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Sahara : Le Polisario change de ton avec Donald Trump
E
16 novembre 2024 20:12
Ci-après l'avis de Driss Basri :

[aujourdhui.ma]

Influence des États-Unis : Durant les années 1980, le Maroc a bénéficié d'un soutien militaire et financier des États-Unis, visant à contrer l'influence soviétique en Afrique du Nord. Ce soutien a permis au Maroc de renforcer sa position dans le conflit du Sahara occidental. Driss Basri, en tant que ministre de l'Intérieur, a supervisé la construction des "murs de défense" dans le Sahara, destinés à protéger les zones sous contrôle marocain des incursions du Front Polisario. Cette stratégie défensive a été facilitée par l'assistance technique et logistique américaine.

Influence de la France : La France a également joué un rôle significatif en soutenant diplomatiquement le Maroc dans le dossier du Sahara occidental. Ce soutien s'est traduit par une coopération sécuritaire et une assistance militaire, renforçant la position marocaine sur la scène internationale. Driss Basri a entretenu des relations étroites avec les autorités françaises, ce qui a influencé les décisions stratégiques concernant le Sahara.



Citation
Respect# a écrit:
C'est les États-Unis qui on le plus de courrage et qui on apportés la sollution contre ces teroristes armée algeropolissarien.Cest les États-Unis qui ont donné l'information pour que le Maroc annule le référendum et qu'il défend plutôt une autonomie sous la souveraineté Marocaine c'est une idée de Bill Clinton.
C
16 novembre 2024 20:12
Je te cite:
"ne réside pas dans des reconnaissances"
Pourquoi c'est des extraterrestres qui siège à l'onu et qui vote ?
Je te cite:
"respect des résolutions de l’ONU et du droit à l’autodétermination du peuple Sahraoui"

Donc à partir du moment où tu demande le droit à l'autodétermination tu es obligé de lui donner ?

Mais va dormir dans ce cas là dans chaque pays tu as des gens de différence race donc il faut le donner à tous le monde ?

L'autodétermination oui mais pour que celle-ci doit être prise en compte il faut une crédibilité, comment tu veux la donner à un peuple qui ne veut même pas ce recenser, qui pour la plupart sont restés au Maroc tu pense que l'onu va donner l'indépendance à un peuple de même pas 50000 personnes dans un territoire aussi sensible ? La fête est fini 2030 grand maximum l'affaire est plier
Citation
Eamses a écrit:
Il ne faut pas esquiver: Le Maroc serait, selon les Nations unies, le premier producteur et exportateur mondial de haschich.

[journals.openedition.org]
16 novembre 2024 20:16
Le pouvoir algérien semble condamné à réchauffer le même discours utopique, et le (re)servir aux algériens , pour entretenir sa fuite en avant désepérée.
E
16 novembre 2024 20:40
Affirmatif, le Maroc doit réfléchir à son avenir. Avec une dette extérieure de 80 Milliards de dollars, le taux d'endettement public global estimé à 85 % du PIB, un taux de chômage des jeunes qui avoisine 45%, un Indice de Développement Humain (IDH) de 0,683, le classant au 123ᵉ rang sur 191 pays.

Les perspectives seront de plus en plus étroites et si vous comptez sur Trump ou macron ou Pedro Sanchez, vous êtes vraiment naïfs.

Pour les frontières historiques du Maroc, il faut vous mettre dans la tête que le Maroc avant la colonisation n’a jamais dépassé l’oued Moulouya à l’est, entre l’oued Draa et l’oued noune au sud.

Le délégué de la France aux Nations unies déclarant devant la 15e Assemblée Générale, réagissant à la thèse marocaine des « droits historiques », invoqués alors contre la Mauritanie, que « la souveraineté de l’Etat marocain, telle qu’elle aurait pu s’exprimer par la nomination d’administrateurs, la perception d’impôts et de dîmes coraniques ou par la récitation de la prière au nom du sultan, ne s’est jamais étendue de manière effective et durable à une portion quelconque du territoire situé au-delà de l’Oued Drâa ».

« Le gouvernement mauritanien soutient que la plus large partie sinon la totalité de ce territoire [Sahara Occidental] était occupé par des tribus indépendantes du sultan du Maroc ».
Le professeur Maurice Barbier, de l’Université de Nancy II (France) a publié en 1984 les témoignages édifiants de trois Français, qui ont séjourné, à la suite d’un naufrage, au Sahara Occidental, vers la fin du XVIIIe siècle. Brisson, Follie et Saugnier racontent que le Sahara Occidental « est très peuplé et le serait encore davantage sans les guerres continuelles que ses habitants ont eu à soutenir contre le sultant du Maroc ». Et ils ajoutent : « On dit improprement que cette nation est rebelle au Sultant, car jamais elle ne lui a été soumise. »

L’indépendance du peuple sahraoui était aussi constatée, en 1850 (pour les tribus de Saguia el-Hamra et du Zemmour), par Léopold Panet, un métis sénégalais et par l’Espagnol Joachim Gatell, en 1869 (pour les tribus Tekna vivant entre l’Oued Drâa et Saguia el-Hamra).
Felix Mathews, le consul américain à Tanger écrivait, on ne peut plus clairement, en 1882, que « les tribus habitant le territoire entre l’oued Drâa et le Tiris sont indépendantes et belliqueuses », et Alfred Le Chatelier affirmait, en 1891, que la population nomade de l’oued Noun était totalement indépendante. D’autres témoignages sont tout aussi révélateurs.

En 1875, le Consul d’Espagne à Mogador écrivait dans une lettre adressée à son ministre des Affaires étrangères, le 12 avril 1875, que « le grand désir de tous les habitants des Etats indépendants de Tekna est d’entamer des rapports commerciaux avec l’Europe ».
Sir Raw W. Rawson écrivait, de son côté, en 1884, que « le Maroc s’étend de la frontière algérienne au fleuve Drâa... Le territoire qui s’étend au sud du Maroc sur une distance de 720 miles et sur une côte déserte et sans fleuves [le Sahara Occidental] jusqu’au territoire que la France réclame est indépendant ».

