La riposte des écoles «Mohamed al Fatih» à la décision du ministère de l’Intérieur de fermerture des établissements commence à s’organiser. Le Groupe ne compte pas baisser les bras. Il a «mandaté des avocats de renommée pour défendre et clarifier le dossier auprès des autorités compétentes», annonce le comité de suivi de l’ «Ecole Mohamed Al
Face à l’accueil favorable de la demande d’adhésion du Maroc à l’UA, Pretoria prend la tête d’un front pour bloquer tout amendement de la Charte de l’Union africaine. Et pourtant l’article 32 de l’Acte constitutif est clair là-dessus, il autorise tout membre de l’organisation à soumettre des propositions.
Après une lueur d'espoir, le blocage s’installe de nouveau. Le président du RNI refuse de se réunir avec le chef du gouvernement désigné. «Je l’ai attendu jeudi et vendredi et nous sommes le samedi matin et il n’est pas encore venu», a révélé Abdelilah Benkirane dans des déclarations à la presse à Salé où il préside une réunion interne de son parti. Le PJDiste
Le président du RNI réagit à l’annonce faite par Abdelilah Benkirane sur la composition de sa coalition gouvernementale. Aziz Akhannouch a révélé la tenue de réunions avec les directions de l’Union constitutionnelle, son «partenaire», et celles de l’USFP. Les deux formations ont exprimé leur refus d’être reléguées dans les rangs de l’opposition. Le chef de la Colombe a
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Cavusoglu, a loué la fermeture au Maroc des établissements scolaire du «Groupe Mohamed Al Fatih», dirigés par de présumés fidèles de Fethullah Gülen, l’opposant du président Erdogan. «Nous saluons la décision du ministère marocain de l’Intérieur» de donner un délai avant l’interdiction complète de
Sur le papier, la coalition annoncée par Benkirane est extrêmement fragile. Elle ne compte que sur l’appui de 201 députés, contre 194 pour les autres formations. Il suffit de quelques décisions de la Cour constitutionnelle annulant l’élection de certains élus de la majorité pour qu’elle se trouve en minorité.
La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a démenti catégoriquement l’usage de la force par les éléments des forces de l’ordre lors de la dispersion d’un rassemblement de protestation, mercredi dernier sur une place publique à Al Hoceima. La DGSN réfute, dans une mise au point relayée par la MAP, «toutes les allégations d’arrestation ou la prise de toute autre mesure
Le Maroc s’engage dans la guerre contre les intérêts de fidèles de Fethullah Gülen, en fermant les écoles du Groupe «Mohamed Al Fatih». Le royaume avait voté, fin juillet, en faveur d’une résolution de l’Organisation de la coopération islamique déclarant le mouvement «Hizmet» organisation terroriste.
A trois semaines du sommet de l’Union africaine, prévu les 30 et 31 janvier dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba, le chef du Polisario est attendu en Afrique du Sud. Pretoria, dirigée au moins pendant les trois années à venir par l’ANC de Jacob Zuma, est un fervent allié du Front. En témoigne la tribune de sa ministre des Affaires étrangères.
Les forces de l’ordre ont empêché, hier soir, l’organisation d’un sit-in à Al Hoceima sur la place emblématique de la ville. Une première, après presque trois mois de cohabitation pacifique entre les autorités et les manifestants.