Citation
Respect# a écrit:
C'est les États-Unis qui on le plus de courrage et qui on apportés la sollution contre ces teroristes armée algeropolissarien.Cest les États-Unis qui ont donné l'information pour que le Maroc annule le référendum et qu'il défend plutôt une autonomie sous la souveraineté Marocaine c'est une idée de Bill Clinton.
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Eamses a écrit:
Il ne faut pas esquiver: Le Maroc serait, selon les Nations unies, le premier producteur et exportateur mondial de haschich.
[journals.openedition.org]
Citation
AL MASSIRA a écrit:
Ce changement de ton du Polisario c’est un cri de désespoir. Ils savent, avec les reconnaissances européennes récentes, que l’affaire est bouclée. Trump n’est pas le type à se faire embobiner. Il renforcera certainement sa position de la précédente mandature. L’affaire du Polisario est bouclée sachant que les russes et les chinois ont fait aussi leur choix qu’ils exprimeront dans un avenir proche. Le passé c’est le passé, la junte devrait réfléchir à l’avenir des Algériens.
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Eamses a écrit:
Ci-après l'avis de Driss Basri :
[aujourdhui.ma]
Influence des États-Unis : Durant les années 1980, le Maroc a bénéficié d'un soutien militaire et financier des États-Unis, visant à contrer l'influence soviétique en Afrique du Nord. Ce soutien a permis au Maroc de renforcer sa position dans le conflit du Sahara occidental. Driss Basri, en tant que ministre de l'Intérieur, a supervisé la construction des "murs de défense" dans le Sahara, destinés à protéger les zones sous contrôle marocain des incursions du Front Polisario. Cette stratégie défensive a été facilitée par l'assistance technique et logistique américaine.
Influence de la France : La France a également joué un rôle significatif en soutenant diplomatiquement le Maroc dans le dossier du Sahara occidental. Ce soutien s'est traduit par une coopération sécuritaire et une assistance militaire, renforçant la position marocaine sur la scène internationale. Driss Basri a entretenu des relations étroites avec les autorités françaises, ce qui a influencé les décisions stratégiques concernant le Sahara.
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Clineur a écrit:
Je te cite:
"ne réside pas dans des reconnaissances"
Pourquoi c'est des extraterrestres qui siège à l'onu et qui vote ?
Je te cite:
"respect des résolutions de l’ONU et du droit à l’autodétermination du peuple Sahraoui"
Donc à partir du moment où tu demande le droit à l'autodétermination tu es obligé de lui donner ?
Mais va dormir dans ce cas là dans chaque pays tu as des gens de différence race donc il faut le donner à tous le monde ?
L'autodétermination oui mais pour que celle-ci doit être prise en compte il faut une crédibilité, comment tu veux la donner à un peuple qui ne veut même pas ce recenser, qui pour la plupart sont restés au Maroc tu pense que l'onu va donner l'indépendance à un peuple de même pas 50000 personnes dans un territoire aussi sensible ? La fête est fini 2030 grand maximum l'affaire est plier
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Eamses a écrit:
Il faut avoir le courage de regarder la vérité en face.
[zb.oldmapsonline.org]
He oui , un point de viue d'un américain.
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Eamses a écrit:
Il ne faut pas esquiver: Le Maroc serait, selon les Nations unies, le premier producteur et exportateur mondial de haschich.
[journals.openedition.org]
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Eamses a écrit:
Affirmatif, le Maroc doit réfléchir à son avenir. Avec une dette extérieure de 80 Milliards de dollars, le taux d'endettement public global estimé à 85 % du PIB, un taux de chômage des jeunes qui avoisine 45%, un Indice de Développement Humain (IDH) de 0,683, le classant au 123ᵉ rang sur 191 pays.
Les perspectives seront de plus en plus étroites et si vous comptez sur Trump ou macron ou Pedro Sanchez, vous êtes vraiment naïfs.
