Citation
gustavo321 a écrit:
C'est l'un des problèmes les plus sérieux et prioritaire auquel le Maroc fait face et auquel il se doit de trouver des solutions adaptées, et en urgence. Au plus haut niveau de l'Etat cette question de stress hydrique est prise très au sérieux et des plans audacieux et basés sur des études approfondies ont été déployés afin de répondre à moyen terme efficacement à ce challenge.
Mais il est vrai qu'un travail de fond reste à faire en matière de sensibilisation et d'éducation des populations quand aux comportements et habitudes devant prévaloir en matière de consommation et d'usage d'eau.
Pour ce qui est de l'agriculture nombre d'études se sont succédées concernant l'exportation d'eau à travers des produits agricoles hydrophages tels que la pastèque ou l'avocat, et de plus en plus de voix s'élèvent pour contrôler, réduire ou interdire certaines types de cultures de ce type. Des actions concrètes devraient suivre dans ce domaine au cours des prochaines années, espérons-le.
Citation
wek up a écrit:
<auquel le Maroc fait face>]: aurait du faire face.
Le Maroc a trop attendu pour faire face à ce problème dont on parle depuis 20 ans maintenant; De plus les restrictions imposées par les nouvelles lois ne sont jamais appliquées, tel que les autorisations pour creuser les puits, plus de la moitié des puits creusés est illégalle; Aussi l'arrivée des gros investisseurs dans l'agriculture n'a fait qu'accentuer le problème et au passage sacrifier les petits agriculteurs( Hmad et Mohamad); J'espère aussi que l'accord d'exploiter les terres marocaines pour la culture de l'avocat par des sociétés israéliennes a été annulé.
Je rajouterai la déforestation qui a aussi eu son impact; J'ai vu des superficies d'arganier être rasées alors qu'une loi interdit l'abattage de cet arbre, pourtant patrimoine mondial.