«Al Battar», un média de Daesh, appelle ses fidèles au Maroc à tuer des personnalités salafistes. Dans le viseur des partisans de l'organisation "Etat islamique" figure Mohamed El Fizazi, Hassan Kettani, Omar Haddouchi, Abou Hafs et Abdelkrim Chedali. Les salafistes marocains sont hostiles à Daesh et refusent de reconnaitre son «califat».
L’élection de quatre nouveaux membres non-permanents au Conseil de sécurité ne devrait pas trop plaire au Maroc. Non seulement le royaume a vu le départ de son allié espagnol, mais il devra aussi composer avec l’élection de la Suède pour la zone Europe occidentale. En revanche pour l’Afrique, Rabat garde, au moins jusqu’au 31 décembre 2017, une avance sur le Polisario.
Le tribunal de première instance de Rabat accueillera aujourd’hui une nouvelle audience du procès de sept journalistes, parmi lesquels se trouve l’historien Maâti Monjib. Ils sont accusés par le parquet d'«atteintes à la sûreté intérieure de l'État» par le biais d'une «propagande» de nature à «ébranler la fidélité que les citoyens doivent à
Le gouvernement marocain s’accroche à récuser toute normalisation commerciale avec Israël. Par la voie de son ministre délégué au Commerce de l’extérieur, l’exécutif attribue l’entrée de produits israéliens au sein du royaume à la «contrebande». Une version qui n’a pas convaincue l’opposition.
Les exportations marocaines vers l’Union européenne enregistrent une baisse. L’annonce a été faite ce matin par le ministre délégué au Commerce extérieur à l’occasion de la séance des questions orales à la Chambre des représentants. Le marché de l’UE «représentait, en 2007, plus de 75% de l’ensemble des exportations alors que vers la fin 2015, ce pourcentage
Le ministre des Finances a été interpellé, ce matin à la Chambre des représentants, au sujet du retard de l’entrée des banques islamiques au Maroc. Mohamed Boussaid a renvoyé la balle dans le camp de la Banque centrale, soulignant que le gouvernement «n’a aucune tutelle sur Bank Al Maghrib». L’argentier du royaume s’est refusé de parler de «retard», expliquant que les services
La famille politico-religieuse d’Ahmed Raissouni ne partage pas son appui aux associations réclamant le droit des Marocains de déjeûner publiquement. Pour apaiser le mécontentement provoqué, il a été contraint d’apporter des éclaircissements à ses déclarations tenus au Qatar mais sans rien céder sur le fond.
Après plus de cinq mois de blocage, la commission des finances à la Chambre haute du parlement a adopté, hier, les trois projets de loi relatifs à la réforme des régimes de retraites. Ce passage est la première concession de l’Istiqlal à son ancien-nouveau allié, le PJD. Ces conseillers se sont abstenus lors de l’opération de vote, permettant ainsi le passage des textes. Les conseillers des centrales syndicales
La présence des dattes israéliennes sur les marchés marocains intéresse les élus du PJD. Leur groupe compte saisir, demain lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Moulay Hafid Elalamy, sur ce sujet. Le groupe de la Lampe demande à la tutelle de prendre les mesures nécessaires pour empêcher que le scénario de ce ramadan se reproduise
Rachid Belmokhtar est de nouveau dans le viseur des milieux conservateurs. Après la polémique sur la langue française et la fin de l’arabisation des programmes scolaires, ils reprochent au ministre d’être cette fois à l’origine du changement de nom de l’ «éducation islamique» en «éducation religieuse».