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Frèrdogan a écrit:
A qui le dis-tu, on vous tolère bien nous
On plaisante Antigone, enfin j'essaie quand même de l'énerver mais je n'y arrive plus.
Faut dire qu'en inspirant autant de monde, la grincheuse se sent pousser des ailes.
Moi je dis octogone moi VS antigone et jade, mais on ne mord pas, et on ne tire pas les cheveux, combat régulier.
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Antigone 3.0 a écrit:
Décidément on ne parle pas la même langue, mdr...
J'ai rien compris, pourquoi tu veux te battre ? C'est qui l'octogone ?
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LePaysan76 a écrit:
Je pense que c'est le super vilain qui a affronté spiderman
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Antigone 3.0 a écrit:
C'est qui qui a gagné?
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LePaysan76 a écrit:
Spiderman voyons ... mais il en a souffert le pauvre
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LePaysan76 a écrit:
J'ai hâte de lire la suite
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Jade* a écrit:
Cool c'est encourageant
Après tu peux aussi participer ....
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LePaysan76 a écrit:
merci l'ami, c'est toujours un plaisir de te lire on sent comme du vécu à travers les mots ...
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100Coeur * a écrit:
L'histoire d'un Remord.
Se tenant debout à regarder a travers la meurtrière il se remémore durant ces moments difficiles, très difficiles même tt en se remettant a dieu,il retrouve des forces,des forces dont lui même fus le premier surpris..
Une énergie et aussi quelques prémices d'envie de la vie....
Elle était tjrs là, endurante et extrêmement volontaire..
Il la rejeté,l'a obligé a s'éclipser.
Et en s'éclipsant,son énergie,son enthousiasme s'éclipsent aussi..
Et c'est à ce moment là, qu'il compris, imbécile et con qu'il est,qu'en fait il n'étais pas réellement fort, cette force n'était pas sienne,car dieu avait mis cette femme là justement pour lui donner l'envie d'avancer,car il se rendit compte qu'en réalité, il n'était qu un faible prétentieux et orgueilleux.
Malgré qu'elle n'était pas croyante, elle avait cette foi qui te donnait la foi de te relever par la grâce d'Allah.
Pris entre remords et culpabilité,et dans l'espoir et attente de retrouver un autre bon médecin,il préféra ressasser sa haine et sa douleur en cachette, ne montrant à ses gens qu’un visage souriant et indifférent. Pourtant la souffrance le rongeait de l’intérieur..
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Sarah* a écrit:
"Quand le manque de confiance rencontre la course à la montre préoccupée"
Elle attend son train, yeux rivés sur les railles et perdue dans ses pensées : "extrêmement en retard pour une journée qui s'annonce longue et éprouvante...comment vais-je gérer tout ça ?...Tant pis advienne que pourra".
Elle tourne le visage vers la droite, espérant voir le train entrer en gare, mais est intriguée par le regard expressif d'un homme, qui visiblement l'observe depuis quelques instants déjà. Gêné, comme pris les mains dans le sac, il détourne aussitôt son regard, elle aussi. Les questions défilent dans l'esprit de chacun, comme si un lien avait été créé, comme si cet(te) inconnu(e) n'était pas si inconnu(e).
Il est hésitant, elle sent son regard qui se pose sur elle, puis se détourne, puis se pose à nouveau pour se détourner etc...
Le train entre en gare, elle monte tentant d'oublier cette curieuse rencontre, se faufile et se rend compte que toutes les places sont déjà occupées. Elle reste donc debout et, en se retournant, s'aperçoit qu'il l'avait suivie. Il s'était arrêté à sa hauteur, comme pour l'interpeler mais, mis face à la situation, une fraction de seconde suffit pour le décourager complètement. Il se dégonfle et tourne le dos. "Je ne mords pourtant pas" se dit-elle.
À l'arrêt suivant, une place située entre eux se libère et il saisit l'occasion pour lui proposer de s'asseoir. Elle refuse gentiment car elle descend à la prochaine station et s'éloigne vers un espace libre. Il s'assoit, comme fatigué par l'effort. Il jette un regard vers elle, suivi d'un deuxième, puis baisse la tête, la secouant comme un signe de défaite cuisante et pleine de remords.
