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Taounate
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10 novembre 2008 00:51
LE TRAITEMENT DES RISQUES NATURELS (INONDATIONS, SEISMES ET GLISSEMENTS DE TERRAINS) ET LEURS INTEGRATION DANS L'ETABLISSEMENT DES PLANS D'AMENAGEMENT: CAS D'AL HOCEIMA ET DE TAOUNATE


M. Akhamal 1; A. El Mehdaoui 2; H. El Arabi 1, L. Gourari1; K Boumir,L & A. Elkhanchoufi 1


1- UFR ENA TES, Université Sidi Mohamed Ben Abdellah, Faculté des Sciences Dhar El Mahraz, Fès

2- Agence urbaine de Taza


L'établissement des documents d'urbanisme, dont les plans d'aménagement, se heurte souvent à la problématique de l'aménagement des secteurs d'intérêt particulier ou des zones sensibles aux risques naturels.

Les provinces de Taounate et d'Al Hoceima, de part leurs structures géologiques, se situentau seinde la chaîne rifaine. Cette chaîne de montagnes du nord du Maroc est caractérisée par:

- l'un des plus grands taux de précipitation au Maroc;
- des reliefs très prononcés et très accidentés;
- la position charnière entre les plaques africaine au Sud et Eurasiatique au Nord.


Ces caractères font de la région une zone sensible aux risques naturels, notamment les inondations,les glissements de terrains et les séismes. Afin d'étudier les effets des risques mentionnés ci-dessus sur l'établissement d'un plan d'aménagement, nous avons choisi l'étude des cas suivants:

*Le plan d'aménagement de Ghafsai qui traite les zones inondables au niveau du secteur Zriqua. En effet, la zone de Zriqua longe la rive gauche de l'Oued Aoulai sur environ 2 km et elle est traversée par Chaabat Mlileh. Cette dernière collecte les eaux usées et celles des crues de Ghafsai. La position du secteur de Zriqua dans une zone à risques nécessite une attention particulière dans le plan d'aménagement de la ville de Ghafsai. Ceci par l'établissement d'un périmètre de protection délimitant des zones ouverte à l'urbanisation et des zones non aedificandi (périmètre de protection avec des servitudes non aedificandi).

*Le plan d'aménagement de Taounate qui prévoit la restructuration des zones de l'habitat non réglementaire et qui sont affectées par des glissements de terrains. Cette restructuration est subordonnée à la réalisation d'une étude qui va démontrer les spécificités des sols du secteur à restructurer (étude réalisée par LPEE).

*Enfin, le plan d'aménagement de Sidi Bouafif au niveau de la province d'Al Hoceima. Ce centre appartient, à l'instar de toute la province, à un secteur qui connaît une activité sismique intense et par conséquent il est impératif de prendre des mesures préventives dans le cadre du plan d'aménagement de ce centre. A cet effet, une carte de microzonation sismique est établie par le CNRST en collaboration avec l'AU de Taza dont le but est d'élaborer un zonage adéquat qui va prendre en compte les risques sismiques.

Etude publiée lors de la 3ème Journées Internationale des Géosciences de l’Environnement. El Jadida les 8, 9 et 10 juin 2005 Université Chouaïb Doukkali - Faculté des Sciences – Département de Géologie – B.P. 20, 24000 El Jadida, Maroc.
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10 novembre 2008 01:23
Une étude sur le phénomène migratoire des populations de Taounate




Comme on l'a déjà signalé dans un autre post, la région de Taza-Al Hoceima- Taounate est la plus touchée par la migration des population vers les autres villes du MAroc et les pays européens. Même le transfert d'argent des MRE originaire de cette région vers le Maroc représente 60% des dépôts bancaires dans ces trois provinces. Cette immigration est due à la marginalisation des 3 provinces depuis l'indépendance pour des raisons connues.

Voici une étude sur ce phénomène dans la province de TAounate:

- El Mrabet Boujemâa, 1984. Espace et société dans une petite montagne méditerranéenne : émigration et habitatdans le Sud-Rifain (Pays de Taounate), 236 p, thèse de géographie soutenue à l’Université Paul Valéry (Montpellier III).

- B. El Mrabet: Approche du phénomène migratoire dans la montagne Sud Rifaine (pays de Taounate) in dirasât n° 4, 1990, FAculté de Lettres d'Agadir, MAroc
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10 novembre 2008 01:43
troupes de folklore ou de danse traditionnelles marocaines: Taounate en fait partie


Extrait du site: [www.marrakechfestival.com]

Mangouchi – Oujda

Le Mangouchi fait partie des danses du Maroc oriental à prépondérance guerrière . La cadence accélérée et le présence du fusil à poudre ou le bâton rappellent le rôle joué par la ville d’Oujda et le couloir de Taza à travers l’histoire.

Ahouache de Ouarzazate

L'Ahouache est la danse communautaire du grand Atlas, de l'Anti-Atlas et de la région du Souss. La participation a cette prestation est permise a tous les habitants du village. L'Ahouache commence après la dernière prière du soir et peut durer autour d'un feu toute la nuit. Percussion, chants et chorégraphie interprétée surtout par les femme présentent un tableau sublime.

Les Gnaoua

La musique Gnaouie témoigne de la présence de la tradition africaine dans la culture Marocaine.
Cette musique a inspire bon nombre de groupes et créateurs a travers le monde. Elle est surtout I'apanage de la confrérie des Gnaoua dont le rituel dure toute une nuit.

Tissent de Tata

La danse de Tissent ou danse des fiançailles provient de la région de Tata. Cette chorégraphie met en valeur le rituel des fiançailles dans le Maroc profond ..

Dekka-Marrakech

De Demnate a Marrakech via Taroudant, la Dekka portée par les artisans s'est enrichie durant cet itinéraire historique. Elle comporte 3 rythmes : Amazighi, Aâroubi et Gnaoui. A Marrakech chaque quartier a sa propre troupe de Dekka.