Pour les frontières historiques du Maroc, il faut vous mettre dans la tête que le Maroc avant la colonisation n’a jamais dépassé l’oued Moulouya à l’est, entre l’oued Draa et l’oued noune au sud.
Le délégué de la France aux Nations unies déclarant devant la 15e Assemblée Générale, réagissant à la thèse marocaine des « droits historiques », invoqués alors contre la Mauritanie, que « la souveraineté de l’Etat marocain, telle qu’elle aurait pu s’exprimer par la nomination d’administrateurs, la perception d’impôts et de dîmes coraniques ou par la récitation de la prière au nom du sultan, ne s’est jamais étendue de manière effective et durable à une portion quelconque du territoire situé au-delà de l’Oued Drâa ».
« Le gouvernement mauritanien soutient que la plus large partie sinon la totalité de ce territoire [Sahara Occidental] était occupé par des tribus indépendantes du sultan du Maroc ».
Le professeur Maurice Barbier, de l’Université de Nancy II (France) a publié en 1984 les témoignages édifiants de trois Français, qui ont séjourné, à la suite d’un naufrage, au Sahara Occidental, vers la fin du XVIIIe siècle. Brisson, Follie et Saugnier racontent que le Sahara Occidental « est très peuplé et le serait encore davantage sans les guerres continuelles que ses habitants ont eu à soutenir contre le sultant du Maroc ». Et ils ajoutent : « On dit improprement que cette nation est rebelle au Sultant, car jamais elle ne lui a été soumise. »
L’indépendance du peuple sahraoui était aussi constatée, en 1850 (pour les tribus de Saguia el-Hamra et du Zemmour), par Léopold Panet, un métis sénégalais et par l’Espagnol Joachim Gatell, en 1869 (pour les tribus Tekna vivant entre l’Oued Drâa et Saguia el-Hamra).
Felix Mathews, le consul américain à Tanger écrivait, on ne peut plus clairement, en 1882, que « les tribus habitant le territoire entre l’oued Drâa et le Tiris sont indépendantes et belliqueuses », et Alfred Le Chatelier affirmait, en 1891, que la population nomade de l’oued Noun était totalement indépendante. D’autres témoignages sont tout aussi révélateurs.
En 1875, le Consul d’Espagne à Mogador écrivait dans une lettre adressée à son ministre des Affaires étrangères, le 12 avril 1875, que « le grand désir de tous les habitants des Etats indépendants de Tekna est d’entamer des rapports commerciaux avec l’Europe ».
Sir Raw W. Rawson écrivait, de son côté, en 1884, que « le Maroc s’étend de la frontière algérienne au fleuve Drâa... Le territoire qui s’étend au sud du Maroc sur une distance de 720 miles et sur une côte déserte et sans fleuves [le Sahara Occidental] jusqu’au territoire que la France réclame est indépendant ».
Marc-Robert Thomas, qui a étudié avec le prince - et futur roi - Hassan II, à Aix-en-Provence, en France, ainsi qu’avec un certain nombre de jeunes Marocains, qui sont devenus par la suite de hauts cadres de l’administration marocaine, témoigne qu’il a évoqué avec eux la question de l’octroi de Tarfaya par l’Espagne au Maroc et atteste même qu’ils ignoraient jusqu’à son existence, ainsi que celle du Sahara Occidental tout entier. Cela confirme les affirmations du professeur Francis de Chassey, selon lesquelles « concernant les tribus du Sahara Occidental, on peut dire que leurs relations politiques directes avec le Sultanat du Maroc, depuis sa fondation par les Idrissides (fin du VIIIe siècle) jusqu’au XVIe siècle, sont pratiquement inexistantes ».
Ces témoignages ne font que confirmer davantage l’aveu du sultan du Maroc lui-même, Mohamed ben Abdallah, qui écrivait le 28 mai 1767 au roi d’Espagne que « Sa Majesté Impériale s’abstient de délibérer au sujet de l’établissement que Sa Majesté Catholique veut former au sud de la rivière Noun, car elle ne peut se rendre responsable des accidents et des malheurs qui pourraient se produire, vu que sa souveraineté ne s’étend pas jusque-là ».