Le train arrive à destination, pressée, elle s'en va vers cette journée qui l'attend. "Dommage, la tentative n'aurait pas été vaine si menée à bout" se dit-elle, avec un léger sentiment de regret.
To be continued... or not
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LePaysan76 a écrit:
merci l'ami, c'est toujours un plaisir de te lire on sent comme du vécu à travers les mots ...
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Jade* a écrit:
Un conte venu d’ailleurs …
Comme tous les matins elle se réveille bien avant le lever du jour, il fait froid en cette saison, et la maison en hauteur des montagnes, faite de pierres et d'argile est glaciale. Elle jette un regard sur ses 3 enfants allongés à même le sol sur un épais tapis en laine, emportés dans leurs rêves innocents, dormant à poings fermés.
Le chant du coq accompagne l’appel à la prière du fadjr, les petits pas lents de la grand-mère se font entendre, elle aussi habituée depuis toujours à se réveiller aux aurores. La jeune femme embrasse le front de l’aïeule en signe de respect et de bonjour, et lui tend sans un mot, un récipient rempli d’eau de source, glacée, prélevée dans une jarre en terre. Elles s’attèlent ainsi côté à côté dans un silence religieux à faire leurs ablutions pour la prière du fajr avant de vaquer à leurs occupations. La journée pour elles commence très tôt, et finit très tard, entre la maison, les enfants et parfois les champs elle était sans répit.
Le jour commence à se lever, la maman allume le feu pour cuire la traditionnelle galette matinale à l’huile d’olive, entourée de la grand-mère un chapelet à la main, qui se réchauffe au coin du feu sa petite fille de 4 ans dans les bras.
Dehors le village reprend vie, le ciel s’éclaircit, et sa noirceur s’estompe au premier rayon de soleil qui apparait timidement entre deux cimes enneigées, un soleil hivernal, venu réchauffer les terres du givre de l’aube, et inonder d’or les collines, chassant le parme qui s’étire et s’efface vers des confins impénétrables.
L’aïeule assise sur le tapis au coin du feu, tend un verre de lait chaud à sa petite fille dans lequel elle glisse une cuillerée de miel, et la regarde attendrie boire par petite gorgée, son chapelet à la main, elle psalmodiait ainsi toute la journée sans jamais s’arrêter. Droite et digne, témoin indéfectible des souffrances passées, elle avait vécu les guerres, la misère et la colonisation, y avait laissé à chaque fois une partie d’elle, un père, un frère, un mari, un fils, patiente et résignée, acceptant ce que Dieu lui a réservé, elle avait accueilli les hauts et les bas comme une bénédiction de la vie. Aujourd’hui entourée de ses petits enfants qui l’aident à se déplacer, elle leur raconte l’histoire de leurs ancêtres afin de perpétuer en eux la tradition des siens.
Le regard las et fatigué elle tend la main pour saisir une galette, la coupe et donne une part à la petite fille dont les pensées sont à mille lieux dans des bulles colorées, elle est contente que sa petite descendante puisse aller à l’école et apprendre à lire et à écrire, contrairement aux générations passées sacrifiées dans un quotidien où l’instinct de survie en était la priorité.
Sentant le regard de sa grand-mère sur elle, la petite lui sourit et dit :
- On va donner à manger aux poules grand-mère ?
- Il fait encore un peu froid pour toi, on va attendre un peu
C’est ainsi que tous les matins les femmes de la maisonnée de retrouvaient, au coin du feu, partageant un rituel rodé, fait de petites habitudes, qui alignées côte à côte, construisaient leurs traditions …
A suivre … si je peux
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FemmeBell a écrit:
Et moi taime me lire??
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LePaysan76 a écrit:
Ah mais je suis certain qu'il y a en toi un talent d'écrivain... j'attends avec impatience de te lire dans le café yabi avec une histoire sortie tout droit de ton imagination ?
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FemmeBell a écrit:
La suite la suite ont veut la suite ?