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Pensée sauvage a écrit:
Salam aleikoum,
Le post sur le travail de la femme m'a inspiré celui là.
Une bonne part des hommes de notre communauté semble trouver le travail de la femme illégitime, voir même nuisible à l'équilibre de la famille lorsqu'il est question du travail de l'épouse.
Entendons nous, chacun vit comme il veut, on est aussi influencé par d'autres facteurs, milieu socio-culturel, perspectives d'emploi dans notre ville/région, niveau d'études, etc.
Toutefois, je pense qu'il est important d'intégrer que le travail des femmes dans la société est légitime, et plus que ça, bénéfique, je dirais même nécessaire à la société et aux individus qui la composent.
Chaque travailleur est un maillon de la chaîne économique, chaque emploi à son utilité.
Nous sommes contents de vivre dans le confort que la société nous permet d'atteindre.
Les femmes qui travaillent contribuent donc au développement de notre société, chacune à leur niveau, chacune dans leur domaine.
Les femmes ont autant de capacités et de compétence que les hommes, il suffit de les développer.
Priver la société du travail des femmes auraient des conséquences regrettables, ça provoquerait une régression à tous les niveaux.
Conclusion, nous avons besoin que les femmes travaillent, de femmes médecins, infirmières, pharmaciennes, etc, pour nous soigner, nous avons besoin de femmes qui gardent nos lieux communs propre, qui font tourner le commerce à tous les niveaux, qui cultivent, qui enseignent, qui cousent nos vêtement, qui inventent, qui cherchent, qui entreprennent, qui traitent des dossiers administratifs, etc.
Il serait bien que nos femmes, nos soeurs, nos filles soient encouragées à apporter leur pierre à l'édifice de notre société, à s'épanouir dans un domaine qui leur plait.
On aura peut être besoin de réinventer l'organisation familiale, mais je pense que ça en vaut la peine.
J'en profite pour remercier tous les travailleurs et toutes les travailleuses pour ce qu'ils font pour nous, et tous les parents au foyer aussi qui apportent leur pierre à l'édifice à leur façon, en élevant du mieux possible les adultes de demain.
J'encourage aussi tous ceux qui étudient, qui se réorientent, qui sont en recherche d'emploi ou en pause, qui prennent le risque d'entreprendre.
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Cawit a écrit:
Pensée présidente !!!
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Scanner a écrit:
Tu choisis le meilleur moment avec la recension et l'augmentation potentielle du chômage pronostiqué.
Bien entendu je partage ce point de vue : une femme instruite, hautement cultivée, c'est le jardin d'Eden dans tous les sens, car elle sublime les passions tant intellectuelles qu'autres.
Travailler pour être prête à faire face aux aléas de la vie décès, divorces, handicaps sévères du conjoint.
Cependant, il est déraisonnable de confier l'éducation enfants à des crèches, des nourrices, du service souvent incultes. Donc oui pour le travail des femmes avec une pause consacrée au développement et à l'éducation des enfants.
Je vais mettre un article sur ce post qui aborde la question sous un autre angle, plus économique et politique : remettre en question ce modèle d'organisation de la société, ces idées reçues et cette dépendance au travail de tout le système.
Excusez la longueur du pavé qui va suivre.
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Taki rumba (D a écrit:
La question travailler ou pas n'est pas la vraie question. C'est surtout le niveau de job auquel on a accès. Si c'est au prix de sa vie ou pas. Tant homme que femme.
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Pensée sauvage a écrit:
Salam aleikoum,
Le post sur le travail de la femme m'a inspiré celui là.
Une bonne part des hommes de notre communauté semble trouver le travail de la femme illégitime, voir même nuisible à l'équilibre de la famille lorsqu'il est question du travail de l'épouse.
Entendons nous, chacun vit comme il veut, on est aussi influencé par d'autres facteurs, milieu socio-culturel, perspectives d'emploi dans notre ville/région, niveau d'études, etc.
Toutefois, je pense qu'il est important d'intégrer que le travail des femmes dans la société est légitime, et plus que ça, bénéfique, je dirais même nécessaire à la société et aux individus qui la composent.
Chaque travailleur est un maillon de la chaîne économique, chaque emploi à son utilité.
Nous sommes contents de vivre dans le confort que la société nous permet d'atteindre.
Les femmes qui travaillent contribuent donc au développement de notre société, chacune à leur niveau, chacune dans leur domaine.
Les femmes ont autant de capacités et de compétence que les hommes, il suffit de les développer.
Priver la société du travail des femmes auraient des conséquences regrettables, ça provoquerait une régression à tous les niveaux.
Conclusion, nous avons besoin que les femmes travaillent, de femmes médecins, infirmières, pharmaciennes, etc, pour nous soigner, nous avons besoin de femmes qui gardent nos lieux communs propre, qui font tourner le commerce à tous les niveaux, qui cultivent, qui enseignent, qui cousent nos vêtement, qui inventent, qui cherchent, qui entreprennent, qui traitent des dossiers administratifs, etc.