Taskiouine –chichaoua

Danse guerrière Amazighi du haut Atlas occidental cette chorégraphie guerrière simule la bataille par une cadence forte et des cris de guerre.
La poire a poudre sur I'épaule des hommes rappelle une époque chevaleresque.

Les Abidates R'ma – Fkih Bansaleh

Les Abidates R'ma sont les anciens servants des cavaliers qui ont finit comme corporation chez les Beni Amir, Smaala, Beni Khirane, Oued Zem ... Les chants des Abidates Rima constituent une mémoire collective chez les tribus Arabes de ces régions.

Aissaoua- Meknes

La confrérie des Issaoua se refere a son patron Mohamed Ben Issa Soufi du XVI ème siècle dont le mausolée est a Meknes ou s'organise chaque année le Moussem des Issaoua dans une tradition ou se mêlent rythmes et poésies soufies.

Mizane Houara – Taroudant

La troupe Mizane Houara provient de la province de Taroudant. La danse de la vipère interprète un ancien mythe Houari: une vipère occupe le seul chemin liant la tribu avec le reste du monde.
Trois jeunes audacieux se proposent pour la confrontation. La vipère en tuera deux et tombera amoureuse du troisième.

Tbal de Laayoune – Laayoune

Le Tbal de Laâyoune fait partie du Tarab Hassani du Sahara Marocain. Poesie et rythme du desert, ce genre de prestation et I'expressif de la population du sud, de Goulimine jusqu’à la Mauritanie

L’AHIDOUS DE KHENIFRA

L’Ahaidous est la danse communale du moyen atlas par excellence . C’est une danse mixte ou se joignent rythmes et poésie Amazighe . Le Maestro Moha Oulhoussine est considéré comme le doyen des arts populaires Marocains .

Les Ouled Sidi H'Mad ou Moussa – Marrakech

Les ouled Sidi H'Mad ou Moussa sont originaires du Tazeroualt dans le Souss. Cette tradition est heritee de I'ancienne principaute d’illigh du 16 éme siecle. A I'epoque on formait des soldats d'elite pour la defense des cotes marocaines contre les intrusions etrangères. Aujourd'hui les Ouled Sidi H'Mad ou Moussa sont présents dans la plupart des grandes cirques a travers le monde.

Tazouit ou la danse de I'abeille – Kelaa Megouna

La danse Tazouit ou danse de I'abeille interprétée par le groupe de Kalâa M’gouna est un ballet issu d'une tradition seculaire. C'est une danse mixte reservee aux jeunes filles, Les femmes divorcees y sont autorisées a condition de porter le voile.

Rokba de Zagora

La danse de Rokba ou chevauchée provient de la région de Zagora elle est propre aux tribus arabes Hilaliennes. Les chants et les poesies de cette région ont inspirés bon nombre de groupes a grande audience comme les Nass El Ghiwane

Akallale Sif – Zagora

Akallale Sif ou danse du sabre est parmi les plus anciennes danses arabes. D'origine bedouine elle est marquée par la présence
du sabre et surtout du « def» instrument de percussion sous forme de losange.

Haiti de Tissa – Taounate

Le Haiti provient de la province de Taounate. C 'est la danse des anciens pasteurs. Couverts par Les chants la chorale et les rythmes des Bendirs deux cavaliers s'affrontent, et simulent le jeu de la guerre.


Suite ....
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10 novembre 2008 01:46
Suite Groupes de folklore ....


Haouzi de Marrakech

La Aita Haouzia est propre aux tribus arabes de la region de Marrakech : sraghrna, Zemrane, Rhamna et Harbil. .. Se sont des chants bedouins qui evoquent les valeurs humaines et surtout la nostalgie du terroir ...

Ahouach d'lmmintanoute

Ahouach d'lmmintanoute est surtout un espace reserve par la communaute aux jeunes pour favoriser d'eventuels fiaçailles. Le temps d'une danse, les liens s'accordent avec le consentement des families.

L’Aska d' Aoulouz

L'Aska d'Aoulouz est une danse mixte ou hommes et femmes s'expriment par les chants et surtout par I'expression du corps aux rythmes des percussions. Les mouvements sont d'une grande beauté et concordent avec la poésie chantée par les voix de la montagne.

Ahouache Iouariden- Demnate

Une prestation mixte ou les femmes jouent aussi avec le fusil réservé dans d’autres régions uniquement aux hommes. Cette danse évoque bravoure et valeurs auxquelles est attachée la tribu…..

Beni Oraine-Talsent

Danse et chants, genre d’Ahidouss guerrier qui se réfère à l’histoire de cette région pastorale qui a connu de grands événements relaté par la tradition orale….

Tikitika

Un genre de chansonnette Marrakchie que l’on chante dans les cortéges de Tarragte des cadeaux à l’occasion des festivité familiales mariages, circoncision et autres occasions …. Elle se caractérise par l’humour et la critique sociale et emprunte le rythme de l’Aita Houzia.



Vous pouvez voir le document complet en PDF: [www.marrakechfestival.com]
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10 novembre 2008 15:34
L’huile d’olive remède contre le cancer


Publiée jeudi, 06 Novembre 2008 20:07 KB sur le site: [www.lereporter.ma]

Huile d'olive

La consommation d'huile d'olive freine la progression du cancer et l'évolution de la maladie, de même qu'elle permet que les tumeurs détectées soient bénignes, selon les résultats d'une recherche menée par des chercheurs de l'Université Autonome de Barcelone (UACool.

Les chercheurs, supervisés par le professeur Eduard Escrich, ont pu démontrer dans des recherches cliniques sur des animaux que la consommation d'huile d'olive a joué un rôle dans la non prolifération du cancer (métastase).

La recherche, publiée récemment, a également démontré que les tumeurs des animaux ayant consommé de l'huile d'olive étaient plus bénignes que chez les cobayes ayant été soumis à un régime avec de l'huile de maïs.

Les résultats complets de cette étude seront présentés à Cordoue et Jaen (Sud de l'Espagne) du 20 au 22 novembre prochain à l'occasion du congrès international sur «l'huile d'olive et la santé».

