle ne connaissait plus la priere qu il lui avait enseigné et elle ne e souvenait plus de skelle disait avant
il sur lui la grace et la paix l a donc informé de ce qu elle disait avant et lui a dit qu elle pouvait continuer à prier ainsi
Allah t a montré la voie sobhanallah
el hamdoullillah
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GenieDeFolie a écrit:
j'ai pas compris je prie toujours comme le prophète j'ai voulu améliorer ma prière car je prie en ayant appris dans les livres sitout
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HextaZ a écrit:
Salamu 3alaykum,
Personnellement j'éviterais de suivre un texte sortant du livre d'un chiite soufi.
Le prophète sallallahu 3alayhi wa sallam a dit :
« Priez comme vous m'avez vu prier ! »
(Rapporté par boukhari)
En Islam nous devons vérifier la véracité d'un texte avant de suivre celui ci, suivre aveuglément des paroles contraires à l'Islam mène à l'égarement
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TIGELLIUS a écrit:
As salamu 'alaykum
Concernant le texte peu importe d'où il vienne, ce qui est intéressant c'est de méditer son contenu.
1) Le berger dans cette histoire est un ignorant concernant les textes révélés et ignorant concernant les rites. Dans son ignorance il fait paraître le Créateur comme étant une créature, mais le plus intéressant c'est qu'il ouvre son Coeur faisant sortir un amour authentique, et vrai envers Allah.
2) Moïse est un prophète, et comme tel il a une grande connaissance du Créateur, pourtant sa réaction ressemble beaucoup à celle qu'il a eu avec al Khidr où il n'arrivait pas à comprendre ses actes.
3) Entre l'ignorance et la connaissance il y a plusieurs degrés. Le berger est dans cette histoire un ignorant avec un Coeur sincère, humble, amoureux, cherchant la satisfaction et le plaisir de son Bien-aimé.
4) Il y a des savants qui ont une connaissance plus théorique et pragmatique de leur Seigneur, mais peuvent aussi avoir un Coeur plus insensible, voire dur comme la pierre. C'est le cas des sectaires.
5) Ghazali est un exemple, car après de nombreuses années d'enseignement routinier des textes, il a ressentit le grand besoin de "vivre" l'amour d'Allah, et de ce fait il a quitté sa famille pendant une dizaine d'année pour vivre l'expérience de soufi, une expérience de la sensibilité et du rapprochement vers le Créateur.
6) Je désire avoir le même Coeur que le berger et la connaissance de Moïse.
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Naysi a écrit:
Aleykoum Salam Wa rahmatoulahi Wa barakatuh
Bismillahi Rahmani Rahim
Tu ne peux pas tirer une’ morale sur quelque chose d’inventee et qui vient’ des chites
Parce que deja cette histoire et invente et elle a donc aucun sens, de plus le prophète alayhi salat wa Salam nous a dit : « priez comme vous m’avez vu prier «
Peu importe les paroles oui parce que Allah swt sait tout mais la priere est’ la même pour tous‘
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GenieDeFolie a écrit:
Salam Alaykoum
je recherchais une soeur pour la prière et je suis tombée sur cette histoire enfin compte j'essaie de la faire de mieux possible et me concentrer sur le coeur, la communication avec Dieu
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**Permettez moi de vous raconter une histoire.
Un jour, Moïse marchait seul dans les montagnes, quand il vit un berger, au loin. L’homme était à genoux, les mains levées vers le ciel, en prière. Moïse fût enchanté. En s’approchant, il fût aussi frappé d’entendre la prière du berger.
« Oh, Dieu tant aimé ! Je T’aime plus que Tu ne peux l’imaginer. Je ferai n’importe quoi pour Toi. Tu n’as qu’à demander. Même si Tu me demande d’égorger le plus gras des moutons de mon troupeau en Ton nom, je le ferai sans hésitation. Tu le fera rôtir et Tu mettra la graisse de sa queue dans ton riz pour lui donner du goût. »
Moïse s’approcha davantage pour écouter attentivement.
« Après, je Te laverai les pieds et Te nettoierai les oreilles et je te retirerai tes poux. Je t’aime à ce point. »
En ayant entendu suffisamment, Moïse interrompit le berger en criant: » Que crois tu faire ? Crois tu que Dieu mange du riz? Crois tu que Dieu à des pieds que tu peux laver? Ce n’est pas une prière c’est du pur blasphème. »
Stupéfait et honteux, le berger s’excusa à profusion et promis de prier comme le faisaient les gens bien.
Moïse lui apprit plusieurs prières, cette après-midi-là. Puis il passa son chemin très content de lui. Mais cette nuit là Moïse entendit une voix. C’était celle de Dieu.
« Oh, Moïse, qu’à tu fais? Tu as morigéné ce pauvre berger sans comprendre à quel point il m’était cher. Peut être ne disait il pas les bonnes choses de la bonne manière, mais il était sincère. Son coeur était pur, ses intentions louables. Il me donnait satisfaction. Ses mots étaient peu être blasphématoires à tes oreilles, mais aux miennes c’était un doux blasphème. »
Immédiatement, Moïse compris son erreur. Le lendemain, tôt le matin, il retourna dans les montagnes voir le berger. Il le trouva à nouveau en prière, sauf que, cette fois, il priait comme il le lui avait apprit. Dans son désir ardent de bien dire la prière, il bafouillait, privé de l’excitation et de la passion de son ancienne manière. Regrettant ce qu’il avait fait, Moïse tapota dans le dos du berger et lui dit: » Mon ami, j’ai eu tort. Je te prie de m’excuser. Continu a prier à ta manière. C’est d’autant plus précieux aux yeux de Dieu. »
Le berger n’en revint pas d’entendre cela, et son soulagement fût profond. Il ne voulu pourtant pas revenir à ses anciennes prières. Il ne respecta pas non plus les prières formelles que Moïse lui avait enseignées. Il avait trouvé une nouvelle manière de communiquer avec Dieu. Bien que satisfait et béni dans sa dévotion naïve, il avait dépassé ce stade, il était au-delà de son doux blasphème.
Vous voyez, il ne faut pas juger la manière dont les autres communique avec Dieu. À chacun sa voie, à chacun sa prière. Dieu nous juge pas sur nos paroles. Il lit plus profondément dans nos cœurs. Ce ne sont ni les cérémonies ni les rituels qui font la différence mais la pureté de nos cœurs.
Shams de Tabriz dans soufi mon amour de Elif Shafak.