Marc-Robert Thomas, qui a étudié avec le prince - et futur roi - Hassan II, à Aix-en-Provence, en France, ainsi qu’avec un certain nombre de jeunes Marocains, qui sont devenus par la suite de hauts cadres de l’administration marocaine, témoigne qu’il a évoqué avec eux la question de l’octroi de Tarfaya par l’Espagne au Maroc et atteste même qu’ils ignoraient jusqu’à son existence, ainsi que celle du Sahara Occidental tout entier. Cela confirme les affirmations du professeur Francis de Chassey, selon lesquelles « concernant les tribus du Sahara Occidental, on peut dire que leurs relations politiques directes avec le Sultanat du Maroc, depuis sa fondation par les Idrissides (fin du VIIIe siècle) jusqu’au XVIe siècle, sont pratiquement inexistantes ».

Ces témoignages ne font que confirmer davantage l’aveu du sultan du Maroc lui-même, Mohamed ben Abdallah, qui écrivait le 28 mai 1767 au roi d’Espagne que « Sa Majesté Impériale s’abstient de délibérer au sujet de l’établissement que Sa Majesté Catholique veut former au sud de la rivière Noun, car elle ne peut se rendre responsable des accidents et des malheurs qui pourraient se produire, vu que sa souveraineté ne s’étend pas jusque-là ».

Abou Nasr, fils du sultan marocain Moulay Ismaïl (1692 - 1727) s’est révolté contre son père et a été chassé du Maroc. Il allé chercher asile chez les Sahraouis, qui l’ont accueilli. Mais, lorsqu’il a essayé de les dominer, ces derniers, se prévalant de leur tradition d’indépendance à l’égard de tout État, « refusèrent de lui reconnaître la moindre autorité, et le mirent à mort dans le Tiris en 1713 ».

Citation
AL MASSIRA a écrit:
Ce changement de ton du Polisario c’est un cri de désespoir. Ils savent, avec les reconnaissances européennes récentes, que l’affaire est bouclée. Trump n’est pas le type à se faire embobiner. Il renforcera certainement sa position de la précédente mandature. L’affaire du Polisario est bouclée sachant que les russes et les chinois ont fait aussi leur choix qu’ils exprimeront dans un avenir proche. Le passé c’est le passé, la junte devrait réfléchir à l’avenir des Algériens.
R
16 novembre 2024 20:45
Si tu penses qu'un Algerien vas nous dicter une histoire que lui même ne connaît la sienne c'est se metrere le dois dans l'œil .Je crois qu'il est préférable et c'est un conseil que je te donne, tu devrais plutôt t'intéresser à l'algérie car l'histoire du Maroc ne te regarde pas.
Citation
Eamses a écrit:
Ci-après l'avis de Driss Basri :

[aujourdhui.ma]

Influence des États-Unis : Durant les années 1980, le Maroc a bénéficié d'un soutien militaire et financier des États-Unis, visant à contrer l'influence soviétique en Afrique du Nord. Ce soutien a permis au Maroc de renforcer sa position dans le conflit du Sahara occidental. Driss Basri, en tant que ministre de l'Intérieur, a supervisé la construction des "murs de défense" dans le Sahara, destinés à protéger les zones sous contrôle marocain des incursions du Front Polisario. Cette stratégie défensive a été facilitée par l'assistance technique et logistique américaine.

Influence de la France : La France a également joué un rôle significatif en soutenant diplomatiquement le Maroc dans le dossier du Sahara occidental. Ce soutien s'est traduit par une coopération sécuritaire et une assistance militaire, renforçant la position marocaine sur la scène internationale. Driss Basri a entretenu des relations étroites avec les autorités françaises, ce qui a influencé les décisions stratégiques concernant le Sahara.
P
16 novembre 2024 21:14
La fête est finie depuis 75, c juste que l’onu n’a pas fait son boulot avec la participation d’Etats hypocrites et de mauvaise foi, ce sont les marchands d’armes qui se frottent les mains...
Citation
Clineur a écrit:
Je te cite:
"ne réside pas dans des reconnaissances"
Pourquoi c'est des extraterrestres qui siège à l'onu et qui vote ?
Je te cite:
"respect des résolutions de l’ONU et du droit à l’autodétermination du peuple Sahraoui"

Donc à partir du moment où tu demande le droit à l'autodétermination tu es obligé de lui donner ?

Mais va dormir dans ce cas là dans chaque pays tu as des gens de différence race donc il faut le donner à tous le monde ?

L'autodétermination oui mais pour que celle-ci doit être prise en compte il faut une crédibilité, comment tu veux la donner à un peuple qui ne veut même pas ce recenser, qui pour la plupart sont restés au Maroc tu pense que l'onu va donner l'indépendance à un peuple de même pas 50000 personnes dans un territoire aussi sensible ? La fête est fini 2030 grand maximum l'affaire est plier
16 novembre 2024 21:44
Tu nous ressort cette vidéo de plus de 10 ans voir plus de 15 ans entre 2 journalistes, débat de très mauvaise qualité.
Je te l'ai déjà tu commences à racler le fond des poubelles du net, c'est pas très bon tout ça, ça sent le "je n'ai plus d'argument".
Trouve autre chose si tu veux nous impressionner.
Citation
Eamses a écrit:
Il faut avoir le courage de regarder la vérité en face.

[zb.oldmapsonline.org]

He oui , un point de viue d'un américain.