Abou Nasr, fils du sultan marocain Moulay Ismaïl (1692 - 1727) s’est révolté contre son père et a été chassé du Maroc. Il allé chercher asile chez les Sahraouis, qui l’ont accueilli. Mais, lorsqu’il a essayé de les dominer, ces derniers, se prévalant de leur tradition d’indépendance à l’égard de tout État, « refusèrent de lui reconnaître la moindre autorité, et le mirent à mort dans le Tiris en 1713 ».
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Eamses a écrit:
Ci-après l'avis de Driss Basri :
[aujourdhui.ma]
Influence des États-Unis : Durant les années 1980, le Maroc a bénéficié d'un soutien militaire et financier des États-Unis, visant à contrer l'influence soviétique en Afrique du Nord. Ce soutien a permis au Maroc de renforcer sa position dans le conflit du Sahara occidental. Driss Basri, en tant que ministre de l'Intérieur, a supervisé la construction des "murs de défense" dans le Sahara, destinés à protéger les zones sous contrôle marocain des incursions du Front Polisario. Cette stratégie défensive a été facilitée par l'assistance technique et logistique américaine.
Influence de la France : La France a également joué un rôle significatif en soutenant diplomatiquement le Maroc dans le dossier du Sahara occidental. Ce soutien s'est traduit par une coopération sécuritaire et une assistance militaire, renforçant la position marocaine sur la scène internationale. Driss Basri a entretenu des relations étroites avec les autorités françaises, ce qui a influencé les décisions stratégiques concernant le Sahara.
Citation
Eamses a écrit:
Affirmatif, le Maroc doit réfléchir à son avenir. Avec une dette extérieure de 80 Milliards de dollars, le taux d'endettement public global estimé à 85 % du PIB, un taux de chômage des jeunes qui avoisine 45%, un Indice de Développement Humain (IDH) de 0,683, le classant au 123ᵉ rang sur 191 pays.
Les perspectives seront de plus en plus étroites et si vous comptez sur Trump ou macron ou Pedro Sanchez, vous êtes vraiment naïfs.
Pour les frontières historiques du Maroc, il faut vous mettre dans la tête que le Maroc avant la colonisation n’a jamais dépassé l’oued Moulouya à l’est, entre l’oued Draa et l’oued noune au sud.
Le délégué de la France aux Nations unies déclarant devant la 15e Assemblée Générale, réagissant à la thèse marocaine des « droits historiques », invoqués alors contre la Mauritanie, que « la souveraineté de l’Etat marocain, telle qu’elle aurait pu s’exprimer par la nomination d’administrateurs, la perception d’impôts et de dîmes coraniques ou par la récitation de la prière au nom du sultan, ne s’est jamais étendue de manière effective et durable à une portion quelconque du territoire situé au-delà de l’Oued Drâa ».
« Le gouvernement mauritanien soutient que la plus large partie sinon la totalité de ce territoire [Sahara Occidental] était occupé par des tribus indépendantes du sultan du Maroc ».
Le professeur Maurice Barbier, de l’Université de Nancy II (France) a publié en 1984 les témoignages édifiants de trois Français, qui ont séjourné, à la suite d’un naufrage, au Sahara Occidental, vers la fin du XVIIIe siècle. Brisson, Follie et Saugnier racontent que le Sahara Occidental « est très peuplé et le serait encore davantage sans les guerres continuelles que ses habitants ont eu à soutenir contre le sultant du Maroc ». Et ils ajoutent : « On dit improprement que cette nation est rebelle au Sultant, car jamais elle ne lui a été soumise. »
L’indépendance du peuple sahraoui était aussi constatée, en 1850 (pour les tribus de Saguia el-Hamra et du Zemmour), par Léopold Panet, un métis sénégalais et par l’Espagnol Joachim Gatell, en 1869 (pour les tribus Tekna vivant entre l’Oued Drâa et Saguia el-Hamra).
