Mi-novembre, le chef de Daesh appelait ses fidèles au Maroc à empêcher la montée des partis laïcs. Deux mois plus tard, il change radicalement de position en les invitant, cette fois, à rallier l’Etat islamique wilaya de Berka. L’imminence d’une offensive française pourrait avoir dicté ce revirement d’Al Baghdadi.
Cette année, les Etats-Unis ne se sont pas montrés généreux avec le Maroc. Washington a réduit le montant de son assistance militaire accordée à Rabat de deux millions de dollars par rapport à 2014, passant de 7 à 5 M$. Une baisse significative mais qui ne fait que traduire une tendance amorcée depuis 2011, indique les chiffres révélés par les services de John Kerry. Dans la région
Les prochaines échéances électorales seront placées sous la supervision des ministres de l’Intérieur et de la Justice. Une première au Maroc. Le roi Mohammed VI avait confié le suivi des élections au chef du gouvernement. Une commission centrale veillera sur le déroulement de tout le processus.
Il serait désormais très difficile d’entendre un média officiel marocain traité Al Sissi de «leader des putschistes». La page semble tournée. Le Maroc par la voix de son ministère des Affaires étrangères appuit «la révolution du 30 juin 2013». Celle qui avait permis la destitution de l’ancien président Mohamed Morsi en échange d’un soutien du Caire à son
Le chef du gouvernement est revenu sur le boycott de la marche de Paris contre le terrorisme par Salaheddine Mezouar pour féliciter son ministre. Benkirane a saisi cette opportunité pour insister sur la place de l’islam, le prophète et sa descendance dans l’Histoire de l’Etat marocain.
Le nouvel an amazigh s’ajoute à la série de sujets de controverse entre le PJD et l’Istiqlal. Un député islamiste demande de sanctionner les agents de la fonction publique qui ont répondu favorablement à l’appel de Chabat considérant que le mardi 13 janvier est jour férié, et qui sont donc restés chez eux.
S’inspirant de mesures prises par certains pays européens, les députés marocains se prononcent en faveur de la confiscation des passeports des aspirants au djihad. C’est d’ailleurs la principale modification à un projet de loi sur le terrorisme.
Qui se cache derrière «Chris Coleman» ? Des ministres marocains ont pointé du doigt les services secrets algériens en tant que responsables de l'opération des fuites de documents officiels sur un compte Twitter. Le journaliste espagnol Ignacio Cembrero propose quant à lui la France. Une hypothèse qu’il appuie par quelques faits. Détails.
Après des années de menaces, la présidence de la Chambre haute a décidé de sévir contre les absentéistes. Des ponctions sur salaires sont programmées. 38 sénateurs sont dans le viseur.
Une nouvelle date est annoncée pour la visite du chef de la diplomatie égyptienne au royaume. Un déplacement qui devrait apaiser les relations entre les deux pays en vue de retrouver non pas l’embellie des années Sadat ou Moubarak mais au moins le niveau prévalant avant que Al Sissi ne soit qualifié de «leaders des putschistes» par un média officiel marocain.