P.S: Taounate, classée parmi les premiers producteur d'olives et huile d'olives (Classique et Alwana) au Maroc, doit être heureuse pour cette information du premier ordre. Elle doit redoubler d'effort pour planter cet arbre qu'Allah cite 6 fois dans le Coran et se décrit lui même en se référant à l'olivier dans Souarate ENNour (La Lumière) que voici:

An-Nur - 24.35. Dieu est la lumière des Cieux et de la Terre, et le symbole de Sa lumière serait un foyer où se trouverait une lampe qui elle-même serait nichée dans un récipient de cristal ayant l’éclat d’un astre brillant qui tirerait sa luminosité d’un arbre béni, un olivier qui n’est ni de l’Orient ni de l’Occident et dont l’huile jetterait sa clarté presque d’elle-même, sans avoir été touchée par aucune étincelle, donnant ainsi lumière sur lumière. Dieu guide vers Sa lumière qui Il veut et propose des paraboles aux hommes, car Sa science n’a point de limite.

Je pense qu'il encore temps pour demander à la Direction Provinçiale d'Agriculture (DPA) de Taounate de financer de gros projets pour la plantation de cet arbre grâce à l'aide américaine du MCC ou MCA dont Taounate est bénificiaire. Fonçez pour voir la DPA pour avoir l'aide pour la plantation des arbres fruitiers d'une façon générale et cet arbre en particulier.

Par exemple voici un extrait d'un article paru sur le journal Le Matin qui décrit un projet de plantation de 8000 Ha d'olivier à Moulay YAkoub: [www.lematin.ma]

8.000 ha d'oliviers

Dans le cadre du programme Millennium Challenge (MCC) pour la promotion de l'olivier à Moulay Yacoub, il a été convenu de poursuive l'expansion des superficies consacrées au secteur oléicole avec la plantation de jeunes arbres sur une superficie de 8.000 ha pendant cinq années à partir de la campagne 2008-2009.

D'après les données préliminaires concernant ce projet, il est prévu, cette saison, la plantation d'environ 700 ha d'oliviers à la commune rurale Oulad Mimoun en faveur de plus de 200 personnes. La Direction provinciale de l'agriculture se penche actuellement sur l'étude et la préparation des bassins pour abriter ce projet pendant les quatre prochaines saisons.
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10 novembre 2008 16:01
selon les 2 grands défenseurs de l'écologie marocaine Abdelmalek (Michel) Tarrier et Jean Delacre: L'écologie et l'envionnement au Maroc sont en danger



Il faut lire les articles qui annoncent:

1) la femeture du forum Alerte-Nature-Maroc :

[perso.wanadoo.es]

2) L'avis d'Abdelmalek (Michel) Tarrier

[www.lereporter.ma]

3) Et voir leurs sites sur la faune et la flore marocaine:

- [www.tarrier.org]
- [homepage.mac.com]
- [www.geos-nature.org]
- [www.geres-asso.org]
- [www.biotope.fr]
- [users.skynet.be]
- [web.mac.com]

Michel R. TARRIER
Apartado postal 15553, E-29080 Malaga (España)
34-952.960.182 / 34-629.528.333


[email protected]

[email protected]
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10 novembre 2008 18:09
Driss El Ouali



article publié le jeudi, 17 Juillet 2008 10:36 par Le Reporter - Rédaction sur le site: [www.lereporter.ma]

Driss El Ouali est, depuis 2007, conseiller en communication au Ministère de la Modernisation des Secteurs Publics. De 2003 à 2007, ce titulaire d’une licence en langues et littérature française, s’est vu confier un poste de conseiller en communication contractuelle au cabinet du groupe parlementaire du Rassemblement National des Indépendants à la chambre des députés. Natif de Taounate, El Ouali avait aussi travaillé comme journaliste au quotidien « Al Mounataf », en 2001, avant de rejoindre la société « Euro-Mag » en 2002 à Casablanca pour y travailler en tant que conseiller en communication. Depuis 1994 à ce jour, Driss dirige le journal régional « Sadaa Taounate ». A ce titre, il a participé à de nombreuses journées d’études sur les médias et droit de l’homme. Pour qui ne le connaît pas, cet homme plein d’énergie prend à cœur son métier. Il est membre de plusieurs associations dont l’Association du Syndicat National de la Presse Marocaine de Fès et Région.


P.S: On attend toujours le version électronique payante et donc sur un site web du journal Sada Taounate dont El Ouali est le directeur!!!!! Il faut au moins faire une étude pour connaitre si le projet est rentable. Avec 50 euros par personne l'année et en supposant qu'il y aura 1000 inscriptions vu le nombre de Taounatis MRE et MRM immigrés nostalgiques de la région, ça fera 50 000 euros, soit plus de 500 000 Dh!!!un beau pactole car l'édition électronique ne coûte presque rien....Réfilichissez alors un peu sinon je demande à des Taounatis de tenter cette expérience et je suis partant car je connais le Marketing Editeurs Internet!!!!
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10 novembre 2008 18:14
Bouchta El Hayani expose à Casablanca le corps humain dans ses dimensions multiples


Extrait du : [www.casafree.com]


Le corps humain avec ses dimensions variées, ses superpositions, ses formes et ses profondeurs, a été savamment mis en scène dans une exposition des œuvres de l'artiste peintre Bouchta El Hayani.

Montée du 23 au 15 novembre à la galerie Venise Cadre de Casablanca, une cinquantaine de tableaux de différentes dimensions, offre au public des œuvres mêlant une multitude de techniques à une certaine conception plastique de l'humain.

Au-delà de l'harmonie des couleurs (claire/obscure), cette conception livre des sensations où la peinture acrylique se croise avec l'abstraction lyrique, impact de l'influence graphique, à la base de sa formation.

Mariant touches, gestes et couleurs, El Hayani, qui a accompli ses études artistiques à l'école des Arts Appliqués de Casablanca, a choisi, comme Mohamed Kacimi autrefois, de mettre en scène le corps de l'homme, présentant un être au regard hagard, encadré mais indéfini.

