Les prix de la plupart des biens immobiliers enregistrent de faibles hausses entre le quatrième trimestre 2017 et le premier trimestre 2018.
C’est désormais officiel. Le royaume a opposé une fin de non-recevoir à la proposition du Conseil de l’Europe d’installer des centres de rétention dans certains pays du Maghreb. Une offre transmise hier par Josep Borrell, chef de la diplomatie espagnole. «La position du Maroc sur les centres de rétention est claire. Il la rejette et a toujours rejeté ce type de méthode pour la gestion du problème», a
La septième chambre de la Cour d'appel de Casablanca vient de rendre un jugement en première instance, condamnant le journaliste Hamid El Mahdaoui à trois ans de prison ferme et à une amende de 3 000 DH. Le directeur du site Badil.info est accusé de «non-dénonciation d’un crime portant atteinte à la sûreté de l’Etat», sur la base d’une conversation téléphonique où son interlocuteur,
Moroccan journalist Hamid El Mahdaoui was sentenced to three years in prison and fined 3000 dirhams on Thursday, 28th of June, by the Criminal chamber of the Casablanca Court of Appeals. El Mahdaoui, who is also the founder and the editor-in-chief of online news website Badil.info, was found guilty of failing to report «an attempt to endanger internal state security» to the authorities. On the 26th of June, the Casablanca Court of Appeals decided to separate his trial from the
أدانت قبل قليل غرفة الجنايات الابتدائية في محكمة الاستئناف بالدار البيضاء، الصحافي حميد المهداوي بثلاث سنوات سجنا نافذا، وغرامة مالية قدرها 3000 درهم. وكانت هيئة الحكم قد قررت قبل أيام فصل ملف المهداوي عن ملف معتقلي حراك الريف الذي بثت فيه يوم الثلاثاء الماضي. وتوبع الصحافي
«Nous, familles des détenus politiques du Hirak du Rif, en plus de l’opinion publique nationale et internationale, sommes sous le choc au lendemain de la condamnation de nos enfants à de lourdes peines». C’est ainsi que dans un communiqué conjoint daté de mercredi, les familles des détenus condamnés à Casablanca et à Al Hoceïma se sont indignés face à ce qu’elles qualifient d’une
Une buraliste albigeoise qui a refusé de donner un colis à une femme de confession musulmane voilée, sous prétexte qu’elle ne pouvait pas l’identifier avec son voile, a été condamnée à une amende de 1 000 euros, ce jeudi par le tribunal correctionnel d’Albi (France), indique Le Parisien. Anais Raillant s’était rendue le 13 avril au point de relais le plus près de chez elle, pour
Lors d’un point de presse organisé mercredi au Quai d’Orsay, les jugements prononcés par la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca à l’encontre des détenus du Hirak ont fait l’objet d’une question. Après avoir rappelé les circonstances du jugement, le journaliste s’est demandé quelle était la «réaction de la France à cet épilogue judiciaire du
En période estivale, familles et voisins vivent au rythme des fêtes de mariages au Maroc, que ces derniers soient organisés par des Marocains ou des MRE. L’émission hebdomadaire «Le Carrefour de l’information» spéciale Marocains du monde sur Radio 2M, en partenariat avec Yabiladi, s’est intéressée aux traditions ancrées dans la culture tangéroise.
Recalée parce que voilée. Laila Serroukh, une jeune madrilène musulmane d’origine marocaine, s’est vue refuser un job d’été en raison de son voile. Une discrimination qu’elle dénonce aujourd’hui sur les réseaux sociaux, avec le hashtag #UnaPersonaComoYo («Une personne comme moi»), indique El Mundo. «On est venu me dire qu’on recherchait des gens avec les cheveux découverts»,