B
16 novembre 2024 21:55
Curieux de savoir comment les mouches algériennes sont payées ?
- a la ligne
- au copié collé
- à la connerie
- à la vidéo

En tous cas j’espère qu’elles s’engraissent, car vu le boulot de emrde qu’elles font j’espère vraiment qu’elles prennent de l’oseille toute fierté et honte bues !!!
16 novembre 2024 21:59
Nous produisons légalement du cannabis à but médical et thérapeutique .et nous souhaitons être le 1er producteur au monde dans ce domaine. Si vos généraux arrivent à le faire rentrer chez vous ,et le détourner de son but initial , et le revendre à la population algérienne pour qu'elle oublie se misère noire, et bien , tant pis pour vous .
Le cannabis ne marche pas à 4 pattes et ne vole pas non plus .
Donc ,s'il rentre chez vous ,avec votre frontière étanche, c'est que ce sont vos militaires qui le font rentrer, en le payant en euros.
1 dirhams Marocain = 2500 dinars algériens. En clair, le caca de cheval vaut plus cher que votre monnaie.
Ceci dit ,n'oublie jamais, mais alors au grand jamais que :

Le Sahara était ,est et restera marocain pour l'éternité ,que cela vous plaise ou non . L'accès à l'Atlantiqu c'est Niet .
Citation
Eamses a écrit:
Il ne faut pas esquiver: Le Maroc serait, selon les Nations unies, le premier producteur et exportateur mondial de haschich.

[journals.openedition.org]
16 novembre 2024 22:00
Là ça devient pathologique, une véritable addiction envers le ROYAUME CHERIFIEN MILLÉNAIRE.
Prend du recul et va occuper ton temps libre à autre chose qui te fasse aller de l'avant...à moins que tu ne perçoive une solde pour squatter ici sur ce site.

Tu t'es fait une panoplie de copier/coller sur AL Mamlaka Al Maghribia? Te perds pas dans tes archives
Citation
Eamses a écrit:
Affirmatif, le Maroc doit réfléchir à son avenir. Avec une dette extérieure de 80 Milliards de dollars, le taux d'endettement public global estimé à 85 % du PIB, un taux de chômage des jeunes qui avoisine 45%, un Indice de Développement Humain (IDH) de 0,683, le classant au 123ᵉ rang sur 191 pays.

Les perspectives seront de plus en plus étroites et si vous comptez sur Trump ou macron ou Pedro Sanchez, vous êtes vraiment naïfs.

Pour les frontières historiques du Maroc, il faut vous mettre dans la tête que le Maroc avant la colonisation n’a jamais dépassé l’oued Moulouya à l’est, entre l’oued Draa et l’oued noune au sud.

Le délégué de la France aux Nations unies déclarant devant la 15e Assemblée Générale, réagissant à la thèse marocaine des « droits historiques », invoqués alors contre la Mauritanie, que « la souveraineté de l’Etat marocain, telle qu’elle aurait pu s’exprimer par la nomination d’administrateurs, la perception d’impôts et de dîmes coraniques ou par la récitation de la prière au nom du sultan, ne s’est jamais étendue de manière effective et durable à une portion quelconque du territoire situé au-delà de l’Oued Drâa ».

« Le gouvernement mauritanien soutient que la plus large partie sinon la totalité de ce territoire [Sahara Occidental] était occupé par des tribus indépendantes du sultan du Maroc ».
Le professeur Maurice Barbier, de l’Université de Nancy II (France) a publié en 1984 les témoignages édifiants de trois Français, qui ont séjourné, à la suite d’un naufrage, au Sahara Occidental, vers la fin du XVIIIe siècle. Brisson, Follie et Saugnier racontent que le Sahara Occidental « est très peuplé et le serait encore davantage sans les guerres continuelles que ses habitants ont eu à soutenir contre le sultant du Maroc ». Et ils ajoutent : « On dit improprement que cette nation est rebelle au Sultant, car jamais elle ne lui a été soumise. »

L’indépendance du peuple sahraoui était aussi constatée, en 1850 (pour les tribus de Saguia el-Hamra et du Zemmour), par Léopold Panet, un métis sénégalais et par l’Espagnol Joachim Gatell, en 1869 (pour les tribus Tekna vivant entre l’Oued Drâa et Saguia el-Hamra).
Felix Mathews, le consul américain à Tanger écrivait, on ne peut plus clairement, en 1882, que « les tribus habitant le territoire entre l’oued Drâa et le Tiris sont indépendantes et belliqueuses », et Alfred Le Chatelier affirmait, en 1891, que la population nomade de l’oued Noun était totalement indépendante. D’autres témoignages sont tout aussi révélateurs.

En 1875, le Consul d’Espagne à Mogador écrivait dans une lettre adressée à son ministre des Affaires étrangères, le 12 avril 1875, que « le grand désir de tous les habitants des Etats indépendants de Tekna est d’entamer des rapports commerciaux avec l’Europe ».
Sir Raw W. Rawson écrivait, de son côté, en 1884, que « le Maroc s’étend de la frontière algérienne au fleuve Drâa... Le territoire qui s’étend au sud du Maroc sur une distance de 720 miles et sur une côte déserte et sans fleuves [le Sahara Occidental] jusqu’au territoire que la France réclame est indépendant ».

Marc-Robert Thomas, qui a étudié avec le prince - et futur roi - Hassan II, à Aix-en-Provence, en France, ainsi qu’avec un certain nombre de jeunes Marocains, qui sont devenus par la suite de hauts cadres de l’administration marocaine, témoigne qu’il a évoqué avec eux la question de l’octroi de Tarfaya par l’Espagne au Maroc et atteste même qu’ils ignoraient jusqu’à son existence, ainsi que celle du Sahara Occidental tout entier. Cela confirme les affirmations du professeur Francis de Chassey, selon lesquelles « concernant les tribus du Sahara Occidental, on peut dire que leurs relations politiques directes avec le Sultanat du Maroc, depuis sa fondation par les Idrissides (fin du VIIIe siècle) jusqu’au XVIe siècle, sont pratiquement inexistantes ».