Il serait bien que nos femmes, nos soeurs, nos filles soient encouragées à apporter leur pierre à l'édifice de notre société, à s'épanouir dans un domaine qui leur plait.
On aura peut être besoin de réinventer l'organisation familiale, mais je pense que ça en vaut la peine.
J'en profite pour remercier tous les travailleurs et toutes les travailleuses pour ce qu'ils font pour nous, et tous les parents au foyer aussi qui apportent leur pierre à l'édifice à leur façon, en élevant du mieux possible les adultes de demain.
J'encourage aussi tous ceux qui étudient, qui se réorientent, qui sont en recherche d'emploi ou en pause, qui prennent le risque d'entreprendre.
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Scanner a écrit:
La reprise demandera de plus grands efforts, proportionnellement au temps de confinement. Les ressources extérieures tarderont à retrouver les niveaux espérés, comme ceux d’avant la crise.
La politique des barrages nous a épargné de subir de plein fouet cette crise sur le plan alimentaire et ce malgré l’impact de la sécheresse sur le cheptel ovin et surtout bovin. Le développement du secteur de l’agriculture assurant l’alimentation des citoyens est une première voie de développement à consolider, du fait de l’impact de la crise sur nos exportations ou encore nos productions exclusivement destinées à l’étranger.
Un conflit d’intérêt pourraient surgir ente celui public et l’autre privé. Intérêts publics qui suggèrent de dégager fiscalement les moyens de faire face à l'endettement et intérêts privés qui invitent à mobiliser des ressources pour une reprise rapide, créative d'emplois.
En cette période où se préparent les assemblées d'actionnaires pour l'approbation des comptes de l'exercice précédent et déterminer la répartition éventuelle des bénéfices engendrant l'impôt sur les sociétés comme la taxe sur le produit des actions qui alimentent les caisses publiques, il serait bon d’envisager de limiter les distributions, d'encourager les réserves et les immobilisations en vue du développement des entreprises et de la création d'emploi.
Une mesure qui pourrait contraindre les entreprises à faire fructifier les fonds ainsi dégagés et les mettre à contribution pour leur développement tout en différant leurs versements dans le temps.
Des mesures diverses d’incitations au maintient et développement de l’emploi, pourraient être prises afin de soulager et d’aider le secteur informel, le plus touché, pour dépasser la crise.
Dans cette période de transition, du fait de la continuité, le problème du financement se posera pour rétablir un nouvel équilibre dynamique par la stimulation de la consommation interne, par le crédit et l’amélioration des disponibilités financières du consommateur final. Le secteur de l’immobilier fortement employeur pourra bénéficier ainsi d’une demande qui lui permettra de réamorcer son activité.
Retour sur la mondialisation, sur la globalisation, sur la réduction de la dépendance de l’étranger, sur le ratio entre croissance interne et externe, sur les privatisations, sur la politique conseillée du FMI, sur le rôle des banques et de la caisse centrale de garantie, sur le rôle de la bureaucratie, des compétences et des partis ?
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Muesli a écrit:
c’est vrai. c’est pour ca que j’ai quitte la France, pour gagner beaucoup plus sans forcement travailler plus.
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Taki rumba (D a écrit:
1600 net pour 7-19 h minimum, parfois 2h du matin, avec déplacements journaliers. C'est un troc contre sa vie.
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Scanner a écrit:
Tu choisis le meilleur moment avec la recension et l'augmentation potentielle du chômage pronostiqué.
Bien entendu je partage ce point de vue : une femme instruite, hautement cultivée, c'est le jardin d'Eden dans tous les sens, car elle sublime les passions tant intellectuelles qu'autres.
Travailler pour être prête à faire face aux aléas de la vie décès, divorces, handicaps sévères du conjoint.
Cependant, il est déraisonnable de confier l'éducation enfants à des crèches, des nourrices, du service souvent incultes. Donc oui pour le travail des femmes avec une pause consacrée au développement et à l'éducation des enfants.
Je vais mettre un article sur ce post qui aborde la question sous un autre angle, plus économique et politique : remettre en question ce modèle d'organisation de la société, ces idées reçues et cette dépendance au travail de tout le système.
Excusez la longueur du pavé qui va suivre.
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JusteCjuste a écrit:
Merci frangine pour avoir exposé cette belle version bien JUSTE et très logique.
Fini l’époque primitive où la femme destinée uniquement à faire « La Conchita » travaux domestiques à la maison pour mieux servir l’homme.
Dans le monde civilisé la femme occupe exactement la même place que l’homme, par conséquence elle est valorisée comme l’homme voir même d’avantage.
Une femme avec une activité professionnelle s’épanouit d’avantage en dégustent sa vie comme elle le souhaite. Juste c’est juste