Dans ces oeuvres exposées, qui ont nécessité deux années de travail, El Hayani a dépeint des ombres, des signes et surtout des hommes debout et ligotés, libérés de tout mais immobilisés.

Cette référence à ''l'homme'' a incité l'artiste à travailler la surface par la multiplication de la couleur, la forme et la dimension. Tel un leitmotiv, l'image du corps humain hante l'Âœuvre de Bouchta, le corps apparaît dans toute l'ambiguïté que lui confère l'artiste : asexué ou androgyne, insaisissable, témoin d'un instant vécu par les espaces où il se meut.

Cette lecture que font les visiteurs, très nombreux à affluer sur le lieu de l'exposition, convient à l'artiste qui admet et assume : ''Quand je travaille sur la dimension, ce n'est pas pour faire des formes pour elles-mêmes, mais c'est un moyen d'évasion", confie-t-il à la MAP.

Fort expérimenté par son parcours autant que par son talent, Bouchta El Hayani a débuté dans le poste d'illustrateur à la revue "Al-Assas" avant de se lancer dans une carrière artistique de peintre.

Natif de Taounate en 1952, il a exposé régulièrement depuis 1970 à travers le monde.

MAP

Casafree.com le 27/10/2008 11:20:00
N
10 novembre 2008 18:18
Ahmed El Hayani Expose à Meknès



Extrait: [www.maghrebarts.ma]

L’artiste peintre Ahmed El Hayani expose ses oeuvres du 8 février au 3 mars 2007 à l'Institut Français de Meknès. Pour mieux connaître
Le parcours d'Ahmed El Hayani aurait été des plus ordinaires s’il n’avait eu l’audace de se démarquer des sentiers battus (…) Natif de Taounate en 1974, et lauréat de l’Institut National des Beaux-arts de Tétouan, sa peinture s’impose aujourd’hui grâce à une série d’expositions qu’il a entamée depuis quelques années, et qui sera consacrée notamment par l’obtention du premier prix du Concours de peinture organisé par la Chambre de Commerce et de Navigation à Casablanca.

Après un passage marqué par une forte empreinte héritée de sa formation académique, figurative et appliquée, son intérêt se porte sur la calligraphie. Il s’agit de comprendre le "geste calligraphique" dans sa globalité (…). Expérience qui se retrouve vite associée à d’autres préoccupations issues de sa passion pour une certaine forme d’architecture patrimoniale. Ce qu’il en garde, c’est une continuelle tentative de combiner le geste au savant agencement des masses, en faisant de l’espace de l’œuvre le lieu de ce duel...

(…).Une œuvre structurée, expression d’un souci naturel, pour ne pas dire, inné, de clarté architecturale, et d’une grande faculté organisationnelle à l’intérieur de l’espace ainsi investi (...) Et c’est l’espace éclaté, fragmenté, redistribué, qui se dissipe et se métamorphose, en couleurs, en lumière, en mouvement, en rythme, saisis dans leurs déplacements les plus fugitifs..

Terrain d’aventures où se mêlent et se démêlent des fragments de lumière éparpillés, l’œuvre accueille ce geste paradoxalement libre et tempéré, ample et mesuré, qui tente de saisir la trace de cette lumière sans pour autant en estomper les profonds sillons laissés au passage de ses tessons en mouvement.

(…)Une peinture heureuse, parce qu’audacieuse! Sans bavardage. Sans prétentions.

Saïd HOUSBANE

8 février - 3 mars 2007, Institut Français de Meknès


P.S: Est ce que Ahmed El Hayani et Bouchta El Hayani sont de la même famille? à ceux qui les connaissent de nous dire plus...!!!!
O
12 novembre 2008 02:00
Salut sii nhabb-bladi
excusez moi si - comme vous dites - , j ai marche au dessus de certaines tetes ...
on ne marche pas sur la tete de quelqu un ,mon ami ...
.......à moins qu il n ait tete et pieds confondus .
..............
tahiati sii nhabb-bladi
siiiiir aala aamalek ..
.........................koulchi dialna wa hna moualih .
N
12 novembre 2008 17:44
Citation
Ouahid Noureddine a écrit:
Salut sii nhabb-bladi
excusez moi si - comme vous dites - , j ai marche au dessus de certaines tetes ...
on ne marche pas sur la tete de quelqu un ,mon ami ...
.......à moins qu il n ait tete et pieds confondus .
..............
tahiati sii nhabb-bladi
siiiiir aala aamalek ..
.........................koulchi dialna wa hna moualih .

Salut Si ouahid,


Montassiba Al kamati amchi ..marfou3a al hamti amchi.....

Donc tête très loin des pieds et personne ne pourra les atteindre ni les fouler.....
N
12 novembre 2008 17:59
Le nouveau système de salaires au Maroc



Voir article du journal almase : [74.53.192.83]

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N
13 novembre 2008 12:41
Curiosités judiciaires contre les animaux en Europe au moyen âge


Texte utilisé dans un test de lecture rapide et extrait du site: [www.hexalto.com]

CURIOSITÉS JUDICIAIRES ET HISTORIQUES DU MOYEN ÂGE.
PROCÈS CONTRE LES ANIMAUX.


Les singularités judiciaires sont nombreuses et variées au moyen âge, et souvent les magistrats interviennent dans des circonstances si bizarres, que nous avons peine à comprendre, de nos jours, comment ces graves organes de la justice ont pu raisonnablement figurer dans de telles affaires.

Toutefois notre but n'est pas de critiquer ici des usages plus ou moins absurdes, mais d'en constater simplement l'existence. Nous bornons notre rôle à raconter les faits, sauf au lecteur à en tirer lui-même les conséquences.

Plusieurs siècles nous séparent de l'époque dont nous cherchons à étudier les mœurs et les idées, qui forment avec les nôtres de si étranges disparates; aussi n'est-ce qu'après de scrupuleuses recherches faites dans les ouvrages des jurisconsultes et des historiens les plus respectables, que nous avons osé présenter cette rapide esquisse.