Ces témoignages ne font que confirmer davantage l’aveu du sultan du Maroc lui-même, Mohamed ben Abdallah, qui écrivait le 28 mai 1767 au roi d’Espagne que « Sa Majesté Impériale s’abstient de délibérer au sujet de l’établissement que Sa Majesté Catholique veut former au sud de la rivière Noun, car elle ne peut se rendre responsable des accidents et des malheurs qui pourraient se produire, vu que sa souveraineté ne s’étend pas jusque-là ».

Abou Nasr, fils du sultan marocain Moulay Ismaïl (1692 - 1727) s’est révolté contre son père et a été chassé du Maroc. Il allé chercher asile chez les Sahraouis, qui l’ont accueilli. Mais, lorsqu’il a essayé de les dominer, ces derniers, se prévalant de leur tradition d’indépendance à l’égard de tout État, « refusèrent de lui reconnaître la moindre autorité, et le mirent à mort dans le Tiris en 1713 ».
16 novembre 2024 22:01
C'est qui driss bassri ?
Citation
Eamses a écrit:
Ci-après l'avis de Driss Basri :

[aujourdhui.ma]

Influence des États-Unis : Durant les années 1980, le Maroc a bénéficié d'un soutien militaire et financier des États-Unis, visant à contrer l'influence soviétique en Afrique du Nord. Ce soutien a permis au Maroc de renforcer sa position dans le conflit du Sahara occidental. Driss Basri, en tant que ministre de l'Intérieur, a supervisé la construction des "murs de défense" dans le Sahara, destinés à protéger les zones sous contrôle marocain des incursions du Front Polisario. Cette stratégie défensive a été facilitée par l'assistance technique et logistique américaine.

Influence de la France : La France a également joué un rôle significatif en soutenant diplomatiquement le Maroc dans le dossier du Sahara occidental. Ce soutien s'est traduit par une coopération sécuritaire et une assistance militaire, renforçant la position marocaine sur la scène internationale. Driss Basri a entretenu des relations étroites avec les autorités françaises, ce qui a influencé les décisions stratégiques concernant le Sahara.
16 novembre 2024 22:20
Le Maroc a des génies qui le dirigent. Contrairement a vos vos ploucs qu'on apprécie à cause de leur médiocrité .
Nos diplomates vous ont réduit à -0.
Ils vous ridiculisent, vous malmènent, vous piétinent et vous donnent des sueurs froides.
Cela fait 55 ans que vous courez après notre Sahara. Et cela fait 55 ans que vous avalez du sable.
A toi personnellement, je ne t'en veux pas. Tu es plus à pleindre qu'à blâmer. Tu n'es qu'un pion à qui on donne des ordres, à qui obéit aux ordres s'il veut manger à sa faim .je comprends que tu te consoles avec les copier/coller , autodétermination, indépendance, référendum .Et tu fais ce que tu peux, car, tu n'es pas un bœuf .sinon , tu chasserais les mouches avec ta queu .
Surtout n'oublie pas que :
Le Sahara était ,est et restera marocain pour l'éternité ,que cela vous plaise ou non. L'accès à l'Atlantique, c'est NIET .
Attention ,un drone peut cacher un autre .




Citation
Eamses a écrit:
Affirmatif, le Maroc doit réfléchir à son avenir. Avec une dette extérieure de 80 Milliards de dollars, le taux d'endettement public global estimé à 85 % du PIB, un taux de chômage des jeunes qui avoisine 45%, un Indice de Développement Humain (IDH) de 0,683, le classant au 123ᵉ rang sur 191 pays.

Les perspectives seront de plus en plus étroites et si vous comptez sur Trump ou macron ou Pedro Sanchez, vous êtes vraiment naïfs.

Pour les frontières historiques du Maroc, il faut vous mettre dans la tête que le Maroc avant la colonisation n’a jamais dépassé l’oued Moulouya à l’est, entre l’oued Draa et l’oued noune au sud.

Le délégué de la France aux Nations unies déclarant devant la 15e Assemblée Générale, réagissant à la thèse marocaine des « droits historiques », invoqués alors contre la Mauritanie, que « la souveraineté de l’Etat marocain, telle qu’elle aurait pu s’exprimer par la nomination d’administrateurs, la perception d’impôts et de dîmes coraniques ou par la récitation de la prière au nom du sultan, ne s’est jamais étendue de manière effective et durable à une portion quelconque du territoire situé au-delà de l’Oued Drâa ».

« Le gouvernement mauritanien soutient que la plus large partie sinon la totalité de ce territoire [Sahara Occidental] était occupé par des tribus indépendantes du sultan du Maroc ».
Le professeur Maurice Barbier, de l’Université de Nancy II (France) a publié en 1984 les témoignages édifiants de trois Français, qui ont séjourné, à la suite d’un naufrage, au Sahara Occidental, vers la fin du XVIIIe siècle. Brisson, Follie et Saugnier racontent que le Sahara Occidental « est très peuplé et le serait encore davantage sans les guerres continuelles que ses habitants ont eu à soutenir contre le sultant du Maroc ». Et ils ajoutent : « On dit improprement que cette nation est rebelle au Sultant, car jamais elle ne lui a été soumise. »

L’indépendance du peuple sahraoui était aussi constatée, en 1850 (pour les tribus de Saguia el-Hamra et du Zemmour), par Léopold Panet, un métis sénégalais et par l’Espagnol Joachim Gatell, en 1869 (pour les tribus Tekna vivant entre l’Oued Drâa et Saguia el-Hamra).
Felix Mathews, le consul américain à Tanger écrivait, on ne peut plus clairement, en 1882, que « les tribus habitant le territoire entre l’oued Drâa et le Tiris sont indépendantes et belliqueuses », et Alfred Le Chatelier affirmait, en 1891, que la population nomade de l’oued Noun était totalement indépendante. D’autres témoignages sont tout aussi révélateurs.