Felix Mathews, le consul américain à Tanger écrivait, on ne peut plus clairement, en 1882, que « les tribus habitant le territoire entre l’oued Drâa et le Tiris sont indépendantes et belliqueuses », et Alfred Le Chatelier affirmait, en 1891, que la population nomade de l’oued Noun était totalement indépendante. D’autres témoignages sont tout aussi révélateurs.
En 1875, le Consul d’Espagne à Mogador écrivait dans une lettre adressée à son ministre des Affaires étrangères, le 12 avril 1875, que « le grand désir de tous les habitants des Etats indépendants de Tekna est d’entamer des rapports commerciaux avec l’Europe ».
Sir Raw W. Rawson écrivait, de son côté, en 1884, que « le Maroc s’étend de la frontière algérienne au fleuve Drâa... Le territoire qui s’étend au sud du Maroc sur une distance de 720 miles et sur une côte déserte et sans fleuves [le Sahara Occidental] jusqu’au territoire que la France réclame est indépendant ».
Marc-Robert Thomas, qui a étudié avec le prince - et futur roi - Hassan II, à Aix-en-Provence, en France, ainsi qu’avec un certain nombre de jeunes Marocains, qui sont devenus par la suite de hauts cadres de l’administration marocaine, témoigne qu’il a évoqué avec eux la question de l’octroi de Tarfaya par l’Espagne au Maroc et atteste même qu’ils ignoraient jusqu’à son existence, ainsi que celle du Sahara Occidental tout entier. Cela confirme les affirmations du professeur Francis de Chassey, selon lesquelles « concernant les tribus du Sahara Occidental, on peut dire que leurs relations politiques directes avec le Sultanat du Maroc, depuis sa fondation par les Idrissides (fin du VIIIe siècle) jusqu’au XVIe siècle, sont pratiquement inexistantes ».
Ces témoignages ne font que confirmer davantage l’aveu du sultan du Maroc lui-même, Mohamed ben Abdallah, qui écrivait le 28 mai 1767 au roi d’Espagne que « Sa Majesté Impériale s’abstient de délibérer au sujet de l’établissement que Sa Majesté Catholique veut former au sud de la rivière Noun, car elle ne peut se rendre responsable des accidents et des malheurs qui pourraient se produire, vu que sa souveraineté ne s’étend pas jusque-là ».
Abou Nasr, fils du sultan marocain Moulay Ismaïl (1692 - 1727) s’est révolté contre son père et a été chassé du Maroc. Il allé chercher asile chez les Sahraouis, qui l’ont accueilli. Mais, lorsqu’il a essayé de les dominer, ces derniers, se prévalant de leur tradition d’indépendance à l’égard de tout État, « refusèrent de lui reconnaître la moindre autorité, et le mirent à mort dans le Tiris en 1713 ».
Citation
Eamses a écrit:
Affirmatif, le Maroc doit réfléchir à son avenir. Avec une dette extérieure de 80 Milliards de dollars, le taux d'endettement public global estimé à 85 % du PIB, un taux de chômage des jeunes qui avoisine 45%, un Indice de Développement Humain (IDH) de 0,683, le classant au 123ᵉ rang sur 191 pays.
Les perspectives seront de plus en plus étroites et si vous comptez sur Trump ou macron ou Pedro Sanchez, vous êtes vraiment naïfs.
Pour les frontières historiques du Maroc, il faut vous mettre dans la tête que le Maroc avant la colonisation n’a jamais dépassé l’oued Moulouya à l’est, entre l’oued Draa et l’oued noune au sud.