Au moyen âge on soumettait à l'action de la justice tous les faits condamnables de quelque être qu'ils fussent émanés, même des animaux.

L'histoire de la jurisprudence nous offre à cette époque de nombreux exemples de procès dans lesquels figurent des taureaux, des vaches, des chevaux, des porcs, des truies, des coqs, des rats, des mulots, des limaces, des fourmis, des chenilles, sauterelles, mouches, vers et sangsues.

La procédure que l'on avait adoptée pour la poursuite de ces sortes d'affaires revêtait des formes toutes spéciales; cette procédure était différente, suivant la nature des animaux qu'il s'agissait de poursuivre.

Si l'animal auteur d'un délit—tel par exemple qu'un porc, une truie, un bœuf—peut être saisi, appréhendé au corps, il est traduit devant le tribunal criminel ordinaire, il y est assigné personnellement; mais s'il s'agit d'animaux sur lesquels on ne peut mettre la main, tels que des insectes ou d'autres bêtes nuisibles à la terre, ce n'est pas devant le tribunal criminel ordinaire que l'on traduira ces délinquants insaisissables, mais devant le tribunal ecclésiastique, c'est-à-dire devant l'officialité.

En effet que voulez-vous que fasse la justice ordinaire contre une invasion de mouches, de charançons, de chenilles, de limaces? elle est impuissante à sévir contre les dévastations causées par ces terribles fléaux; mais la justice religieuse, qui est en rapport avec la Divinité, saura bien atteindre les coupables; elle en possède les moyens: il lui suffit de fulminer l'excommunication.

Tels étaient, en matière de procès contre les animaux, les principes admis par les jurisconsultes du moyen âge. Arrivons maintenant à la preuve de cette assertion.

Parlons d'abord des procès poursuivis contre les animaux devant la justice criminelle ordinaire.

Comme on le voit encore de nos jours dans certaines localités, les porcs et les truies, au moyen âge, couraient en liberté dans les rues des villages, et il arrivait souvent qu'ils dévoraient des enfants; alors on procédait directement contre ces animaux par voie criminelle. Voici quelle était la marche que suivait la procédure:

On incarcérait l'animal, c'est-à-dire le délinquant, dans la prison du siège de la justice criminelle où devait être instruit le procès. Le procureur ou promoteur des causes d'office, c'est-à-dire l'officier qui exerçait les fonctions du ministère public auprès de la justice seigneuriale, requérait la mise en accusation du coupable. Après l'audition des témoins et vu leurs dépositions affirmatives concernant le fait imputé à l'accusé, le promoteur faisait ses réquisitions, sur lesquelles le juge du lieu rendait une sentence déclarant l'animal coupable d'homicide, et le condamnait définitivement à être étranglé et pendu par les deux pieds de derrière à un chêne ou aux fourches patibulaires, suivant la coutume du pays.

Du treizième au seizième siècle, les fastes de la jurisprudence et de l'histoire fournissent de nombreux exemples sur l'usage de cette procédure suivie contre des pourceaux et des truies qui avaient dévoré des enfants, et qui, pour ce fait, étaient condamnés à être pendus.

L'exécution était publique et solennelle; quelquefois l'animal paraissait habillé en homme. En 1386 une sentence du juge de Falaise condamna une truie à être mutilée à la jambe et à la tête, et successivement pendue pour avoir déchiré au visage et au bras et tué un enfant. On voulut infliger à l'animal la peine du talion. Cette truie fut exécutée sur la place de la ville, en habit d'homme; l'exécution coûta dix sous dix deniers tournois, plus un gant neuf à l'exécuteur des hautes œuvres.

Suite....
N
13 novembre 2008 12:52
Suite procès contre animaux en Europe...

L'auteur de l'Histoire du duché de Valois, qui rapporte le même fait, ajoute que ce gant est porté sur la note des frais et dépens pour une somme de six sous tournois, et que dans la quittance donnée au comte de Falaise par le bourreau, ce dernier y déclare qu'il s'y tient pour content et qu'il en quitte le roi notre sire et ledit vicomte. Voilà une truie condamnée bien juridiquement!

On procédait aussi par les mêmes voies judiciaires contre les taureaux coupables de meurtres. Ecoutons l'auteur de l'Histoire du duché de Valois, qui rapporte le fait suivant:

«Un fermier de village de Moisy laissa échapper un taureau indompté. Ce taureau ayant rencontré un homme, le perça de ses cornes; l'homme ne survécut que quelques heures à ses blessures. Charles, comte de Valois, ayant appris cet accident au château de Crépy, donna ordre d'appréhender le taureau et de lui faire son procès. On se saisit de la bête meurtrière. Les officiers du comte de Valois se transportèrent sur les lieux pour faire les informations requises; et sur la déposition des témoins ils constatèrent la vérité et la nature du délit. Le taureau fut condamné à être pendu. L'exécution de ce jugement se fit aux fourches patibulaires de Moisy-le-Temple. La mort d'une bête expia ainsi celle d'un homme.

«Ce supplice ne termina pas la scène. Il y eut appel de la sentence des officiers du comte, comme juges incompétents, au parlement de la Chandeleur de 1314. Cet appel fut dressé au nom du procureur de l'hôpital de la ville de Moisy. Le procureur général de l'ordre intervint. Le parlement reçut plaignant le procureur de l'hôpital en cas de saisine et de nouvelleté, contre les entreprises des officiers du comte de Valois. Le jugement du taureau mis à mort fut trouvé fort équitable; mais il fut décidé que le comte de Valois n'avait aucun droit de justice sur le territoire de Moisy, et que les officiers n'auraient pas dû y instrumenter.»