En 1875, le Consul d’Espagne à Mogador écrivait dans une lettre adressée à son ministre des Affaires étrangères, le 12 avril 1875, que « le grand désir de tous les habitants des Etats indépendants de Tekna est d’entamer des rapports commerciaux avec l’Europe ».
Sir Raw W. Rawson écrivait, de son côté, en 1884, que « le Maroc s’étend de la frontière algérienne au fleuve Drâa... Le territoire qui s’étend au sud du Maroc sur une distance de 720 miles et sur une côte déserte et sans fleuves [le Sahara Occidental] jusqu’au territoire que la France réclame est indépendant ».

Marc-Robert Thomas, qui a étudié avec le prince - et futur roi - Hassan II, à Aix-en-Provence, en France, ainsi qu’avec un certain nombre de jeunes Marocains, qui sont devenus par la suite de hauts cadres de l’administration marocaine, témoigne qu’il a évoqué avec eux la question de l’octroi de Tarfaya par l’Espagne au Maroc et atteste même qu’ils ignoraient jusqu’à son existence, ainsi que celle du Sahara Occidental tout entier. Cela confirme les affirmations du professeur Francis de Chassey, selon lesquelles « concernant les tribus du Sahara Occidental, on peut dire que leurs relations politiques directes avec le Sultanat du Maroc, depuis sa fondation par les Idrissides (fin du VIIIe siècle) jusqu’au XVIe siècle, sont pratiquement inexistantes ».

Ces témoignages ne font que confirmer davantage l’aveu du sultan du Maroc lui-même, Mohamed ben Abdallah, qui écrivait le 28 mai 1767 au roi d’Espagne que « Sa Majesté Impériale s’abstient de délibérer au sujet de l’établissement que Sa Majesté Catholique veut former au sud de la rivière Noun, car elle ne peut se rendre responsable des accidents et des malheurs qui pourraient se produire, vu que sa souveraineté ne s’étend pas jusque-là ».

Abou Nasr, fils du sultan marocain Moulay Ismaïl (1692 - 1727) s’est révolté contre son père et a été chassé du Maroc. Il allé chercher asile chez les Sahraouis, qui l’ont accueilli. Mais, lorsqu’il a essayé de les dominer, ces derniers, se prévalant de leur tradition d’indépendance à l’égard de tout État, « refusèrent de lui reconnaître la moindre autorité, et le mirent à mort dans le Tiris en 1713 ».



Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/11/24 22:45 par golden eagle.
16 novembre 2024 23:01
Je prends ma casquette de prof. 20/20 pour ce copié collé. Ça ne te fera pas sortir de ta misère mais une satisfaction personnelle et celle de tes commanditaires. Sache que je n’ai rien à faire de tes chiffres. On connaît la situation de notre pays mieux que toi. On y a grandi et on y a encore toute notre famille et nos amis. Et ils sont du milieu populaire. Et sache aussi que le Maroc qui n’a ni gaz ni pétrole est en train de bâtir une économie de pays développé et industrialisé. Il regarde l’avenir et ne vit pas dans les années 1960 et ses millions de Modjahidines. Je ne vais pas faire comme toi et te noyer sur deux pages de résultats en construction automobile, aéronautique et bientôt les trains et l’armement. Je ne vais pas te noyer avec la liste de nos infrastructures. Tu ne comprendras pas car tu ne sais pas ce que c’est. Tu vis dans un pays délabré dirigé par un illettré comme Changriha.
Si j’ai cinq minutes je lirai ton copié collé qui sent bien ta déprime et ton amertume. Et pour m’amuser un peu.
Citation
Eamses a écrit:
Affirmatif, le Maroc doit réfléchir à son avenir. Avec une dette extérieure de 80 Milliards de dollars, le taux d'endettement public global estimé à 85 % du PIB, un taux de chômage des jeunes qui avoisine 45%, un Indice de Développement Humain (IDH) de 0,683, le classant au 123ᵉ rang sur 191 pays.

Les perspectives seront de plus en plus étroites et si vous comptez sur Trump ou macron ou Pedro Sanchez, vous êtes vraiment naïfs.

Pour les frontières historiques du Maroc, il faut vous mettre dans la tête que le Maroc avant la colonisation n’a jamais dépassé l’oued Moulouya à l’est, entre l’oued Draa et l’oued noune au sud.

Le délégué de la France aux Nations unies déclarant devant la 15e Assemblée Générale, réagissant à la thèse marocaine des « droits historiques », invoqués alors contre la Mauritanie, que « la souveraineté de l’Etat marocain, telle qu’elle aurait pu s’exprimer par la nomination d’administrateurs, la perception d’impôts et de dîmes coraniques ou par la récitation de la prière au nom du sultan, ne s’est jamais étendue de manière effective et durable à une portion quelconque du territoire situé au-delà de l’Oued Drâa ».

« Le gouvernement mauritanien soutient que la plus large partie sinon la totalité de ce territoire [Sahara Occidental] était occupé par des tribus indépendantes du sultan du Maroc ».
Le professeur Maurice Barbier, de l’Université de Nancy II (France) a publié en 1984 les témoignages édifiants de trois Français, qui ont séjourné, à la suite d’un naufrage, au Sahara Occidental, vers la fin du XVIIIe siècle. Brisson, Follie et Saugnier racontent que le Sahara Occidental « est très peuplé et le serait encore davantage sans les guerres continuelles que ses habitants ont eu à soutenir contre le sultant du Maroc ». Et ils ajoutent : « On dit improprement que cette nation est rebelle au Sultant, car jamais elle ne lui a été soumise. »

L’indépendance du peuple sahraoui était aussi constatée, en 1850 (pour les tribus de Saguia el-Hamra et du Zemmour), par Léopold Panet, un métis sénégalais et par l’Espagnol Joachim Gatell, en 1869 (pour les tribus Tekna vivant entre l’Oued Drâa et Saguia el-Hamra).
Felix Mathews, le consul américain à Tanger écrivait, on ne peut plus clairement, en 1882, que « les tribus habitant le territoire entre l’oued Drâa et le Tiris sont indépendantes et belliqueuses », et Alfred Le Chatelier affirmait, en 1891, que la population nomade de l’oued Noun était totalement indépendante. D’autres témoignages sont tout aussi révélateurs.