Le délégué de la France aux Nations unies déclarant devant la 15e Assemblée Générale, réagissant à la thèse marocaine des « droits historiques », invoqués alors contre la Mauritanie, que « la souveraineté de l’Etat marocain, telle qu’elle aurait pu s’exprimer par la nomination d’administrateurs, la perception d’impôts et de dîmes coraniques ou par la récitation de la prière au nom du sultan, ne s’est jamais étendue de manière effective et durable à une portion quelconque du territoire situé au-delà de l’Oued Drâa ».
« Le gouvernement mauritanien soutient que la plus large partie sinon la totalité de ce territoire [Sahara Occidental] était occupé par des tribus indépendantes du sultan du Maroc ».
Le professeur Maurice Barbier, de l’Université de Nancy II (France) a publié en 1984 les témoignages édifiants de trois Français, qui ont séjourné, à la suite d’un naufrage, au Sahara Occidental, vers la fin du XVIIIe siècle. Brisson, Follie et Saugnier racontent que le Sahara Occidental « est très peuplé et le serait encore davantage sans les guerres continuelles que ses habitants ont eu à soutenir contre le sultant du Maroc ». Et ils ajoutent : « On dit improprement que cette nation est rebelle au Sultant, car jamais elle ne lui a été soumise. »
L’indépendance du peuple sahraoui était aussi constatée, en 1850 (pour les tribus de Saguia el-Hamra et du Zemmour), par Léopold Panet, un métis sénégalais et par l’Espagnol Joachim Gatell, en 1869 (pour les tribus Tekna vivant entre l’Oued Drâa et Saguia el-Hamra).
Felix Mathews, le consul américain à Tanger écrivait, on ne peut plus clairement, en 1882, que « les tribus habitant le territoire entre l’oued Drâa et le Tiris sont indépendantes et belliqueuses », et Alfred Le Chatelier affirmait, en 1891, que la population nomade de l’oued Noun était totalement indépendante. D’autres témoignages sont tout aussi révélateurs.
En 1875, le Consul d’Espagne à Mogador écrivait dans une lettre adressée à son ministre des Affaires étrangères, le 12 avril 1875, que « le grand désir de tous les habitants des Etats indépendants de Tekna est d’entamer des rapports commerciaux avec l’Europe ».
Sir Raw W. Rawson écrivait, de son côté, en 1884, que « le Maroc s’étend de la frontière algérienne au fleuve Drâa... Le territoire qui s’étend au sud du Maroc sur une distance de 720 miles et sur une côte déserte et sans fleuves [le Sahara Occidental] jusqu’au territoire que la France réclame est indépendant ».
Marc-Robert Thomas, qui a étudié avec le prince - et futur roi - Hassan II, à Aix-en-Provence, en France, ainsi qu’avec un certain nombre de jeunes Marocains, qui sont devenus par la suite de hauts cadres de l’administration marocaine, témoigne qu’il a évoqué avec eux la question de l’octroi de Tarfaya par l’Espagne au Maroc et atteste même qu’ils ignoraient jusqu’à son existence, ainsi que celle du Sahara Occidental tout entier. Cela confirme les affirmations du professeur Francis de Chassey, selon lesquelles « concernant les tribus du Sahara Occidental, on peut dire que leurs relations politiques directes avec le Sultanat du Maroc, depuis sa fondation par les Idrissides (fin du VIIIe siècle) jusqu’au XVIe siècle, sont pratiquement inexistantes ».
Ces témoignages ne font que confirmer davantage l’aveu du sultan du Maroc lui-même, Mohamed ben Abdallah, qui écrivait le 28 mai 1767 au roi d’Espagne que « Sa Majesté Impériale s’abstient de délibérer au sujet de l’établissement que Sa Majesté Catholique veut former au sud de la rivière Noun, car elle ne peut se rendre responsable des accidents et des malheurs qui pourraient se produire, vu que sa souveraineté ne s’étend pas jusque-là ».
