Un accord de libre-échange global avec le Maroc est l’objectif annoncé par la Commission européenne. Bruxelles entend, également, octroyer des facilités d’accès aux étudiants et aux investisseurs à l’espace des Vingt-sept.
L’approche sécuritaire du gouvernement Benkirane a été dénoncée, hier, à la Chambre des conseillers. Mustapha Ramid , présent à l’hémicycle, a essayé de défendre son équipe.
On connaît les liens avérés qui unissent le PJD marocain et Annahda tunsien, les deux partis président les gouvernements de leurs pays respectifs. Les salafistes des deux côtés souhaitent marcher sur les pas des premiers. Une tentative qui rencontre, pour le moment, quelques obstacles.
Pendant plus de deux heures, Benkirane s’est plié, hier à la Chambre des représentants, aux jeux des questions de la majorité et de l’opposition. Un exercice inédit qui, dorénavant, sera mensuel
La tension monte d’un cran à Béni Bouyache. La poursuite des arrestations de jeunes en est la principale cause. Cette fois, c’est le cas Halim El Bekkali qui est à l’origine de l’escalade.
L’impôt sur la fortune ne figure pas sur la loi de finance 2012, adoptée, le vendredi 10 mai, par la Chambre des conseillers. Un vote que conteste, d’ailleurs, la FDT. Le syndicat, très proche de l’USFP, compte solliciter l’avis de la Cour constitutionnelle.
Les ressortissants algériens établis à l’étranger ont le droit de voter, les Tunisiens également. Les Marocains non. Des prétextes qui ne tiennent nullement la route sont souvent avancés pour expliquer cette mise à l’écart.
La croissance économique accuse une baisse significative. Les indicateurs économiques sont dans le rouge à l’exception des transferts des MRE. C'est dans cette conjoncture difficile que le gouvernement souhaite vendre une partie des réserves en or, chose que refuse la wali de Bank Al Maghrib.
Mardi à Casablanca, le roi Mohammed VI a installé les membres d’une instance chargée de la réforme de la justice. Une quarantaine de profils y figure dont des magistrats, ceux réunis au sein de l’Amicale hassanienne mais aucune place pour le Club des magistrats, récemment créé.
Il n’y aura plus de question posée en amazighe au parlement, le temps nécessaire pour l’adoption de la loi organique de l’officialisation de cette langue et de recruter des traducteurs.