En 1875, le Consul d’Espagne à Mogador écrivait dans une lettre adressée à son ministre des Affaires étrangères, le 12 avril 1875, que « le grand désir de tous les habitants des Etats indépendants de Tekna est d’entamer des rapports commerciaux avec l’Europe ».
Sir Raw W. Rawson écrivait, de son côté, en 1884, que « le Maroc s’étend de la frontière algérienne au fleuve Drâa... Le territoire qui s’étend au sud du Maroc sur une distance de 720 miles et sur une côte déserte et sans fleuves [le Sahara Occidental] jusqu’au territoire que la France réclame est indépendant ».

Marc-Robert Thomas, qui a étudié avec le prince - et futur roi - Hassan II, à Aix-en-Provence, en France, ainsi qu’avec un certain nombre de jeunes Marocains, qui sont devenus par la suite de hauts cadres de l’administration marocaine, témoigne qu’il a évoqué avec eux la question de l’octroi de Tarfaya par l’Espagne au Maroc et atteste même qu’ils ignoraient jusqu’à son existence, ainsi que celle du Sahara Occidental tout entier. Cela confirme les affirmations du professeur Francis de Chassey, selon lesquelles « concernant les tribus du Sahara Occidental, on peut dire que leurs relations politiques directes avec le Sultanat du Maroc, depuis sa fondation par les Idrissides (fin du VIIIe siècle) jusqu’au XVIe siècle, sont pratiquement inexistantes ».

Ces témoignages ne font que confirmer davantage l’aveu du sultan du Maroc lui-même, Mohamed ben Abdallah, qui écrivait le 28 mai 1767 au roi d’Espagne que « Sa Majesté Impériale s’abstient de délibérer au sujet de l’établissement que Sa Majesté Catholique veut former au sud de la rivière Noun, car elle ne peut se rendre responsable des accidents et des malheurs qui pourraient se produire, vu que sa souveraineté ne s’étend pas jusque-là ».

Abou Nasr, fils du sultan marocain Moulay Ismaïl (1692 - 1727) s’est révolté contre son père et a été chassé du Maroc. Il allé chercher asile chez les Sahraouis, qui l’ont accueilli. Mais, lorsqu’il a essayé de les dominer, ces derniers, se prévalant de leur tradition d’indépendance à l’égard de tout État, « refusèrent de lui reconnaître la moindre autorité, et le mirent à mort dans le Tiris en 1713 ».
E
17 novembre 2024 09:51
Le Maroc malheureusement n'a jamais appartenu aux authentiques Marocains.

Quelqques exemples mais il y en a beaucoup d'autres.

Des villas et riads luxueux dans des villes comme Marrakech, Essaouira, ou Casablanca appartiennent principalement à des expatriés ou des investisseurs étrangers, inaccessibles aux Marocains locaux.

Les meilleures plages ou zones touristiques sont développées pour répondre aux besoins des étrangers, avec peu d’espace pour les résidents marocains.

Des retraités européens vivant au Maroc emploient des Marocaines comme aides ménagères pour des salaires bien inférieurs à ce qui est juste, profitant de la pauvreté locale.
Des jeunes Marocains travaillent comme jardiniers ou chauffeurs pour des expatriés, souvent dans des conditions précaires.

Les hôtels de luxe, restaurants haut de gamme, et riads dans les villes touristiques appartiennent à des étrangers, tandis que les Marocains locaux occupent principalement des postes de service, souvent mal payés.

Les plages privées ou terrains de golf ne sont accessibles qu’à des étrangers fortunés, excluant les locaux.

Des entreprises étrangères exploitent les ressources minières et naturelles marocaines (phosphates, poissons, etc.), tandis que les communautés locales n’en tirent que peu de bénéfices.

Des projets immobiliers ou industriels chassent les habitants locaux pour construire des infrastructures pour les étrangers ou les riches Marocains.

Les médinas dans des villes comme Fès ou Marrakech sont rénovées et transformées en lieux touristiques, souvent au détriment des habitants locaux qui sont poussés à partir à cause de l’augmentation des prix.

Les traditions et cultures marocaines sont parfois exploitées comme des attractions touristiques pour les étrangers, sans réel bénéfice pour les communautés locales.

Les écoles privées internationales, accessibles aux expatriés et aux riches Marocains, offrent une meilleure éducation, tandis que les écoles publiques souffrent d’un manque de moyens.

Les hôpitaux et cliniques de luxe sont conçus pour les étrangers ou les élites, alors que les Marocains moyens n’ont souvent accès qu’à des soins publics de moindre qualité.

Certains étrangers ouvrent des entreprises ou des commerces au Maroc, bénéficiant d’exemptions fiscales ou d’avantages que les entrepreneurs locaux ont du mal à obtenir.

Dans le secteur touristique, les étrangers reçoivent parfois un traitement préférentiel de la part des autorités locales.

Des investisseurs étrangers achètent des terres agricoles pour cultiver des produits destinés à l’exportation, souvent au détriment des agriculteurs locaux et de l’autosuffisance alimentaire.

Certains festivals culturels et artistiques, comme ceux organisés à Marrakech, sont principalement destinés à un public étranger, laissant peu de place pour la participation des locaux.

Des clubs privés, centres sportifs ou stations balnéaires de luxe sont conçus pour les expatriés ou les Marocains très riches, avec des prix hors de portée pour la majorité des Marocains.