P.S: Connaissez vous un cas équivalent dans le monde arabo-musulman et dans lequel on a jugé un amnimal? Moi, je ne pense pas car dans la Sunna, on ne peut juger quelqu'un qui n'a pas de 3a9l (la raison) ou même mineur même s'il est un être humain. Alors comment peut-on juger un animal?
J'avais entendu aussi que les colons d'Algérie avait jugé une cigogne qui enlevait à chaque fois le drapeau de l'Empire Colonial pour aller le jeter loin. Ce drapeau était pêrché à côté de son nid. On m'a dit qu'on attrapé cette cigogne et on l'a jugée comme un être incitant à la rebellion...Un Fellag si on veut!!! Est ce qu'il y a une personne qui pourra confirmer Cette histoire car moi j'ai des doutes??? Peut-être qu'il y a par ici, on ne sait jammais, des spécialistes de l'Histoire d'Algérie qui pourront nous dire plus...!!!!!
m
14 novembre 2008 11:45
Je souhaite que Si Ouahid Noureddine arrete ces types de discusions qui n'ont rien de valeur ajoutée pour nos informations.
En plus je constate qu'un certain nombre de personnes ont arreté d'écrire dans ce topic je pense que c'est à cause de ces messages allati la toghni min jou3 (ÇáäÞÇÔ ÇáÓÝÓØÇÆí).
Et bon continuation pour Si N7abb-bladi.
Salam
M
14 novembre 2008 22:32
SI WAHID
ha wahad l3ar il a ma hannina..charak bi koul ihtiram,khassak tnakch nas bikoul ihtiram,la haine o hadra dial drari ma3adna mandirou biha ,hada rah forum li jami3 nas,il a ma3ajbakch l avis dial chi wahad khalih o sir,il a makdartich tnakach skout fi halak...bla ma3yar o hadra nakssa....nas taounat rahoum azaz lah i3aounhoum o man ahssan rijals...wila rkabti lwlad yossoufia ala dharhoum o saktou alik rah ghir hachmou mannak...amma Taounat nari wa333333333rine ya sahbi.
galou siadna loulines: tikar cheikh man rassou.
A
15 novembre 2008 01:55
Bonsoir à tous les taounatis là ou ils vivent.Et je que ce sont les hommes du savoir et ....Càd(AHLO LIILM WA LKORANE) et par conséquent il n'ont pas besoin de moral des gens qui ne sont pas issus de cette région connue pour ses oliviers et ses figues et ses hommes.De Tissa à Wad BOU MECHWI(entre mernissa et boured après ain barda)en allant de fenassa à rafsai et bni ahmed (bni Mejro) jusqu'à Tafrant ou sad Lamjaara,Ce sont TOUS des JBALA ET ils sont FIERs ET ils nous reprochent de ne pas etre à la hauteur de notre patrimoire qui est tellement riche .....Pour couper la longue à ts les intrus du tropic ,les tntis sont universels et lies à leurs Terres là ou ils sont.Don bonne continuation ds le Haut wargha et à bientot
N
15 novembre 2008 02:59
Merci Si Modman, Si Asbirou, Si Mounaji pour vos contributions dans ce forum et je suis d'accord avec vous pour une commnunication raisonnable.

Si Asbirou, Tous les Jbala sont fiers de leurs origines et de leur Histoire....car en plus de ceux que tu as cité , je rajoute Senhaja Chems et Dall, Rghiwa, Mthiwa, Beni Ounjel, Beni Oulid, Fechtala, El jaia, Slèss, Mezraoua,Chraga, Oulad Jama3, Hawwara, .....

Ce grand nombre de tribus donne au patrimoine matériel et immatériel de Taounate une caractéristique unique car chaque tribu possède ses us et coutumes, sa culture, son art cilinare, ses hommes qui sont toujours au service du Maroc ou ses hommes qui sont restés dans l'Histoires comme Moulay Bouchta Al Khamar ou Sidi Ali Ben Daoued ou AbdelAziz El Fechtali le vainqueur de la bataille de Oued El Makhazine et qui ont combattu l'Espagne et le Portugal au 16 ème sciècle ou Sidi El Hajjami d'El Jaia qui est le premier au MAroc à avoir attaqué l'armée coloniale à Fès avec l'aide de diférentes tribus de Taounate quand le MAroc avait signé l'accord du protéctorat en 1912, ses Chorfa et descendants des 4 Califes qui sont très nombreux vu l'amour des Jbala pour la descendance du Prophète SAAS et ses compagnons, Ses lettrés et savants dans toutes les sciences surtout ceux ayant enseigné à la Qaraouyine de Fès ou ceux ayant fabriqué les MAganas de cette mosquée comme El Jai et Senhaji ou celui qui est à l'origine du mot grammaire comme Ibn Ajrroum ou Agorram Senhaji, un nombre très élévé de Fqihs à l'image du premier Minsitre des Habbouss au MAroc originaire d'eL Jaia ou El Ghazi El Housseini le Mufti du MAroc ayant cessé depuis peu, de Zawaya comme la Tariqa Derkaouia à Beni Zeroual ou El Hajjamia ou SiDi Ben HAssoun dont le moussem de bougies est célébré à Salé, ...ses industries artisanales comme le tissage à Oulad Azam Spécialement, vannerie et presse d'olives ....,De Soltane Ettalaba comme El Qorri Mohamed, ...Le premier médailler marocain Abdeslam Radi de Mernissa-Taounate....Ses martyrs lors de la guerre du Rif dont le front sur Taounate était de plus de 200 Km....

En plus de cela, la providence divine a donné à Taounate tout, ce qui au cours des sciècles a preservé Taounate de la famine et de la mortalité qui s'en suit. C'est pourquoi, comme dans toute Bled Jbala, la densité de la polpulation avant la migration est parmi les plus grandes au Maroc...Ce sont les autres régions du Maroc qui venaient soit chercher à manger des produits en abondance chez Jbala comme les figues, rasins secs, les olives et huiles d'olive, la purré de Fève ou de petit-pois (Bissara était le sauveur des Jbala en ces temps difficles),...à ce titre et vue l'abondance des fruits à Taounate, on appelait El Jaia/Fechtal/Slèss et aussi Bouadel le Petit Cham ( ECham Essaghir) soit à s'installer définitivement chez les Jbala. C'est pourquoi, on y trouve des gens du Gharb, des Riafa, des Swassa et dont la descendance habite toujours Taounate....