Abou Nasr, fils du sultan marocain Moulay Ismaïl (1692 - 1727) s’est révolté contre son père et a été chassé du Maroc. Il allé chercher asile chez les Sahraouis, qui l’ont accueilli. Mais, lorsqu’il a essayé de les dominer, ces derniers, se prévalant de leur tradition d’indépendance à l’égard de tout État, « refusèrent de lui reconnaître la moindre autorité, et le mirent à mort dans le Tiris en 1713 ».
Citation
golden eagle a écrit:
Nous produisons légalement du cannabis à but médical et thérapeutique .et nous souhaitons être le 1er producteur au monde dans ce domaine. Si vos généraux arrivent à le faire rentrer chez vous ,et le détourner de son but initial , et le revendre à la population algérienne pour qu'elle oublie se misère noire, et bien , tant pis pour vous .
Le cannabis ne marche pas à 4 pattes et ne vole pas non plus .
Donc ,s'il rentre chez vous ,avec votre frontière étanche, c'est que ce sont vos militaires qui le font rentrer, en le payant en euros.
1 dirhams Marocain = 2500 dinars algériens. En clair, le caca de cheval vaut plus cher que votre monnaie.
Ceci dit ,n'oublie jamais, mais alors au grand jamais que :
Le Sahara était ,est et restera marocain pour l'éternité ,que cela vous plaise ou non . L'accès à l'Atlantiqu c'est Niet .
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AL MASSIRA a écrit:
Je prends ma casquette de prof. 20/20 pour ce copié collé. Ça ne te fera pas sortir de ta misère mais une satisfaction personnelle et celle de tes commanditaires. Sache que je n’ai rien à faire de tes chiffres. On connaît la situation de notre pays mieux que toi. On y a grandi et on y a encore toute notre famille et nos amis. Et ils sont du milieu populaire. Et sache aussi que le Maroc qui n’a ni gaz ni pétrole est en train de bâtir une économie de pays développé et industrialisé. Il regarde l’avenir et ne vit pas dans les années 1960 et ses millions de Modjahidines. Je ne vais pas faire comme toi et te noyer sur deux pages de résultats en construction automobile, aéronautique et bientôt les trains et l’armement. Je ne vais pas te noyer avec la liste de nos infrastructures. Tu ne comprendras pas car tu ne sais pas ce que c’est. Tu vis dans un pays délabré dirigé par un illettré comme Changriha.
Si j’ai cinq minutes je lirai ton copié collé qui sent bien ta déprime et ton amertume. Et pour m’amuser un peu.
Citation
Eamses a écrit:
Je sais que tu sais que le Maroc n’appartient pas à son peuple authentique.
Avec ta double casquette, il est normal que tu optes pour la politique de l'autruche.
Je te confirme que les richesses naturelles, économiques et culturelles du Maroc profitent à des intérêts étrangers, alimentant des inégalités socio-économiques et des frustrations du Maroc profond.
Exemples :
Exploitation des ressources minières
Exploitation des ressources halieutiques (pêche)
Accaparement des terres agricoles
Secteur immobilier
Tourisme
Énergie et projets verts
Commerce et grandes surfaces
Zones franches et industries manufacturières
Monopolisation de certaines infrastructures
Exportation de produits locaux sans transformation locale
Citation
Eamses a écrit:
Je sais que tu sais que le Maroc n’appartient pas à son peuple authentique.
Avec ta double casquette, il est normal que tu optes pour la politique de l'autruche.
Je te confirme que les richesses naturelles, économiques et culturelles du Maroc profitent à des intérêts étrangers, alimentant des inégalités socio-économiques et des frustrations du Maroc profond.
Exemples :
Exploitation des ressources minières
Exploitation des ressources halieutiques (pêche)
Accaparement des terres agricoles
Secteur immobilier
Tourisme
Énergie et projets verts
Commerce et grandes surfaces
Zones franches et industries manufacturières
Monopolisation de certaines infrastructures
Exportation de produits locaux sans transformation locale
Citation
golden eagle a écrit:
C'est qui driss bassri ?