Citation
golden eagle a écrit:
Nous produisons légalement du cannabis à but médical et thérapeutique .et nous souhaitons être le 1er producteur au monde dans ce domaine. Si vos généraux arrivent à le faire rentrer chez vous ,et le détourner de son but initial , et le revendre à la population algérienne pour qu'elle oublie se misère noire, et bien , tant pis pour vous .
Le cannabis ne marche pas à 4 pattes et ne vole pas non plus .
Donc ,s'il rentre chez vous ,avec votre frontière étanche, c'est que ce sont vos militaires qui le font rentrer, en le payant en euros.
1 dirhams Marocain = 2500 dinars algériens. En clair, le caca de cheval vaut plus cher que votre monnaie.
Ceci dit ,n'oublie jamais, mais alors au grand jamais que :

Le Sahara était ,est et restera marocain pour l'éternité ,que cela vous plaise ou non . L'accès à l'Atlantiqu c'est Niet .
E
17 novembre 2024 10:02
Je sais que tu sais que le Maroc n’appartient pas à son peuple authentique.
Avec ta double casquette, il est normal que tu optes pour la politique de l'autruche.

Je te confirme que les richesses naturelles, économiques et culturelles du Maroc profitent à des intérêts étrangers, alimentant des inégalités socio-économiques et des frustrations du Maroc profond.

Exemples :
Exploitation des ressources minières
Exploitation des ressources halieutiques (pêche)
Accaparement des terres agricoles
Secteur immobilier
Tourisme
Énergie et projets verts
Commerce et grandes surfaces
Zones franches et industries manufacturières
Monopolisation de certaines infrastructures
Exportation de produits locaux sans transformation locale

Citation
AL MASSIRA a écrit:
Je prends ma casquette de prof. 20/20 pour ce copié collé. Ça ne te fera pas sortir de ta misère mais une satisfaction personnelle et celle de tes commanditaires. Sache que je n’ai rien à faire de tes chiffres. On connaît la situation de notre pays mieux que toi. On y a grandi et on y a encore toute notre famille et nos amis. Et ils sont du milieu populaire. Et sache aussi que le Maroc qui n’a ni gaz ni pétrole est en train de bâtir une économie de pays développé et industrialisé. Il regarde l’avenir et ne vit pas dans les années 1960 et ses millions de Modjahidines. Je ne vais pas faire comme toi et te noyer sur deux pages de résultats en construction automobile, aéronautique et bientôt les trains et l’armement. Je ne vais pas te noyer avec la liste de nos infrastructures. Tu ne comprendras pas car tu ne sais pas ce que c’est. Tu vis dans un pays délabré dirigé par un illettré comme Changriha.
Si j’ai cinq minutes je lirai ton copié collé qui sent bien ta déprime et ton amertume. Et pour m’amuser un peu.
17 novembre 2024 10:06
Tu parles bien de richesses naturelles ? Je vais éviter de sortir deux pages sur les cabranates.
Citation
Eamses a écrit:
Je sais que tu sais que le Maroc n’appartient pas à son peuple authentique.
Avec ta double casquette, il est normal que tu optes pour la politique de l'autruche.

Je te confirme que les richesses naturelles, économiques et culturelles du Maroc profitent à des intérêts étrangers, alimentant des inégalités socio-économiques et des frustrations du Maroc profond.

Exemples :
Exploitation des ressources minières
Exploitation des ressources halieutiques (pêche)
Accaparement des terres agricoles
Secteur immobilier
Tourisme
Énergie et projets verts
Commerce et grandes surfaces
Zones franches et industries manufacturières
Monopolisation de certaines infrastructures
Exportation de produits locaux sans transformation locale
17 novembre 2024 10:08
Je te rassure. Ta déprime finira par partir. Mais il faut te soigner car tu n’as pas fini avec les gifles politiques.
Citation
Eamses a écrit:
Je sais que tu sais que le Maroc n’appartient pas à son peuple authentique.
Avec ta double casquette, il est normal que tu optes pour la politique de l'autruche.

Je te confirme que les richesses naturelles, économiques et culturelles du Maroc profitent à des intérêts étrangers, alimentant des inégalités socio-économiques et des frustrations du Maroc profond.

Exemples :
Exploitation des ressources minières
Exploitation des ressources halieutiques (pêche)
Accaparement des terres agricoles
Secteur immobilier
Tourisme
Énergie et projets verts
Commerce et grandes surfaces
Zones franches et industries manufacturières
Monopolisation de certaines infrastructures
Exportation de produits locaux sans transformation locale
E
17 novembre 2024 11:52
Driss Bari, a été ministre de l'Intérieur sous le règne du roi Hassan II. Il a occupé le poste du 27 mars 1979 jusqu’au 9 novembre 1999, soit plus de 20 ans.

Il a joué un rôle central dans la gestion des affaires intérieures du Maroc, y compris la question du Sahara occidental.

En tant que ministre de l'Intérieur, il était responsable de la sécurité nationale et de la politique intérieure, ce qui incluait la supervision des territoires contestés du Sahara occidental.
Son influence s'étendait à la coordination des opérations militaires et des stratégies politiques visant à maintenir le contrôle marocain sur cette région.

Basri est souvent associé aux "années de plomb" au Maroc, période caractérisée par une répression politique intense, notamment contre les mouvements indépendantistes sahraouis.
Citation
golden eagle a écrit:
C'est qui driss bassri ?
17 novembre 2024 12:03
Ça y est avec ce commentaire on est dans la phase 2 du paradoxe de l'algérien :

1- il essaie d'exposer des arguments foireux sur le sujet. Des arguments qui lui font du bien face à la réalité historique : c'est le déni
2- n'y arrivant pas il part sur un hors sujet tout aussi foireux : le début de l'insulte
3- ll nous sort sa spécialité : les obscenités

On un peu dans le même cas d'une personne possédée qu'il faut exorciser : il y a plusieurs phases


Citation
Eamses a écrit:
Le Maroc malheureusement n'a jamais appartenu aux authentiques Marocains.

