Avant 2011, plus de soixante mille marocains étaient installés en Libye. 16 mille ont quitté le pays lors des affrontements armés entre l’opposition et les troupes fidèles à Kadhafi. A nouveau en 2014, le Maroc est appelé à l'aide par les MRE. Une opération qui s’annonce cependant délicate. Pour ceux qui souhaitent quitter le pays, ils doivent d'abord passer par la Tunisie en empruntant un trajet sous
Le 5 octobre 2013, c’est le prince Moulay Rachid qui représentait son frère, le roi Mohammed VI à la commémoration du 70ème anniversaire de la libération de l’ile de Corse de l’occupation italienne. Le 15 août 2014, c’est Abdelilah Benkirane qui a été à dépêché à Toulon, à la tête d’une petite délégation marocaine, pour une
L’alerte générale lancée au Maroc va crescendo. Après les Casablancais, les habitants de grandes villes du royaume font la connaissance de l’installation de missiles sol-air. Parallèlement à cet effort, des unités de l’armée de terre sont sorties de leurs casernes, notamment à Oujda et Ouarzazate pour se déployer sur le long des frontières Est et Sud-Est avec l’Algérie.
Les tensions entre locaux et Subsahariens sont de plus en plus fréquentes dans les grandes villes du nord et nord-est du royaume. Après Nador en juillet, Tanger replonge dans la violence. Des assaillants marocains ont agressé des migrants subsahariens ainsi qu'une militante associative espagnole.
L’armée marocaine est sur le qui-vive. Elle vient d’installer des missiles sol-air à Casablanca en prévision de toute attaque terroriste. Cette mobilisation intervient après la disparition de plusieurs avions civils de l’aéroport de Tripoli.
Tendues, les relations entre le PJD et la majorité des associations amazighes. Les désaccords sont multiples au point que des militants amazighs appellent à la dissolution du parti de la Lampe.
L’ambassadeur du Maroc aux Nations-Unies a révélé certains détails à l’origine du blocage du processus des négociations sur le dossier du Sahara occidental. Pour Omar Hilal, le secrétariat général de l’ONU assume une responsabilité dans cet enlisement. Explications.
Le 10 juillet, le ministre de l’Intérieur reconnaissait, lors d’un exposé présenté devant les membres du gouvernement, qu’une menace terroriste sérieuse guette le Maroc, précisant qu’elle émane des combattants marocains en Syrie et en Irak. Depuis, le pays est en alerte. Aujourd’hui, une cellule de recrutement de djihadistes pour le compte de l’Etat islamique vient d’être
Une semaine après le décès d’un salafiste à la prison de Salé, un étudiant d’extrême gauche, incarcéré à Fès, vient de rendre l’âme. Il y a trois jours, l’AMDH avait pourtant alerté le chef de gouvernement, le ministre de la Justice et le patron des prisons de la détérioration de la santé de Mustapha Meziani.
C’est reparti pour une énième polémique entre le Maroc et l’Algérie. Cette fois-ci elle concerne le dossier du trafic de drogue. Alger brandit la menace du cannabis, Rabat riposte par les dangers du karkoubi et de l’opium.