Rabbi 3tana f Taounate: les beaux payasages, la verdure, les rivières et 12 Barrages/lacs colinaires, Les sources d'eaux comme celle de Bouadel connue internationalement...les arbres fruitiers ou non comme Oliviers, Figuiers, Pruniers, Figuiers de Barbarie, Grenadiers, Caroubiers, Lenstiqyes, Frênes, l'Agave, ..., la meilleure race des cheveaux connue à l'international avec son moussem de Tissa ..de la musique depuis la Taqtoqa de Laroussi ou El Haiti ou Rba3a ou 3ay3ay...Le sel de Tissa...les grottes et cavernes comme la plus longue grotte saline d'Arfique à Tissa...Les forteresses à Mergou, Taouante, Tissa, ...Le mechoui de la meilleur viande engraissée à la fève et orge d'Ain Aicha..Les raisins fruités de ben Ali et Benzakour...les poissons du barrage El Wahda comme Sandre, brochet, Black, ... Les fruits et légumes au long des rivières dans des Sahel comme la grenadine dont Taounate est kle 4 ème producteur...le capre, l'ail, la Niora, la caroube,..dont Taounate est leader...

Il reste à déveloper cette région oubliée (Rif central et Méridional) depuis l'indépendance car c'est la région des 80 fermes dont une pépinière à Ain Médiouna des plus grandes au MAroc, toutes sur les rives de l'Ourgha à disparues petit à petit depuis l'indépendance et dont il reste 4 actuellemnt...

Le développement du Maroc auquel nous tenons passera par celui des régions et donc Taounate doit être dévelopée comme toutes les autres régions....Beacoup d'initiatives ont été lancées, mais beacoup reste à faire comme une faculté, des usines ou des unités industrielles car Taounate est la seule région sans unités industrielles au MAroc vue que ses matières premières sont trasportées et traitées à Fès...Pourtant les déchets de Fès sont rejetés dans Sebou qui est très pollué...D'ailleurs le Chabel ne monte plus dans cette rivière...

Vive le Maroc et Vive Taounate!!!!!
m
15 novembre 2008 20:42
Citation
N7abb-bladi a écrit:
Merci Si Modman, Si Asbirou, Si Mounaji pour vos contributions dans ce forum et je suis d'accord avec vous pour une commnunication raisonnable.

Si Asbirou, Tous les Jbala sont fiers de leurs origines et de leur Histoire....car en plus de ceux que tu as cité , je rajoute Senhaja Chems et Dall, Rghiwa, Mthiwa, Beni Ounjel, Beni Oulid, Fechtala, El jaia, Slèss, Mezraoua,Chraga, Oulad Jama3, Hawwara, .....

Ce grand nombre de tribus donne au patrimoine matériel et immatériel de Taounate une caractéristique unique car chaque tribu possède ses us et coutumes, sa culture, son art cilinare, ses hommes qui sont toujours au service du Maroc ou ses hommes qui sont restés dans l'Histoires comme Moulay Bouchta Al Khamar ou Sidi Ali Ben Daoued ou AbdelAziz El Fechtali le vainqueur de la bataille de Oued El Makhazine et qui ont combattu l'Espagne et le Portugal au 16 ème sciècle ou Sidi El Hajjami d'El Jaia qui est le premier au MAroc à avoir attaqué l'armée coloniale à Fès avec l'aide de diférentes tribus de Taounate quand le MAroc avait signé l'accord du protéctorat en 1912, ses Chorfa et descendants des 4 Califes qui sont très nombreux vu l'amour des Jbala pour la descendance du Prophète SAAS et ses compagnons, Ses lettrés et savants dans toutes les sciences surtout ceux ayant enseigné à la Qaraouyine de Fès ou ceux ayant fabriqué les MAganas de cette mosquée comme El Jai et Senhaji ou celui qui est à l'origine du mot grammaire comme Ibn Ajrroum ou Agorram Senhaji, un nombre très élévé de Fqihs à l'image du premier Minsitre des Habbouss au MAroc originaire d'eL Jaia ou El Ghazi El Housseini le Mufti du MAroc ayant cessé depuis peu, de Zawaya comme la Tariqa Derkaouia à Beni Zeroual ou El Hajjamia ou SiDi Ben HAssoun dont le moussem de bougies est célébré à Salé, ...ses industries artisanales comme le tissage à Oulad Azam Spécialement, vannerie et presse d'olives ....,De Soltane Ettalaba comme El Qorri Mohamed, ...Le premier médailler marocain Abdeslam Radi de Mernissa-Taounate....Ses martyrs lors de la guerre du Rif dont le front sur Taounate était de plus de 200 Km....

En plus de cela, la providence divine a donné à Taounate tout, ce qui au cours des sciècles a preservé Taounate de la famine et de la mortalité qui s'en suit. C'est pourquoi, comme dans toute Bled Jbala, la densité de la polpulation avant la migration est parmi les plus grandes au Maroc...Ce sont les autres régions du Maroc qui venaient soit chercher à manger des produits en abondance chez Jbala comme les figues, rasins secs, les olives et huiles d'olive, la purré de Fève ou de petit-pois (Bissara était le sauveur des Jbala en ces temps difficles),...à ce titre et vue l'abondance des fruits à Taounate, on appelait El Jaia/Fechtal/Slèss et aussi Bouadel le Petit Cham ( ECham Essaghir) soit à s'installer définitivement chez les Jbala. C'est pourquoi, on y trouve des gens du Gharb, des Riafa, des Swassa et dont la descendance habite toujours Taounate....

