Même avec 125 sièges, la présidence de la Chambre des représentants pourrait échapper au PJD. Une coalition de cinq partis (PAM, RNI, MP, UC et USFP) s’achemine vers l’organisation d’élections des instances de la Chambre. Le gouvernement ne peut empêcher la tenue d'un tel scrutin. La démarche est constitutionnelle : la loi fondamentale du 1er juillet 2011 a instauré la séparation des pouvoirs.
Ce matin, le président du RNI était à Fès pour rencontrer les cadres de son parti. Une visite qui s’inscrit dans le cadre de sa tournée au Maroc, initiée depuis son élection à la tête de la Colombe, le 29 octobre à Bouznika. Au sortir de la réunion, Aziz Akhannouch a commenté, dans de brèves déclarations à la presse, le communiqué d'Abdelilah Benkirane du dimanche 8 janvier
Le Centre Mohamed Bensaid lance une initiative en direction des acteurs politiques maghrébins, tout particulièrement en Algérie et au Maroc. L'instance appelle à un «dialogue constructif» dans la région en vue de dépasser la paralysie qui frappe l’Union du Maghreb arabe (UMA), indique-t-elle dans un communiqué parvenu à notre rédaction. Les initiateurs de l’appel ambitionnent de relancer les recommandations
Le secrétaire général du PAM brise un silence de plusieurs semaines en décochant des flèches en direction du chef du gouvernement désigné. Ilyas El Omari estime, dans des déclarations à un média russe arabophone, qu’Abdelilah Benkirane n’a pas l’embarras du choix et qu'il doit «former son cabinet ou présenter sa démission au roi». Et d’ajouter qu’«il est
Le blocage des consultations pour la formation d’un nouveau gouvernement entame aujourd’hui son quatrième mois sans que la perspective d’une solution ne s’esquisse. C'est dans ce contexte d'incertitudes que le secrétariat général du PJD a apporté, hier soir, un soutien sans concession au communiqué du 8 janvier d'Abdelilah Benkirane, annonçant la fin des négociations avec le président du RNI, Aziz Akhannouch
Les relations entre Abdelaziz Aftati et Abdelilah Benkirane se corsent davantage. L'ancien député d'Oujda semble déranger le secrétaire général de la Lampe en causant des problèmes avec des parties influentes au pouvoir. En juin 2015, ce fut avec l'armée. Désormais, c'est avec Aziz Akhannouch.
Après l’Afrique du Sud, le chef du Polisario est attendu ce lundi en Zambie pour une visite officielle de trois jours. Un déplacement annoncé par le ministre des Affaires étrangères, Harry Kalaba. Celui-là même qui avait annoncé à Rabat, début juillet, le retrait de Lusaka de la reconnaissance de la «RASD» et la rupture de ses relations avec le Front.
Les deux organisations appellent leurs fidèles à mener des opérations pour la récupération de l'Andalousie, Ceuta et Melilla.
Sans attendre l’issue du conseil des ministres de demain, le secrétaire général du PJD a vite réagit aux communiqué conjoint du RNI, MP, USFP et l’UC. Abdelilah Benkirane annonce à son tour la fin des consultations pour la formation du gouvernement avec Aziz Akhannouch. Le chef du Mouvement populaire est également logé à la même enseigne. Le PJDiste a souligné avoir présenté, mercredi, une
Le 5 janvier, le chef du gouvernement désigné annonçait la composition de sa «majorité», formée par le PJD, le RNI, le MP et le PPS. L’USFP et l’UC en étaient écartés. Le lendemain, Aziz Akhannouch créait la surprise en appelant à des «consultations approfondies» avec les partis du Cheval et de la Rose. Depuis ce dimanche, nouvelle surenchère, puisque Benkirane est