J'ai du mal à croire que l'Algérie qui a créé (ou presque), qui a entretenu, qui héberge et qui finance le Polisario doit être obligée de faire les bons offices. C'est comme si un Général de Corps d'Armée s'abaissait à faire l'arbitre entre ses sous-officiers. Ce n'est pas crédible. Soit le pouvoir algérien n'a aucune autorité sur le Polisario, ce que j'ai du mal à croire, soit il le prépare à autre chose. On le saura dans l'avenir. Peut-être à l'occasion du prochain round de négociation. Si l'information de l'article se confirme, la logique du pouvoir algérien défie la raison.