Quelqques exemples mais il y en a beaucoup d'autres.

Des villas et riads luxueux dans des villes comme Marrakech, Essaouira, ou Casablanca appartiennent principalement à des expatriés ou des investisseurs étrangers, inaccessibles aux Marocains locaux.

Les meilleures plages ou zones touristiques sont développées pour répondre aux besoins des étrangers, avec peu d’espace pour les résidents marocains.

Des retraités européens vivant au Maroc emploient des Marocaines comme aides ménagères pour des salaires bien inférieurs à ce qui est juste, profitant de la pauvreté locale.
Des jeunes Marocains travaillent comme jardiniers ou chauffeurs pour des expatriés, souvent dans des conditions précaires.

Les hôtels de luxe, restaurants haut de gamme, et riads dans les villes touristiques appartiennent à des étrangers, tandis que les Marocains locaux occupent principalement des postes de service, souvent mal payés.

Les plages privées ou terrains de golf ne sont accessibles qu’à des étrangers fortunés, excluant les locaux.

Des entreprises étrangères exploitent les ressources minières et naturelles marocaines (phosphates, poissons, etc.), tandis que les communautés locales n’en tirent que peu de bénéfices.

Des projets immobiliers ou industriels chassent les habitants locaux pour construire des infrastructures pour les étrangers ou les riches Marocains.

Les médinas dans des villes comme Fès ou Marrakech sont rénovées et transformées en lieux touristiques, souvent au détriment des habitants locaux qui sont poussés à partir à cause de l’augmentation des prix.

Les traditions et cultures marocaines sont parfois exploitées comme des attractions touristiques pour les étrangers, sans réel bénéfice pour les communautés locales.

Les écoles privées internationales, accessibles aux expatriés et aux riches Marocains, offrent une meilleure éducation, tandis que les écoles publiques souffrent d’un manque de moyens.

Les hôpitaux et cliniques de luxe sont conçus pour les étrangers ou les élites, alors que les Marocains moyens n’ont souvent accès qu’à des soins publics de moindre qualité.

Certains étrangers ouvrent des entreprises ou des commerces au Maroc, bénéficiant d’exemptions fiscales ou d’avantages que les entrepreneurs locaux ont du mal à obtenir.

Dans le secteur touristique, les étrangers reçoivent parfois un traitement préférentiel de la part des autorités locales.

Des investisseurs étrangers achètent des terres agricoles pour cultiver des produits destinés à l’exportation, souvent au détriment des agriculteurs locaux et de l’autosuffisance alimentaire.

Certains festivals culturels et artistiques, comme ceux organisés à Marrakech, sont principalement destinés à un public étranger, laissant peu de place pour la participation des locaux.

Des clubs privés, centres sportifs ou stations balnéaires de luxe sont conçus pour les expatriés ou les Marocains très riches, avec des prix hors de portée pour la majorité des Marocains.
E
17 novembre 2024 12:11
FAUX : Autonomie est une option du Referendum d'autodétermination.
Si le Sahara Occidental était une terre Maroc, de quoi a peur le Maroc de faire ce referendum ? Les vrais pays n’ont pas peur de leurs peuples
Exemples :
France
1. Algérie (1962) - Référendum d'autodétermination
2. Nouvelle-Calédonie (1988, 1998, 2018, 2020, 2021) - Référendums sur l'indépendance
3. Djibouti (1977) - Référendum sur l'indépendance
Espagne
L'Espagne a organisé peu de référendums d'autodétermination, mais elle a été impliquée dans des processus historiques :
1. Sahara Occidental (Jamais organisé, mais prévu par l'ONU depuis 1966)
2. Référendums internes en Catalogne et au Pays Basque
Résultat : Ces votes ne sont pas reconnus juridiquement, mais ils révèlent un fort soutien pour l'autodétermination parmi certains groupes régionaux.

Grande-Bretagne (Royaume-Uni)
Le Royaume-Uni a une longue histoire de référendums d'autodétermination, principalement dans le cadre de la décolonisation :
1. Inde et Pakistan (1947) - Référendum du Baloutchistan
Résultat : Le Baloutchistan a rejoint le Pakistan après une consultation locale.
2. Rhodesie du Sud (1980) - Référendum sur l'indépendance
Résultat : Large soutien à l'indépendance. Le pays devient le Zimbabwe.
3. Écosse (2014) - Référendum sur l'indépendance
Conséquence : L'Écosse reste dans le Royaume-Uni, mais des demandes pour un nouveau référendum persistent.
4. Falkland Islands (Malvinas) (2013) - Référendum sur le statut politique
Résultat : 99,8 % pour le maintien sous souveraineté britannique.
Conséquence : Tensions persistantes avec l'Argentine, qui revendique ces îles.
Citation
Axis.7 a écrit:
Fatigué de la propagande usée des fous de l'Est qui parlent à tout bout de champs de droit international sans en avoir la moindre idée.
EN DROIT INTERNATIONAL AUTODETERMINATION CADRE PARFAITMENT AVEC L'AUTONOMIE et n'a jamais signifié forcement indépendance.

Les resolutions du Conseil de Securité de l'ONU, toutes en ligne sur le site officiel, appellent à un compromis basé sur le réalisme en vue d'une solution politique. Elles saluent le plan marocain présenté comme un compromis réaliste allant de l'avant. La dernière resolution ne cite les ancienne résolution qu'à partir de celle de...2007 soit celle qui salue le plan marocain d'autonomie. Cela ne fait que 17 ans pour les décérébrés hypocrites qui font semblant de ne pas comprendre alors qu'ils ont très bien compris.
Leur but: faire durer éternellement le conflit.
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