Le Maroc va-t-il suivre ses alliés des monarchies du Golfe et placer les chiites du Hezbollah sur la liste des organisations terroristes ? Hier le n°2 du ministère de l’Intérieur, Charki Draiss, a appuyé la décision des ministres de l’Intérieur des pays arabes ayant déclaré l’organisation libanaise comme terroriste.
Le 18 février, le ministère de l’Intérieur annonçait le démantèlement d’un groupe terroriste présumé proche de Daesh. L’opération menée par des éléments du Bureau central des investigations judiciaires (BCIJ), relevant de la DST, a permis la saisie de produits chimiques dans une maison à El Jadida. Après deux semaines d’analyses, le BCIJ affirme aujourd’hui que
Dimanche 28 février à Rabat, Abdelilah Benkirane confiait à des journalistes qu’il n’y avait pas de crise avec le RNI de Mezouar. Trois jours plus tard, un communiqué du bureau politique du parti de la Colombe apporte un sérieux démenti aux propos du chef du gouvernement. L’instance appuie sans la moindre concession l’analyse de la situation politique faite, en février à Rabat devant les membres du conseil
Et de quatre. Le projet de loi sur la réforme des retraites est toujours bloqué à la commission des finances à la Chambre des conseillers, présidée par un membre de l’Istiqlal. Son examen qui était prévu, hier, a été reporté une nouvelle fois à une date ultérieure. Les représentants des syndicats et des partis de l’opposition ont réclamé le retrait définitif du
Mohamed Lamine Bouhali, l’ancien «ministre de la Défense» du Polisario hausse le ton contre l’ONU. Il estime, dans une interview accordée à un quotidien algérien, que l’organisation internationale est incapable de forcer le Maroc à accepter la solution du referendum au Sahara occidental.
Le gouvernement libyen vient d’imposer des visas aux Marocains souhaitant se rendre en Libye, annonce un média local. C’est un retour de l’application d’une décision déjà prise en automne 2011 par l’ex-Conseil national de transition qui était aux «commandes» immédiatement après la chute de Kadhafi. Mais la situation de chaos qui prévaut dans le pays depuis quatre ans avait rendu caduque
Rien ne va plus entre Abdelilah Benkirane et Abdelaziz Aftati. Le chef du gouvernement a confié à des journalistes sa ferme décision d’interdire au député de Oujda de se présenter aux législatives du 7 octobre, affirme dans son édition du mardi le quotidien Akhbar Al Yaoum. Aftati se devait de répliquer. Dans une mise au point parvenue ce soir à notre rédaction, il assure que «personne n’a
Les trente sièges réservés aux jeunes à la Chambres des représentants n’intéressent pas toutes les organisations des jeunesses des partis marocains. Trois d’entre elles, appartenant au PSU, PADS et CNI, appellent le ministère de l’Intérieur à les annuler lors du scrutin du 7 octobre, estimant qu’ils sont une rente politique. Une position qui tranche avec la mobilisation, initiée il y a une semaine par
Le 5 mars à Rabat, Mohamed El Fizazi sera promu «guide général» de l’Association marocaine de prédication et de réforme. La structure ambitionne de rassembler les salafistes marocains. Un projet qui intéresse, également, le PAM d’Ilyas El Omari.
Nouveau rebondissement en Tunisie dans l’affaire du rapport économique plagié d’un document marocain de 2011. Une radio locale annonce que dans le sillage de ce scandale, trois universitaires auraient présenté leurs démissions au chef du gouvernement du Conseil d’analyse économique. Dans une lettre adressée à Habib Essid, ils expliquent leur décision par les «doutes» qui planent sur leur