Citation
Eamses a écrit:
Le Maroc malheureusement n'a jamais appartenu aux authentiques Marocains.
Quelqques exemples mais il y en a beaucoup d'autres.
Des villas et riads luxueux dans des villes comme Marrakech, Essaouira, ou Casablanca appartiennent principalement à des expatriés ou des investisseurs étrangers, inaccessibles aux Marocains locaux.
Les meilleures plages ou zones touristiques sont développées pour répondre aux besoins des étrangers, avec peu d’espace pour les résidents marocains.
Des retraités européens vivant au Maroc emploient des Marocaines comme aides ménagères pour des salaires bien inférieurs à ce qui est juste, profitant de la pauvreté locale.
Des jeunes Marocains travaillent comme jardiniers ou chauffeurs pour des expatriés, souvent dans des conditions précaires.
Les hôtels de luxe, restaurants haut de gamme, et riads dans les villes touristiques appartiennent à des étrangers, tandis que les Marocains locaux occupent principalement des postes de service, souvent mal payés.
Les plages privées ou terrains de golf ne sont accessibles qu’à des étrangers fortunés, excluant les locaux.
Des entreprises étrangères exploitent les ressources minières et naturelles marocaines (phosphates, poissons, etc.), tandis que les communautés locales n’en tirent que peu de bénéfices.
Des projets immobiliers ou industriels chassent les habitants locaux pour construire des infrastructures pour les étrangers ou les riches Marocains.
Les médinas dans des villes comme Fès ou Marrakech sont rénovées et transformées en lieux touristiques, souvent au détriment des habitants locaux qui sont poussés à partir à cause de l’augmentation des prix.
Les traditions et cultures marocaines sont parfois exploitées comme des attractions touristiques pour les étrangers, sans réel bénéfice pour les communautés locales.
Les écoles privées internationales, accessibles aux expatriés et aux riches Marocains, offrent une meilleure éducation, tandis que les écoles publiques souffrent d’un manque de moyens.
Les hôpitaux et cliniques de luxe sont conçus pour les étrangers ou les élites, alors que les Marocains moyens n’ont souvent accès qu’à des soins publics de moindre qualité.
Certains étrangers ouvrent des entreprises ou des commerces au Maroc, bénéficiant d’exemptions fiscales ou d’avantages que les entrepreneurs locaux ont du mal à obtenir.
Dans le secteur touristique, les étrangers reçoivent parfois un traitement préférentiel de la part des autorités locales.
Des investisseurs étrangers achètent des terres agricoles pour cultiver des produits destinés à l’exportation, souvent au détriment des agriculteurs locaux et de l’autosuffisance alimentaire.
Certains festivals culturels et artistiques, comme ceux organisés à Marrakech, sont principalement destinés à un public étranger, laissant peu de place pour la participation des locaux.
Des clubs privés, centres sportifs ou stations balnéaires de luxe sont conçus pour les expatriés ou les Marocains très riches, avec des prix hors de portée pour la majorité des Marocains.
Citation
Axis.7 a écrit:
Fatigué de la propagande usée des fous de l'Est qui parlent à tout bout de champs de droit international sans en avoir la moindre idée.
EN DROIT INTERNATIONAL AUTODETERMINATION CADRE PARFAITMENT AVEC L'AUTONOMIE et n'a jamais signifié forcement indépendance.
Les resolutions du Conseil de Securité de l'ONU, toutes en ligne sur le site officiel, appellent à un compromis basé sur le réalisme en vue d'une solution politique. Elles saluent le plan marocain présenté comme un compromis réaliste allant de l'avant. La dernière resolution ne cite les ancienne résolution qu'à partir de celle de...2007 soit celle qui salue le plan marocain d'autonomie. Cela ne fait que 17 ans pour les décérébrés hypocrites qui font semblant de ne pas comprendre alors qu'ils ont très bien compris.
Leur but: faire durer éternellement le conflit.