Auteur: Mohammed Bennis,
Dans ce recueil, au travers d'une écriture blanche, le vide fait écho à l'oubli, voire à la mort. Le vide dans lequel s'inscrit la poésie de Bennis n'est pas synonyme de néant, mais s'apparente plutôt à l'orphelinat hölderlinien, lorsque le poète, abandonné des dieux, fait l'épreuve de la traversée de la détresse.