Rabbi 3tana f Taounate: les beaux payasages, la verdure, les rivières et 12 Barrages/lacs colinaires, Les sources d'eaux comme celle de Bouadel connue internationalement...les arbres fruitiers ou non comme Oliviers, Figuiers, Pruniers, Figuiers de Barbarie, Grenadiers, Caroubiers, Lenstiqyes, Frênes, l'Agave, ..., la meilleure race des cheveaux connue à l'international avec son moussem de Tissa ..de la musique depuis la Taqtoqa de Laroussi ou El Haiti ou Rba3a ou 3ay3ay...Le sel de Tissa...les grottes et cavernes comme la plus longue grotte saline d'Arfique à Tissa...Les forteresses à Mergou, Taouante, Tissa, ...Le mechoui de la meilleur viande engraissée à la fève et orge d'Ain Aicha..Les raisins fruités de ben Ali et Benzakour...les poissons du barrage El Wahda comme Sandre, brochet, Black, ... Les fruits et légumes au long des rivières dans des Sahel comme la grenadine dont Taounate est kle 4 ème producteur...le capre, l'ail, la Niora, la caroube,..dont Taounate est leader...

Il reste à déveloper cette région oubliée (Rif central et Méridional) depuis l'indépendance car c'est la région des 80 fermes dont une pépinière à Ain Médiouna des plus grandes au MAroc, toutes sur les rives de l'Ourgha à disparues petit à petit depuis l'indépendance et dont il reste 4 actuellemnt...

Le développement du Maroc auquel nous tenons passera par celui des régions et donc Taounate doit être dévelopée comme toutes les autres régions....Beacoup d'initiatives ont été lancées, mais beacoup reste à faire comme une faculté, des usines ou des unités industrielles car Taounate est la seule région sans unités industrielles au MAroc vue que ses matières premières sont trasportées et traitées à Fès...Pourtant les déchets de Fès sont rejetés dans Sebou qui est très pollué...D'ailleurs le Chabel ne monte plus dans cette rivière...

Vive le Maroc et Vive Taounate!!!!!

Salut Si N77ab-bladi,
Bien sur notre region est très riche en nature, artisanat ,cotumes,...
Salam
N
16 novembre 2008 21:13
Des extraits d'un article sur la source de Bouadel traduits en franaçais


Dans le journal Almase (en papier) du 25 aout 2008, il y a un article de son journaliste Lahcen Walni3am qui décrit la source de Bouadel avec des termes élogoieux en la comparant à Ifrane. Avant, on la comprait aussi au petit Cham comme la région de Fectala/Jaia/Slèss.
En fait, d'après le jounaliste, 3000 personne pendant l'été vissitent quotidiennement cette source fraiche dont l'eau est minérale naturelle et dont le débit varie selon les saisons entre 250 et 400 l/s et où abondent prunes, figues, raisins....qui sont des produits du terroir...et où on se repose paisiblement....sans se soucier de la chaleur quelque soit les indications du thermolmètre...

Ce journaliste décrit aussi les difficultés pour le pouvoir public de faire un grand projet touristique pour la région qui pourra faire dynamiser l'économie locale en faisant travailer beaucoup de monde.
Il rajoute que le président de la commune de Bouadel, Mohamed Loumadine, avait déclaré que le conseil communal de Bouadel avait signé en 2006 un accord avec la société Coca-Cola et qui a été transmis au Ministère de l'Intérieur pour agréement afin de débuter l'exploitation de cette source selon les conditions suivantes:

La société De Coca-Cola:

- versera 1 milliard de centimes à la commune de Bouadel avant l'exploitation
- prendra 7 litres/s pendant les 12 premières année et ensuite 14 litres/s.
- versera ensuite 2% sur les vente de bouteille à la commune de Bouadel
- Fera travailer au moins 75% de la main d'oeuvre locale

Il rajoute que l'ONEP avait préseté en 2000 des projets pour exploiter cette source et développer cette région en la dotant des techniques modernes d'irrigation. Mais les populations locales avaient refusé malgré des interventions de personnes influentes comme intermédiaires car 3 tribus (Bouadel, Beni Qorra, Oulad Azam) se battent pour la ligitimité de l'exploitation de cette eau et surtout pendant les élections et pendant les sechresses.

Il rajoute que les gens de Bouadel voient qu'ils sont les seuls ayant-droits pour l'exploitations de cette source car la source se trouvent sur leurs terres en propriété privée et ceci malgré l'article de loi 10/95 qui organise l'exploitation des eaux source en permettant à l'ONEP d'exploiter des sources d'eau minérales en la mettant en bouteile et en la commercialisant et de proteger ces sources contre la pollution, la dégradation, ..
Avec cette crise et afin de la dépasser, L'ONEP prévoit à long terme l'adduction d'eau du Barrage de Bouhouda (se trouve à Mthiwa) pour la population locale après des difficultés d'exploitation d'une source à côté de la rivière d'Ourgha (qui n'est pas loin) à cause de salinité élevée.
Avec des puits asséchés (le problème de sechresse et de la diminution de la nappe phréatique), la commune distribue de l'eau pour bétail grâce à un camion-citerne mis à sa disposition grâce à un accord avec la Délagation Provinciale d'Agriculture (DPA)....

P.S: 1) Pendant l'été, le journal Almase écrivait chaque jour un aticle sur un endroit touristique ou historique de chaque région du Maroc. Je trouve tous les articles sur les autres région pendant le mois d'aout, mais je n'arrive pas à trouver cet article de Bouadel sur les archives du journal Almase N° 602 du 25/08/2008.
Pourtant, cet article existe sur la version papier de cette date. Même le journal Sada Taounate l'avait republié sur son journal N° 177 de Spetembre 2008. Parfois, on comprend rien..!!!!

2) Dans, Le Bulletin Officiel (BO) du 18 Aout 2008 et à gauche de la page 2446 et développé à la page 2453, il est indiqué (la date de la signature 4 aout 2008) que le président de la commune de Bouadel Mohamed Loumadine a été destitué de sa fonction par le premier Minsitre et par délégation par le MI suite à des irrégularité dans la gestion de la commune. Voir ce lien du BO pour plus de détails :
[www.sgg.gov.ma]

Cette même information est relayée par le journal Sada Taounate N° 177 du mois de Spertembre 2008.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 16/11/08 21:49 par N7abb-bladi.
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